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À Paraître
BIG GIRL
Valentine Leÿs (traduit par)
Date de parution : 14/08/2024
Éditeurs :
Pocket
En savoir plus
9.00 €
À paraître le 14/08/2024
À Paraître

BIG GIRL

Valentine Leÿs (traduit par)
Date de parution : 14/08/2024
Le poids du corps incarne-t-il le poids du cœur ?
Malaya, huit ans, soixante-seize kilos. Sa mère s'obstine à la traîner chaque semaine à des réunions Weight Watchers qu'elle déteste.
Partout, son corps hors norme est montré du doigt et considéré comme un...
Malaya, huit ans, soixante-seize kilos. Sa mère s'obstine à la traîner chaque semaine à des réunions Weight Watchers qu'elle déteste.
Partout, son corps hors norme est montré du doigt et considéré comme un problème. À la maison, les femmes de sa famille lui font subir une pression étouffante. Sur les bancs de son école...
Malaya, huit ans, soixante-seize kilos. Sa mère s'obstine à la traîner chaque semaine à des réunions Weight Watchers qu'elle déteste.
Partout, son corps hors norme est montré du doigt et considéré comme un problème. À la maison, les femmes de sa famille lui font subir une pression étouffante. Sur les bancs de son école pour riches Blancs de l'Upper East Side ou dans le Harlem tumultueux des années 1990, Malaya Clondon doit supporter les discriminations physiques et sociales. La petite fille grandit au rythme du hip-hop sans parvenir à satisfaire la faim qui la tenaille. Il lui faut apprendre à nommer ses désirs et à défier les injonctions d'une féminité qui n'a pas été pensée pour elle.
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EAN : 9782266345071
Code sériel : 19484
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 432
Format : 108 x 177 mm
Pocket
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9.00 €
À paraître le 14/08/2024
EAN : 9782266345071
Code sériel : 19484
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 432
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« D’une beauté déchirante, Big Girl est une lettre d’amour triomphale aux filles noires qui se voient projetées trop tôt dans le monde des femmes…»
The New York Times

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Fillalavanille 20/04/2024
    J'ai bien aimé ce roman assez introspectif mais pas ennuyeux, sur la jeunesse (difficile) d'une jeune fille noire obèse aux Etats-Unis. Sujet original, et d'autant plus personnel que l'autrice s'est inspirée de sa propre histoire, je crois. Plein d'émotion et pas gnangnan du tout.
  • MilleetunepagesLM 07/03/2024
    Le commentaire de Lynda : Un roman qui se passe à Harlem, c’est la petite Malaya que nous allons suivre, 8 ans, 76 kilos, on voit clairement qu’elle souffre d’obésité morbide, ce qui n’est pas très courant chez une enfant de cet âge, c’est assez évident, qu’elle a un problème majeur. Dès cet âge, sa mère la traîne de force chez les Weight Watchers et la harcèle avec son poids et son apparence. Mais il n’y a pas que sa mère, ses tantes, à l’école également elle est le souffre-douleur des autres enfants. Malaya n’a qu’une seule chose en tête et c’est de manger, je crois sincèrement que plus on la pousse à ne pas manger, plus elle veut manger, même quand elle assiste aux fameuses réunions, elle n’a qu’une chose en tête et c’est de manger. Malaya souffre de ne pas être vu, en effet non, on ne la voit pas, on voit son poids, on ne voit pas ses talents, on voit son poids, on ne voit pas qu’elle aime ses parents, Neyla et Percy, non, on voit ce corps obèse, presque difforme, et on la plaint. Certains la regardent avec dégoût, sa famille avec tristesse, comment peut-on grandir correctement dans ces conditions. Plus elle est blessée, plus elle veut manger, se levant même la nuit pour voler de la nourriture et se gaver, ou encore voler des sous dans le portefeuille de sa mère, pour s’acheter tout ce qui peut se manger. Mais la petite fille grandit, devient une adolescente, avec les mêmes problèmes, il ne faut pas oublier que les problèmes d’obésité se combinent avec le fait qu’elle est noire, et doit aussi vivre avec le racisme, la ségrégation, elle qui a fréquenté une école à majorité blanche. J’ai adoré la petite fille, même si à certains moments, j’aurais eu envie de la brasser un peu, d’essayer de lui faire comprendre les dangers qui la guettent. C’est un premier roman pour cette auteure, il est vraiment bien écrit, je dois vous dire, qu’au début, on lit un roman, et puis petit à petit, on s’attache à cette petite fille, qui prend de plus en plus de place dans notre cœur, et même si cette lecture n’a pas été un coup de cœur, je peux vous dire qu’elle