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Angélique - 12. La Route de l'espoir
Date de parution : 31/08/2023
Éditeurs :
Pocket

Angélique - 12. La Route de l'espoir

Date de parution : 31/08/2023
Un classique de la littérature française !
Le vindicatif père d’Orgeval n’est plus, victime de tortures. Mais son ombre plane toujours. Le révérend père Jean de Marville révèle à Angélique ses derniers mots, la désignant responsable de sa mort.
La rumeur...
Le vindicatif père d’Orgeval n’est plus, victime de tortures. Mais son ombre plane toujours. Le révérend père Jean de Marville révèle à Angélique ses derniers mots, la désignant responsable de sa mort.
La rumeur enfle et bientôt elle est également accusée des disparitions mystérieuses de la duchesse de Maudribourg, du chevalier de Saint-Edme et du comte de...
Le vindicatif père d’Orgeval n’est plus, victime de tortures. Mais son ombre plane toujours. Le révérend père Jean de Marville révèle à Angélique ses derniers mots, la désignant responsable de sa mort.
La rumeur enfle et bientôt elle est également accusée des disparitions mystérieuses de la duchesse de Maudribourg, du chevalier de Saint-Edme et du comte de Varange...
À peine rétablie de la naissance de ses jumeaux, Angélique doit à nouveau livrer bataille. Une question demeure : si le puissant Louis XIV a pardonné à Angélique et Joffrey de Peyrac, qui se cache derrière cet acharnement à leur perte ?
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EAN : 9782266327107
Code sériel : 18716
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 688
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266327107
Code sériel : 18716
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 688
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • KrisPy 12/01/2016
    Le Révérend Père Sébastien d’Orgeval n’est plus… Torturé à mort par les Iroquois. Malgré ce fait d’importance, Angélique doute encore : et si la vindicte du jésuite ne s’éteignait pas avec lui ? Comme pour lui donner raison, un autre jésuite, le Père Marville, fait le voyage jusqu’à Salem afin de lui porter les dernières paroles du martyre : Angélique est la démone, sa présence auprès du sorcier Peyrac l’atteste. C’est à cause d’elle que d’Orgeval a été renvoyé en Iroquoisie. Et il n’oubliera jamais les dernières paroles de son ami sur le bûcher, agonisant, les yeux crevés : « C’est elle ! C’est elle ! C’est par sa faute que je meurs ! » Marville accuse, et jette son anathème : il dénoncera Angélique coûte que coûte aux autorités, il a pour se faire, les derniers écrits du R.P. d’Orgeval. De plus, qu’est-il advenu de la Duchesse de Maudribourg, du chevalier de St Elme et du comte de Varange ? Eux et leurs navires ont disparus. Angélique devra rendre des comptes, et Peyrac aussi : il fraye avec les Anglais hérétiques, se ligue avec les Iroquois, et commerce avec les Français et les Anglais… Leur présence à Salem en atteste. Angélique, à peine remise de ses couches, encaisse le coup. Mais cela attise chez elle cette crainte indéfinissable qui la suit depuis Québec : ils ne seront jamais tranquilles. La duchesse, même morte, continue de faire parler d’elle, et les hante jusque dans leur sommeil, donnant des cauchemars à la petite Honorine, qui n’était pourtant pas présente au moment des faits. Et l’ombre implacable du jésuite illuminé continuera de les poursuivre, même en enfer… Ce tome dédié à la famille, fait aussi l’état des lieux : avec un recul de deux ans, Angélique se rappelle les terribles évènements qui l’ont menée jusqu’à Salem où, par la force des choses, elle dut mettre au monde prématurément ses deux derniers enfants, des jumeaux, Gloriandre et Raymondeau de Peyrac. Délivrance qui fût terrible, pour elle et les nouveau-nés, tellement fragiles. Angélique frôle la mort, et revient, forte d’une expérience extra-corporelle. Deux