Lisez! icon: Search engine
Fête et défaites
Date de parution : 23/06/2022
Éditeurs :
Pocket

Fête et défaites

Date de parution : 23/06/2022
Camille et Laurent s’aiment.
Depuis qu’elle est enfant, Camille rêve d’un grand mariage tandis que Laurent, marqué par le divorce de ses parents, s’est juré de ne jamais s’engager. Par amour,...
Camille et Laurent s’aiment.
Depuis qu’elle est enfant, Camille rêve d’un grand mariage tandis que Laurent, marqué par le divorce de ses parents, s’est juré de ne jamais s’engager. Par amour, chacun fait un pas en direction de l’autre : ce sera un pacs imaginé en petit comité, avec leurs familles et...
Camille et Laurent s’aiment.
Depuis qu’elle est enfant, Camille rêve d’un grand mariage tandis que Laurent, marqué par le divorce de ses parents, s’est juré de ne jamais s’engager. Par amour, chacun fait un pas en direction de l’autre : ce sera un pacs imaginé en petit comité, avec leurs familles et quelques amis. Mais c’est sans compter l’intrusion zélée des parents de Camille dans l’organisation de cette célébration.
Le jour « J » arrive : la fête tiendra-t-elle toutes ses promesses de bonheur ?
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782266326216
Code sériel : 18692
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 256
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266326216
Code sériel : 18692
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 256
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Tour de force et friandise irrésistible. »
Clara Dupont-Monod / France Inter

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • unbrindesyboulette 06/05/2023
    Commençons par le titre : « Fêtes et défaites ». Rien que ce titre est annonciateur d’un bon moment de lecture. Associer ces deux mots, c’est osé et ça, j’aime. Puis passons par la couverture, une couverture dessinée par la talentueuse Fabienne Legrand. Je la trouve juste magnifique et qui représente tellement bien le roman. Bien évidemment, j’aime particulièrement l’illustration de la 4ème de couv puisque c’est la représentation de vignes de par chez moi, celle du bourgogne Mercurey, la célébration de l’union du roman se passant dans le domaine Mercurey. Je rajoute que c’est le lieu idéal pour fêter un mariage. Et je veux que Fabienne me dessine mon arbre généalogique comme elle a fait celui de la famille Brochant, la famille de la mariée Camille. Si rien qu’avec déjà cela, vous n’êtes pas intrigué, vous n’avez pas envie d’en savoir plus, je me dois continuer à vous convaincre. Parlons de la structure du roman que je trouve tout simplement ingénieuse, originale, incroyable. Antoine Cristau a eu une idée juste waouh. L’auteur raconte le PACS de Camillet et Laurent en passant par l’enterrement de vie de garçon, la mairie, la bénédiction, la fête et tout cela par tous les personnages qui participent à cette union, les mariés, les parents, les invités, les serveurs, le traiteur, les familles et tant d’autres. Antoine Cristau nous relate l’opinion, les ressentis, les histoires de chacun, chacun son tour. Mais surtout, l’idée de génie est que Antoine a écrit que le recto de la feuille et il utilise sa dernière phrase de la page pour commencer l’autre page avec les mots d’un autre personnage. Comme « Un petit PACS en petit comité, ça m’allait très bien à moi aussi ! Non, ce qui est clair c’est que » « Se marier, c’est vraiment une grosse connerie ! Et je sais de quoi je parle ! » Vous voyez ? c’est une super idée, non ? À côté de tout cela, Antoine Cristau a su nous raconter tout ce qui entoure la célébration d’une union, la pression, les préparatifs, les rumeurs, les je sais tout, l’amour, l’affection, les tensions, les histoires de famille, les amis, l’avant, le pendant, le lendemain. Commençons par le titre : « Fêtes et défaites ». Rien que ce titre est annonciateur d’un bon moment de lecture. Associer ces deux mots, c’est osé et ça, j’aime. Puis passons par la couverture, une couverture dessinée par la talentueuse Fabienne Legrand. Je la trouve juste magnifique et qui représente tellement bien le roman. Bien évidemment, j’aime particulièrement l’illustration de la 4ème de couv puisque c’est la représentation de vignes de par chez moi, celle du bourgogne Mercurey, la célébration de l’union du roman se passant dans le domaine Mercurey. Je rajoute que c’est le lieu idéal pour fêter un mariage. Et je veux que Fabienne me dessine mon arbre généalogique comme elle a fait celui de la famille Brochant, la famille de la mariée Camille. Si rien qu’avec déjà cela, vous n’êtes pas intrigué, vous n’avez pas envie d’en savoir plus, je me dois continuer à vous convaincre. Parlons de la structure du roman que je trouve tout simplement ingénieuse, originale, incroyable. Antoine Cristau a eu une idée juste waouh. L’auteur raconte le PACS de Camillet et Laurent en passant par l’enterrement de vie de garçon, la mairie, la bénédiction, la fête et tout cela par tous les personnages qui participent...
