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La Mémoire sous les vagues
Date de parution : 24/05/2018
Éditeurs :
Pocket

La Mémoire sous les vagues

Date de parution : 24/05/2018
Yukiko, une photographe franco-japonaise, vit à Tokyo. Après le séisme et le tsunami qui ravagent le pays ce 11 mars 2011, elle reste sans nouvelles de sa grand-mère maternelle qui... Yukiko, une photographe franco-japonaise, vit à Tokyo. Après le séisme et le tsunami qui ravagent le pays ce 11 mars 2011, elle reste sans nouvelles de sa grand-mère maternelle qui habite un petit village de pêcheurs. Rongée par l’inquiétude, elle décide alors de se rendre sur place. Commence pour elle... Yukiko, une photographe franco-japonaise, vit à Tokyo. Après le séisme et le tsunami qui ravagent le pays ce 11 mars 2011, elle reste sans nouvelles de sa grand-mère maternelle qui habite un petit village de pêcheurs. Rongée par l’inquiétude, elle décide alors de se rendre sur place. Commence pour elle la traversée d’un pays dévasté, la découverte de certains secrets de famille et la rencontre de l’amour.
Qui était exactement O Kanekichi, célèbre geisha qui divertissait les cercles d’Occidentaux à Yokohama dans les années 1860 ?
Malgré les cent cinquante ans qui les séparent, les deux femmes semblent liées… Et l’histoire de se répéter…

« Laurence Couquiaud a un réel talent pour décrire la nature, mariant précision botanique et lyrisme contenu. » Pierre-Michel Robert – La Vie
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EAN : 9782266281645
Code sériel : 17118
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 352
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266281645
Code sériel : 17118
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 352
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Laurence Couquiaud a un réel talent pour décrire la nature, mariant précision botanique et lyrisme contenu. » Pierre-Michel Robert, La Vie
 

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • yeroliote 07/01/2024
    Deux temporalités, la première, nous allons être en 2011 au Japon, un tsunami va faire de très gros dégâts et nous allons suivre une photographe qui va essayer de retrouver sa grand-mère et dans la deuxième, toujours au Japon nous sommes en fin 1800 où l'on suis la vie d'une jeune geisha. Alors, je suis plutôt mitigé par rapport à cette lecture, il y a de très beaux passages dans les deux temporalités, mais il ne se passe pas grand-chose, la plume est belle et on sent que l'autrice, c'est bien documenté pour nous raconter cette histoire, mais je n'en garderais pas un souvenir intarissable.
  • Marili71 05/07/2022
    Roman agréable, très bien écrit, bien documenté, bien construit. Dès les premières pages, on est happé par l'histoire, celles décrivant la catastrophe du 11mars 2011 - le tsunami - sont poignantes. Le récit en contrepoint nous fait découvrir le Japon de la fin du XIXe, l'ouverture au monde et la modernisation, les liens entre occidentaux expatriés et les japonais. Je regrette les deux romances (une pour chaque époque), cousue de fil blanc pour la contemporaine et vraiment trop racinienne pour celle du XIXe... Cela en fait un roman grand public, ça n'est pas pour autant méprisable... Comme c'est un livre que j'ai lu en parallèle avec un autre beaucoup plus complexe et exigeant (La plus secrète mémoire des hommes), il est venu comme une détente et une respiration. J'ai passé un bon moment, j'ai appris des choses... un bon livre pour l'été...
