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Jules-César
Date de parution : 06/01/2022
Éditeurs :
Pocket

Jules-César

Date de parution : 06/01/2022

Jules-César est ce petit garçon du Sénégal qui aime le foot et ses copains, comme tous à
son âge, bientôt sept ans. Mais Jules-César est aussi cet enfant aux lunettes et...

Jules-César est ce petit garçon du Sénégal qui aime le foot et ses copains, comme tous à
son âge, bientôt sept ans. Mais Jules-César est aussi cet enfant aux lunettes et au ventre rond.
Celui qui va à l’hôpital toutes les semaines. Celui qui a mal. Celui que certains plaignent, celui que...

Jules-César est ce petit garçon du Sénégal qui aime le foot et ses copains, comme tous à
son âge, bientôt sept ans. Mais Jules-César est aussi cet enfant aux lunettes et au ventre rond.
Celui qui va à l’hôpital toutes les semaines. Celui qui a mal. Celui que certains plaignent, celui que d’autres craignent. Jules-César attend un rein que seul Augustin, son père, peut lui donner. Et seuls les docteurs français peuvent le lui greffer. Alors quand arrive enfin le feu vert et que Jules-César et Augustin doivent s’envoler pour Paris, chacun repousse ses peurs pour que puisse commencer la bataille pour la vie. Main dans la main, père et fils tisseront une incroyable relation pour tout surmonter.
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EAN : 9782266310635
Code sériel : 18126
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 384
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266310635
Code sériel : 18126
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 384
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Un premier roman réussi. »
La Croix

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • charmotte 09/03/2024
    La maladie qui relie les êtres, la France qui promet, la vie qui permet les rencontres. César petit bout d’homme qui croque la vie à pleine dent et qui par sa naïveté et son insouciance révèle les âmes. Un peu de fraîcheur et d’espoir dans ce monde d’isolement. À lire en douceur.
  • Fanfanhouari 10/07/2022
    Les livres voyagent, se prêtent, s'échangent, se perdent parfois, se retrouvent avec d'autres dans des boîtes à livres,des bibliothèques ou des librairies🐦se délivrent en nous délivrant. Colette, ma voisine, m' a prêté ou plutôt confié Jules-César. Ses yeux brillaient lorsqu'elle m' a parlé de cet enfant. Je connais depuis très longtemps son amour pour les petits Hommes, Colette était la tatie de la crèche de mes enfants. La vie nous a nouveau réuni, il y a quelques années. Alors me voilà, avec Jules-césar et je comprends très rapidement la tendresse que lui porte Colette. Ce petit homme de 6 ans vit au Sénégal mais il est très malade. Pour survivre une greffe de rein est absolument nécessaire. Son papa, Augustin et sa maman Suzanne décident que leur petit garçon doit partir en France. C 'est Augustin, compatible comme donneur qui va accompagner Jules-César. Il laisse Suzanne ronde d' une nouvelle vie prochaine, Simon leur fils aîné en pleine santé mais rongé par le chagrin, M' man la grand mère un peu sorcière et toute sa vie, son travail, sa terre. À Paris, ils sont acceuill par Rosalie, une cousine tendre et aimante et rencontre Mr Jeanjean, le vieux voisin bourru. Arrive la clandestinité et la peur qui vous colle à la peau, arrive le combat pour sauver Jules-césar et leur farandole de médecins, infirmiers, assistante sociale, maîtresse d'école, travailleurs précaires sans papiers, d'espoir, de désespoir, d' humiliation, de mains tendues, de violence et d' amour. Le manque du pays, de Suzanne qui va mettre une petite Thérèse au monde comme un rappel que la vie est partout, tout le temps et comme un hommage à la terre qui nous porte tous, de Simon, grand frère amputé, de m'man dont la sagesse traverse les frontières. Voilà notre petit Jules-César, avec son caillou cueilli au pays qu'il sert fort dans sa main pour se donner du courage, voilà Augustin qui par amour accepte une vie loin de son pays, lui qui était gardien de nuit le plus beau métier du monde pour son petit bout d' homme car garder la nuit veut dire veiller sur le sommeil des gens, surveiller les étoiles et les rêves. Voilà Suzanne qui laisse son enfant partir la peur au ventre et le cœur en lambeau pour lui donner à nouveau la vie. Ce livre qui parle avec beaucoup de douceur, de tendresse, d'émotion et d'amour de ceux qui partent loin de chez eux. Peut être y trouve t'on quelques facilités simplicités dans cette plume