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En moins bien
Date de parution : 05/05/2011
Éditeurs :
Pocket

En moins bien

Date de parution : 05/05/2011

Il n'aurait jamais pensé que son voyage de noces pouvait être pire...

 

« Cet auteur déjanté foisonne d'expressions très imagées au service d'une écriture vive. »

Sébastien Chabal

 

« On tourne les pages...

Il n'aurait jamais pensé que son voyage de noces pouvait être pire...

 

« Cet auteur déjanté foisonne d'expressions très imagées au service d'une écriture vive. »

Sébastien Chabal

 

« On tourne les pages avec la simple envie de ricaner et de jubiler, de suivre ce loser splendide. »

Frédéric Beigbeder

 

« C'est drôle, tendrement féroce...

Il n'aurait jamais pensé que son voyage de noces pouvait être pire...

 

« Cet auteur déjanté foisonne d'expressions très imagées au service d'une écriture vive. »

Sébastien Chabal

 

« On tourne les pages avec la simple envie de ricaner et de jubiler, de suivre ce loser splendide. »

Frédéric Beigbeder

 

« C'est drôle, tendrement féroce et courageux. »

Mathias Malzieu

 

« Si Ionesco et Desproges avaient eu un fils ensemble, il l'aurait appelé Arnaud Le Guilcher ! »

Gérard Collard

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EAN : 9782266207010
Code sériel : 14493
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 288
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266207010
Code sériel : 14493
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 288
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Cet auteur déjanté foisonne d’expressions très imagées au service d’une écriture vive. » Sébastien Chabal - Le Parisien / Aujourd’hui en France
« On tourne les pages avec la simple envie de ricaner et de jubiler, de suivre ce loser splendide. » Frédéric Beigbeder - Lire
« On rit, on pleure, on crie. Et on en sort tout épuisé. » Caroline Rochet - Marie-Claire

