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Shanghai Club
Date de parution : 19/05/2011
Éditeurs :
Robert Laffont

Shanghai Club

Date de parution : 19/05/2011

L’aventure et l’amour à l’autre bout du monde…
La grande saga d’une famille française dans la « Babylone de l’Asie » à la fin du XIXe siècle

 

En 1870, la toute jeune concession française de Shanghai ne compte qu’une centaine de négociants, entrepreneurs, missionnaires, employés des Messageries maritimes et fonctionnaires du consulat. Trois fois moins que la... En 1870, la toute jeune concession française de Shanghai ne compte qu’une centaine de négociants, entrepreneurs, missionnaires, employés des Messageries maritimes et fonctionnaires du consulat. Trois fois moins que la concession anglaise qui lui fait face. Autant de chances, pour un aventurier déterminé, d’y faire fortune.
Tel est le rêve de...
En 1870, la toute jeune concession française de Shanghai ne compte qu’une centaine de négociants, entrepreneurs, missionnaires, employés des Messageries maritimes et fonctionnaires du consulat. Trois fois moins que la concession anglaise qui lui fait face. Autant de chances, pour un aventurier déterminé, d’y faire fortune.
Tel est le rêve de Charles Esparnac lorsqu’il se lance dans le commerce de toutes les marchandises – soie, thé, porcelaines… – dont raffole l’Europe. Très vite, Charles accumule les succès et se retrouve à la tête d’un petit empire. Pour asseoir sa position, il ne lui reste plus qu’à prendre femme et fonder une famille. C’est ainsi qu’un jour de 1871, Olympe de Crozes quitte ses Cévennes natales et embarque à Marseille pour le rejoindre. Sans rien connaître de son futur époux ni de ce pays lointain et mystérieux…
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EAN : 9782221126417
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782221126417
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • brigaldufenec 19/08/2013
    A l'autre bout du monde, il y a Shanghaï, il y a la chine, pays mystérieux, interdit en 1870 aux blancs. La vie de Charles Esparnac se déroule cahotique, chargée d'aventures. Il ne recule devant rien et ne laisse personne lui dicter ce qu'il doit faire. C'est ainsi qu'il fait venir de France Olympe qui ne connait ni son futur mari ni ce pays lointain. C'est la saga de cette famille française qui intègre très vite les coutumes locales. C'est aussi l'histoire, la vie de cette enclave particulière du bout du monde . Très beau livre.
  • LunaZione 11/11/2012
    L'histoire en elle-même n'est ni simple, ni compliquée. Shanghai Club fait parti de ce genre de livre que l'on ne croise pas souvent, auquel on n'est pas vraiment habitué. Un peu déstabilisant pour ceux qui découvre ce genre pour la première fois mais follement passionnant et d'autant plus que l'on connait bien le genre. On parle d'aventures qui nous sont dorénavant impossibles, d'une culture qui n'est pas la notre mélangée à la "bienséance européenne". On parle de trafics, de pirates, de "méchants", d'économie, de commerce. On parle de vengeance, de coups bas, de catastrophes naturelles, de chantage. On parle de sentiments, de jalousie, de maisons closes, d'enfants, d'amour. Jacques Baudouin nous parle de tout et de rien dans Shanghai Club, ça aurait pu être un point faible, mais c'est fait avec tellement de talent que ça en devient un point fort. Ce n'est pas un livre choquant, il ne fait pas non plus peur. J'aurais pu lire Shanghai Club en primaire et je ne pense pas que mon avis en aurait été différent. Shanghai Club alterne les passages racontés par "Olympe" et ceux par Charles. C'est très enrichissant, ça casse une monotonie qui aurait pu s'installer, mais bon du coup, on a pas vraiment de suspense. C'est un peu dommage, mais ça ne m'a pas dérangée dans ma lecture. "Olympe" et Charles sont vraiment deux personnages très forts, de ceux qu'on ne croise que dans les livres. Ils sont attachants, avec un fort caractère : ce sont totalement le genre de personne auxquelles on voudrait ressembler. Mais bon, des fortes personnalités comme ces deux-là, on en croise pas souvent dans la vraie vie malheureusement... Cependant c'est ça qui fait la saveur surnaturelle du livre ! Joseph et Marie-Thérèse, ainsi que Lian sont également des personnages très attachants mais dans des styles différents. Joseph et Marie-Thérèse ont un côté parents-poules assez surprenant surtout chez cet homme aussi difficile en affaire. Quand à Lian, c'est le personnage le plus difficile à cerner dans l'histoire (de mon point de vue) : elle en a