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Beloved
Hortense Chabrier (traduit par), Sylviane Rué (traduit par)
Date de parution : 22/05/2008
Éditeurs :
10/18

Beloved

Hortense Chabrier (traduit par), Sylviane Rué (traduit par)
Date de parution : 22/05/2008

Inspiré d’un fait divers survenu en 1856, Beloved exhume l’horreur et la folie d’un passé douloureux. Ancienne esclave, Sethe a tué l’enfant qu’elle chérissait au nom de l’amour et de...

Inspiré d’un fait divers survenu en 1856, Beloved exhume l’horreur et la folie d’un passé douloureux. Ancienne esclave, Sethe a tué l’enfant qu’elle chérissait au nom de l’amour et de la liberté, pour qu’elle échappe à un destin de servitude. Quelques années plus tard, le fantôme de Beloved, la petite...

Inspiré d’un fait divers survenu en 1856, Beloved exhume l’horreur et la folie d’un passé douloureux. Ancienne esclave, Sethe a tué l’enfant qu’elle chérissait au nom de l’amour et de la liberté, pour qu’elle échappe à un destin de servitude. Quelques années plus tard, le fantôme de Beloved, la petite fille disparue, revient douloureusement hanter sa mère coupable. 

Loin de tous les clichés, Toni Morrison ranime la mémoire et transcende la douleur des opprimés. Prix Pulitzer en 1988, Beloved est un grand roman violent et bouleversant. 

Traduit de l’anglais (États-Unis)
par Hortense Chabrier
et Sylviane Rué

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EAN : 9782264047960
Code sériel : 2378
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 384
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264047960
Code sériel : 2378
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 384
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Entre détresse et folie de l'esclavage, Toni Morrison, écrivain noire couronnée par le prix Nobel fait entendre une musique charnelle, incantatoire, qui plonge au plus profond des racines de ses frères de couleur. »
L'étudiant

« La reconnaissance littéraire vient avec le Chant de Salomon. Le triomphe mondial ensuite avec Beloved : l'histoire horrible d'une ancienne esclave qui tue sa fille pour qu'elle ne connaisse pas le même asservissement. Cela lui vaut le prix Pulitzer en 1988, le prix Nobel de littérature en 1993. »
Annette Lévy-Willard, Libération

« Il y a des romans qui marquent la littérature et l'histoire d'un peuple. Beloved peut être considéré comme tel. L'auteure, l'Américaine toni Morrison, est reconnue pour son œuvre qui retrace l'histoire des Noirs d'Amérique. [...] Beloved est une œuvre marquante. Une de celle qu'on a envie de relire et d'entendre raconter. »
La Presse

« À travers la malédiction d'un bébé, Toni Morrison réussit à conter la folie de l'esclavage par le prisme d'un récit très vivant, puissant, où le souffle d'une langue populaire et chatoyante se mêle à une langue plus savante. »
F.J. Phosphore

« Ceux qui ont lu Beloved, son cinquième livre, classé meilleur roman américain des vingt-cinq dernières années, ne seront plus jamais les mêmes que ceux qui ne l'ont pas encore lu. Son œuvre, venue restituer à l'Amérique la mémoire, l'imaginaire et la langue de sa communauté, sonde la société contemporaine en trangressant tous les tabous.  [...] Apogée dans sa construction en cercles, dans sa langue charnelle, sombrement poétique, ce roman a pour personnage primordial... une maison, le "124". »
Le Point

« Et puis c'est le maître livre, Beloved, que Toni Morrison met six ans à élaborer, pas à cause des recherches historiques qu'elle entreprend, mais parce que la structure en est extrêmement sophistiquée, de manière à montrer comment le refoulé peut faire retour sous la forme d'un fantôme : il s'agit d'exorciser un traumatisme historique, l'esclavage, tout en se concentrant sur l'unicité d'un personnage, une femme, qui un jour a préféré tuer sa fille plutôt que de la voir retomber entre les mains de son ancien maître. »
Claire Devarrieux, Libération

« Un roman bouleversant, violent et douloureux, qui a valu à son auteur le prix Pulitzer en 1988. »
Eliane Vipois, Lire

« Le prix Pulitzer 1988 avait déjà salué ce talent, la sève de cette littérature gorgée de violence, d'effroi et de sensualité... Toni Morrison, c'est une conscience lucide, une personnalité affirmée pour qui écrire est un engagement politique à partager. »
La dépêche du dimanche