    Lire la suite
    En lire moins
  • audeLOUISETROSSAT 08/06/2021
    Ce livre est surprenant, détourant, casse tous les codes, mais il est excellent, brillant !!! Je ne vous dirai rien de plus pour ne pas spoiler ... mais allez l’acheter et découvrez le !!! Hâte de découvrir la suite 😋 Merci @antoinecristau j’ai passé un très moment de lecture qui m’a un peu déstabilisée sur les premières pages. Des personnages haut en couleur qui racontent l’amour le vrai 🙈
  • Fleitour 06/06/2021
    Faire la fête ou faire rire ne se décrète pas si aisément. Pour reprendre les propos que j'ai tenu sur le livre "Discours" de Fabcaro, on est assez loin d'une franche rigolade. Pourtant sur un plan purement technique le livre d' Antoine Cristau est un travail d'orfèvre original et qui s'inscrit dans cette tradition bien française de se donner des challenges littéraires pour bien montrer ses capacités grammaticales et linguistiques. Un travail magistral fêté comme il se doit par x 4 étoiles En sport on peut le comparer à une course où on marcherait à reculons, ou à porter un sceau percé sur 5 km, ou monter 30 fois la tour des pompiers le record étant de 57mn et 12"  Une nouvelle par page, et le passage d'une page à l'autre dans la continuité de l'action, mais avec d'autres acteurs, c'est la réussite parfois piquante d'Antoine Cristau aux talents prometteurs. Dans ce domaine je ne peux que recommander le livre culte mais néanmoins méconnu de Jean Baptiste Harang Prenez un COQ. D'une drôlerie sans retenues, d'une finesse à la Francis Blanche, d'une insolence ajustées aux pitreries du « singe en Hiver » d'Antoine Blondin... JB Harang qui a par négligence reçu le prix de l'humour noir releva un défi de Libération bien singulier. Passer 30 fois du coq à l'âne, à travers 30 nouvelles désopilantes. Les éditions Verdier ont bien entre leurs mains un bijou que je ne fais découvrir qu'à d'authentiques Papous dans la tête. L'autre écueil est triste à en pleurer. Auteurs et auteures évitez de reprendre un thème qui fût immortalisé par un film, comme « Le Sens de la fête » avec Tonton Bacri. Tous les gags sur le mariages pacsés ou non, avec des figurants déclarés ou non ne peuvent susciter après ce film que quelques sourires amicaux. L'ambiance n'y est plus surtout après l'envol de Jean-Pierre Bacri qui doit amuser au paradis des saltimbanques une sacré galerie d'anges et de démons. Dors en pets Jean-Pierre. Faire la fête ou faire rire ne se décrète pas si aisément. Pour reprendre les propos que j'ai tenu sur le livre "Discours" de Fabcaro, on est assez loin d'une franche rigolade. Pourtant sur un plan purement technique le livre d' Antoine Cristau est un travail d'orfèvre original et qui s'inscrit dans cette tradition bien française de se donner des challenges littéraires pour bien montrer ses capacités grammaticales et linguistiques. Un travail magistral fêté comme il se doit par x 4 étoiles En sport on peut le comparer à une course où on marcherait à reculons, ou à porter un sceau percé sur 5 km, ou monter 30 fois la tour des pompiers le record étant de 57mn et 12"  Une nouvelle par page, et le passage d'une page à l'autre dans la continuité de l'action, mais avec d'autres acteurs, c'est la réussite parfois piquante d'Antoine Cristau aux talents prometteurs. Dans ce domaine je ne peux que recommander le livre culte mais néanmoins méconnu de Jean Baptiste Harang Prenez un COQ. D'une drôlerie sans retenues, d'une finesse à la Francis Blanche, d'une insolence ajustées aux pitreries du « singe en Hiver » d'Antoine Blondin... JB Harang qui a par négligence...
