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Meurtre en écho
Florence Bertrand (traduit par)
Date de parution : 17/08/2017
Éditeurs :
12-21

Meurtre en écho

Florence Bertrand (traduit par)
Date de parution : 17/08/2017
Des meurtres rituels dans la communauté hongroise qui mettent le feu aux poudres pour Monk, une ancienne flamme accusée à tord pour Hester : leur 23e enquête sera brûlante !
Le commandant Monk a déjà vu la mort. Trop souvent de près. Mais le meurtre de ce Hongrois, retrouvé dans un entrepôt du bord de la Tamise, s’avère aussi cruel... Le commandant Monk a déjà vu la mort. Trop souvent de près. Mais le meurtre de ce Hongrois, retrouvé dans un entrepôt du bord de la Tamise, s’avère aussi cruel qu’atypique. Doigts disloqués, lèvres découpées, cadavre transpercé d’une baïonnette et entouré de dix-sept bougies éteintes dans le sang… Tout évoque... Le commandant Monk a déjà vu la mort. Trop souvent de près. Mais le meurtre de ce Hongrois, retrouvé dans un entrepôt du bord de la Tamise, s’avère aussi cruel qu’atypique. Doigts disloqués, lèvres découpées, cadavre transpercé d’une baïonnette et entouré de dix-sept bougies éteintes dans le sang… Tout évoque un rituel glaçant qui place d’emblée ce crime loin des mobiles habituels.
Tandis que sa femme Hester essaie d’aider un homme surgi de son passé qui se trouve mêlé à l’affaire, Monk tente de pénétrer la petite communauté hongroise londonienne, repliée sur elle-même. Et alors que le premier meurtre rituel se mue en une série terriffiante, il va lui falloir combattre la défiance, l’hostilité et les menaces de ceux qu’il est censé protéger.
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EAN : 9782823856804
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823856804
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Kaetxa 31/10/2023
    Monk et Esther, son épouse, sont confrontés à des crimes terribles commis dans la communauté hongroise de Londres. Des hommes sauvagement assassinés, entourés de bougies trempées dans leur sang et mutilés. Seraient-ce des crimes racistes ? Les londoniens commencent à voir d'un très mauvais œil ces émigrés et à vouloir s'en prendre à eux. Une enquête, comme toujours, qui dépeint bien l'Angleterre victorienne, avec ses communautés qui se côtoient, tout en se regardant avec suspicion et en se faisant porter la responsabilité les unes sur les autres. Il faut bien des coupables !
  • nanouche 21/04/2023
    A Londres, en 1870, un membre de la petite communauté hongroise est assassiné d'une manière sauvage et avec une mise en scène qui peut laisser penser à un rituel. Comme le lieu du crime se situe sur les docks c'est le commandant Monk de la brigade fluviale qui est chargé de l'enquête. Bientôt d'autres meurtres ont lieu avec le même modus operandi et frappant toujours des Hongrois. L'assassin fait-il partie des immigrés ou faut-il voir dans cette série de crimes une conséquence de la xénophobie ambiante ? L'enquête ne m'a guère convaincue. Pendant la majeure partie du roman la police erre sans trouver le moindre indice puis, au dernier moment, une découverte inattendue permet de dénouer l'affaire. Le mobile m'a paru assez peu crédible. J'ai mieux apprécié les histoires personnelles des protagonistes. Esther, la femme de Monk, ancienne infirmière durant la guerre de Crimée, retrouve des gens dont elle fut proche et qu'elle avait perdus de vue depuis de nombreuses années. Scuff, enfant des rues recueilli par Esther et William, est maintenant un jeune homme, apprenti en médecine. Leurs histoires permettent de redonner du rythme et de l'intérêt au roman. Sinon les questionnement moraux des personnages, que j'avais appréciés autrefois chez Anne Perry, m'apparaissent maintenant comme répétitifs et parfois même artificiels. Et peut-être le sont-ils en effet devenus.A Londres, en 1870, un membre de la petite communauté hongroise est assassiné d'une manière sauvage et avec une mise en scène qui peut laisser penser à un rituel. Comme le lieu du crime se situe sur les docks c'est le commandant Monk de la brigade fluviale qui est chargé de l'enquête. Bientôt d'autres meurtres ont lieu avec le même modus operandi et frappant toujours des Hongrois. L'assassin fait-il partie des immigrés ou faut-il voir dans cette série de crimes une conséquence de la xénophobie ambiante ? L'enquête ne m'a guère convaincue. Pendant la majeure partie du roman la police erre sans trouver le moindre indice puis, au dernier moment, une découverte inattendue permet de dénouer l'affaire. Le mobile m'a paru assez peu crédible. J'ai mieux apprécié les histoires personnelles des protagonistes. Esther, la femme de Monk, ancienne infirmière durant la guerre de Crimée, retrouve des gens dont elle fut proche et qu'elle avait perdus de vue depuis de nombreuses années. Scuff, enfant des rues recueilli par Esther et William, est maintenant un jeune homme, apprenti en médecine. Leurs histoires permettent de redonner du rythme et de l'intérêt au roman. Sinon les questionnement moraux des personnages, que j'avais appréciés autrefois chez Anne...
