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La Cité de la joie
Date de parution : 06/01/2015
Éditeurs :
Pocket

La Cité de la joie

Date de parution : 06/01/2015

50 millions de lecteurs.
31 éditions internationales.
170 000 lettres de lecteurs enthousiastes.
Une superproduction cinématographique.
Une presse mondiale unanime.

La Cité de la joie
Un chant de fraternité et d’amour adressé au peuple le plus...

50 millions de lecteurs.
31 éditions internationales.
170 000 lettres de lecteurs enthousiastes.
Une superproduction cinématographique.
Une presse mondiale unanime.

La Cité de la joie
Un chant de fraternité et d’amour adressé au peuple le plus déshérité de la planète, en même temps qu’un reportage déchirant, un document unique sur la capacité des hommes à triompher...

50 millions de lecteurs.
31 éditions internationales.
170 000 lettres de lecteurs enthousiastes.
Une superproduction cinématographique.
Une presse mondiale unanime.

La Cité de la joie
Un chant de fraternité et d’amour adressé au peuple le plus déshérité de la planète, en même temps qu’un reportage déchirant, un document unique sur la capacité des hommes à triompher de la souffrance, de la misère et du malheur.

« La Cité de la joie est une leçon de foi et d'espoir pour le monde. » Jean-Paul II

« Un chef-d'œuvre. » Le Monde

La moitié des droits d'auteur de La Cité de la joie est envoyée aux déshérités de Calcutta.