    Lire la suite
    En lire moins
  • DucalmeLucette 04/06/2021
    Ce roman, construit de façon originale, peut déboussoler le lecteur, voire le frustrer. Mais l’écriture truffée d’humour de l’auteur nous fait toujours passer un bon moment. En effet, chacune des pages est un début de chapitre, ou une première page de roman comme l’indique l’éditeur. Et chacune d’elle ne se termine pas réellement. Systématiquement, la dernière phrase reste en suspens et finit sa chute à la page suivante qui est le récit d’un nouveau personnage, d’une autre ambiance, et/ou d’un autre lieu. C’est très étonnant au départ puis l’on s’y fait, et cela donne parfois matière à sourire. Par exemple, une page se termine par « Mais qu’importe, comme le disait si bien Alfred de Musset : « L’Amour est tout ; qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse ! » Levant sa coupe de champagne, Gauthier de Brochant ajouta, mi-figue mi-raisin : « Et en parlant d’ivresse, » et en tournant la page : « Elle saoule grave la vieille ! souffla Inès à sa voisine de table entre deux couplets. » C’est singulier et cela peut parfois frustrer comme je le mentionnais plus haut, puisqu’aucune scène ne se termine vraiment. Nous n’avons ni le temps de nous attacher aux personnages ni celui de nous imprégner réellement de l’atmosphère. Nous restons en surface de ce joyeux – et à ne pas piquer des hannetons – fourmillement autour de l’amour, du couple et des relations humaines au sein de familles socialement opposées. De plus, chaque page est écrite dans une police différente et de temps à autre, la taille est vraiment petite. Courage aux presbytes ! Malgré tout, la lecture reste agréable et l’on passe un bon moment en compagnie de tous ces personnages un peu barrés. Le thème principal est l’amour et la façon dont nous souhaitons le vivre. Alors que pour certaines familles, il n’est pas question de toucher à l’Institution que forme le mariage, pour d’autres, l’essentiel ne réside pas dans ce type d’engagement. Ici, le couple fête un PACS, ce qui ne manque pas d’agrémenter les conversations du côté de la famille bourgeoise de l’heureuse élue. D’autre part, les illustrations de Fabienne Legrand nous aident à nous y retrouver au beau milieu de cette bande pittoresque puisque deux arbres un tant soit peu généalogiques nous offrent des repères facilitateurs. Un roman à découvrir pour sa singularité et pour le tendre message qu’il dévoile à travers ses pages pleines de cocasserie. Merci à Babelio pour cette lecture dans le cadre de la Masse Critique ainsi qu’aux Éditions Le Cherche Midi.Ce roman, construit de façon originale, peut déboussoler le lecteur, voire le frustrer. Mais l’écriture truffée d’humour de l’auteur nous fait toujours passer un bon moment. En effet, chacune des pages est un début de chapitre, ou une première page de roman comme l’indique l’éditeur. Et chacune d’elle ne se termine pas réellement. Systématiquement, la dernière phrase reste en suspens et finit sa chute à la page suivante qui est le récit d’un nouveau personnage, d’une autre ambiance, et/ou d’un autre lieu. C’est très étonnant au départ puis l’on s’y fait, et cela donne parfois matière à sourire. Par exemple, une page se termine par « Mais qu’importe, comme le disait si bien Alfred de Musset : « L’Amour est tout ; qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse ! » Levant sa coupe de champagne, Gauthier de Brochant ajouta, mi-figue mi-raisin : « Et en parlant d’ivresse, » et en tournant la page : « Elle saoule grave la vieille ! souffla Inès à sa voisine de table entre deux couplets. » C’est singulier et cela peut parfois frustrer comme je le mentionnais plus haut, puisqu’aucune scène ne se termine vraiment. Nous n’avons ni le temps de nous attacher aux personnages...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Waterlyly 03/06/2021
