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Nouveauté
Comment j'ai tué mon père
Anne Plantagenet (traduit par)
Date de parution : 01/02/2024
Éditeurs :
Pocket
Nouveauté

Comment j'ai tué mon père

Anne Plantagenet (traduit par)
Date de parution : 01/02/2024
Lorsque le chagrin devient une force et la reconstruction un cri universel. 
À onze ans, Sara Jaramillo Klinkert perd son père, avocat colombien, assassiné par un tueur à gages. Rien ne sera plus comme avant. La petite fille privilégiée, élevée par des... À onze ans, Sara Jaramillo Klinkert perd son père, avocat colombien, assassiné par un tueur à gages. Rien ne sera plus comme avant. La petite fille privilégiée, élevée par des parents aimants, est soudain obligée de quitter l'enfance. L'autrice remonte le fleuve de ses souvenirs pour affronter ses traumatismes et... À onze ans, Sara Jaramillo Klinkert perd son père, avocat colombien, assassiné par un tueur à gages. Rien ne sera plus comme avant. La petite fille privilégiée, élevée par des parents aimants, est soudain obligée de quitter l'enfance. L'autrice remonte le fleuve de ses souvenirs pour affronter ses traumatismes et ceux de ses frères. Lui reviennent l'odeur capiteuse du manguier qui trônait dans le jardin, le crépitement des galettes de maïs de sa mère, la cabane aux longues branches construite par son père, transformant le chagrin en force, la reconstruction et la résilience en un cri universel.
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EAN : 9782266339056
Code sériel : 19237
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 192
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266339056
Code sériel : 19237
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 192
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Une subtile photographie d’une époque, d’un lieu et d’une famille qui va éclater. Sans que cela soit pesant, on entend sous les mots de l’autrice l’effervescence de Medellín. »
Arts Libres (Belgique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • reves_de_lecture 20/03/2024
    Salut tout le monde aujourd’hui je vous parle de ce petit roman ! #x1f338Comme c’est un roman autobiographique il est très compliqué de faire un avis dessus, on ne peut pas jurer la vie de quelqu’un et encore moins ses sentiments alors je vais me contenter de parler de la structure et de l’écriture #x1faf6 #x1f338Déjà l’histoire de Sara est très touchante et elle est très courageuse d’avoir livré ainsi une partie si difficile de sa vie #x1f338 #x1f338En ce qui concerne le roman en tant que tel j’avoue avoir eu du mal à suivre à cause de la narration, l’intrigue est très décousue, passant du présent au passé puis du passé proche au passé lointain etc, j’étais pas mal perdue #x1f605 #x1f338De plus la fin m’a laissée très perplexe, sur les derniers chapitres on change de narrateur, on rencontre des gens pour pas grand chose etc enfin je n’ai vraiment pas compris…c’est dommage car globalement le roman est bien écrit avec une plume assez poétique #x1f343 #x1f338Je pense que ce roman est avant tout fait pour les adeptes d’autobiographies, chose que je ne suis pas ahah ! #x1f338Par contre je n’ai pas compris le titre #x1f605 ~Il vous tente ? Citation : « Quand quelqu’un meurt, on a tendance à s’accrocher aux souvenirs, à rassembler les fragments. C’est une lutte permanente contre l’oubli, qu’il est impossible de gagner. Le temps passe, telle une tempête arrachant tout ce qui n’est pas très solide. Et même ce qui paraît le plus solide est menacé de disparition. » #xNaNCollaboration commerciale non rémunérée#xNaN Salut tout le monde aujourd’hui je vous parle de ce petit roman ! #x1f338Comme c’est un roman autobiographique il est très compliqué de faire un avis dessus, on ne peut pas jurer la vie de quelqu’un et encore moins ses sentiments alors je vais me contenter de parler de la structure et de l’écriture #x1faf6 #x1f338Déjà l’histoire de Sara est très touchante et elle est très courageuse d’avoir livré ainsi une partie si difficile de sa vie #x1f338 #x1f338En ce qui concerne le roman en tant que tel j’avoue avoir eu du mal à suivre à cause de la narration, l’intrigue est très décousue, passant du présent au passé puis du passé proche au passé lointain etc, j’étais pas mal perdue #x1f605 #x1f338De plus la fin m’a laissée très perplexe, sur les derniers chapitres on change de narrateur, on rencontre des gens pour pas grand chose etc enfin je n’ai vraiment pas compris…c’est dommage car globalement le roman est bien écrit avec une plume assez poétique #x1f343 #x1f338Je pense que ce roman est avant tout fait pour les adeptes d’autobiographies, chose que je ne suis pas ahah ! #x1f338Par contre je n’ai pas compris le titre #x1f605 ~Il vous tente ? Citation : « Quand quelqu’un meurt, on a tendance...
