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Le donjon du bourreau
Anne Bruneau (traduit par), Christiane Poussier (traduit par)
Date de parution : 24/05/2018
Éditeurs :
12-21
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Le donjon du bourreau

Anne Bruneau (traduit par), Christiane Poussier (traduit par)
Date de parution : 24/05/2018

Deuxième opus du célèbre frère Athelstan, moine dominicain et astronome enquêtant aux côtés du coroner John Cranston dans le Londres du XIVe siècle

En décembre 1377, alors que la Tamise est complètement gelée, le gouverneur de la Tour de Londres, Sir Ralph Whitton, est retrouvé assassiné. La porte de la pièce étant toujours... En décembre 1377, alors que la Tamise est complètement gelée, le gouverneur de la Tour de Londres, Sir Ralph Whitton, est retrouvé assassiné. La porte de la pièce étant toujours fermée de l'intérieur et gardée par des hommes de confiance, comment les assassins ont-ils pu traverser les douves et escalader... En décembre 1377, alors que la Tamise est complètement gelée, le gouverneur de la Tour de Londres, Sir Ralph Whitton, est retrouvé assassiné. La porte de la pièce étant toujours fermée de l'intérieur et gardée par des hommes de confiance, comment les assassins ont-ils pu traverser les douves et escalader le mur à pic de la forteresse pour venir commettre leur crome? Et pourquoi Sir Ralph était-il aussi effrayé par le message qu'il avait reçu quelques jours plus tôt?

Frère Athelstan et Sir John Cranston, le coroner de Londres, sont de retour pour enquêter au coeur du plus célèbre donjon de la Couronne.
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EAN : 9782823841992
Code sériel : 3218
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
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EAN : 9782823841992
Code sériel : 3218
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • katell 07/03/2024
    Je redécouvre la série de romans policiers historiques écrite par Paul Harding alias Paul Doherty et ayant pour héros un frère dominicain, Frère Athelstan, prêtre d’une des paroisses les plus pauvres de Londres. Il est le clerc attitré du Coroner de la ville, Sir John Cranston, bon vivant, buveur invétéré, sensible à ses heures perdues, à la carrure impressionnante, au verbe haut et fleuri et éperdument amoureux de son épouse, Lady Maude. Sir John a tout d’un Pantagruel ! Hiver 1377, Londres se prépare à fêter Noël, Frère Athelstan a un sérieux problème à régler dans sa paroisse : il y a profanation régulière des corps enseveli dans le cimetière attenant à l’église. Cela inquiète les paroissiens persuadés que le Mal rôde parmi eux. Pendant ce temps, à la Tour de Londres, symbole du pouvoir royal, le gouverneur Sir Ralph Whitton est trouvé, égorgé, dans sa chambre alors que la porte est fermée, qu’elle est gardée par des hommes de confiance à qui le gouverneur confie chaque soir la clef de la pièce. Qui est le coupable ? Quel est le mobile du crime horrible ? Une énigme, si j’ose dire, à la Hercule Poirot : un crime, un lieu clos et une belle ribambelle de coupables. L’enquête est menée par les deux acolytes qui ont, par ailleurs, fort à faire dans les rues de leur quartier. Moi, lectrice, j’avançais avec quelques indices importants grâce au prologue. Avant de me plonger dans le Londres frigorifié par l’hiver 1377, l’auteur m’a envoyée à Chypre, quelques quinze ans avant le crime, lorsque des chevaliers, devenus mercenaires pour un Calife qui prit Jérusalem de manière sanglante. Je sais alors qu’un des chevaliers du groupe a trahi son chef pour récupérer le trésor volé dans une échoppe, et revenir sauf en Angleterre. Le chef en question est-il vraiment mort au cours de l’abordage par les Janissaires ? Cependant, malgré ces indices, j’avance en aveugle aux côtés du duo, mal assorti mais ô combien complémentaire, formé par le frère prêcheur et le coroner. L’assassin ne se contente pas du meurtre de Sir Ralph, il s’en prend, peu de temps après, et successivement, aux deux Chevaliers Hospitaliers et à un important marchand de la ville, amis du Gouverneur de la Tour de Londres. Un point commun entre les assassinats : les victimes ont reçu un parchemin sur lequel est dessinée une nef et une galette de sésame annonciateurs d’une punition perpétrée par un Assassin de la secte du Vieux de la Montagne (rappelez-vous, les victimes ont été Croisés et connaissaient l’existence de ladite secte). L’enquête avance lentement, très lentement, au gré du froid intense qui va jusqu’à geler la Tamise et interdire tout trafic fluvial. Les deux enquêteurs nous promènent dans les pires quartiers de Londres, nous font frissonner lors de la traversée du Pont de Londres où les fripouilles de tous poils n’hésitent pas à user du surin, nous attablent dans des auberges tantôt miteuses tantôt opulentes, nous