d'une femme que la vie n'a pas épargnée et c'est justement pour cela que ce roman est merveilleux car rien n' est plus facile, rien n'est plus simple à comprendre que le droit fondamental des Hommes à se déplacer, à vouloir une vie meilleur pour eux et surtout pour leurs enfants.Les livres voyagent, se prêtent, s'échangent, se perdent parfois, se retrouvent avec d'autres dans des boîtes à livres,des bibliothèques ou des librairies🐦se délivrent en nous délivrant. Colette, ma voisine, m' a prêté ou plutôt confié Jules-César. Ses yeux brillaient lorsqu'elle m' a parlé de cet enfant. Je connais depuis très longtemps son amour pour les petits Hommes, Colette était la tatie de la crèche de mes enfants. La vie nous a nouveau réuni, il y a quelques années. Alors me voilà, avec Jules-césar et je comprends très rapidement la tendresse que lui porte Colette. Ce petit homme de 6 ans vit au Sénégal mais il est très malade. Pour survivre une greffe de rein est absolument nécessaire. Son papa, Augustin et sa maman Suzanne décident que leur petit garçon doit partir en France. C 'est Augustin, compatible comme donneur qui va accompagner Jules-César. Il laisse Suzanne ronde d' une nouvelle vie prochaine, Simon leur fils aîné en pleine santé mais rongé par le chagrin, M' man la grand mère un peu sorcière et toute sa vie, son travail, sa terre. À Paris, ils sont acceuill par Rosalie, une cousine tendre et aimante et rencontre Mr Jeanjean, le vieux voisin bourru. Arrive la clandestinité et la peur qui vous...
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  • GregoireV 28/02/2022
    J'ai reçu ce livre dans le cadre d'une opération Masse Critique et je tiens à remercier Babelio et les éditions Pocket pour l'envoi du livre ! Quel roman émouvant et fort ! Cette histoire nous transporte de la Casamance, au Sénégal, à Paris et nous invite à suivre le courageux combat d'un petit garçon prénommé Jules-César contre la maladie qui l'habite ! L'histoire est puissante, émouvante, remplie d'humanité et d'amour. Les joies simples de la vie, le partage, l'espoir et le courage finissent par triompher de l'injustice, de la tristesse et de la maladie. Ce livre nous fait réfléchir, nous interroge et nous montre qu'il faut continuer à croire à la vie, qu'il faut se battre face aux difficultés car cela en vaut la peine ! Les personnages sont complexes, difficiles à cerner du premier coup. L'histoire nous fait les aimer et nous apprend à les comprendre petit à petit. Jules-César est un modèle de courage et de combativité. Il a ses peurs, mais pourtant, à seulement 7 ans, il les affronte comme un grand. Augustin, son père, aime profondément son fils, malgré les peurs qu'il ressent. Mais il ne sait pas le lui montrer, et petit à petit, il réussira à extérioriser cet amour qu'il à pour Jules-César et pour sa famille. Les personnages secondaires apportent tous quelque chose à l'histoire et on s'attache à eux tout autant qu'aux protagonistes principaux. Le style d'écriture de l'autrice m'a quelque peu perturbé. Les chapitres sont extrêmement courts, parfois peu détaillés et cela a rendu mon entrée dans l'histoire plus complexe. Cependant, je m'y suis habitué et j'ai apprécié ma lecture. Ce roman m'a sorti de ma zone de confort littéraire et m'a secoué. C'est une histoire formidable que je vous invite à lire !J'ai reçu ce livre dans le cadre d'une opération Masse Critique et je tiens à remercier Babelio et les éditions Pocket pour l'envoi du livre ! Quel roman émouvant et fort ! Cette histoire nous transporte de la Casamance, au Sénégal, à Paris et nous invite à suivre le courageux combat d'un petit garçon prénommé Jules-César contre la maladie qui l'habite ! L'histoire est puissante, émouvante, remplie d'humanité et d'amour. Les joies simples de la vie, le partage, l'espoir et le courage finissent par triompher de l'injustice, de la tristesse et de la maladie. Ce livre nous fait réfléchir, nous interroge et nous montre qu'il faut continuer à croire à la vie, qu'il faut se battre face aux difficultés car cela en vaut la peine ! Les personnages sont complexes, difficiles à cerner du premier coup. L'histoire nous fait les aimer et nous apprend à les comprendre petit à petit. Jules-César est un modèle de courage et de combativité. Il a ses peurs, mais pourtant, à seulement 7 ans, il les affronte comme un grand. Augustin, son père, aime profondément son fils, malgré les peurs qu'il ressent. Mais il ne sait pas le lui montrer, et petit à petit, il réussira à extérioriser cet amour qu'il...
