Fullmetal Alchemist - tome 26 | Hiromu Arakawa

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

zazimuth 20/04/2016

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Le volume concerne le combat final. Les élus pour le sacrifice luttent contre le Père qui veut devenir Dieu. Il va pour cela activer son cercle de transmutation pour aspirer toute vie d'Amestris. De son côté Scar combat Bradley King et va activer le "contre-cercle" découvert par son frère dans ses études elixiriologiques. On découvre aussi qu'Hohenheim avait prévu cette confrontation finale et avait élaboré un plan. Par leur solidarité et leurs actions conjointes ils ont réussi à affaiblir le Père-Dieu mais tout n'est pas encore gagné...

Anatemnein 28/04/2015

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Avant dernier tome de la série, c'est le combat final qui va se dérouler aussi dans le prochain et dernier tome. On a vite envie de savoir la suite de tout cela.

florencem 26/06/2011

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Et voici l'avant dernier tome. La fin approche grandement dans ce tome où Père continue de vouloir mettre son plan à exécution en utilisant les 5 sacrifices (Ed, Sumire, Roy, Al et Hohenheim). On assiste aussi à la conclusion du combat entre Scar et Bradley King (alias Wrath). Beaucoup d'action donc mais en même temps, nous continuons à en apprendre sur l'histoire même du manga. C'est un des points fort de cette série car tout au long, nous n'avons cessé d'en apprendre encore et encore, à petite goutte mais sans vraiment nous laisser sur notre faim. Je dis donc bravo à Hiromu Arakawa pour la finesse dont elle a fait preuve tout au long de sa création. Rien que pour cela, Fullmetal Alchemist mérite d'être lu ! Nous découvrons donc le plan utile de Père. A savoir qu'il cherchait à absorber "Dieu", une entité étrange dont on n'arrive pas vraiment à donner une définition ou une simple identité. Père se transforme d'ailleurs en changeant d'apparence. Il n'est plus Hohenheim mais plutôt un Edward plus âgé. On continue donc de trouver ce lien étrange qui unit la famille Elric aux homonculus. Je dois dire que cette folie des grandeur n'est pas vraiment originale, car on a pu la voir dans de nombreux livres ou films, vouloir le pouvoir absolu est assez commun chez les "méchants psychopathes". Mais la façon dont cette pré-fin est tournée est toujours aussi fraiche et fascinante. D'une part car on assiste à un combat de titan, nous avons 6 des meilleurs alchimistes connus (plus Scar qui se bat aussi pour les aider) face à la plus grande menace qu'à connu Amestris voire le monde. Nous n'aurions jamais eu la joie de voir cette équipe se battre si toute cette horreur n'avait pas eu lieu. Rien que pour cela, ce combat en vaut le coup. Et même si on espère que les humains vont gagner, on doute constamment. Je dois avouer que j'ai eu peur lorsque tous les personnages que nous avons rencontrés au fil de ces 26 tomes allaient être sacrifier, car même s'ils n'ont pas tous eu beaucoup d'importance dans l'histoire, ils ont tous influencés les deux frères ce qui fait d'eux des personnages important à mes yeux. A la fin du tome, nous avons enfin la fin du combat entre Scar et Bradley King. Ce passage est très important car Scar nous en apprend beaucoup sur l'alchimie et la naissance de cette magie à Amestris ainsi que sur les recherches de son frère. Je pense d'ailleurs que cette découverte sera la clé de la fin de la série. Elle a déjà montré ses preuves à la fin du tome et je pense qu'on aura droit à un peu plus dans l'ultime tome. Je parlais un peu plus tôt de l'importance des personnages secondaires, et ici les deux derniers homoculus restant (Bradley et Selim - je ne compte plus Greed comme homoculus vu qu'il pense par lui-même et que malgré sa violence, il est capable de se comporter en humain) montrent encore plus l'importance des humains. Je m'explique. Bradley King a toujours envié les humains. Il a essayé de se comporter comme eux malgré le fait qu'il les haïssait pour leur infériorité. Il en est de même pour Selim. Cette contradiction dans leur existence fait que leur "fin" est beaucoup plus triste que ce qu'on pourrait croire. Lust était la première a se rendre plus humaine vis à vis des lecteurs, et c'est un peu risible et triste à la fois. Les êtres humains si détestés, si inférieurs, si minables (utilisons donc le mot qui fâche) sont en réalité tout ce dont ils avaient envie sans se l'avouer réellement. Le mal même de cette saga ne réside en fait que dans Père et uniquement lui. Les autres se retrouvant dans le rôle de victime. Un avant dernier tome réussit donc, qui arrive à nous mettre assez de pression (surtout avec la fin) mais qui laisse tout de même place à de l'espoir. Je me dis que ce "Dieu" ne pourra pas rester inactif face à ce qui s'est passé, et les portes ouvertes par Père auront sûrement leurs conséquences. J'aime les happy-end, et je ne serais pas déçue de voir Fullmetal Alchemist finir de la sorte. J'espère juste ne pas avoir une fin à la Dragon Quest où les héros sauveront tout le monde et seraient exclus de cette fin heureuse. J'attends donc le tome 27 avec appréhension et excitation !Et voici l'avant dernier tome. La fin approche grandement dans ce tome où Père continue de vouloir mettre son plan à exécution en utilisant les 5 sacrifices (Ed, Sumire, Roy, Al et Hohenheim). On assiste aussi à la conclusion du combat entre Scar et Bradley King (alias Wrath). Beaucoup d'action donc mais en même temps, nous continuons à en apprendre sur l'histoire même du manga. C'est un des points fort de cette série car tout au long, nous n'avons cessé d'en apprendre encore et encore, à petite goutte mais sans vraiment nous laisser sur notre faim. Je dis donc bravo à Hiromu Arakawa pour la finesse dont elle a fait preuve tout au long de sa création. Rien que pour cela, Fullmetal Alchemist mérite d'être lu ! Nous découvrons donc le plan utile de Père. A savoir qu'il cherchait à absorber "Dieu", une entité étrange dont on n'arrive pas vraiment à donner une définition ou une simple identité. Père se transforme d'ailleurs en changeant d'apparence. Il n'est plus Hohenheim mais plutôt un Edward plus âgé. On continue donc de trouver ce lien étrange qui unit la famille Elric aux homonculus. Je dois dire que cette folie des grandeur n'est pas vraiment...

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