bavé, on ne sait pratiquement rien de ses sentiments, on en doute, mais je pense que pas mal de filles auraient agi de la même manière si elles s'étaient retrouvée à sa place. Elle fait les choses qu'elle doit faire.... En bref, si vous rêver d'aventures, de contrées étrangères éloignées, lisez Shanghai Club de Jacques Baudouin, vous ne serez pas déçus ! L'histoire en elle-même n'est ni simple, ni compliquée. Shanghai Club fait parti de ce genre de livre que l'on ne croise pas souvent, auquel on n'est pas vraiment habitué. Un peu déstabilisant pour ceux qui découvre ce genre pour la première fois mais follement passionnant et d'autant plus que l'on connait bien le genre. On parle d'aventures qui nous sont dorénavant impossibles, d'une culture qui n'est pas la notre mélangée à la "bienséance européenne". On parle de trafics, de pirates, de "méchants", d'économie, de commerce. On parle de vengeance, de coups bas, de catastrophes naturelles, de chantage. On parle de sentiments, de jalousie, de maisons closes, d'enfants, d'amour. Jacques Baudouin nous parle de tout et de rien dans Shanghai Club, ça aurait pu être un point faible, mais c'est fait avec tellement de talent que ça en devient un point fort. Ce n'est pas un livre choquant, il ne fait pas non plus peur. J'aurais pu lire Shanghai Club en primaire et je ne pense pas que mon avis en aurait été différent. Shanghai Club alterne les passages racontés par "Olympe" et ceux par Charles. C'est très enrichissant, ça casse une monotonie qui aurait pu s'installer, mais bon du coup, on a pas...
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  • denisdubois 21/08/2011
    Cet ouvrage remarquablement bien écrit et documenté appelle (du moins on peut l'espérer...) une suite offrant aux lecteurs la possibilité de poursuivre une saga familiale dont Jacques Baudoin a décrit dans ce premier tome la vie romanesque et aventureuse. Je dois avouer avoir eu du mal à rentrer dans ce roman dont l'intrigue et le dénouement apparaissent tellement classiques, faute sans doute de ne pas avoir suffisamment décrit la complexité des différents personnages mis en scène à l'exception d'Elise, épouse de Charles et de son associé chinois Joseph. L'ouvrage aurait mérité plus de profondeur. Malgré tout le rythme reprenant de la vigueur dans la deuxième partie du roman fit que finalement sa lecture s'avère passionnante Formulons le souhait que le tome suivant - s'il existe - soit plus dense et plus vivant.
  • brigittelascombe 25/06/2011
    Jacques a dit : Shangaï, vole! Et Shangaï, l'éblouissante, a émergé au fil des pages de ce cinquième roman de Jacques Baudoin, écrivain et éditeur chez Lattes. Oh rien d'enfantin dans ce monde du passé sillonné de jonques et de chaises à porteur. Si peut être, le rêve d'enfant de l'auteur, celui de connaitre la Chine, celle dont ses grands parents avaient installé les merveilleuses porcelaines dans leur magasin d'art chinois. Shangaï, dernièrement saluée par le monde entier lors de l'exposition universelle, a toujours fait couler beaucoup d'encre, elle a inspiré de nombreux écrivains comme Claudel, Saint John Perse et Malraux. Dans "Shangaï club", dont le titre est tiré du nom de l'hotel où se réunissaient les européens en 1870 (date du récit), c'est une Shangaï à l'ancienne au charme désuet, ancienne concession française sur les rives du fleuve Huangpu, où les français, certains français, entreprenants et courageux, ont bâti leur richesse. Thé, riz, porcelaines, le marché chinois s'ouvre alors au commerce international! Charles Esparnac, le héros de Jacques Baudoin, beau, ambitieux, aventurier dans l'âme, a quitté son Périgord, pour la Chine, puis lieutenant démobilisé après la prise de Pékin, il va devenir une sorte de corsaire que Joseph Li, commerçant hors pair mettra en contact avec moult fournisseurs mais qui affrontera les pirates comme au temps de Barberousse. Aventure et amour bien sûr pour parfaire ce voyage exotique aux parfums d'épices, d'encens et de jasmin. L'amour c'est la belle Olympe de Crozes qui, téméraire, quitte tout, sa Charente et sa famille, pour l'épouser sans jamais l'avoir vu. Un beau livre et une page d'histoire à découvrir. Autres moeurs, autre époque où les marchés conclus et les fortunes se défaisaient parfois aussi vite qu'ils ne s'étaient faits.Jacques a dit : Shangaï, vole! Et Shangaï, l'éblouissante, a émergé au fil des pages de ce cinquième roman de Jacques Baudoin, écrivain et éditeur chez Lattes. Oh rien d'enfantin dans ce monde du passé sillonné de jonques et de chaises à porteur. Si peut