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  • Livrepassion16 26/02/2022
    Un grand merci à Babelio et les éditions Pocket pour l'envoi de ce livre dans le cadre de la Masse Critique de janvier. J'ai eu beaucoup de plaisir à le lire malgré le drame qui est arrivé à l'autrice juste avant la réception de son livre. Elle a perdu son fils aîné, en plus de la disparition de ses deux filles. J'éprouve de l'admiration pour cette femme qui est arrivée jusqu'ici à surmonter ce qui lui arrive grâce à sa foi. Solidaire et de tout coeur avec Anne-Dauphine Julliand, j'ai commencé son livre et très vite, j'ai été charmée par son écriture, sensible, humaine, pleine de compassion avec une petite touche d'humour. Plusieurs thèmes sont traités dans ce livre, je vous laisse les découvrir pour ne pas spoiler. L'autrice a d'ailleurs fait un travail de recherche remarquable. Jules-César est un petit garçon africain vivant au Sénégal avec son frère aîné et ses parents. Sa maman attend un heureux évènement. Mais Jules-César ne peut pas jouer au foot avec ses copains, ses reins ne fonctionnent pas. Il doit souvent aller à l'hôpital pour faire des dialyses. Son seul espoir d'avoir une vie normale, une vie tout court, serait une greffe. Par bonheur, son papa, Augustin est compatible. Par malheur, aucune greffe ne peut se faire au Sénégal. Leur seul espoir, c'est d'aller à Paris. Ce qu'ils vont faire, mais ce sera plus compliqué que prévu, malgré l'accueil de la marraine de Jules-César qui va les héberger. Ce premier roman de l'autrice est une réussite pour moi, je vous conseille vivement sa lecture. Un grand merci à Babelio et les éditions Pocket pour l'envoi de ce livre dans le cadre de la Masse Critique de janvier. J'ai eu beaucoup de plaisir à le lire malgré le drame qui est arrivé à l'autrice juste avant la réception de son livre. Elle a perdu son fils aîné, en plus de la disparition de ses deux filles. J'éprouve de l'admiration pour cette femme qui est arrivée jusqu'ici à surmonter ce qui lui arrive grâce à sa foi. Solidaire et de tout coeur avec Anne-Dauphine Julliand, j'ai commencé son livre et très vite, j'ai été charmée par son écriture, sensible, humaine, pleine de compassion avec une petite touche d'humour. Plusieurs thèmes sont traités dans ce livre, je vous laisse les découvrir pour ne pas spoiler. L'autrice a d'ailleurs fait un travail de recherche remarquable. Jules-César est un petit garçon africain vivant au Sénégal avec son frère aîné et ses parents. Sa maman attend un heureux évènement. Mais Jules-César ne peut pas jouer au foot avec ses copains, ses reins ne fonctionnent pas. Il doit souvent aller à l'hôpital pour faire des dialyses. Son seul espoir d'avoir une vie normale, une vie tout court, serait une greffe. Par bonheur, son...
