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Un Espion ne dort jamais
Date de parution : 16/10/2014
Éditeurs :
Robert Laffont

Un Espion ne dort jamais

Date de parution : 16/10/2014

La plus grosse affaire d’espionnage depuis les écoutes de la NSA.
Saint-Pétersbourg, octobre 2013. Un transfuge des services secrets russes est exfiltré vers l’Ouest au cours d’une opération de la...

La plus grosse affaire d’espionnage depuis les écoutes de la NSA.
Saint-Pétersbourg, octobre 2013. Un transfuge des services secrets russes est exfiltré vers l’Ouest au cours d’une opération de la CIA. Ses révélations sont explosives pour les États-Unis et leurs alliés. Que cachent-elles ?
Barbara Coleridge, numéro 3 de la CIA,...

La plus grosse affaire d’espionnage depuis les écoutes de la NSA.
Saint-Pétersbourg, octobre 2013. Un transfuge des services secrets russes est exfiltré vers l’Ouest au cours d’une opération de la CIA. Ses révélations sont explosives pour les États-Unis et leurs alliés. Que cachent-elles ?
Barbara Coleridge, numéro 3 de la CIA, ne peut le découvrir sans l’aide de Théo Zeldner, ex-agent des services spéciaux, qui s’était pourtant juré de ne plus jamais revenir dans le grand jeu des espions.
Dans un contexte international chaque jour plus tendu, la redoutable entreprise de déstabilisation qui menace les grands pays occidentaux fait déjà des dégâts. Premier visé, le gouvernement français, au bord du chaos…
Pour Barbara et Théo, la course contre la montre a commencé.