frappe, que ce soit à cause de Malaya, sa famille, où encore quand elle se promène dans Harlem. Une plume très visuelle, alors on voit, on comprend et on espère pour cette petite fille.Le commentaire de Lynda : Un roman qui se passe à Harlem, c’est la petite Malaya que nous allons suivre, 8 ans, 76 kilos, on voit clairement qu’elle souffre d’obésité morbide, ce qui n’est pas très courant chez une enfant de cet âge, c’est assez évident, qu’elle a un problème majeur. Dès cet âge, sa mère la traîne de force chez les Weight Watchers et la harcèle avec son poids et son apparence. Mais il n’y a pas que sa mère, ses tantes, à l’école également elle est le souffre-douleur des autres enfants. Malaya n’a qu’une seule chose en tête et c’est de manger, je crois sincèrement que plus on la pousse à ne pas manger, plus elle veut manger, même quand elle assiste aux fameuses réunions, elle n’a qu’une chose en tête et c’est de manger. Malaya souffre de ne pas être vu, en effet non, on ne la voit pas, on voit son poids, on ne voit pas ses talents, on voit son poids, on ne voit pas qu’elle aime ses parents, Neyla et Percy, non, on voit ce corps obèse, presque difforme, et on la plaint. Certains la regardent avec dégoût, sa famille avec tristesse, comment peut-on grandir correctement dans ces conditions. Plus...
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  • Angel12 05/01/2024
    Portrait poignant d'une jeune afro-américaine souffrant d'obésité morbide, qui grandit à Harlem dans les années 90. Le livre débute par son enfance alors qu'elle assiste à des réunions Weight Watchers avec sa mère et qu'elle subit l'attention cruelle de ses camarades et de sa grand-mère. Malaya doit faire face à tant de choses : son surpoids, sa sexualité, l'éloignement croissant de ses parents et l'embourgeoisement de son quartier. Elle trouve une échappatoire dans la musique hip hop à mesure qu'elle découvre The Notorious B.I.G. surnommé à l'époque Biggie Small. C'est un récit sur le passage à l'âge adulte, sur la façon dont la famille affecte nos choix et notre vision de nous-même.
  • trinity816 20/12/2023
    Coup de cœur pour ma part. Mecca Jamilah Sullivan nous démontre dans son roman que malgré certains préjugés, nous pouvons changer et faire avancer le monde. Malaya, fillette de huit ans, a des problèmes d' "obésité morbide". De plus, elle habite Harlem, un quartier où drogues et fusillades sont des lots quotidiens. Elle est élevée par ses deux parents qui ont pourtant de bons postes. Mais ils sont "africains-américains" (je cite les mots de l'auteure). Dans la seconde partie de ce livre, nous retrouvons Malaya à quinze ans. Les premiers émois et la découverte de sa sexualité, même si malheureusement, elle est encore et toujours en "obésité morbide". Sa meilleure amie, Shaniece, va maigrir et devenir magnifique et Malaya va le prendre comme une trahison. Elle s'apercevra qu'elle éprouve également autre chose à son égard. Puis, un évènement va transformer la vision qu'a Malaya de la vie, et la chrysalide va muer en joli papillon. Bref, ce livre démontre que la société n'est pas tendre avec tout le monde, quelle que soit son ethnie, sa corpulence, etc... J'ai été très agréablement surprise de découvrir la plume de cette auteure et je pense que je la suivrais dorénavant. Merci à Mecca Jamilah Sullivan et aux éditions PLON pour ce coup de cœur ! Coup de cœur pour ma part. Mecca Jamilah Sullivan nous démontre dans son roman que malgré certains préjugés, nous pouvons changer et faire avancer le monde. Malaya, fillette de huit ans, a des problèmes d' "obésité morbide". De plus, elle habite Harlem, un quartier où drogues et fusillades sont des lots quotidiens. Elle est élevée par ses deux parents qui ont pourtant de bons postes. Mais ils sont "africains-américains" (je cite les mots de l'auteure). Dans la seconde partie de ce livre, nous retrouvons Malaya à quinze ans. Les premiers émois et la découverte de sa sexualité, même si malheureusement, elle est encore et toujours en "obésité morbide". Sa meilleure amie, Shaniece, va maigrir et devenir magnifique et Malaya va le prendre comme une trahison. Elle s'apercevra qu'elle éprouve également autre chose à son égard. Puis, un évènement va transformer la vision qu'a Malaya de la vie, et la chrysalide va muer en joli papillon. Bref, ce livre démontre que la société n'est pas tendre avec tout le monde, quelle que soit son ethnie, sa corpulence, etc... J'ai été très agréablement surprise de découvrir la plume de cette auteure et je pense que je la suivrais dorénavant. Merci à Mecca Jamilah Sullivan et aux éditions PLON...