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EAN : 9782266255356
Code sériel : 4178
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 672
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266255356
Code sériel : 4178
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 672
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • liervache 26/06/2023
    On passe par beaucoup d’émotions au fil des pages de ce livre passionnant, le dégoût, la colère, la lassitude, mais aussi l’espoir, l’amour, la joie. Dominique Lapierre nous partage son amour immodéré pour l’Inde et la culture indienne à travers plusieurs personnages attachants, dont les destins s’entremêlent. On apprend beaucoup sur ce pays, sa culture, ses religions, et surtout sa misère, l’intrigue se déroulant dans un bidonville de Calcutta, la Cité de la joie. Une lecture vivement conseillée, qui permettra de relativiser beaucoup de choses.
  • Boggey 15/02/2023
    Une grande découverte pour ma part. Il est vrai que je n’avais jamais lu ce livre. Un grand merci a myriam qui me l’a conseille il me restera a voir le film Que dire de ce récit ? Une leçon de vie, d’humilité. Ces paysans chassés de leurs terres qui ont du s’exiler a Calcutta dans un bidonville ont dû réinventer leur vie. D’ailleurs le quartier s’appelle « la cite de joie » première leçon. Avec rien , ces personnes sourient et conservent leur foi. Parmi eux un missionnaire français, qui souhaite vivre comme eux et ne pas être privilégié . Et second personnage très attachant Hasari Pal . Homme très courageux qui fait tout pour sa famille . Un magnifique récit qui comporte parfois des scènes dures mais une vraie lecture qui offre un moment en parenthèse. Il devrait être lu par tout le monde y compris par les amateurs de feel good et de développement personnel car il est un vrai « classique » d’humilité et d’humanité.
  • Nisrine77 01/02/2023
    Quel livre. Et dire que je ne l avais lu. Un livre rempli de courage de solidarité d'humanité dans un décor incroyablement terrifiant pour nous français. Quelle chance de vivre en France. Même si ce livre date de nombreuses années la situation d'est peut-être améliorée à Calcutta mais quelle vie ont tous ces Indiens. J'avais déjà notion qu'on était des privilégiés mais comment peut-on ressortir indemne d'un livre comme celui-ci .bien sûr je le recommande à 300%.#x1f64f
  • Lamifranz 21/09/2022
    « Les Saints vont en enfer » ce titre de Gilbert Cesbron pourrait servir de sous-titre à ce roman (si toutefois c’est un roman), magnifique témoignage d’amour, d’espérance et de charité (trois vertus « chrétiennes »), d’humilité, de sagesse, de tolérance et d’acceptation (vertus hautement humanistes toutes religions confondues). « La Cité de la joie » est un manifeste pour la défense de l’humain contre toutes les agressions extérieures, qu’elles soient naturelles, liées au climat, aux maladies, à la pauvreté, ou hélas humaines, liées principalement à la violence et à la corruption. Calcutta c’est « Enfer-sur-Terre ». Les statistiques (2011) donnent 4 millions et demi d’habitants et une densité de 21800 habitants au km2 ! Dans les années 1980, où se passe l’action, c’était un peu moins, sans doute, mais le drame de la surpopulation existait depuis des siècles. Avec tout ce que cela suppose comme effets catastrophiques. Et pourtant les gens vivent dans cet enfer, vivent et meurent, bien sûr, vivent ou survivent, dans des conditions que nous, nantis des pays occidentaux, avons peine à imaginer. Ce que nous montre Dominique Lapierre, c’est que ces gens, qui vivent dans l’extrême pauvreté, qui cohabitent avec les rats, les serpents et d’autres colocataires... « Les Saints vont en enfer » ce titre de Gilbert Cesbron pourrait servir de sous-titre à ce roman (si toutefois c’est un roman), magnifique témoignage d’amour, d’espérance et de charité (trois vertus « chrétiennes »), d’humilité, de sagesse, de tolérance et d’acceptation (vertus hautement humanistes toutes religions confondues). « La Cité de la joie » est un manifeste pour la défense de l’humain contre toutes les agressions extérieures, qu’elles soient naturelles, liées au climat, aux maladies, à la pauvreté, ou hélas humaines, liées principalement à la violence et à la corruption. Calcutta c’est « Enfer-sur-Terre ». Les statistiques (2011) donnent 4 millions et demi d’habitants et une densité de 21800 habitants au km2 ! Dans les années 1980, où se passe l’action, c’était un peu moins, sans doute, mais le drame de la surpopulation existait depuis des siècles. Avec tout ce que cela suppose comme effets catastrophiques. Et pourtant les gens vivent dans cet enfer, vivent et meurent, bien sûr, vivent ou survivent, dans des conditions que nous, nantis des pays occidentaux, avons peine à imaginer. Ce que nous montre Dominique Lapierre, c’est que ces gens, qui vivent dans l’extrême pauvreté, qui cohabitent avec les rats, les serpents et d’autres colocataires (à deux pattes, parfois) tout aussi dangereux, ces gens qui n’ont pas à manger, qui travaillent (quand ils ont un travail) au jour le jour, ces gens qui pataugent dans la boue dans la crainte des inondations, eh bien ces gens ne sont pas « malheureux » (au sens que nous donnons, chez nous, aux mots « bonheur » et malheur »). Ils ont une résilience qui leur fait accepter leur sort, avec résignation, certes, mais avec aussi confiance et espérance. Ce message est d’une portée incalculable L’histoire (bien que la narration ne soit pas le thème premier du livre) est celle d’une poignée de bénévoles, « saints » religieux ou laïcs qui se plongent au milieu de cette population dans le seul but d’aider et de soulager, sans rien attendre en retour : un prêtre français Paul Lambert, qui recherche la source même de sa vocation, plus proche de Vincent de Paul que de Bossuet, un jeune médecin américain, une infirmière, plusieurs Indiens dont un tireur de pousse-pousse, une poignée de héros du quotidien dont la raison de vivre est de soulager la misère du monde. Tâche immense, incommensurable, à la mesure de cette ville, de ce pays, de ce peuple où les dieux avoisinent avec les humains, où les traditions perdurent même au plus fort de la misère, où les traditions freinent la modernité mais n’empêchent pas de regarder l’avenir avec une sorte de sérénité dont nous, occidentaux, serions incapables. Calcutta pour tous ces personnages, est un lieu de rencontres. Peut-être même plus, un lieu d’osmose, ils se fondent dans cette population pour en épouser les joies et les peines, les déceptions et les espérances. C’est aussi le cas de l’auteur. Venu ici avec Larry Collins pour écrire « Cette nuit la liberté » il a eu le coup de cœur pour ce pays d’une richesse absolue en même temps que d’une pauvreté indicible, pays de contrastes tellement forts, pays surtout habité par un peuple multimillénaire, d’une immense profondeur spirituelle, qui le fait survivre au-delà de l’enfer terrestre où il est confiné. Ce que Dominique Lapierre a mis dans ce livre dépasse le travail du journaliste, du reporter, du romancier. C’est un chant d’amour pour un pays, un hymne à la vie, et tout en même temps, un appel à la tolérance universelle, à l’espérance, et à la paix. Un chef-d’œuvre, parmi les plus grands témoignages du XXème siècle, à lire absolument.
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  • LaetiF 06/05/2022
    Désireux de partager la souffrance des plus démunis, un prêtre français part pour Calcutta. Les premiers jours sont difficiles#133;. La vie dans un bidonville n'#146;a rien de commun avec celle que connaît l#146;'occidental au grand cœur. Il lui faudra du temps pour comprendre et apprécier les coutumes de ce pays. Mais la gentillesse et le dévouement des habitants de la cité de la joie l#146;'aideront à s'#146;adapter à sa nouvelle vie. Ce roman est tout simplement prodigieux ! L#146;'écriture, le style de les descriptions entraînent le lecteur dans cet univers si exotique qu'#146;est l#146;'Inde#133; sans jamais l#146;'ennuyer. Les personnages sont incarnés de façon admirable. L'#146;émotion qui se dégage de l#146;#156;'oeuvre est incomparable#133; et surprenante. En effet, l#146;'auteur réussit à nous émouvoir plus souvent par les joies que par les douleurs endurées par ces héros peu ordinaires. Dominique Lapierre met tout son talent au service des merveilles et des souffrances indiennes. Ce chef d#146;#156;'oeuvre m#146;'a énormément plu et beaucoup marquée. On ne ressort pas indemne de cette lecture.
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