  • Sydouce 23/07/2021
    L’histoire débute le 11 mars 2011. Yukiko, dit Yuki, est journaliste. Elle se trouve dans son appartement tokyoïte lorsqu’un terrible tremblement de terre se produit. À ce moment précis, elle n’a pas conscience de ce que cela va engendrer. Nous connaissons malheureusement tous la suite : après le séisme, le tsunami et l’accident nucléaire qui s’ensuit. Après un rapide tour de son appartement pour évaluer les dégâts ainsi qu’une vérification auprès de ses voisins, elle décide de s’armer de son appareil photo et d’arpenter les rues d’un Tokyo encore sous le choc. En rentrant chez elle, et suite à un échange avec sa famille en France, elle allume son ordinateur afin de regarder les informations. Un peu hébétée par les images qui passent en boucle sur les chaînes internationales, elle va se rendre compte que la vague a frappé de plein fouet la côte où vit sa grand-mère. Cette dernière restant injoignable, Yuki va décider de partir, sans prendre le temps de réfléchir, en direction de chez sa mamie. Elle remplit sa voiture de vivres, d’objets de première nécessité et part sur les routes d’un Japon sinistré. Au départ, je pensais que l’histoire ne tournerait qu’autour de la catastrophe et c’est avec surprise que j’ai découvert une double temporalité et un retour dans les années 1860, à Yokohama, à l’heure où le Japon commençait à s’ouvrir au monde. Lors de nos sauts dans le temps, nous suivons, entre autres, le destin d’une célèbre geisha O Kanekichi ou Kane. Le moins que l’on puisse dire, c’est que le titre m’a laissé sur un avis plutôt partagé. Dès le début du livre, je me suis retrouvée en immersion totale tant les descriptions m’ont semblé criantes de réalisme. J’ai vraiment eu l’impression de me retrouver au cœur de la catastrophe et des conséquences qui ont suivi. J’ai aimé comment l’autrice nous dépeint la résilience et la pudeur dont les Japonais ont fait preuve durant les drames qui se sont joués en mars 2011. La partie historique de l’histoire est intéressante et m’a permis de découvrir un pan de l’histoire nippone qui m’était étranger. À contrario, je ne me suis pas attachée aux personnages, à deux exceptions près dont je ne peux vous parler sans spoiler une partie de l’histoire. Et surtout, malgré mon côté fleur bleue, je suis passée totalement à côté des romances présentes dans le titre. Laurence Couquiaud est une autrice dont je n’avais jamais entendu parler avant de découvrir “La mémoire sous les vagues”. Comme indiqué plus haut, j’ai trouvé la partie descriptive du récit particulièrement bien écrite et immersive. Le choix de la double temporalité avec l’alternance entre 2011 et 1863 est bien amené et apporte un réel plus à l’histoire. Le récit est fluide et les pages se tournent toutes seules, dommage vraiment que je ne me sois pas retrouvée dans la partie romantique du livre. Pour lire l'intégralité de mon avis, je vous invite à vous rendre sur le site --> https://www.fwiw.fr/livres-comics-mangas/la-memoire-sous-les-vagues/L’histoire débute le 11 mars 2011. Yukiko, dit Yuki, est journaliste. Elle se trouve dans son appartement tokyoïte lorsqu’un terrible tremblement de terre se produit. À ce moment précis, elle n’a pas conscience de ce que cela va engendrer. Nous connaissons malheureusement tous la suite : après le séisme, le tsunami et l’accident nucléaire qui s’ensuit. Après un rapide tour de son appartement pour évaluer les dégâts ainsi qu’une vérification auprès de ses voisins, elle décide de s’armer de son appareil photo et d’arpenter les rues d’un Tokyo encore sous le choc. En rentrant chez elle, et suite à un échange avec sa famille en France, elle allume son ordinateur afin de regarder les informations. Un peu hébétée par les images qui passent en boucle sur les chaînes internationales, elle va se rendre compte que la vague a frappé de plein fouet la côte où vit sa grand-mère. Cette dernière restant injoignable, Yuki va décider de partir, sans prendre le temps de réfléchir, en direction de chez sa mamie. Elle remplit sa voiture de vivres, d’objets de première nécessité et part sur les routes d’un Japon sinistré. Au départ, je pensais que l’histoire ne tournerait qu’autour de la catastrophe et...