    Camille et Laurent forment un couple heureux. Pourtant, le jeune homme est réticent au mariage. Camille va alors lui proposer de se pacser, et de faire une fête en petit comité pour célébrer leur union. Ce ne sera pas du goût des parents de la jeune femme, qui ont toujours imaginé un grand mariage pour leur fille. Comment ces deux familles, issues de milieux très différents, vont-elles réussir à trouver un terrain d’entente ? Voilà un roman rafraîchissant, qui permet un moment de lecture tout en douceur et d’évasion, le tout agrémenté par une belle pointe d’originalité. En effet, celle-ci réside dans la construction narrative particulière et déroutante. Chaque fin de chapitre est constitué d’une phrase qui clôt celui-ci et ouvre le prochain. Si au début, j’ai été un peu sceptique quant à ce procédé, je dois dire que je me vite prise au jeu. C’est un exercice de style loin d’être aisé, et il faut reconnaître que l’auteur a su maîtriser ce pan du récit. En ce qui concerne l’histoire, s’il est vrai que l’intrigue ne révolutionnera pas le genre, elle n’en reste pas moins très agréable à suivre. J’ai beaucoup aimé cette galerie de personnages qui ont tous leurs particularités. L’auteur a su créer des caractères forts et il a réussi à bien dépeindre tous les personnages. Tout au fil des pages, le lecteur suivra l’organisation de la fête prévue par les parents de Camille. Les tensions croissent et les émotions seront à fleur de peau. Il faudra rester concentré pendant l’histoire, les personnages étant très nombreux. Malgré tout, l’auteur nous illustre l’arbre généalogique de Laurent et Camille au début du roman, et j’ai trouvé cela très judicieux. La plume de l’auteur est fluide et très addictive. Chaque petit chapitre mettra en exergue l’un des personnages qui constitue l’histoire. Les pages défilent et le tout est très addictif. Les dialogues sont très bien construits. Un récit à la construction originale, véritable feel-good, servi par des personnages hauts en couleurs. Un roman rafraîchissant à découvrir.Camille et Laurent forment un couple heureux. Pourtant, le jeune homme est réticent au mariage. Camille va alors lui proposer de se pacser, et de faire une fête en petit comité pour célébrer leur union. Ce ne sera pas du goût des parents de la jeune femme, qui ont toujours imaginé un grand mariage pour leur fille. Comment ces deux familles, issues de milieux très différents, vont-elles réussir à trouver un terrain d’entente ? Voilà un roman rafraîchissant, qui permet un moment de lecture tout en douceur et d’évasion, le tout agrémenté par une belle pointe d’originalité. En effet, celle-ci réside dans la construction narrative particulière et déroutante. Chaque fin de chapitre est constitué d’une phrase qui clôt celui-ci et ouvre le prochain. Si au début, j’ai été un peu sceptique quant à ce procédé, je dois dire que je me vite prise au jeu. C’est un exercice de style loin d’être aisé, et il faut reconnaître que l’auteur a su maîtriser ce pan du récit. En ce qui concerne l’histoire, s’il est vrai que l’intrigue ne révolutionnera pas le genre, elle n’en reste pas moins très agréable à suivre. J’ai beaucoup aimé cette galerie de personnages qui ont tous leurs particularités. L’auteur...
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous à la Newsletter Pocket pour trouver le livre dont vous rêvez !
Chaque semaine, riez, pleurez et évadez-vous au rythme de vos envies et des pages que nous vous conseillons.

Lisez maintenant, tout de suite !