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  • Ifeelbooks 10/03/2024
    Et si pour définitivement tuer son père il fallait simplement lui redonner vie à travers les pages d'un livre pour rendre sa mort plus acceptable ? Dire que j'ai "aimé" ce livre sonne particulier quand on connaît l'histoire qu'il raconte (autobiographie romancée). Je vous dirais donc je l'ai trouvé intelligemment écrit. On retrouve entre ces lignes la crainte qui colle à la peau de l'autrice, petite fille. On y retrouve le goût amer de tout qui s'effondre sans que l'on ne puisse rien y faire, les murs qui s'effritent, le sol qui tremble. Et le courage qu'il faut, celui qu'on a bien malgré nous pour continuer à dire "ça va aller", puisque finalement... y a-t-il autre chose à faire ? Un roman un cathartique particulièrement réussi.
  • Stelphique 18/02/2024
    « Elle a dit que le soleil reviendrait, que les arbustes pousseraient et deviendraient encore plus grands que le goyavier tombé. » C’est fou ce qu’on peut dire parfois. C’est fou ce qu’on peut dire quand nous sommes persuadés que le jour d’après sera identique à celui d’avant…Or la vie est ainsi, elle efface les mots plein de certitudes. Le soleil n’est pas revenu. Leur père non plus. Le ciel leur est tombé dessus et leur a laissé l’absence. Il est vrai que les arbres ont continué de pousser, mais l’odeur de pourriture des fruits gâtés est resté dans l’air. Le chagrin a dû se partager en 6. Six façons de s’habituer au deuil. De la mère qui s’efforce de nier la douleur, aux frères qui sombrent dans une addiction ou une autre, ou de la grande sœur qui se bat pour rétablir un peu d’ordre dans ce chaos: chacun gère comme il peut, le traumatisme. Et pourtant, ils s’efforcent d’avancer…Maladroitement, de travers, lentement, avec courage. Et dans ces graines de souvenirs que l’autrice nous offre, des fleurs s’épanouissent, des arbres s’enracinent, des forêts naissent…Tout est beau dans cette résilience. Cette famille a dû faire face à une perte dévastatrice mais cette enfant, avec son rire et son amour, maintient le foyer…Autant qu’elle peut, autant qu’elle le pourra…Mais le chagrin est comme une balle lancée au vent, on ne peut prévoir les dommages collatéraux…. « Tu vois, le temps est relatif. Le temps existe seulement parce que nous l’inventons. » C’est certainement la phrase qui m’a le plus percutée. Tout dans ce livre est bouleversant. La tendresse, l’amour, le deuil, les trajectoires brisées. Mais ce temps existe. Il existe dans ces pages, dans le cœur de Sara, dans cette famille endeuillée. Il existe dans le jardin, dans les confidences aux orchidées, entre les murs de cette maison. Il existe parce que lorsqu’il vient en nos mains. À chaque page tournée, lue, appréciée, il se réinvente en nos imaginaires. Je voyais le goyavier, les fourmis, le lapin, les chauves-souris, les colibris. Je voyais la nuit, le manque, la douleur. J’imaginais la confiture, le sirop, la pâte de goyave…Je m’en délectais. Tout existait, et si vous grattiez, autour de ce titre énigmatique -Comment j’ai tué mon père- il se pourrait que les graines d’amour laissées par l’autrice, se remettent à fleurir par vos yeux humides… « Si le bonheur existait, il ressemblait à cet instant. »« Elle a dit que le soleil reviendrait, que les arbustes pousseraient et deviendraient encore plus grands que le goyavier tombé. » C’est fou ce qu’on peut dire parfois. C’est fou ce qu’on peut dire quand nous sommes persuadés que le jour d’après sera identique à celui d’avant…Or la vie est ainsi, elle efface les mots plein de certitudes. Le soleil n’est pas revenu. Leur père non plus. Le ciel leur est tombé dessus et leur a laissé l’absence. Il est vrai que les arbres ont continué de pousser, mais l’odeur de pourriture des fruits gâtés est resté dans l’air. Le chagrin a dû se partager en 6. Six façons de s’habituer au deuil. De la mère qui s’efforce de nier la douleur, aux frères qui sombrent dans une addiction ou une autre, ou de la grande sœur qui se bat pour rétablir un peu d’ordre dans ce chaos: chacun gère comme il peut, le traumatisme. Et pourtant, ils s’efforcent d’avancer…Maladroitement, de travers, lentement, avec courage. Et dans ces graines de souvenirs que l’autrice nous offre, des fleurs s’épanouissent, des arbres s’enracinent, des forêts naissent…Tout est beau dans cette résilience. Cette famille a dû faire face à une perte dévastatrice mais cette enfant,...