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  • LudivineBon 10/12/2023
    Malaya est une fillette puis une jeune fille attachante, mais elle ne correspond pas aux codes avec son surpoids, ses pulsions alimentaires et sa couleur de peau. L'autrice porte sur la jeune Malaya un regard tantôt dur, tantôt tendre, mais toujours juste car elle cumule les discriminations. Le lecteur ressent une réelle empathie pour elle, car ce qu'elle vit est révoltant, mais on a parfois aussi envie de la sermonner. On assiste aux déchirements de sa famille dont le bagage génétique n'est déjà pas favorable pour la fillette. La question de l'obésité morbide est au coeur de toutes les discussions puis devient une préoccupation majeure. En dehors de la menue liberté que lui procure le hip-hop, pas de répit pour Malaya qui ne pense qu'à manger, même en cachette, envers et contre tout. Il ne m'aura fallu que deux soirées pour lire ce beau pavé tant ce roman social est prenant. On y découvre la vie à New-York, plus précisément à Harlem, dans les années 90, avec toutes ses difficultés, ses tentations alimentaires à chaque coin de rue, le sort réservé aux personnes noires puis la dictature des apparences. Dans ce foisonnant roman, on découvre aussi les émotions de Malaya, sa grande détresse psychologique, sa profonde solitude face aux humiliations, aux jugements et enfin sa culpabilité et sa honte. Heureusement, Malaya grandit, s'épanouit et découvre progressivement qu'apparence ne rime pas forcément toujours avec souffrance... J'ai vraiment trouvé cette histoire très crédible et les personnages attachants. L'autrice s'est en grande partie inspirée de sa propre vie pour écrire roman touchant et d'une grande justesse.Malaya est une fillette puis une jeune fille attachante, mais elle ne correspond pas aux codes avec son surpoids, ses pulsions alimentaires et sa couleur de peau. L'autrice porte sur la jeune Malaya un regard tantôt dur, tantôt tendre, mais toujours juste car elle cumule les discriminations. Le lecteur ressent une réelle empathie pour elle, car ce qu'elle vit est révoltant, mais on a parfois aussi envie de la sermonner. On assiste aux déchirements de sa famille dont le bagage génétique n'est déjà pas favorable pour la fillette. La question de l'obésité morbide est au coeur de toutes les discussions puis devient une préoccupation majeure. En dehors de la menue liberté que lui procure le hip-hop, pas de répit pour Malaya qui ne pense qu'à manger, même en cachette, envers et contre tout. Il ne m'aura fallu que deux soirées pour lire ce beau pavé tant ce roman social est prenant. On y découvre la vie à New-York, plus précisément à Harlem, dans les années 90, avec toutes ses difficultés, ses tentations alimentaires à chaque coin de rue, le sort réservé aux personnes noires puis la dictature des apparences. Dans ce foisonnant roman, on découvre aussi les émotions de Malaya,...
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