femmes quakeresses, un peu sorcières, surtout amantes et guérisseuses, la soutiendront durant cette terrible épreuve. Ces deux femmes hors-norme accompagneront un temps Angélique, lui redonnant force et courage. Car toute la troupe quittera Salem, pour retourner à Gouldsboro, puis se rendre en hivernage au fort de Wapassou, où là, enfin, la famille sera en paix, pour l’hiver au moins. Mais au printemps Honorine réclamera de pouvoir rejoindre ses petites camarades au pensionnat de Ville-Marie, petite ville près de Montréal, où furent fonder les premières colonies françaises, avec sœur Marguerite Bourgeoys. Cela sera l’occasion pour Angélique de retourner visiter ses amis de Québec, et au comte de Peyrac d’aller aider les Français à contenir les partis Iroquois sur le pied de guerre aux embouchures du St. Laurent. Iroquois qui sont en guerre, rappelons-le, à cause des attaques contre eux, des Hurons et Abénakis soulevés par d’Orgeval sur les ordres de Colbert… Tome aussi dédié à la famille donc, car avec la naissance des jumeaux, vient aussi une bonne nouvelle : Angélique a retrouvé la trace de son frère Josselin, partit à 16 ans de France pour le Nouveau-Monde. Il est maintenant un gentilhomme marié à une acadienne, et a fondé famille et foyer à Ville-Marie. Mais ce qui prime dans cet opus, c’est qu’on semble enfin apercevoir le dénouement de ce complot infernal, dont on ne sait toujours pas qui l’a fomenté ni qui en est le commanditaire… pour retomber ensuite dans le mystère le plus épais… Qui en veut ainsi à Angélique si ce n’est pas le Roi ? Pourquoi cet acharnement ? Car à présent, c’est la menace d’être accusée de toutes ces disparitions (Maudribourg, Varange, St Elme... et maintenant d’Orgeval) qui pèse sur Angélique malgré l’assurance de l’amitié du Roi... Un opus dense et intense à nouveau, où tout est résumé, et où la douceur de la famille semble n’être là que pour mieux souligner la férocité du Nouveau-Monde, car Angélique a encore fort à faire pour pouvoir vivre en paix avec les siens. Lui faudra-t-il encore affronter l’implacable et tortueuse machine judiciaire ? Lui faudra-t-il encore affronter le Roi ? Et qui, mais qui à la fin, est cet espion du Roi, qui brouille les pistes, lance des rumeurs, et informe sans relâche les ennemis des Peyrac ? J’espère avoir toutes les réponses dans le prochain et dernier tome de cette incroyable saga, un peu trop vite classée « romance » par le grand public suite aux films, mais qui, ostensiblement, s'est dirigé vers le roman historique de qualité grâce au don d'Anne Golon pour les histoires et l'Histoire. A suivre… Challenge pavés 2015-16 - 635 pages.Le Révérend Père Sébastien d’Orgeval n’est plus… Torturé à mort par les Iroquois. Malgré ce fait d’importance, Angélique doute encore : et si la vindicte du jésuite ne s’éteignait pas avec lui ? Comme pour lui donner raison, un autre jésuite, le Père Marville, fait le voyage jusqu’à Salem afin de lui porter les dernières paroles du martyre : Angélique est la démone, sa présence auprès du sorcier Peyrac l’atteste. C’est à cause d’elle que d’Orgeval a été renvoyé en Iroquoisie. Et il n’oubliera jamais les dernières paroles de son ami sur le bûcher, agonisant, les yeux crevés : « C’est elle ! C’est elle ! C’est par sa faute que je meurs ! » Marville accuse, et jette son anathème : il dénoncera Angélique coûte que coûte aux autorités, il a pour se faire, les derniers écrits du R.P. d’Orgeval. De plus, qu’est-il advenu de la Duchesse de Maudribourg, du chevalier de St Elme et du comte de Varange ? Eux et leurs navires ont disparus. Angélique devra rendre des comptes, et Peyrac aussi : il fraye avec les Anglais hérétiques, se ligue avec les Iroquois, et commerce avec les Français et les Anglais… Leur présence à Salem en atteste. Angélique,...
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