« Beloved est une inscription gravée sur une tombe : le nom d'un fantôme. Celui d'une petite fille égorgée par sa mère, une esclave noire évadée d'une plantation en 1870. Un crime commis au nom de l'amour et de la détresse pour que l'enfant ne retombe pas aux mains du maître. À travers la malédiction d'un bébé qui revient hanter sa mère, le roman de Toni Morrison conte la folie de l'esclavage bien plus puissamment que les Racines les plus noires. »
Christophe Tison, Glamour, 1990

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Lionel69 27/02/2023
    Rarement un livre m'aura offert un tel sentiment partagé. D'un côté la puissance d'un récit. Une violence de toutes natures que l'on ressent en soi. Un sujet qui nous montre, sans mauvais jeu de mots déplacé, toute la noirceur possible de l'être humain. D'un autre, un récit façon patchwork d'un paragraphe à un autre qui m'a laissé la plupart du temps dubitatif et totalement perdu. Je suis du reste incapable de dresser un "tableau" clair du drame et de sa genèse. Il est ainsi fort probable que je sois passé totalement à côté de faits importants, perdu que j'étais dans son histoire. Je ne peux malgré tout que conseiller ce roman pour la puissance de ces mots qui ne peut nous laisser indifférent. Peut être serez vous plus réceptif au style de Toni M. Bonne lecture à vous.
  • la_cath_a_strophes 18/12/2022
    Résumé sur jaquette : Le 124 était habité de malveillance. Imprégné de la malédiction d'un bébé..." À Bluestone Road, près de Cincinnati, vers 1870, les meubles volent, la lumière allume au sol des flaques de sang, des gâteaux sortent du four marqués de l'empreinte d'une petite main de bébé. Dix-huit ans après son acte de violence et d'amour maternel, Sethe l'ancienne esclave et les siens sont encore hantés par le souvenir de la petite fille de deux ans qu'elle a égorgée. Jusqu'au jour où une inconnue "Beloved" , arrivée mystérieusement au 124, donne enfin à cette mère hors-la-loi la possibilité d'exorciser son passé. Parce que pour ceux qui ont tout perdu, la rédemption ne vient pas du souvenir, mais de l'oubli. Mon avis : Il ne s'agit pas uniquement d'une histoire d'infanticide, mais d'un amour si fort, qu'il conduit une mère à égorger sa fillette afin qu'elle ne connaisse pas les affres de l'esclavage. C'est un roman sublime qui dénonce l'horrible sort des esclaves, la condition des noirs et la privation des libertés. Ce fut ma première rencontre avec Toni MORRISON, qui mêle un peu de magie et de sorcellerie dans ce roman. Une histoire qui vous hante et ne vous lâche plus. Une œuvre exceptionnelle. À... Résumé sur jaquette : Le 124 était habité de malveillance. Imprégné de la malédiction d'un bébé..." À Bluestone Road, près de Cincinnati, vers 1870, les meubles volent, la lumière allume au sol des flaques de sang, des gâteaux sortent du four marqués de l'empreinte d'une petite main de bébé. Dix-huit ans après son acte de violence et d'amour maternel, Sethe l'ancienne esclave et les siens sont encore hantés par le souvenir de la petite fille de deux ans qu'elle a égorgée. Jusqu'au jour où une inconnue "Beloved" , arrivée mystérieusement au 124, donne enfin à cette mère hors-la-loi la possibilité d'exorciser son passé. Parce que pour ceux qui ont tout perdu, la rédemption ne vient pas du souvenir, mais de l'oubli. Mon avis : Il ne s'agit pas uniquement d'une histoire d'infanticide, mais d'un amour si fort, qu'il conduit une mère à égorger sa fillette afin qu'elle ne connaisse pas les affres de l'esclavage. C'est un roman sublime qui dénonce l'horrible sort des esclaves, la condition des noirs et la privation des libertés. Ce fut ma première rencontre avec Toni MORRISON, qui mêle un peu de magie et de sorcellerie dans ce roman. Une histoire qui vous hante et ne vous lâche plus. Une œuvre exceptionnelle. À lire avec du chocolat chaud et des tartines de pain beurrées. Mon compte Instagram : @la_cath_a_strophes
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  • Laveze 20/09/2022