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  • la_bouquinerie_d_emilie 15/02/2024
    Je referme ce roman le coeur serré et chargée d'émotion.. cet hommage est d'une grande douceur et écrit avec beaucoup de bienveillance et de poésie. Comme une ôde à la nature, on y croise la passion dévorante de cette mère pour les plantes, les souvenirs qui nous hantent et cette résilience qu'il faut surpasser. Universel, je pense qu'il peut toucher tout un chacun et nous rappeler qu'il faut vivre chaque instant comme si c'était le dernier car nous ne savons pas de quoi demain sera fait.. car malgré de profondes racines et un gros tronc, rien ne dure éternellement..
  • gromit33 20/01/2023
    Un titre percutant et une belle couverture pour ce texte qui va nous emmener à Medellin, en Colombie. La narratrice-auteure va nous raconter comment sa vie de jeune fille de onze ans va basculer quand son père va être assassiné par un tueur à gages. Et comment sa famille heureuse va basculer dans le deuil et comment chacun va essayer de surmonter ce malheur. Un texte très personnel et très sensible de la part de cette fille aînée. « J’ai encore du mal à croire qu’à peine trente-cinq grammes d’acier et un gramme de poudre aient pu détruire une famille. Je l’atteste pourtant. Ils ont détruit la mienne ». Elle décrit très bien les sentiments de chacun, les non dits, les ressentis de chacun des membres de la famille : que ce soit sa mère, qui va tenter de rester digne, debout et qui va aider à aller de l'avant, avec le leitmotiv "çà va aller". La narratrice va raconter avec beaucoup de sensibilité, de délicatesse, d'humour, les dommages collatéraux de cet assassinat au sein de la famille. Elle va parler avec beaucoup de subtilité des ses frères, les triplés qui chacun à sa façon va essayer de surmonter ce drame. Un très beau et touchant portrait de l'un des jumeaux qui va tomber dans la violence, les drogues et que la famille ne réussira pas à sauver. Elle nous parle de sentiments très personnels, de souvenirs heureux avant le drame, de cette grande maison avec sa flore abondante, l'insouciance de l'enfance, broyée par ce drame. "Il fallait que nous soyons forts, invincibles, durs, très durs, pour qu'aucune balle ne puisse nous traverser." (p70) Elle va nous narrer les moyens que chacun va tenter de trouver pour aller de l'avant "Ce sont le soleil, l'eau et la littérature qui nous ont toujours donné de meilleurs conseils." Et un bel hommage à la littérature et les livres à lire et à écrire qui vont la sauver. "Si j'ai renoncé à l'idée de mourir, c'est seulement parce que les morts ne peuvent pas lire. Plus je lisais, plus je prenais conscience de tous les ouvrages que je n'avais pas encore lu. C'était infini, il me faudrait mille vies pour y arriver. Les livres m'ont sauvée." (p75). Un texte bouleversant, intime mais qui fait aussi du bien car il parle de résilience, d'acceptation du drame. Il y a aussi beaucoup d'humour dans ce texte et en particulier, la gestion quotidienne de 4 enfants et de triplés. Sa mère aurait presque besoin d'un permis de transport scolaire pour emmener les enfants à l'école, une liste d'excuses pour les retards à l'école. Puis elle va nous parler de sa vie d'adolescence, de jeune femme et de ses rapports aux autres, aux hommes. Un très beau texte, très personnel et nous ne saurons pas pourquoi son père, avocat, a été assassiné mais cela en fait aussi un texte universel sur les dégâts collatéraux d'assassinat. Une très belle traduction d'Anne Plantagenet, qui nous permet de voir ce jardin, de sentir les odeurs des plats. Malgré un sujet si intime et difficile, je vous conseille la lecture de cet texte. #Commentjaituémonpère #NetGalleyFranceUn titre percutant et une belle couverture pour ce texte qui va nous emmener à Medellin, en Colombie. La narratrice-auteure va nous raconter comment sa vie de jeune fille de onze ans va basculer quand son père va être assassiné par un tueur à gages. Et comment sa famille heureuse va basculer dans le deuil et comment chacun va essayer de surmonter ce malheur. Un texte très personnel et très sensible de la part de cette fille aînée. « J’ai encore du mal à croire qu’à peine trente-cinq grammes d’acier et un gramme de poudre aient pu détruire une famille. Je l’atteste pourtant. Ils ont détruit la mienne ». Elle décrit très bien les sentiments de chacun, les non dits, les ressentis de chacun des membres de la famille : que ce soit sa mère, qui va tenter de rester digne, debout et qui va aider à aller de l'avant, avec le leitmotiv "çà va aller". La narratrice va raconter avec beaucoup de sensibilité, de délicatesse, d'humour, les dommages collatéraux de cet assassinat au sein de la famille. Elle va parler avec beaucoup de subtilité des ses frères, les triplés qui chacun à sa façon va essayer de surmonter ce drame. Un...
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