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La Nymphe endormie
Johan-Frédérik Hel Guedj (traduit par)
Date de parution : 01/04/2021
Éditeurs :
Pocket

La Nymphe endormie

Johan-Frédérik Hel Guedj (traduit par)
Date de parution : 01/04/2021
Que cache La Nympe endormie, ce tableau magnifique, mais peint avec du sang?
Derrière la beauté bouleversante du tableau La Nymphe endormie se cache l’horreur : au lieu de peinture, l’artiste a utilisé du sang. Voilà ce qui lance la commissaire Teresa Battaglia... Derrière la beauté bouleversante du tableau La Nymphe endormie se cache l’horreur : au lieu de peinture, l’artiste a utilisé du sang. Voilà ce qui lance la commissaire Teresa Battaglia sur la piste d’un meurtre commis soixante-dix ans plus tôt, dans les derniers jours de la Seconde Guerre mondiale. Une... Derrière la beauté bouleversante du tableau La Nymphe endormie se cache l’horreur : au lieu de peinture, l’artiste a utilisé du sang. Voilà ce qui lance la commissaire Teresa Battaglia sur la piste d’un meurtre commis soixante-dix ans plus tôt, dans les derniers jours de la Seconde Guerre mondiale. Une enquête ne comportant ni corps ni scène de crime, ni suspect ni témoin. Rien qu’une trace génétique que Teresa remonte jusqu’à une vallée isolée et mystérieuse du nord de l’Italie, le Val Resia, protégée depuis des siècles par un isolement presque absolu, et dont les habitants partagent des croyances étranges et ancestrales. Un mystère qui plonge au cœur des mémoires, d’autant plus épais quand celles-ci défaillent…
 
« Un cold case qui donne froid dans le dos. » Marie-Claire
 
« Ilaria Tuti n’a pas créé un personnage mais une vraie personne. Teresa Battaglia est plus qu’une héroïne de roman : c’est une lumière pleine d’ombre, qui prend place dans notre cœur. Inoubliable. » Corriere della Serra

 
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EAN : 9782266311946
Code sériel : 18058
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 656
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266311946
Code sériel : 18058
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 656
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