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  • cmpf 25/07/2021
    Dans ce tome, c'est la communauté hongroise de Londres qui est au centre. Monk et Hooper sont appelés sur le lieu d’un crime particulièrement sanglant et étrange. L’homme a été transpercé par une baïonnette, les doigts disloqués, 17 bougies dont 2 violettes ont été trempées dans le sang. Est-ce un rituel ? La victime semblait sans histoire. La plupart des Hongrois maîtrisant mal l’Anglais, Monk se fait aider par celui qui a trouvé le cadavre. Mais bientôt ce meurtre devient le premier d’une série où seule la baïonnette est remplacée par d’autres armes. Par ailleurs, Scuff qui travaille avec le docteur Crow rencontre Herbert Fitzherbert, un médecin qui a œuvré avec Hester en Crimée et qu’elle avait laissé pour mort sur le champ de bataille. Il a passé assez longtemps en Hongrie pour en maîtriser la langue et n’est revenu en Angleterre que depuis six mois. Mais il est traumatisé et perd parfois conscience de ce qu'il fait. Est-ce lui le coupable ? J’ai toujours plaisir à lire Anne Perry.
  • ArlieRose 21/10/2020
    Une série que je suis et je ne saurais trop recommander de la lire dans l'ordre puisque l'on y retrouve les mêmes personnages, surtout que l'un d'eux qui a perdu la mémoire à la suite d'un accident de la circulation la retrouve peu à peu. On découvre ici Londres à la fin du XIXe siècle, les milieux de la médecine (avec une ancienne infirmière en Crimée), de la police et des tribunaux. Les quartiers pauvres de la ville sont bien décrits. Chaque histoire est différente par le type de crime et l'on rencontre chaque fois de nouveaux personnages, ici la communauté hongroise. J'avoue que je me prends chaque fois au jeu et que les cent dernières pages défilent à toute vitesse car je veux savoir la fin. Jamais déçue.
  • miriam 17/11/2018
    Meurtre en écho est le 23ème opus de la série "William Monk" dont j'ai peut être lu des livres autrefois sans en garder un souvenir précis. J'évite de lire plusieurs romans de ces séries avec personnages récurrents, à la suite, de peur de me lasser. Les fréquentes allusions aux romans précédents destinées aux fans de Monk ne m'ont pas dérangée. L'évocation du Londres victorien de 1865, cosmopolite mais pas toujours tolérant, des quartiers pauvres au bord de la Tamise, est très réussie. Thé de rigueur. Morale victorienne étriquée parfois et préjugés Le souvenir de la Guerre de Crimée est très prégnant. Hester, la femme de Monk, est une disciple de Florence Nightingale, elle exerçait dans l'hôpital de Scutari et a vu mourir les soldats de leurs blessures, parfois mais aussi de la gangrène qui se mettait dans des plaies sans gravité, du choléra, du tétanos....Dans le roman, deux médecins et Scuff - fils adoptif de Monk et Hester - apprenti-médecin exercent leur art et sauvent des cas pratiquement désespéré. Le récit des soins est précis et intéressant.  Autre thème évoqué : le syndrome post-traumatique : l'un des médecins laissé pour mort à Scutari se relève par miracle mais il perd la tête à la suite d'horribles cauchemars. Dix ans plus tard, il en est encore hanté.  Ce contexte rend le roman tout à fait intéressant.  Il n'en est pas de même de l'enquête qui piétine pendant les trois quart du roman et qui se résout comme par enchantement au cours d'un procès très vivement narré.  A lire donc pour la reconstitution du Londres Victorien! Meurtre en écho est le 23ème opus de la série "William Monk" dont j'ai peut être lu des livres autrefois sans en garder un souvenir précis. J'évite de lire plusieurs romans de ces séries avec personnages récurrents, à la suite, de peur de me lasser. Les fréquentes allusions aux romans précédents destinées aux fans de Monk ne m'ont pas dérangée. L'évocation du Londres victorien de 1865, cosmopolite mais pas toujours tolérant, des quartiers pauvres au bord de la Tamise, est très réussie. Thé de rigueur. Morale victorienne étriquée parfois et préjugés Le souvenir de la Guerre de Crimée est très prégnant. Hester, la femme de Monk, est une disciple de Florence Nightingale, elle exerçait dans l'hôpital de Scutari et a vu mourir les soldats de leurs blessures, parfois mais aussi de la gangrène qui se mettait dans des plaies sans gravité, du choléra, du tétanos....Dans le roman, deux médecins et Scuff - fils adoptif de Monk et Hester - apprenti-médecin exercent leur art et sauvent des cas pratiquement désespéré. Le récit des soins est précis et intéressant.  Autre thème évoqué : le syndrome post-traumatique : l'un des médecins laissé pour mort à Scutari se relève par miracle mais il perd la tête à la...
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