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  • placedesbouquins 27/02/2021
    La thématique authentique et actuelle proposée par le roman, à savoir le séisme et le tsunami du 11 mars 2011, a tout d’abord été l’une des principales raisons qui m’a fait choisir cet ouvrage. En effet, je n’ai pas pris tout de suite conscience, à la lecture du résumé, de la dimension historique de ce roman. Après l’avoir lu, la poétique du titre prend tout son sens. « La Mémoire sous les Vagues ». Commençons par les vagues. Yukiko, une photographe franco-japonaise, vit entre le Japon et la France, ses deux cultures. Elle est à Tokyo lorsque survient le fameux tsunami qui va ravager les côtes nord-est du pays, faisant une des catastrophes les plus meurtrières du Japon. Angoissée pour sa grand-mère dont ils sont sans nouvelles, la voilà en route vers le petit village de pêcheurs où elle réside. Sur place, tout est dévasté, la maison familiale y compris. Commence alors son périple pour tenter de retrouver son aïeul, avec l’espoir qu’elle soit vivante. Vu comme cela, on pourrait penser à un livre très dur, bouleversant… Pourtant, c’est poétique, doux, habilement documenté qu’il en devient plutôt une invitation à la découverte de la culture de ce pays, à sa façon de faire face à l’adversité, à l’horreur. Car en parallèle, nous voici également dans un passé très lointain … Celui de la mémoire donc … Celui de la fin du gouvernement shogunal et du début de l’ère Meiji, où O Kanekichi, célèbre Geisha, divertissait les cercles d’Occidentaux à Yokohama … Qui est -elle ? Cela vous ne le saurez qu’à la fin … Mais l’histoire est somptueuse. On voyage donc dans le temps entre passés présents, où hier et aujourd’hui vont s’entremêler pour emmener le lecteur dans de belles histoires d’amour aux destins forcément liés. Le roman nous prend par la main, nous fait tantôt voyager dans la réalité, la fragilité de la vie, l’espoir, tantôt dans le souvenir, les secrets de familles, le temps d’avant … La plume de Laurence Couquiaud est astucieuse, éclairée, magique et raffinée. C’est une invitation à la rêverie, à la découverte. Une de ces plumes qui savent vous transporter loin, le temps de quelques pages. J’avais hâte de retrouver ce livre tous les soirs. À chaque fois, l’envie d’aller de découverte en découverte était là, le plaisir de connaître la suite, le lien entre les deux époques. J’ai accroché totalement à ces belles histoires familiales et ces histoires d’amour belles et réparatrices et pourtant parfois, à la fois, si dramatiques pour certaines. Alors, si vous aimez les plumes douces, méditatives ou encore la culture japonaise, comme moi, je ne saurais que trop vous conseiller ce livre qui m’a beaucoup plus. Le personnage de la grand-mère de Yukiko m’a beaucoup touché. Sa sagesse, sa sérénité, son humanisme et l’envie de transmettre l’héritage familial avant son dernier voyage … Mais en réalité, tous les personnages, sans exception résonnent encore en moi. Tout est simplement de toute beauté dans ce livre. Critique complète sur : www.placedesbouquins.com La thématique authentique et actuelle proposée par le roman, à savoir le séisme et le tsunami du 11 mars 2011, a tout d’abord été l’une des principales raisons qui m’a fait choisir cet ouvrage. En effet, je n’ai pas pris tout de suite conscience, à la lecture du résumé, de la dimension historique de ce roman. Après l’avoir lu, la poétique du titre prend tout son sens. « La Mémoire sous les Vagues ». Commençons par les vagues. Yukiko, une photographe franco-japonaise, vit entre le Japon et la France, ses deux cultures. Elle est à Tokyo lorsque survient le fameux tsunami qui va ravager les côtes nord-est du pays, faisant une des catastrophes les plus meurtrières du Japon. Angoissée pour sa grand-mère dont ils sont sans nouvelles, la voilà en route vers le petit village de pêcheurs où elle réside. Sur place, tout est dévasté, la maison familiale y compris. Commence alors son périple pour tenter de retrouver son aïeul, avec l’espoir qu’elle soit vivante. Vu comme cela, on pourrait penser à un livre très dur, bouleversant… Pourtant, c’est poétique, doux, habilement documenté qu’il en devient plutôt une invitation à la découverte de la culture de ce pays, à sa façon de...
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  • garancesolveg 19/02/2021
    Ce livre est un énorme coup de cœur. Il nous fait suivre en alternance Yukiko, une photographe franco-japonaise à la recherche de sa grand-mère, dont elle est sans nouvelles depuis le tsunami du 11 mars 2011, et Kané, geisha à Yokohama dans les années 1860. Kané réalise un mariage d'amour en épousant Charles, un photographe anglais. Mais peu après leur mariage, un terrible évènement s'abat sur la jeune femme, un lourd secret qu'elle portera des décennies. L'écriture de Laurence C. est superbe, pleine de grâce et de poésie. Ce roman m'a émue aux larmes, tant les personnages sont attachants et humains, tant le livre est porteur de valeurs profondément humanistes. Et il m'a littéralement transportée au Japon, dans ses paysages sublimes, cette culture si particulière et cette nature fragile et dangereuse... Ce roman est enfin l'occasion d'en apprendre plus sur la désastreuse gestion de la catastrophe nucléaire par les autorités japonaises et sur l'ostracisme qui s'est abattu sur les victimes, passé la solidarité des premiers jours.
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