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La Cité de la joie
Date de parution : 06/01/2015
Éditeurs :
Pocket

La Cité de la joie

Date de parution : 06/01/2015

50 millions de lecteurs.
31 éditions internationales.
170 000 lettres de lecteurs enthousiastes.
Une superproduction cinématographique.
Une presse mondiale unanime.

La Cité de la joie
Un chant de fraternité et d’amour adressé au peuple le plus...

50 millions de lecteurs.
31 éditions internationales.
170 000 lettres de lecteurs enthousiastes.
Une superproduction cinématographique.
Une presse mondiale unanime.

La Cité de la joie
Un chant de fraternité et d’amour adressé au peuple le plus déshérité de la planète, en même temps qu’un reportage déchirant, un document unique sur la capacité des hommes à triompher...

50 millions de lecteurs.
31 éditions internationales.
170 000 lettres de lecteurs enthousiastes.
Une superproduction cinématographique.
Une presse mondiale unanime.

La Cité de la joie
Un chant de fraternité et d’amour adressé au peuple le plus déshérité de la planète, en même temps qu’un reportage déchirant, un document unique sur la capacité des hommes à triompher de la souffrance, de la misère et du malheur.

« La Cité de la joie est une leçon de foi et d'espoir pour le monde. » Jean-Paul II

« Un chef-d'œuvre. » Le Monde

La moitié des droits d'auteur de La Cité de la joie est envoyée aux déshérités de Calcutta.

