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Crime et Châtiment
Victor Derely (traduit par)
Date de parution : 07/06/2018
Éditeurs :
Pocket

Crime et Châtiment

Victor Derely (traduit par)
Date de parution : 07/06/2018
LES GRANDS TEXTES DU XIXe SIÈCLE

Été 1865, Saint-Pétersbourg. Écrasé par la pauvreté, le jeune Raskolnikoff doit abandonner ses études. Arpentant la ville, désorienté, il se croit appelé à un grand...
LES GRANDS TEXTES DU XIXe SIÈCLE

Été 1865, Saint-Pétersbourg. Écrasé par la pauvreté, le jeune Raskolnikoff doit abandonner ses études. Arpentant la ville, désorienté, il se croit appelé à un grand avenir et, dédaigneux de la loi morale, fomente le meurtre de sa logeuse, une vieille usurière. Mais en réalisant ce...
LES GRANDS TEXTES DU XIXe SIÈCLE

Été 1865, Saint-Pétersbourg. Écrasé par la pauvreté, le jeune Raskolnikoff doit abandonner ses études. Arpentant la ville, désorienté, il se croit appelé à un grand avenir et, dédaigneux de la loi morale, fomente le meurtre de sa logeuse, une vieille usurière. Mais en réalisant ce « songe monstrueux », il sombre : les conséquences de son acte le rongent. Jusqu’à ce qu’il finisse par se rendre et accepter la condamnation, seule voie de rédemption pour lui.
Œuvre majeure de la littérature russe, Crime et Châtiment est le roman de la déchéance humaine, Raskolnikoff son témoin incarné. Écrivain de la conscience et du doute, Dostoïevski offre, avec cette plongée troublante dans la psyché d'un criminel, une vibrante réflexion sur la dualité de l’Homme, son mystère, et les possibles lueurs de son salut.

Traduit du russe par Victor Derély

@ Disponible chez 12-21
L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE

 
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EAN : 9782266286121
Code sériel : 17245
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 752
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266286121
Code sériel : 17245
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 752
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Angy16 11/04/2024
    Synthèse de Crime et Châtiment : Raskolnikov, personnage principal, est un ancien étudiant qui a dû interrompre ses études par manque d’argent. Rêveur solitaire, Raskolnikov rejette la morale collective. Il se considère comme un homme hors du commun et veut éprouver les limites de sa liberté par la pratique du mal et la transgression de l’ordre moral. Il va jusqu’à se considérer en droit de commettre un délit, et même de tuer, pour le bien de l’humanité, au nom d’un dessein supérieur. Mais son acte ne se déroule pas comme prévu : il tue l’usurière, mais il assassine aussi sa sœur. Raskolnikov ressemble alors de plus en plus aux autres, à ceux qui obéissent à la morale commune, la morale d’obéissance, et qu’il méprise pour cette raison. Entre temps, il rencontre Sonia, une jeune prostituée, qui lui est dévouée : Sonia vend son corps pour faire face à leur misère. Raskolnikov confesse son crime à Sonia, qui le pousse à se livrer à la police. Il est condamné à la déportation en Sibérie.
  • damelazare 11/04/2024
    Comme beaucoup de lecteurs, je m'identifie à Rodion Romanovitch Raskolnikov : je suis souvent animée par le désespoir, fréquemment sujette aux évanouissements, parfois animée par des illusions de grandeur et, surtout, perpétuellement à court d'argent. Heureusement pour moi, la comparaison s'arrête ici, pile là où les problèmes de Raskolnikov (à savoir, un double assassinat à la hache) commencent. Difficile de trouver de nouvelles choses à dire au sujet de Crimes et Châtiments. Le roman est tragique, mais aussi amusant parfois, notamment grâce à ses dialogues incroyablement vivants ; la ville et la vie sont sinistres, et occasionnellement frappées par la grâce ; les personnages sont mal-intentionnés, pour la plupart, quand d'autres font preuve d'une imperturbable douceur, d'un dévouement sans équivoque. Religion, culpabilité, rédemption, existentialisme : si le roman s'attaque aux grandes thématiques métaphysiques, il emprunte aussi parfois la structure inattendue du roman policier, et ne s'embarrasse jamais d'un style trop ampoulé qui rendrait la réflexion peut-être un peu trop complexe pour les lecteurs les moins rôdés. A ce titre, tout lecteur peut trouver son compte dans cet ouvrage exceptionnel.
  • CosmoRallice 08/04/2024
    Mon premier roman de Dostoïevski, ça a été une énorme claque. Je l'ai séché en une ou deux semaines, j'arrivais pas à décrocher. C'est bien écrit, c'est ultra immersif, très sombre (du Dostoïevski quoi ahah). C'est un bon gros pavé, mais il en vaut vraiment le coup. Si vous prenez l'édition de Pierre Pascal, ne lisez pas la préface : il spoile la fin !
  • MontoirCoralie 02/03/2024
    Un sentiment d’ambivalence me domine quand je referme le livre. À la fois je suis saisie, frappée par l’originalité de l’écriture (elle ne ressemble à aucune autre) et la noirceur des décors et des personnages. Et je suis aussi soulagée d’en avoir terminé avec cette univers abominable et cette lecture qui fut parfois éprouvante. Dostoievski ne ménage pas ses lecteurs. Quel auteur, quelle fièvre! Je suis en train d’écouter tous les podcasts qui décrivent sa vie et je comprends mieux. Je comprends aussi le nihilisme. D’ailleurs je ne pourrai supporter plusieurs lectures d’affilée tant cette société est cruelle, pourrie, fatale. Déjà je n’en pouvais plus de ce Raskolnikoff (qui par ailleurs me faisait penser à Lucien des Illusions perdues) et de ses troubles qui recommençaient toujours, sans nous laisser aucun répit. Le plus difficile pour moi était les passages sur la vieille folle Maria Petrovna et le traitement des trois enfants. Bref, un livre grandiose par sa narration délirante et cet enchaînement de faits les plus insupportables les uns que les autres, qui nous mettent en PLS jusqu’à la fin. Je vais attendre un peu avant de relire du Dosto.
  • snooploul 29/02/2024
    L'écriture est fluide et envoutante, j'ai eu l'impression de vivre le même voyage que lors de mon premier visionnage d'Apocalypse Now de F.F. Coppola. On est largué dans la psyché d'un jeune russe prometteur et observateur, mais dont l'égotisme et l'isolement vont mener à entreprendre de sombres projets. Ce qui m'a fasciné dans ce livre, c'est la capacité de l'auteur à décrire l'incompréhensible, le socialement inacceptable. Chaque personnage est riche en couleurs, ce qui est paradoxal pour un livre au ton si noir. Dostoievsky fait cohabiter des personnages et des points de vue aussi différents les uns que les autres. Dans ce St. Petersbourg des années 20, la misère ambiante agit comme une toile d'araignée lourde dans laquelle seule la vertu semble préserver certains de ses protagonistes. Certaines scènes m'ont vraiment marqué. Un grand livre à n'en pas douter, facile à lire, mais un peu trop sombre avant de rêvasser !
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