Miracle à Speedy Motors

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• Lecteur_75015 03/02/2021

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  Premier roman que je lis de cette série ! J#x2019adore l#x2019auteur et je suis content de le lire loin de l#x2019Ecosse : son style voyage très bien ! J#x2019ai lu ce roman en une journée pendant mes vacances : un rayon de soleil dans la sinistrose ambiante. Je lirai d#x2019autres tomes.
• Norlane 03/09/2019

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  J'ai rencontré Mma Ramotswe, détective privé au Botswana, il y a un peu plus d'un an avec Les larmes de la girafe, qui est en fait sa 2e aventure. Ma critique de Miracle à Speedy Motors, 9e aventure dans la série, est sensiblement la même. C'est drôle et charmant, une chronique feel-good de la vie : les enquêtes sans crimes ni violences, au milieu des dilemmes et complications (de "faut-il croire un médecin qui dit pouvoir faire un miracle contre rémunération pour une petite fille en fauteuil ?" à "que doit-on faire avec un grand lit à tête en forme de cœur en velours ?"), sont un prétexte à descriptions d'un pays africain aimé par l'auteur et petites réflexions. Ai-je envie de me précipiter sur les autres aventures, là tout de suite, dans la foulée ? Non. Mais c'est bon comme un moment passé autour d'une tasse de thé, ou un cappuccino, tranquille.
• celosie77 21/01/2018

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  Mma Ramotswe doit retrouver la famille d'une jeune-femme qui a été adoptée petite mais qui n'a plus aucun papier ni aucun parent, sa mère adoptive ayant révélé ce secret sur son lit de mort. Par où commencer lorsqu'on a aucun indice ? Comme toujours, Mma Ramotswe va trouver le fil sur lequel doucement tirer pour faire aboutir son enquête. Mais d'autres soucis la préoccupent, notamment son mari, M.JLB.Matekoni, qui s'est mis en tête qu'un remède miracle pourrait rendre à leur fille l'usage de ses jambes. Cet épisode est particulièrement réussi : les personnages gagnent en épaisseur, on s'y attache de plus en plus, et les histoires des uns et des autres s'entrecroisent avec un grand naturel. J'aime le rythme lent, celui de l'Afrique, j'aime retrouver Mma Ramotswe avec sa gentillesse et son humanité qui ne juge jamais les gens, leur trouve toujours des circonstances atténuantes et sait profiter de ce qu'elle a. J'aime aussi les personnages secondaires : la secrétaire caractérielle, les apprentis fainéants, les clients hauts en couleur, l'amie autoritaire qui abuse de la gentillesse de JLB.Matekoni et je finis même par aimer le Botswana, où je n'ai jamais mis les pieds.
• Seska 05/11/2014

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  Que dire ? Hé bien Mma Precius Ramotswe est toujours identique à elle même, une femme de constitution traditionnelle (très traditionnelle même.... ) avec beaucoup de bon sens, et une grande gentillesse pour ne pas dire bonté naturelle. Nous voyons comment ses relations avec ses enfants adoptifs s'approfondissent et deviennent plus chaleureuses. Precius qui bien des années auparavant a perdu sa petite fille (elle n'a vécu que quelques jours), se rend compte qu'elle a suffisamment d'amour pour prendre le risque d'aimer ces enfants qui lui ont été en quelque sorte imposés par Rra JLB Matekoni (lui-même "forcé" par la directrice de l'orphelinat... ). On ne peut rien lui refuser à cette femme ! Mma Ramotswe est bien occupée : Elle doit découvrir qui lui envoie des lettres anonymes, chercher une famille pour une femme ayant récemment découvert qu'elle a été adoptée, et essayer de mettre du bon sens dans la tête de Mma Makutsi, (et ça c'est dur....). Comme dans tous les autres tomes, nous avons une histoire tranquille, reposante (si, si, on ne le dirait pas comme ça mais si !), avec de l'humour, et même un petit mystère.
• Fanvin54 26/01/2014

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  C'est toujours un vrai plaisir que de reprendre la route du Botswana et de lire les "aventures" de Mma Ramotswe...et pourtant, il ne s'y passe pas grand-chose (dans cet opus, Mma Ramotswe mène l'enquête pour retrouver la famille d'une jeune femme, mais tente aussi d'élucider une histoire de lettres anonymes adressées à l'agence de détectives). Malgré tout, c'est un vrai bonheur en raison des personnages, tous pleins d'humanisme et de bon sens. Mma Ramotswe incarne bien entendu cette bonté, et nous rappelle la nécessité d'apprécier les moments simples que la vie nous apporte : "il fallait prendre le temps d'être humains, de profiter d'une vision comme celle-ci : un garçon qui chassait les fourmis, une terre desséchée qui s'abreuvait enfin, des oiseaux dans le ciel, un arc-en-ciel".