    BELOVED de TONI MORRISON Sethe vit avec sa fille Denver dans une maison qui semble hantée. Elles sont seules depuis la mort de Baby Suggs la belle mère et le départ de ses deux fils. L’arrivée de Paul D.Garner connu à Bon Abri 18 ans plus tôt va faire progressivement remonter à la surface les confidences de Sethe. On apprend ainsi qu’elle a épousé Hall, fils de Baby Suggs et qu’il lui avait racheté sa liberté. Paul désormais installé avec Sethe continue de raconter la plantation, la famille Garner, plutôt bienveillante avec les esclaves, la mort du maître et le changement radical avec l’arrivée du maître d’école. Denver découvre la vie de sa mère et un jour, au retour d’une foire, devant la maison se tient une jeune femme malade, Beloved. A partir de là Denver va apprendre la vie de Sethe, son départ de Bon Abri et surtout, Beloved. On est dans l’Ohio, après la guerre de sécession Morrison évoque l’infanticide pour éviter l’esclavage, preuve d’amour absolue, le style qu’elle développe laisse la place à l’imagination du lecteur, tout n’est pas explicite et à chacun de combler les vides. Morrison admirait Faulkner et on retrouve souvent son influence, ce... BELOVED de TONI MORRISON Sethe vit avec sa fille Denver dans une maison qui semble hantée. Elles sont seules depuis la mort de Baby Suggs la belle mère et le départ de ses deux fils. L’arrivée de Paul D.Garner connu à Bon Abri 18 ans plus tôt va faire progressivement remonter à la surface les confidences de Sethe. On apprend ainsi qu’elle a épousé Hall, fils de Baby Suggs et qu’il lui avait racheté sa liberté. Paul désormais installé avec Sethe continue de raconter la plantation, la famille Garner, plutôt bienveillante avec les esclaves, la mort du maître et le changement radical avec l’arrivée du maître d’école. Denver découvre la vie de sa mère et un jour, au retour d’une foire, devant la maison se tient une jeune femme malade, Beloved. A partir de là Denver va apprendre la vie de Sethe, son départ de Bon Abri et surtout, Beloved. On est dans l’Ohio, après la guerre de sécession Morrison évoque l’infanticide pour éviter l’esclavage, preuve d’amour absolue, le style qu’elle développe laisse la place à l’imagination du lecteur, tout n’est pas explicite et à chacun de combler les vides. Morrison admirait Faulkner et on retrouve souvent son influence, ce n’est pas toujours d’une approche aisée mais c’est un roman fort qui mérite l’effort de lecture. Prix Pulitzer 1988.
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  • Marti94 03/08/2022
    Ce roman considéré comme un chef-d'oeuvre me met dans une situation délicate car je le trouve difficile à lire. J'étais pourtant très motivée par la lecture de « Beloved » de Toni Morrison où une fille vient hanter sa mère qui l'a tuée toute petite plutôt que de la voir esclave. La construction est assez complexe avec différents récits qui s'entremêlent et des retours en arrière. Le thème de l'esclavage et de l'aliénation des humains est traité avec une grande originalité mêlant le fantastique à la dure réalité. Mais dès le début du roman on est dérouté. Vers la fin du 19ème siècle, Sethe et sa fille Denver sont seules après la mort de la grand-mère Baby Suggs qui était une femme respectée, esclave rachetée grâce au travail de son fils Halle à l'époque du Bon Abri. Libre, elle s'était installée au 124 rejoint par sa belle-fille et Denver qui venait de naitre. Cette maison, tout le monde l'évite car elle est hantée par le fantôme de la petite fille de deux ans que Sethe a tuée durant sa fuite. Quand Paul D, ancien esclave, les retrouve, il s'installe avec Sethe et aussitôt le petit fantôme disparait. Survient alors une mystérieuse... Ce roman considéré comme un chef-d'oeuvre me met dans une situation délicate car je le trouve difficile à lire. J'étais pourtant très motivée par la lecture de « Beloved » de Toni Morrison où une fille vient hanter sa mère qui l'a tuée toute petite plutôt que de la voir esclave. La construction est assez complexe avec différents récits qui s'entremêlent et des retours en arrière. Le thème de l'esclavage et de l'aliénation des humains est traité avec une grande originalité mêlant le fantastique à la dure réalité. Mais dès le début du roman on est dérouté. Vers la fin du 19ème siècle, Sethe et sa fille Denver sont seules après la mort de la grand-mère Baby Suggs qui était une femme respectée, esclave rachetée grâce au travail de son fils Halle à l'époque du Bon Abri. Libre, elle s'était installée au 124 rejoint par sa belle-fille et Denver qui venait de naitre. Cette maison, tout le monde l'évite car elle est hantée par le fantôme de la petite fille de deux ans que Sethe a tuée durant sa fuite. Quand Paul D, ancien esclave, les retrouve, il s'installe avec Sethe et aussitôt le petit fantôme disparait. Survient alors une mystérieuse jeune fille qui dit s'appeler Beloved. Denver est heureuse d'avoir une amie même si elle comprend qu'il s'agit de sa soeur défunte. Malheureusement je n'ai pas retrouvé la puissance narrative de « Home » même si Toni