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  • verobenjiorphee 17/02/2022
    Tous, dans le quartier connaissaient le ‘’mal’’ de Jules César, sans vraiment savoir quel ‘’mal’’. Mais, ça y était, Jules et son père, Augustin, partaient à Paris. A leur retour, Jules serait guéri. Augustin laissait sa femme enceinte et son fils aîné au pays. Jules César était dialysé depuis deux ans. Une greffe de rein devenait urgente pour la survie de Jules. Sauf qu’au Sénégal, les greffes ne se faisaient pas. La France avait été, alors, proposée aux parents de Jules, pour cette greffe. En arrivant à l’aéroport, tous deux se sentirent perdus, même si Jules était émerveillé par tout ce qu’il voyait. Augustin était très anxieux dans cette ville qu’il ne connaissait pas. Leur carte de séjour expirait dans neuf jours. Roselyne, une sénégalaise, comme eux, qui vivait en France depuis trente cinq ans, vint les chercher à l’aéroport. Ils seraient bien chez elle. Elle expliqua à Augustin qu’étant donné que Jules César n’aurait plus de dialyse, il fallait attendre l’urgence vitale pour le faire admettre à l’hôpital. Les effets du manque de dialyse commencèrent à se faire sentir dans le corps de Jules. Roselyne conduisit Jules César et son père aux urgences. Une fois à l’hôpital, Augustin devait, désormais, expliquer aux urgentistes les symptômes et la maladie de son fils. Le personnel fut surpris de l’état de cet enfant de sept ans, qui fut immédiatement pris en urgence vitale. Un médecin vint voir Augustin. Celui-ci ne comprenait pas du tout pourquoi ce voyage touristique, alors que l’enfant était sans dialyse depuis des jours. Jules fut, aussitôt, dialysé. Bien sûr, Augustin savait ce que son fils risquait. Il avait suivi les consignes de leur médecin au Sénégal. Augustin se sentit, soudain, désemparé par la situation qu’on lui avait imposé. Le médecin comprit aussitôt le but de leur séjour en France. L’urgence d’une greffe était vitale pour l’enfant. Le médecin lui indiqua le bureau d’une assistante sociale, afin de monter un dossier. En attendant, Jules serait à nouveau dialysé. Augustin savait que son fils et lui étaient en situation irrégulière. Ils auraient dû repartir au Sénégal. Il expliqua à l’assistante sociale que son fils avait une insuffisance rénale en phase terminale. Il lui fallait une greffe. Augustin était compatible, mais il n’avait pas de prise en charge. La situation était claire pour l’assistante sociale, elle devait s’occuper d’eux. Le temps de faire le dossier, elle lui conseilla de ne sortir que pour les dialyses. Les jours passèrent, l’attente était longue, trop longue pour Augustin. Il descendit avec son fils jouer au foot avec les jeunes. Augustin revivait un peu. Sauf que Jules se fatiguait trop en jouant. Il rêvait d’aller à l’école. Jules César en parla à Roselyne. Celle-ci trouva que c’était une bonne idée, sauf qu’Augustin ne pouvait pas l’inscrire. Ce fut tante Rosie qui s’en occupa. Elle proposa, aussi, à Augustin d’aller voir une association africaine dans le quartier, afin qu’il se sentit moins seul. Ce fut ainsi qu’il se lia avec un membre, qui lui proposa une place de plongeur dans une pizzeria, le soir. Pourquoi pas, se dit-il. Jules César irait à l’école dans une quinzaine de jours, et lui ramènerait un peu d’argent pendant ce temps. Ils étaient des clandestins. La lenteur du dossier était insupportable. L’assistante sociale relança la couverture sociale pour Jules pour la greffe, ainsi qu’une autorisation provisoire pour soins pour tous les deux. Un jour, Jules eut de la fièvre. Une fistule devait lui être posée le plus vite possible pour faciliter les dialyses. Le dossier de prise en charge devait absolument être accepté pour cette