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EAN : 9782221140284
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782221140284
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • fredbologsen 02/09/2021
    Un roman de politique fiction plutôt qu'un thriller, et dont je me suis méfié à cause des superlatifs et autres phrases dithyrambiques sur la couverture et la 4 ème de couv. Surtout quand on a été un fan de Robert Ludlum (Le cercle bleu des Matarèse, La mémoire dans la peau et Jason Bourne, la Mosaïque Persifal......), de Frédérick Forsyth, voire Jack Higgins. Certes il y a de l'action, certes, mais souvent un peu trop prévisible, et certaines scènes sont quelque peu éloignées du réel: j'ai un peu de mal à croire que le couple d'agents constitué de Barbara Cooleridge et de Théo Zeldner, arrive à remonter sur les taupes du FSB à Paris, uniquement en installant quelques ordinateurs dans leur appartement parisien provisoire; que certaines informations ne soient divulguées à l'autorité que 48h plus tard; ou qu' une mise en cause ne soit pas véritablement étayée par des faits concrets, probants. L'histoire se déroule comme on attend qu'elle doit se dérouler, sans véritable surprise. Par contre, j'ai apprécié les "liens" entre différents protagonistes, les "états d'âme" -qui n'en sont pas touours- les non-dits, les chausse-trappes verbales et autres, les "retombées" sur leurs pattes de certains des personnages. Et là, on sent le vécu de l'auteur. Je lirai "Le silence des vivants" dès que possible.Un roman de politique fiction plutôt qu'un thriller, et dont je me suis méfié à cause des superlatifs et autres phrases dithyrambiques sur la couverture et la 4 ème de couv. Surtout quand on a été un fan de Robert Ludlum (Le cercle bleu des Matarèse, La mémoire dans la peau et Jason Bourne, la Mosaïque Persifal......), de Frédérick Forsyth, voire Jack Higgins. Certes il y a de l'action, certes, mais souvent un peu trop prévisible, et certaines scènes sont quelque peu éloignées du réel: j'ai un peu de mal à croire que le couple d'agents constitué de Barbara Cooleridge et de Théo Zeldner, arrive à remonter sur les taupes du FSB à Paris, uniquement en installant quelques ordinateurs dans leur appartement parisien provisoire; que certaines informations ne soient divulguées à l'autorité que 48h plus tard; ou qu' une mise en cause ne soit pas véritablement étayée par des faits concrets, probants. L'histoire se déroule comme on attend qu'elle doit se dérouler, sans véritable surprise. Par contre, j'ai apprécié les "liens" entre différents protagonistes, les "états d'âme" -qui n'en sont pas touours- les non-dits, les chausse-trappes verbales et autres, les "retombées" sur leurs pattes de certains des personnages. Et là, on...
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  • ROUMANOFFBE 16/04/2015
    Apprêtez-vous à passer à nouveau un bon moment avec nos deux personnages principaux, on se croirait dans un bon film d'action - espionnage comme je les aime. Le rythme vous tient au fil des pages, la lecture est facile et agréable, et vous voulez vraiment savoir qui est la taupe, mais pour ça, il faudra aller jusqu'au bout du livre :-)
  • Mome35 04/11/2014
    Ancien membre de différents cabinets ministériels, Jacques Baudouin s’est mis à l’écriture de romans d’espionnage avec un certain succès. Dans « le silence des vivants » on assiste à la résurrection d’un ex-agent (tueur) des services secrets, retiré dans un cloître depuis 19 ans et extrait de sa vie monacale pour enquêter dans le Nord-Kivu (Congo) où des ressortissants français ont été assassinés. Théo Zeldner, laissé pour mort, à la fin du récit, retrouve dans « un espion ne meurt jamais » Barbara Coleridge, la seule femme qu’il ait jamais aimé et numéro 3 de la CIA. Dans ce nouvel opus, l’auteur revisite la guerre froide avec des ingrédients qui semblaient éculés. Un membre éminent du SVR (l’ex-KGB) est exfiltré de Russie vers les Etats-Unis. Ses déclarations provoquent des dégats tant à la CIA que dans le gouvernement français gangrèné de l’intérieur par des renégats devenus de fidèles informateurs de la nouvelle Russie. Ce thriller n’invente rien de ce qu’ont déjà pondu, Fleming, De Villiers, Forsythe… ou autres et leurs héros, qu’il s’agisse notamment des récurrents Bond ou Malko Linge (SAS), mais il est intéressant par son contenu, le parallèle amoureux qui unit Théo et Barbara, les dessous de l’Elysée où Jacques Baudouin caricature des proches du Président et portraitise celui-ci avec justesse. Même s’il s’agit d’un melting-pot reprenant des affaires antérieures : Georges Pâques, Charles Hernu, Pierre Bérégovoy ou François de Grosrouvre, ce roman d’espionnage, un genre désormais trop négligé des auteurs français, se lit avec curiosité sinon attirance. Ancien membre de différents cabinets ministériels, Jacques Baudouin s’est mis à l’écriture de romans d’espionnage avec un certain succès. Dans « le silence des vivants » on assiste à la résurrection d’un ex-agent (tueur) des services secrets, retiré dans un cloître depuis 19 ans et extrait de sa vie monacale pour enquêter dans le Nord-Kivu (Congo) où des ressortissants français ont été assassinés. Théo Zeldner, laissé pour mort, à la fin du récit, retrouve dans « un espion ne meurt jamais » Barbara Coleridge, la seule femme qu’il ait jamais aimé et numéro 3 de la CIA. Dans ce nouvel opus, l’auteur revisite la guerre froide avec des ingrédients qui semblaient éculés. Un membre éminent du SVR (l’ex-KGB) est exfiltré de Russie vers les Etats-Unis. Ses déclarations provoquent des dégats tant à la CIA que dans le gouvernement français gangrèné de l’intérieur par des renégats devenus de fidèles informateurs de la nouvelle Russie. Ce thriller n’invente rien de ce qu’ont déjà pondu, Fleming, De Villiers, Forsythe… ou autres et leurs héros, qu’il s’agisse notamment des récurrents Bond ou Malko Linge (SAS), mais il est intéressant par son contenu, le parallèle amoureux qui unit Théo et Barbara, les dessous de l’Elysée...
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