Morrison aborde la question de l'esclavage par la voix des esclaves et anciens esclaves, surtout des femmes. Elle décrit les séquelles physiques et surtout psychologiques de l'aliénation et l'impossible oubli de leur condition d'esclaves, réduits pendant des années à l'état d'animal. Mais au-delà de tous ses aspects déterminants, il me semble qu'il s'agit aussi d'un roman sur la condition des Noirs américains. Alors pourquoi cette construction si complexe qui oblige le lecteur à centrer ses efforts sur l'assemblage du texte pour ne pas perdre le fil de l'histoire et qui empêche parfois de voir l'essentiel. Je regrette d'être passée à côté de certains passages. Challenge Multi-défis 2022 Challenge XXème siècle 2022 Challenge XXème siècle illimité Challenge Nobel illimité
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  • Celise 26/07/2022
    Qu'il est difficile de chroniquer une telle œuvre, primée, largement plébiscitée, multi-chroniquée et devenue un véritable classique ! Ceci ne vaut que pour mon humble avis, un ressenti tout subjectif et je reconnais toutes les qualités que l'on prête à ce livre. Je ne veux détourner personne de cette lecture par ma critique qui va être en demi-teinte car les défauts que j'y ai trouvés seront peut être les qualités que d'autres auront appréciées. On se retrouve au lendemain de la Guerre de Sécession. Sethe, une ancienne esclave qui a réussi à échapper à sa servitude, vit recluse dans une maison hantée, au sens propre comme au figuré, par le souvenir d'un acte impardonnable commis 18 ans plus tôt alors que son ancien propriétaire était venue la récupérer. Ce roman est tiré d'un fait divers (tout de même assez différent après vérification), ce qui lui confère toute sa force. On y retrouve toute la violence concernant l'esclavage, et en ce sens, je l'ai bien sûr trouvé poignant et d'une justesse incroyable, à la fois cruel sans trop en faire, mais aussi sensible dans l'évocation de la condition des esclaves. Malheureusement, j'ai eu énormément de mal à rentrer dans l'histoire. Je n'ai pas vraiment compris... Qu'il est difficile de chroniquer une telle œuvre, primée, largement plébiscitée, multi-chroniquée et devenue un véritable classique ! Ceci ne vaut que pour mon humble avis, un ressenti tout subjectif et je reconnais toutes les qualités que l'on prête à ce livre. Je ne veux détourner personne de cette lecture par ma critique qui va être en demi-teinte car les défauts que j'y ai trouvés seront peut être les qualités que d'autres auront appréciées. On se retrouve au lendemain de la Guerre de Sécession. Sethe, une ancienne esclave qui a réussi à échapper à sa servitude, vit recluse dans une maison hantée, au sens propre comme au figuré, par le souvenir d'un acte impardonnable commis 18 ans plus tôt alors que son ancien propriétaire était venue la récupérer. Ce roman est tiré d'un fait divers (tout de même assez différent après vérification), ce qui lui confère toute sa force. On y retrouve toute la violence concernant l'esclavage, et en ce sens, je l'ai bien sûr trouvé poignant et d'une justesse incroyable, à la fois cruel sans trop en faire, mais aussi sensible dans l'évocation de la condition des esclaves. Malheureusement, j'ai eu énormément de mal à rentrer dans l'histoire. Je n'ai pas vraiment compris l'intérêt d'intégrer un aspect surnaturel dans le récit. A ce moment, l'auteure a commencé à me perdre. Personnellement, cela m'a perturbée dans ma lecture et a brouillé ma compréhension. J'ai trouvé que cela surchargeait inutilement l'histoire qui avait déjà suffisamment de force et d'intensité à elle seule sans en rajouter. De ce fait, les réactions des personnages m'ont semblées parfois un peu artificielles, décalées et pas très naturelles. J'ai également eu beaucoup de mal à suivre et comprendre les réactions des personnages, à comprendre où l'auteur voulait en venir. La lecture m'a semblée chaotique sur le coup et demandait réel effort. Au final, j'écris cette critique alors que j'ai fini le livre depuis quelques jours et je commence à mieux saisir la vision d'ensemble de l'auteure: ne pas faciliter la tâche du lecteur pour mieux faire ressortir la souffrance inhérente à son œuvre. Brillant, mais inconfortable pour le lecteur. Je comprends donc sans problème que Beloved soit devenu un classique de la littérature traitant de la période de l'esclavage. Malheureusement, je n'ai pas adhéré aux choix littéraires de l'auteure même si j'en reconnais le talent.
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