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Maigret tend un piège
Maigret
Date de parution : 22/11/2012
Éditeurs :
Omnibus

Maigret tend un piège

Maigret

Date de parution : 22/11/2012
Mère abusive, femme possessive, homme humilié
Depuis six mois, cinq femmes vivant seules ont été assassinées à Montmartre. Aucun élément n'a permis d'identifier le tueur. A la suite d'une conversation avec un psychiatre de renom, Maigret... Depuis six mois, cinq femmes vivant seules ont été assassinées à Montmartre. Aucun élément n'a permis d'identifier le tueur. A la suite d'une conversation avec un psychiatre de renom, Maigret monte une mise en scène destinée à faire croire qu'il a arrêté le coupable. Il espère que l'assassin, tuant probablement... Depuis six mois, cinq femmes vivant seules ont été assassinées à Montmartre. Aucun élément n'a permis d'identifier le tueur. A la suite d'une conversation avec un psychiatre de renom, Maigret monte une mise en scène destinée à faire croire qu'il a arrêté le coupable. Il espère que l'assassin, tuant probablement pour s'affirmer, sera blessé dans son orgueil, éprouvera un sentiment de frustration et se manifestera en tentant une nouvelle agression. Le piège fonctionne...
Adapté pour le cinéma, en 1957, dans une réalisation de Jean Delannoy, dialogues de Michel Audiard, avec Jean Gabin (Commissaire Maigret), Annie Girardot (Yvonne Maurin), Jean Desailly (Marcel Maurin), Lino Ventura (l'inspecteur Torrence) et pour la télévision en 1996, par Juraj Herz, avec Bruno Cremer (Commissaire Maigret), Hélène Surgère (Mme Moncin mère).
Adapté pour la télévision anglaise en 2016, sous le titre Maigret sets a Trap, par Ashley Pearce, scénario de Stewart Harcourt. Avec Rowan Atkinson dans le rôle du commissaire Maigret.