intervention. L’intervention dût se faire dans l’urgence. Après celle-ci, Augustin annonça à Rosie qu’il allait partir, pour sauver Jules et son couple. La seule solution était que Rosie adopte Jules, si elle le voulait bien, afin que son fils puisse avoir une couverture sociale pour sa greffe. La situation se compliquait pour Rosie. Travailler et s’occuper de Jules en le portant régulièrement à l’hôpital serait une grande source de fatigue. Lorsque le vieux voisin de Rosie se proposa de l’aider à conduire Jules à l’école, puis à l’hôpital. Ce voisin était vieux et très malade, mais il était d’une aide extraordinaire pour Rosie et Jules. De plus Jules et Mr Jean Jean étaient devenus de très grands amis. Cet enfant était un rayon de soleil dans sa triste vie. Augustin était très inquiet, car il avait très peu de nouvelles de sa femme qui n’allait pas tarder à accoucher. Il devait absolument rentrer. Lorsqu’il eut son billet d’avion, il se connecta pour l’annoncer à sa femme, mais celle-ci était au plus mal et dût couper leur conversation. Augustin paniqua. La veille de son départ, l’assistante sociale lui annonça que le dossier de Jules avait été accepté. La greffe de rein pourrait, enfin, se faire. Mais comment cela allait-il se passer, si ce n’était pas lui qui donnait son rein à son fils ? Elle lui expliqua que Jules recevrait le rein d’une personne décédée. Pour Augustin, il n’en était pas question. Jules aurait le rein de son père qui était compatible. Cela ne se faisait chez eux de dépouiller ainsi les morts. Il devait, donc, rester pour sauver son fils. Augustin dut aller à l’hôpital pour subir des examens, et ainsi, confirmer sa vraie compatibilité avec son fils. En attendant les résultats, Rosie et Mr Jean Jean décidèrent de distraire le plus possible le père et le fils. Augustin fut compatible. La greffe était pour bientôt. Puis, le dossier bloqua à nouveau. Il fallait qu’il soit approuvé par le tribunal. Dieu que cette procédure était longue !!! Augustin angoissait, aussi, car il avait peur que le tribunal refuse. Augustin était un sans papiers… Très beau roman d’Anne Dauphine Julliand, très bien écrit, racontant, les démarches des patients en situation irrégulière. Cet auteur a écrit de nombreux romans sur les maladies des enfants, tous plus émouvants les uns que les autres. Ce roman est aussi plein d’émotion, entre un père et son fils, entre un très vieil homme malade et un enfant dont la vie ne tient qu’à un fil. Tous, dans le quartier connaissaient le ‘’mal’’ de Jules César, sans vraiment savoir quel ‘’mal’’. Mais, ça y était, Jules et son père, Augustin, partaient à Paris. A leur retour, Jules serait guéri. Augustin laissait sa femme enceinte et son fils aîné au pays. Jules César était dialysé depuis deux ans. Une greffe de rein devenait urgente pour la survie de Jules. Sauf qu’au Sénégal, les greffes ne se faisaient pas. La France avait été, alors, proposée aux parents de Jules, pour cette greffe. En arrivant à l’aéroport, tous deux se sentirent perdus, même si Jules était émerveillé par tout ce qu’il voyait. Augustin était très anxieux dans cette ville qu’il ne connaissait pas. Leur carte de séjour expirait dans neuf jours. Roselyne, une sénégalaise, comme eux, qui vivait en France depuis trente cinq ans, vint les chercher à l’aéroport. Ils seraient bien chez elle. Elle expliqua à Augustin qu’étant donné que Jules César n’aurait plus de dialyse, il fallait attendre l’urgence vitale pour le faire admettre à l’hôpital. Les effets du manque de dialyse commencèrent à se faire sentir dans le corps de Jules. Roselyne conduisit Jules César et son père aux urgences. Une fois à l’hôpital, Augustin devait, désormais,...
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