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • LicoriceWhip 02/03/2024
    L’Etat de Goa en Inde était - parait-il - la plaque tournante de tous les hippies occidentaux qui venaient s’échouer sur les plages de sable fin de la côte indienne dans les années 80. Se défoncer, recréer des communautés en ayant l’impression de communier avec la “sérénité intérieure” du pays et de ses habitants. Un chapitre entier y est consacré dans Parias de Pascal Bruckner. Ce traquenard, le narrateur d’En moins bien va y tomber, version Etats-Unis. La différence tient au fait que les hippies viennent à lui Le narrateur vient de se marier avec Emma, dont il ne sait à peu près rien, si ce n'est qu'elle fait battre son cœur. Il l’épouse en présence de vagues témoins dans une cérémonie express digne de Las Vegas, puis file en voyage de noces dans un bus qui suinte de sueur et de poussière en direction de Sandpiper, station balnéaire pouilleuse dont la mascotte JFK est un pélican qui vous accueille en vous piquant les mollets de son bec. A Sandpiper, le restau-buvette est dégueulasse, les bungalows ont des noms débiles, la quasi-totalité des gens qui sont là ont l’air dingues. Au bout de quelques heures Emma s'enfuit avec toutes ses affaires sans laisser une petite lettre ou une adresse. Ce n’est que le début. Le narrateur va vivre des jours, des semaines, des mois de loose absolue. Celle dont on fait les séries anglaises cyniques ou les films américains indépendants. Un touriste allemand que sa femme a plaqué pour un surfer se met à tourner sur la dune en l’appelant à longueur de journée. Les gens s’assoient pour regarder. Ce qui fait l’ouverture du 20h. Encore plus de personnes arrivent pour regarder. Le narrateur au lieu de se lamenter sur la fuite d'Emma, se décide à redresser le coin qui devient un lieu touristique déglingué où hippies et curieux arrivent par grappes entières. Arnaud Le Guilcher décrit la folie ambiante par des images désabusées ou éberluées, il emporte l’adhésion du lecteur comme le Philippe Djian de 37°2 le matin. Deux romans jumeaux dans leur façon de dérouler des phrases sèches et brûlantes comme le café noir, leur amour des personnages qui oscillent entre monstres de sagesse et grands tarés, une douleur sous-jacente à chaque page sauvée par l’humour acide des dialogues et des réflexions intérieures. Seule différence, la femme aimée est fulgurante chez Arnaud Le Guilcher. Elle n'est pas le moteur de l’histoire, mais son starter. Ce qui anime En moins bien, c’est son héros et la petite bande de Sandpiper. Des potes qui s’accrochent les uns aux autres comme ceux qui deviennent amis pour la vie suite à une catastrophe terrible. Très drôle, et pourtant très triste, En moins bien déçoit par son épilogue démonstratif et paradoxalement improbable (ce qui n'est pas le cas des 300 pages qui précèdent). Ce qui ne retire rien au plaisir passé sur la dune de Sandpiper.L’Etat de Goa en Inde était - parait-il - la plaque tournante de tous les hippies occidentaux qui venaient s’échouer sur les plages de sable fin de la côte indienne dans les années 80. Se défoncer, recréer des communautés en ayant l’impression de communier avec la “sérénité intérieure” du pays et de ses habitants. Un chapitre entier y est consacré dans Parias de Pascal Bruckner. Ce traquenard, le narrateur d’En moins bien va y tomber, version Etats-Unis. La différence tient au fait que les hippies viennent à lui Le narrateur vient de se marier avec Emma, dont il ne sait à peu près rien, si ce n'est qu'elle fait battre son cœur. Il l’épouse en présence de vagues témoins dans une cérémonie express digne de Las Vegas, puis file en voyage de noces dans un bus qui suinte de sueur et de poussière en direction de Sandpiper, station balnéaire pouilleuse dont la mascotte JFK est un pélican qui vous accueille en vous piquant les mollets de son bec. A Sandpiper, le restau-buvette est dégueulasse, les bungalows ont des noms débiles, la quasi-totalité des gens qui sont là ont l’air dingues. Au bout de quelques heures Emma s'enfuit avec toutes ses affaires...
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  • Yogiquilit 20/02/2024
    Pour le coup je suis sortie de ma zone de confort! Pas du tout mon style, trop barré pour moi. Comment comprendre qu’un homme qui a perdu pied et marche en rond sur une plage des jours durant puisse attirer tant de monde? J’ai continué ma lecture jusqu’au bout pour voir jusqu’où cela aller m’emmener. Allez voir par vous-même comment chaque personne remonte la pente ou pas, mais attention au Pélican, gardien du camping, il aime pincer les mollets.
  • Citelle 30/08/2023
    Le héros, ivrogne et dépressif, se retrouve abandonné par la femme qu'il vient d'épouser, pendant la nuit de noce. Il faut dire qu'il a choisi un coin bien minable : un club de vacances miteux, qui semble uniquement fréquenté par 3 piliers de bar. Lorsqu'un allemand, abandonné aussi par sa femme, se met à tourner en rond sur la plage et rien d'autre, juste de temps en temps s'écrouler de sommeil. Il va devenir une attraction dans ce coin paumé, et les touristes vont affluer. Notre héros va se retrouver par hasard manager de ce club, où tout part en vrille. On fera des rencontres improbables : le copain Richard, peu bavard au départ, mais qui va se révéler prolixe après avoir rencontré l'amour, des hippies déjantés, un aventurier quelque peu périmé, les jumeaux de 4 ans Requin et Marteau, une journaliste atteinte de logorrhée verbale, une épouse adepte de la chirurgie esthétique extrême, un couple de japonais propriétaires de pressing, un chien d'aveugle offert par ses potes à un muet... Le style est foisonnant, les répliques fusent, les situations sont foutraques... on rit beaucoup, mais il y a beaucoup d'amours tristes et on sent en filigrane que le drame couve. J'ai adoré et je vais de ce pas chercher le suivant, "Pas mieux".Le héros, ivrogne et dépressif, se retrouve abandonné par la femme qu'il vient d'épouser, pendant la nuit de noce. Il faut dire qu'il a choisi un coin bien minable : un club de vacances miteux, qui semble uniquement fréquenté par 3 piliers de bar. Lorsqu'un allemand, abandonné aussi par sa femme, se met à tourner en rond sur la plage et rien d'autre, juste de temps en temps s'écrouler de sommeil. Il va devenir une attraction dans ce coin paumé, et les touristes vont affluer. Notre héros va se retrouver par hasard manager de ce club, où tout part en vrille. On fera des rencontres improbables : le copain Richard, peu bavard au départ, mais qui va se révéler prolixe après avoir rencontré l'amour, des hippies déjantés, un aventurier quelque peu périmé, les jumeaux de 4 ans Requin et Marteau, une journaliste atteinte de logorrhée verbale, une épouse adepte de la chirurgie esthétique extrême, un couple de japonais propriétaires de pressing, un chien d'aveugle offert par ses potes à un muet... Le style est foisonnant, les répliques fusent, les situations sont foutraques... on rit beaucoup, mais il y a beaucoup d'amours tristes et on sent en filigrane que le drame couve. J'ai adoré et...
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  • anmafry 05/03/2023
    C'est le roman qui vous raconte un histoire de solitude , de deuil , d'amours ratées et qui vous fait rire du début à la fin . L'écriture est rythmée , l'auteur a un sens de la formule incroyable . Un couple de jeunes mariés part en lune de miel dans une station balnéaire désertée par les touristes en cette fin d'été. Le soir de leur arrivée ,elle part se coucher et lui reste au bar toute la nuit à picoler ( un petit problème avec l'alcool ) et au petit matin quand il rejoins le bungalow ,elle est partie en laissant son alliance sur la table de nuit . Rien de bien drôle et pourtant ...
  • Cabotine13 24/08/2022
    Complètement déjanté tout comme j’aime, un arrière-goût de Zazie dans le Métro, un air de famille avec JM Erre dans le style et l’humour. Un joli moment de lecture qui nous fait divaguer dans un road-trip sans queue ni tête, mais avec un pélican abruti, un allemand qui se prend pour un derviche tourneur, un loser qui perd sa femme le lendemain de ses noces à cause de pingouins, tout cela aux abords d’une dune qui chante. Comment s’ennuyer?
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