permettent d’entrer à leur suite dans leur quotidien et de nous inquiéter de l’attitude mystérieuse de Lady Maude, attitude qui rend revêche, agressif et gueulard, c’est le terme à employer, le coroner persuadé que sa femme a un amant. De rencontrer un médecin éclairé dont les habitudes de travail sont loin de l’insalubrité dans laquelle exercent ses confrères, de croiser une jolie paroissienne pour laquelle le cœur de Frère Athelstan bat, ce qui le rend encore plus humain et plus attachant : il est attentionné envers ses ouailles, il est généreux et n’hésite pas à accueillir deux lépreux dans l’ossuaire. Au cours des pérégrinations d’Athelstan et de Sir John, les indices sont éparpillés sans que l’on puisse encore les comprendre. Les détails essentiels sont tellement subtils, perdus dans une observation des décors ou au détour d’une conversation domestique anodine, qu’ils passent inaperçus. Tout s’éclairera et s’expliquera au moment voulu et ce pour mon plus grand plaisir. J’ai adoré être baladée, dans tous les sens du terme, dans un Londres du XIVè siècle, entre superstitions et avancées scientifiques et techniques, entre peur du divin et soif d’apprendre. Tout une époque, tout un monde prend vie sous mes yeux et ce grâce à la magie de la lecture et de l’imagination qu’elle suscite. J’ai pu voir un Moyen-Age dont les avancées sont occultées par le dogme religieux que bravent ceux qui, au contact des savoirs du Moyen-Orient (arabe et ottoman) veulent en libérer l’esprit humain afin que l’homme puisse avoir son libre-arbitre. « Le donjon du bourreau » fut une relecture jubilatoire, j’ose le terme, et prenante. Traduit de l’anglais par Anne Bruneau et Christiane Poussier.Je redécouvre la série de romans policiers historiques écrite par Paul Harding alias Paul Doherty et ayant pour héros un frère dominicain, Frère Athelstan, prêtre d’une des paroisses les plus pauvres de Londres. Il est le clerc attitré du Coroner de la ville, Sir John Cranston, bon vivant, buveur invétéré, sensible à ses heures perdues, à la carrure impressionnante, au verbe haut et fleuri et éperdument amoureux de son épouse, Lady Maude. Sir John a tout d’un Pantagruel ! Hiver 1377, Londres se prépare à fêter Noël, Frère Athelstan a un sérieux problème à régler dans sa paroisse : il y a profanation régulière des corps enseveli dans le cimetière attenant à l’église. Cela inquiète les paroissiens persuadés que le Mal rôde parmi eux. Pendant ce temps, à la Tour de Londres, symbole du pouvoir royal, le gouverneur Sir Ralph Whitton est trouvé, égorgé, dans sa chambre alors que la porte est fermée, qu’elle est gardée par des hommes de confiance à qui le gouverneur confie chaque soir la clef de la pièce. Qui est le coupable ? Quel est le mobile du crime horrible ? Une énigme, si j’ose dire, à la Hercule Poirot : un crime, un lieu clos...
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  • Tatooa 08/01/2022
    L'atmosphère londonienne en ce décembre 1377 n'est pas des plus gaies. La Tamise gèle, les mendiants meurent de froid, et Maître Doherty décrit tout cela de main de maître. La neige et le froid ont cependant l'avantage d'assainir l'atmosphère, lol. J'adore ce duo d'enquêteurs totalement dépareillés, ce qui donne lieu à des scènes truculentes qui détendent entre deux passages bien glauques. Ils sont très humains, le coroner géant ventripotent bon vivant, qui apprécie trop l'alcool, qui rote et pète sans vergogne, gueulard à l'extérieur mais est pourtant singulièrement "sage" dès qu'il fait face à son petit bout de femme, lol, et le frère prêcheur (il y tient) bien plus modéré, mais pourtant bien perturbé par l'omniprésence d'une jolie veuve dans son église, ce qui l'amène à quelques réactions excessives pour lesquelles il se fustige aussitôt... Bref, une lecture qui s'est fait dans la nuit de jeudi à vendredi, vu que j'ai très peu dormi, et c'était bien cool. :)
  • Latulu 17/10/2021
    Un petit policier sans grand intérêt. Vous connaissez Hercule Poirot, le héros récurrent de la célèbre romancière Agatha Christie ? Imaginez le en moine, transporté au 14è siècle et vous obtenez la recette du Donjon du Bourreau de Paul Doherty. Un cadavre, un lieu clos, une brochette de suspects et un enquêteur zélé pour démêler les mobiles et alibis jusqu'à trouver le coupable. Voilà en gros la trame narrative de ce policier historique. D'histoire il en sera d'ailleurs peu question. Certes, l'inspecteur (pardon le moine) ne résout pas l'enquête autour d'une tasse de thé et petits sandwichs mais à grandes rasades de vin épicé et de tourtes marinées. Hormis cela… Le Donjon du bourreau se situe dans la Tour de Londres mais son ancrage historique est peu abordé. C'est le deuxième roman que je lis de cet auteur et je suis une fois de plus décontenancée par la première phrase qu'il donne à ses