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EAN : 9782266255356
Code sériel : 4178
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 672
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266255356
Code sériel : 4178
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 672
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • patricksavoye 22/02/2024
    La cité de la joie est un ouvrage bouleversant. Il relativise nos petites misères quotidiennes. On s’émerveille du courage et de l'altruisme de ces femmes et d’ hommes comme Mère Theresa, Paul Lambert, Shanta, Margareta et bien d’autres. C’est un livre riche d’enseignements, plein d'amour et de compassion, on pourrait toutefois regretter que certains chapitres nous laisse sur notre faim et le style soit un peu télégraphique (sans doute le chroniqueur qui prend le dessus). Dominique Lapierre est un grand écrivain, homme de terrain, journaliste, Il l’a démontré dans « cette nuit la liberté » Il n’hésite pas à donner de sa personne et à faire preuve d'une grande humanité. Sans sombrer dans le pathos, c’est plus qu’un livre, c’est un témoignage qui nous emmène en enfer ou peut-être au Nirvana.
  • Yogiquilit 20/02/2024
    Je me rappelais si peu du film tiré de ce livre que ce fût une claque. En arrivant à Calcutta je suis assaillie par la chaleur, les odeurs, la foule qui encombre les rues. Après Mère Teresa, j’ai entendu parler de ce prêtre qui vit au milieu des indigents, alors mes pas me mène vers ce bidonville dont le nom ferait presque rêver: La cité de la joie. Et avoir un toit même troué est un luxe que beaucoup non pas dans cette Calcutta des années 60-70. Ici je découvre une pauvreté sans nom dans une densité de population insoutenable pour moi qui déteste la foule. Ici on ne vit pas on survit, dans l’espoir de rentrer au village dont la sécheresse nous a chassé. Mais dans cette ville dans la ville qui s’est créée, avec ses commerces, ses usines, ses lieux de cultes, ses différents quartiers… j’y ai rencontré des gens qui donnent le peu qu’ils ont avec bonheur, qui s’entraident dès qu’il y a besoin, prêt à reconstruire ce qu’ils perdent cause météo ou brutalité humaine. Malgré les pieds dans la fange, ici vous baignez dans l’amitié, l’amour de l’autre, l’espoir et surtout la résilience, toujours accompagné d’un sourire éblouissant. Une sacrée leçon de vie. Je ne sais pas si la situation s’est vraiment améliorée pour cette classe de la société depuis toutes ces années mais respect à tous ces anges locaux ou étrangers qui veillent sur la population, que ce soit à Calcutta ou ailleurs dans le monde. Je me rappelais si peu du film tiré de ce livre que ce fût une claque. En arrivant à Calcutta je suis assaillie par la chaleur, les odeurs, la foule qui encombre les rues. Après Mère Teresa, j’ai entendu parler de ce prêtre qui vit au milieu des indigents, alors mes pas me mène vers ce bidonville dont le nom ferait presque rêver: La cité de la joie. Et avoir un toit même troué est un luxe que beaucoup non pas dans cette Calcutta des années 60-70. Ici je découvre une pauvreté sans nom dans une densité de population insoutenable pour moi qui déteste la foule. Ici on ne vit pas on survit, dans l’espoir de rentrer au village dont la sécheresse nous a chassé. Mais dans cette ville dans la ville qui s’est créée, avec ses commerces, ses usines, ses lieux de cultes, ses différents quartiers… j’y ai rencontré des gens qui donnent le peu qu’ils ont avec bonheur, qui s’entraident dès qu’il y a besoin, prêt à reconstruire ce qu’ils perdent cause météo ou brutalité humaine. Malgré les pieds dans la fange, ici vous baignez dans l’amitié, l’amour de l’autre, l’espoir et surtout la résilience, toujours accompagné d’un...
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  • david19721976 14/01/2024
    Une relecture de ce roman s'est imposée naturellement quelques années plus tard dans une fiction pour les personnages, sauf mère Thérèsa fondatrice de La cité de la joie, receuillant les plus démunis pour les soigner. La réalité catastrophique naturelle des moussons touchants régulièrement une partie des Indes causant la perte de nombreuses vies humaines, principalement à Calcutta où se passe l'histoire fait encore régulièrement la une des actualités internationales. La narration de l'auteur reste un chef d'œuvre de précisions dignes des grands reportages, et de l'histoire du pays. La géographie majestueuse des paysages montagneux, les forêts, les descriptions minutieuses nous font voyager dans les champs de cultures provinciaux offrant un répit aux cultivateurs et au lecteur. Les couleurs et les odeurs hélas ne suffisent pas à combler la grande pauvreté des habitants des villes, leurs difficultés pour se nourrir au jour le jour, survivre dans des petits boulots harassants mal rétribués, dans la violence et la crasse, travailler d'arrache pied parfois jusqu'a la mort afin d'offrir à leurs enfants un meilleur sort que celui des parents. La cohorte des miséreux est un crève cœur d'injustices jusqu'aux clans mafioso, les castes religieuses si nombreuses participants à des exactions de règlements de comptes criminelles sur les populations totalement démunies devant la cruauté des puissants. Nombreux sont les médecins et les humanitaires qui s'aventurent toujours dans les chaos d'un immense pays en voie de développement. Jamais un roman si bien écrit, un challenge extraordinairement compliqué dans la simplicité des phrases, une prouesse digne des grands classiques d'autrefois animés par les dialogues des protagonistes du roman, les mots choisis pour expliquer le quotidien de l'extrême pauvreté. Une authentique référence littéraire.Une relecture de ce roman s'est imposée naturellement quelques années plus tard dans une fiction pour les personnages, sauf mère Thérèsa fondatrice de La cité de la joie, receuillant les plus démunis pour les soigner. La réalité catastrophique naturelle des moussons touchants régulièrement une partie des Indes causant la perte de nombreuses vies humaines, principalement à Calcutta où se passe l'histoire fait encore régulièrement la une des actualités internationales. La narration de l'auteur reste un chef d'œuvre de précisions dignes des grands reportages, et de l'histoire du pays. La géographie majestueuse des paysages montagneux, les forêts, les descriptions minutieuses nous font voyager dans les champs de cultures provinciaux offrant un répit aux cultivateurs et au lecteur. Les couleurs et les odeurs hélas ne suffisent pas à combler la grande pauvreté des habitants des villes, leurs difficultés pour se nourrir au jour le jour, survivre dans des petits boulots harassants mal rétribués, dans la violence et la crasse, travailler d'arrache pied parfois jusqu'a la mort afin d'offrir à leurs enfants un meilleur sort que celui des parents. La cohorte des miséreux est un crève cœur d'injustices jusqu'aux clans mafioso, les castes religieuses si nombreuses participants...
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  • Oraskolnikov 13/11/2023
    Ce livre est une description de Calcutta via la vie d'un pousseur de risckshaw et d'un religieux qui a choisi de vivre au mileu des déshérités, des lepreux du bidonville surnommé la cité de la joie. Les drames, péripéties de la vie se succèdent avec des moments de fraternité malgré toutes les catastrophes qui s'abattent sur ces gens. Il ne s'agit pas je trouve d'un roman mais plutôt d'un livre documentaire sur Calcutta dans les années 60 grâce à une succession de témoignages, d'événements qui donnent un aperçu de la pauvreté et richesse de cette ville. Je ne mets que 3,5 car j'ai trouvé le style assez pauvre et certains chapitres mal construits même si le thème est émotionnellement fort. J'ai préféré du même auteur (avec un collaborateur), minuit 5 à Bhopal.
  • nadegedecremps 11/11/2023
    L'histoire d'un quotidien dans la misère, la mort et la crasse pourtant pétri d'humanité et de joie. C'est un livre que je n'ai pas quitté et qui figure parmi mes meilleures lectures. Parce qu'on y découvre l'Inde et un univers urbain cruel, précaire, touchant.
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