être, le rêve d'enfant de l'auteur, celui de connaitre la Chine, celle dont ses grands parents avaient installé les merveilleuses porcelaines dans leur magasin d'art chinois. Shangaï, dernièrement saluée par le monde entier lors de l'exposition universelle, a toujours fait couler beaucoup d'encre, elle a inspiré de nombreux écrivains comme Claudel, Saint John Perse et Malraux. Dans "Shangaï club", dont le titre est tiré du nom de l'hotel où se réunissaient les européens en 1870 (date du récit), c'est une Shangaï à l'ancienne au charme désuet, ancienne concession française sur les rives du fleuve Huangpu, où les français, certains français, entreprenants et courageux, ont bâti leur richesse. Thé, riz, porcelaines, le marché chinois s'ouvre alors au commerce international! Charles Esparnac, le héros de Jacques Baudoin, beau, ambitieux, aventurier dans l'âme, a quitté son Périgord, pour la Chine, puis lieutenant démobilisé après la prise de Pékin, il va devenir une sorte de corsaire que Joseph Li, commerçant hors pair...
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  • Plumeline 28/05/2011
    Shanghai club est une invitation au voyage vers des horizons lointains et mystérieux. La plume de Jacques Baudouin nous dévoile avec aisance les ruelles de cette grande ville. Il est facile de se laisser emporter sur une jonque dans les flots dangereux du Yangzi, de se promener dans la concession française ou encore de longer les Quais de France. Et si Shanghai et le Grand Fleuve sont des protagonistes importants de ce roman, c’est aussi parce qu’ils sont le centre de la vie de nos deux personnages principaux. Ils sont le point d’ancrage où leurs destins vont se révéler. Mais si j’ai apprécié l’écriture poétique de l’auteur, il m’a été difficile de rentrer dans l’histoire. Le personnage de Charles est difficilement accessible alors que c’est avec lui que l’on débarque dans le port français de Shanghai. Par ailleurs, certaines passages foisonnent de détails qui peuvent donner l’impression de ne pas avancer dans la trame. Idée qui est renforcée par les nombreuses références au passé de Charles. Bien sûr, cela offre de la profondeur à l’intrigue et au personnage mais rendent parfois la lecture laborieuse. Et puis, Shanghai Club est annoncé comme une saga familiale. Or, une grande partie de ce roman est consacré à nos deux héros. L’erreur me revient probablement car je ne pensais pas à ce roman comme le début d’une possible trilogie ce qui semble être le cas après quelques recherches sur Internet. C’est pourquoi si j’avais l’impression de découvrir une Shanghai si superbe dans ses contradictions, j’ai longtemps gardé la sensation de rester sur le seuil de la porte. Je pouvais regarder l’intérieur avec beaucoup de clarté, deviner le crépuscule sur le « Grand Fleuve », entrer dans le Shanghai Club, parcourir les ruelles sales et emplies de mendiants de la ville chinoise ou encore sentir la moiteur d’une chaude journée tout en dégustant une tasse de thé sans réussir à prendre part à l’aventure. Et cela sans pouvoir l’expliquer complétement. Et puis, la magie a opéré. L’intrigue s’est complexifiée et une parcelle d’intérêt m’a donné envie d’en savoir davantage. Et soudain, j’ai pu franchir le seuil et vivre la saga familiale comme je l’attendais. Je regrette simplement que cela ait pris du temps. (...)Shanghai club est une invitation au voyage vers des horizons lointains et mystérieux. La plume de Jacques Baudouin nous dévoile avec aisance les ruelles de cette grande ville. Il est facile de se laisser emporter sur une jonque dans les flots dangereux du Yangzi, de se promener dans la concession française ou encore de longer les Quais de France. Et si Shanghai et le Grand Fleuve sont des protagonistes importants de ce roman, c’est aussi parce qu’ils sont le centre de la vie de nos deux personnages principaux. Ils sont le point d’ancrage où leurs destins vont se révéler. Mais si j’ai apprécié l’écriture poétique de l’auteur, il m’a été difficile de rentrer dans l’histoire. Le personnage de Charles est difficilement accessible alors que c’est avec lui que l’on débarque dans le port français de Shanghai. Par ailleurs, certaines passages foisonnent de détails qui peuvent donner l’impression de ne pas avancer dans la trame. Idée qui est renforcée par les nombreuses références au passé de Charles. Bien sûr, cela offre de la profondeur à l’intrigue et au personnage mais rendent parfois la lecture laborieuse. Et puis, Shanghai Club est annoncé comme une...
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