romans. Toujours un poncif. « Le Crime – vil et sanglant – avait été conçu par une âme aussi noire que l'Enfer. » et je dois avouer que j'ai levé plus d'une fois les yeux au ciel pendant ma lecture. Les personnages sont très caricaturaux, à la limite du ridicule par moment. Toutefois, cela donne un certain rythme au récit. Entre les turpitudes de Frère Athelstan au sujet des membres de sa paroisse et les humeurs extravagantes de son équipier, Sir John Cranston, coroner de Londres, il y a de quoi provoquer de belles situations cocasses. Du coup, l'histoire se lit bien et j'ai trouvé le dénouement plutôt bien trouvé et assez crédible. Pour autant, ce récit n'offre pas un grand divertissement et sans m'être réellement ennuyée pendant ma lecture, j'avais quand même hâte d'arriver à la fin.Un petit policier sans grand intérêt. Vous connaissez Hercule Poirot, le héros récurrent de la célèbre romancière Agatha Christie ? Imaginez le en moine, transporté au 14è siècle et vous obtenez la recette du Donjon du Bourreau de Paul Doherty. Un cadavre, un lieu clos, une brochette de suspects et un enquêteur zélé pour démêler les mobiles et alibis jusqu'à trouver le coupable. Voilà en gros la trame narrative de ce policier historique. D'histoire il en sera d'ailleurs peu question. Certes, l'inspecteur (pardon le moine) ne résout pas l'enquête autour d'une tasse de thé et petits sandwichs mais à grandes rasades de vin épicé et de tourtes marinées. Hormis cela… Le Donjon du bourreau se situe dans la Tour de Londres mais son ancrage historique est peu abordé. C'est le deuxième roman que je lis de cet auteur et je suis une fois de plus décontenancée par la première phrase qu'il donne à ses romans. Toujours un poncif. « Le Crime – vil et sanglant – avait été conçu par une âme aussi noire que l'Enfer. » et je dois avouer que j'ai levé plus d'une fois les yeux au ciel pendant ma lecture. Les personnages sont très caricaturaux, à la limite du ridicule par moment. Toutefois, cela donne un certain...
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  • corally4 09/01/2020
    La boue, les venelles pleines d’immondice, la neige et la Tamise gelée nous sommes à Londres en Décembre 1377 , et nous parcourons la ville avec un surprenant duo, le Frère Athelstan, confronté dans sa paroisse de Southewark au mystère de la profanation de tombes dans le cimetière, mais aussi un prêtre qui se soucie de ses ouailles, aime son chat Bonaventure, avec un penchant pour la veuve Benedicta ;Il assiste Sir John Cranston, le coroner de Londres, grand gueule, gros mangeur et buveur qui tente de noyer ses problèmes familiaux dans l'alcool, Un crime survient à la Tour de Londres, Sir Ralph Whitton est retrouvé assassiné alors que son appartement était fermé de l’intérieur, gardé par des hommes de confiance ; Effrayé par le message reçu se sentant menacé il avait d ailleurs changé de chambre…. … S’en suivront d’autres crimes, tous plus horribles les uns que les autres. Un lien les unit… toutes les victimes reçoivent un parchemin où est dessiné une église, des croix, avec une galette de sarrasin, évocation de l’Orient où tous ont vécu, combattu…Un survivant qui veut se venger est ce le lien entre toutes les victimes ?… C’est ce que vous découvrirez avec nos limiers qui après bien des péripéties, des anecdotes sur leur propre vie, des diners bien arrosés surtout pour le coroner, vont trouver le « justicier ». Entre temps le prêtre découvrira l’auteur des profanations, le coroner apprendra qu’il va être père Et enfin, les venelles de Londres retrouveront un peu de calme. Mais quel plaisir et dépaysement que cet ouvrage….prête à lire d’autres aventures des deux détectives La boue, les venelles pleines d’immondice, la neige et la Tamise gelée nous sommes à Londres en Décembre 1377 , et nous parcourons la ville avec un surprenant duo, le Frère Athelstan, confronté dans sa paroisse de Southewark au mystère de la profanation de tombes dans le cimetière, mais aussi un prêtre qui se soucie de ses ouailles, aime son chat Bonaventure, avec un penchant pour la veuve Benedicta ;Il assiste Sir John Cranston, le coroner de Londres, grand gueule, gros mangeur et buveur qui tente de noyer ses problèmes familiaux dans l'alcool, Un crime survient à la Tour de Londres, Sir Ralph Whitton est retrouvé assassiné alors que son appartement était fermé de l’intérieur, gardé par des hommes de confiance ; Effrayé par le message reçu se sentant menacé il avait d ailleurs changé de chambre…. … S’en suivront d’autres crimes, tous plus horribles les uns que les autres. Un lien les unit… toutes les victimes reçoivent un parchemin où est dessiné une église, des croix, avec une galette de sarrasin, évocation de l’Orient où tous ont vécu, combattu…Un survivant qui veut se venger est ce le lien entre toutes les victimes ?… C’est ce que vous...