Simenon chez Omnibus : les enquêtes du célèbre commissaire Maigret, et les très “noirs” Romans durs
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EAN : 9782258096912
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782258096912
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • pegase-shiatsu 21/11/2023
    Mon troisième Maigret encore adapté avec Jean Gabin, mais aussi avec une actrice bien connu mais on ne l'attendait pas là... et pourtant c'est encore dans La Vieille Fille et dans Maigret tend un pièce qu'elle a ses meilleures rôles... Annie Girardeau jouant une bourgeoise dessus par son mariage... elle avait épousé un artiste croyant au prince charmant.... mais en fait il y avait comme un défaut.... Et le livre ne commence pas exactement comme le film, au Quai des Orfèvres la presse est là à cause d'un scandale... mais ce n'est pas Maigret qui enquête... et pendant qu'on apprenne ce qu'est devenu l'impotente femme de Lognon, qu'on avait découvert dans Maigret Lognon et les gangsters, les journalistes se demandent qui peut être interrogé par Maigret le tueur ? un témoin ? Car les femmes ont peur on tue non pas au marais comme dans le film, mais à Pigalle... il y a bien des différences significatives entre le lire et le film vous ne perdrez pas votre temps à le lire d'autant plus que Simenon a un tel style parois pour décrire une odeur qui vient du bitume et de la Seine à cause de la météo... du grand art... et quand je lit les Maigret je visualise un Gabin vieillissant..... Alors oui, lisons les aventures du plus Français des détectives.... décrit par un Belge.... car la lecture est facile agréable d'autant plus que Simenon avait le sens du détail, des ambiances... quand on lit un Simenon c'est come lire un Conan Doyle.... on lit une ambiance, une vie de détective une sensation du Paris ou du Londres de l'époque... et on lit d'autant mieux qu'on n'y met aucune intention perverse... mais plutôt de la curiosité pour comment observer le monde qui nous entoure... et l'observer correctement sans jugement... vue que ces histoires sur papier ne sont pas les nôtres, coupé d'une émotion quelconque... on peut analyser ce qui se passe, relire un détail ou une description... avec un héros de l'ombre, loin souvent des récompenses même si comme le chercheur il rend notre vie un peu plus supportable : le détective.... alors plus le crime est anodin plus l'approche du lecteur devient saine... non pas celle du voyeur... mais celle de l'observateur de la société... qui se demande plus... comment observer notre monde et les erreurs à éviter... plutôt que les horreurs qui en naissent...Mon troisième Maigret encore adapté avec Jean Gabin, mais aussi avec une actrice bien connu mais on ne l'attendait pas là... et pourtant c'est encore dans La Vieille Fille et dans Maigret tend un pièce qu'elle a ses meilleures rôles... Annie Girardeau jouant une bourgeoise dessus par son mariage... elle avait épousé un artiste croyant au prince charmant.... mais en fait il y avait comme un défaut.... Et le livre ne commence pas exactement comme le film, au Quai des Orfèvres la presse est là à cause d'un scandale... mais ce n'est pas Maigret qui enquête... et pendant qu'on apprenne ce qu'est devenu l'impotente femme de Lognon, qu'on avait découvert dans Maigret Lognon et les gangsters, les journalistes se demandent qui peut être interrogé par Maigret le tueur ? un témoin ? Car les femmes ont peur on tue non pas au marais comme dans le film, mais à Pigalle... il y a bien des différences significatives entre le lire et le film vous ne perdrez pas votre temps à le lire d'autant plus que Simenon a un tel style parois pour décrire une odeur qui vient du bitume et de la Seine à cause de la météo......
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  • alberthenri 19/07/2021
    Ce roman pourrait être titré : "Maigret prend des risques" En effet, pour débusquer un tueur en série qui a déjà cinq meurtres de femmes à son actif, le commissaire monte une traque, d'abord en faisant croire que l'assassin est peut-être interpellé, puis en tendant une souricière (d'où le titre choisi par Simenon) au tueur en lui fournissant des appâts… Comme souvent quand je lis un Maigret adapté au cinéma ou à la télévision, je ne peux m'empêcher de comparer roman et adaptations. Dans ce cas, j'ai deux références : le film de 1958 de Jean Delannoy et, le téléfilm de 1996 avec Bruno Cremer. Le film de Delannoy est un petit bijou, mais le scénario prend des libertés avec le texte original, en laissant par exemple, plus d'importance au personnage d'Yvonne Moncin, joué par Annie Girardot, et en donnant des occasions à Maigret/Gabin de faire son "numéro" de colérique. Le téléfilm avec Bruno Cremer, est plus fidèle au roman, avec la place que Simenon avait donné aux journalistes de l'époque (1955) qui font le siège du bureau du quai des orfèvres. Pour en revenir au roman, c'est un bon Maigret, avec un récit au rythme soutenu, et des personnages décrits de main de maître en quelque phrases.Ce roman pourrait être titré : "Maigret prend des risques" En effet, pour débusquer un tueur en série qui a déjà cinq meurtres de femmes à son actif, le commissaire monte une traque, d'abord en faisant croire que l'assassin est peut-être interpellé, puis en tendant une souricière (d'où le titre choisi par Simenon) au tueur en lui fournissant des appâts… Comme souvent quand je lis un Maigret adapté au cinéma ou à la télévision, je ne peux m'empêcher de comparer roman et adaptations. Dans ce cas, j'ai deux références : le film de 1958 de Jean Delannoy et, le téléfilm de 1996 avec Bruno Cremer. Le film de Delannoy est un petit bijou, mais le scénario prend des libertés avec le texte original, en laissant par exemple, plus d'importance au personnage d'Yvonne Moncin, joué par Annie Girardot, et en donnant des occasions à Maigret/Gabin de faire son "numéro" de colérique. Le téléfilm avec Bruno Cremer, est plus fidèle au roman, avec la place que Simenon avait donné aux journalistes de l'époque (1955) qui font le siège du bureau du quai des orfèvres. Pour en revenir au roman, c'est un bon Maigret, avec un récit au rythme soutenu, et des personnages décrits de main de maître en...
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  • marc_tlse 09/05/2020
    Pour démasquer l'assassin, Maigret décide de lui tendre un piège en s'appuyant sur l'analyse psychologique de l'auteur des crimes. Maigret n'est pas ici qu'un simple observateur, il provoque les évènements.
  • Nadouch 21/06/2019
    Sans doute un de mes épisodes préférés de Maigret, consacré aux tueurs en série avant que ce concept n'existe. Pour une fois, le tueur ne semble pas avoir de mobile, et Maigret se rend bien compte que l'axe psychologique va permettre de l'épingler... C'est quand même assez précurseur pour les années 50, sans compter que Maigret va avoir le culot de tendre un piège, utilisant des appâts... Sans doute également l'un des meilleurs épisodes de la série TV avec Bruno Cremer, la fin est incroyable !
  • michelangelo 15/05/2019
    Je vais peut-être vous surprendre, mais il m’aura fallu attendre 63 ans pour lire un George Simenon. Les aléas de la vie causent autant de surprises dans les lectures que dans tous les types d’évènements… J’avais de fait cette idée toute faite d’un écrivain peut-être ennuyeux reflété par la série assez soporifique des Maigret à la télévision… Bien mal m’en a pris ! Ce premier contact a été une petite révélation, même si le thème est très simple. Cinq femmes sont assassinées dans Paris, toujours vers la même heure du soir, et dans le même quartier. Pourtant, le tueur reste insaisissable. Maigret, le brillant commissaire du quai des Orfèvres, va tendre un piège, piège assez machiavélique s’il en est. L’écriture de Simenon est soignée. L’ambiance est un peu désuète (le roman date de 1955). Les personnages en revanche sont traités de façon assez fine pour un roman qui tient en seulement 160 pages. Je comprends alors que le format appliqué par l’auteur correspond bien aux contraintes d’un épisode de série télévisuelle… Les faits s’enchainent sans longueur et très vite on arrive au dénouement. Ce roman se lit facilement dans la journée et sera assez vite oublié malgré le plaisir qu’il aura suscité chez le lecteur. C’est, je crois, la loi du genre. En définitive, ce fut pour moi une belle surprise récréative. Michelangelo 15/05/2019 Je vais peut-être vous surprendre, mais il m’aura fallu attendre 63 ans pour lire un George Simenon. Les aléas de la vie causent autant de surprises dans les lectures que dans tous les types d’évènements… J’avais de fait cette idée toute faite d’un écrivain peut-être ennuyeux reflété par la série assez soporifique des Maigret à la télévision… Bien mal m’en a pris ! Ce premier contact a été une petite révélation, même si le thème est très simple. Cinq femmes sont assassinées dans Paris, toujours vers la même heure du soir, et dans le même quartier. Pourtant, le tueur reste insaisissable. Maigret, le brillant commissaire du quai des Orfèvres, va tendre un piège, piège assez machiavélique s’il en est. L’écriture de Simenon est soignée. L’ambiance est un peu désuète (le roman date de 1955). Les personnages en revanche sont traités de façon assez fine pour un roman qui tient en seulement 160 pages. Je comprends alors que le format appliqué par l’auteur correspond bien aux contraintes d’un épisode de série télévisuelle… Les faits s’enchainent sans longueur et très vite on arrive au dénouement. Ce roman se lit facilement dans la journée et sera assez vite oublié malgré le plaisir qu’il aura suscité chez...
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