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  • Crazynath 08/10/2018
    Dans ma petite vie de lectrice, j’ai souvent fonctionné par cycles. A une période, j’ai eu une frénésie de lectures genre polars historiques. C’est avec les aventures de frère Cadfael de Ellis Peters que j’avais attrapé le virus. Je crois bien d’ailleurs que je les ai tous lu très rapidement à l’époque… Il y a quelque temps déjà, j’ai eu envie de me replonger dans ce genre qu’est le polar historique et surtout de retourner dans cette période si particulier qu’est le moyen-âge. J’avais fait une tentative avec L’assassin de Sherwood, histoire mettant en scène Hugh Corbett, héros récurrent de Paul Doherty alias Paul Harding. J’avais apprécié l’histoire, mais sans plus…D’ailleurs je me dois de reconnaitre que j’ai déjà bien oublié une partie de ce livre. Ne voulant pas rester sur une demi-déception, je me suis donc lancée dans un autre livre de cet auteur (prolifique, il faut le dire ) mettant en scène d’autres héros. Et je reconnais, que cette fois-ci, avec Le donjon du bourreau, je n’ai pas été déçue. Il s’agit ici du deuxième volet de cette série qui se déroule en Angleterre vers la fin du quatorzième siècle. Nous sommes dans un Londres qui est évidemment loin de ressembler à ce que nous connaissons aujourd’hui. J’ai beaucoup aimé les eux personnages principaux qui sont très complémentaires. Le truculent, bruyant et bon vivant coroner de Londres, Sir John Craston, ainsi que son discret clerc qui est un dominicain ayant en charge une paroisse. Ce dernier, que je me plais à imaginer sous les traits de son homonyme de la série Vikings, est confronté à un problème assez inquiétant : on déterre des cadavres dans le cimetière de sa paroisse. Ce n’est cependant pas cette affaire qui va monopoliser les deux enquêteurs. En effet, on va faire appel à leurs services pour élucider le meurtre du gouverneur de la Tour de Londres. J’ai beaucoup aimé cette plongée dans cette période de l’histoire, avec des descriptions très imagées qui permettent bien de se resituer dans le contexte de l’époque. L’intrigue est bien menée, et même si j’avais deviné assez vite le mobile, pas un instant je n’ai pu deviner la clef du mystère et surtout le nom du coupable. J’ai l’intention de m’attaquer assez rapidement au premier tome qui aura le mérite de m’éclaircir sur les premiers pas dans le monde des enquêtes de Craston et Athelstan Challenge Pyramide Dans ma petite vie de lectrice, j’ai souvent fonctionné par cycles. A une période, j’ai eu une frénésie de lectures genre polars historiques. C’est avec les aventures de frère Cadfael de Ellis Peters que j’avais attrapé le virus. Je crois bien d’ailleurs que je les ai tous lu très rapidement à l’époque… Il y a quelque temps déjà, j’ai eu envie de me replonger dans ce genre qu’est le polar historique et surtout de retourner dans cette période si particulier qu’est le moyen-âge. J’avais fait une tentative avec L’assassin de Sherwood, histoire mettant en scène Hugh Corbett, héros récurrent de Paul Doherty alias Paul Harding. J’avais apprécié l’histoire, mais sans plus…D’ailleurs je me dois de reconnaitre que j’ai déjà bien oublié une partie de ce livre. Ne voulant pas rester sur une demi-déception, je me suis donc lancée dans un autre livre de cet auteur (prolifique, il faut le dire ) mettant en scène d’autres héros. Et je reconnais, que cette fois-ci, avec Le donjon du bourreau, je n’ai pas été déçue. Il s’agit ici du deuxième volet de cette série qui se déroule en Angleterre vers la fin du quatorzième siècle. Nous sommes dans un Londres qui est évidemment loin de...
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