Un « cold case » qui donne froid dans le dos.
Marie Claire

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • lalahat 19/11/2023
    Ilaria Tuti se confie sur ernestmag.fr: “L’écrivain n’a pas des choses à dire, mais des émotions à donner”. Je la découvre avec La nymphe endormie, et, en effet, le récit est chargé en émotions. Son écriture, très soignée, comporte de belles descriptions de lieux – entre autres celle d'un asile psychiatrique désaffecté –, d'œuvre d'art - La nymphe endormie -, et de personnages. L'émotion est omniprésente. Comme dans tout bon policier, l'auteur place au centre du roman un couple de flics bien particulier. Teresa Battaglia, commissaire, est une sexagénaire fragile et vulnérable, qui voit arriver les premiers effets d'un Alzheimer précoce. Son acolyte, l'inspecteur Massimo Marini, est, lui, trentenaire, et non moins tourmenté par un élément de sa vie qui impacte terriblement ses relations personnelles. Teresa le malmène quelque peu, mais sa figure maternelle apporte une dimension particulière à leur relation. Si Ilaria Tuti creuse la psychologie de ses personnages, elle construit aussi son récit avec soin, afin de ménager mystère et suspense. Les chapitres sont courts, et heureusement, car il faut tenir sur la longueur. Le roman comprend tout de même plus de 600 pages. Elle ménage des ruptures dans le fil du récit, avec retours en arrière, en 1945, ou encore des scènes qui paraissent impromptues mais trouveront leur sens à posteriori, on n'en doute pas. Il y a aussi des extraits du journal de Teresa. Les rebondissements apportent quelques accélérations au récit qui n'est jamais monotone. Tout cela demande une attention particulière du lecteur. Ilaria Tuti incite à une lecture "active". Le val de Resia a une haute importance dans l'histoire, puisque les origines de la nymphe endormie y résident. Il s'agit d'une région proche de la frontière slovène. Ses habitants présentent une identité bien spécifique, avec leur langue et leurs coutumes. Si les Résiens sont officiellement une minorité slovène en Italie, nombre d'entre eux revendiquent leur différence et ne souhaite pas être assimilés. Ilaria Tuti connaît bien la région. Elle vit à Gemona del Friuli, qui n'en est pas très éloigné. La musique est assez présente dans le roman. Elle est légère au début, avec Fly me to the moon de Sinatra. Elle se fait beaucoup plus forte et tonitruante avec la sonate du trille du diable de Tartini. Le chant de la berceuse ancienne que fredonne Krisnja a, lui, quelque chose de mystique. Il participe à la dramatisation du récit. Ilaria Tuti aborde de nombreux thèmes : maternité et paternité impossibles, mémoire et oubli, ravages de la guerre, croyances et magie. Elle établit un jeu de correspondances et d'échos entre les histoires de ses personnages. Tout cela contribue à faire de son roman une œuvre dense et riche en informations. Ilaria Tuti se confie sur ernestmag.fr: “L’écrivain n’a pas des choses à dire, mais des émotions à donner”. Je la découvre avec La nymphe endormie, et, en effet, le récit est chargé en émotions. Son écriture, très soignée, comporte de belles descriptions de lieux – entre autres celle d'un asile psychiatrique désaffecté –, d'œuvre d'art - La nymphe endormie -, et de personnages. L'émotion est omniprésente. Comme dans tout bon policier, l'auteur place au centre du roman un couple de flics bien particulier. Teresa Battaglia, commissaire, est une sexagénaire fragile et vulnérable, qui voit arriver les premiers effets d'un Alzheimer précoce. Son acolyte, l'inspecteur Massimo Marini, est, lui, trentenaire, et non moins tourmenté par un élément de sa vie qui impacte terriblement ses relations personnelles. Teresa le malmène quelque peu, mais sa figure maternelle apporte une dimension particulière à leur relation. Si Ilaria Tuti creuse la psychologie de ses personnages, elle construit aussi son récit avec soin, afin de ménager mystère et suspense. Les chapitres sont courts, et heureusement, car il faut tenir sur la longueur. Le roman comprend tout de même plus de 600 pages. Elle ménage des ruptures dans le fil du récit, avec retours en arrière, en 1945,...
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  • DelfDelf 29/10/2023
    Un roman qui peut décourager de par son nombre de pages mais non ... un livre dans lequel on est plongé du début jusqu'à la fin. Les pages défilent à vitesse grand V car il se passe toujours quelque chose. Le suspens est présent à 100% dans ce polar admirablement construit.
  • Carobibliophile 05/10/2023
    Quand je lis un THRILLER je m'attend toujours à le dévorer au rythme effrainé d'une intrigue captivante. La nymphe endormie est une INTRIGUE CAPTIVANTE c'est certain, cependant il m'a fallu beaucoup de temps pour le lire parce que j'ai trouvé le rythme bien plus lent que ce à quoi je m' attendais et j'ai souvent posé le livre par lassitude. Il est pourtant GÉNIAL ce roman. Thérèsa est un PERSONNAGE INCROYABLEment humain et réaliste, la psychologie qu'il a fallu pour lui faire prendre vie ne laisse aucun doute sur le TALENT de l'autrice. L' intrigue est vraiment bien écrite, riche de détails et le travail de documentation est évident. Pourquoi ce problème de rythme ? Je ne sais pas. J'en ai parlé avec doudou qui lis " sur le toit de l' enfer" et qui ressent aussi cette petite frustration d' intensité. Peut-être que l'on s' est trop habitué à des thrillers plus rythmés ? En tout cas la lecture reste agréable pour ce roman à suspense captivant.
  • Anmoon 16/09/2023
    Nous partons en Italie, dans les montagnes du nord du Frioul, à la frontière avec le Slovénie, dans le Val Resia, en compagnie d'une femme commissaire : Teresa Battaglia, soixantenaire, diabétique, et à la mémoire un peu fantasque. Dans ce deuxième opus de la série, la commissaire et son équipe vont devoir faire front à plusieurs niveaux : en interne, tout d’abord, leur brigade étant menacée, dans le cadre de l’enquête, ensuite, puis à titre personnel. Ilaria Tuti a un talent certain pour la description, que ce soit celle des paysages ou celle des démons qui habitent les acteurs de ses romans. C'est une excellente conteuse, ce que je trouve assez rare dans un policier/thriller. J'irais même jusqu'à dire qu'elle nous propose une forme de poésie dans son histoire. Bref... j'ai adoré cette deuxième découverte d'elle et ce livre est carrément un coup de cœur pour moi.
  • Maryzou 29/07/2023
    Je m’étais réservé la lecture de ce roman pour ma première semaine de vacances. Quel plaisir de renouer avec le commissaire Teresa Battaglia et de les suivre, elle et son équipe, dans cette deuxième aventure! Cette fois-ci, l’élément déclencheur est la découverte d’une toile peinte à la fin de la Deuxième Guerre mondiale avec du sang humain. Bien que le crime remonte à plus de soixante-dix ans, le commissaire Battaglia se voit confier la mission délicate de découvrir l’identité de la victime et celle du meurtrier. On réalise tout au long de l’enquête que le commissaire Battaglia a de plus en plus de difficultés à percer les brumes laissées par la maladie dans sa mémoire. Heureusement, elle peut compter sur les membres de son équipe qui lui sont totalement dévoués. D’ailleurs, j’ai été heureuse de voir que Teresa et Massimo développaient une relation … plus harmonieuse. Comme cela a été le cas lors de la lecture du roman « Sur le toit de l’enfer », plusieurs passages m’ont touchée. Ce roman de plus de six-cents pages comporte quelques longueurs. Je me suis également un peu égarée dans certains passages où la réalité et le mysticisme s’entrecroisaient. Mais rien pour m’enlever le gout de lire les deux derniers romans de la série.Je m’étais réservé la lecture de ce roman pour ma première semaine de vacances. Quel plaisir de renouer avec le commissaire Teresa Battaglia et de les suivre, elle et son équipe, dans cette deuxième aventure! Cette fois-ci, l’élément déclencheur est la découverte d’une toile peinte à la fin de la Deuxième Guerre mondiale avec du sang humain. Bien que le crime remonte à plus de soixante-dix ans, le commissaire Battaglia se voit confier la mission délicate de découvrir l’identité de la victime et celle du meurtrier. On réalise tout au long de l’enquête que le commissaire Battaglia a de plus en plus de difficultés à percer les brumes laissées par la maladie dans sa mémoire. Heureusement, elle peut compter sur les membres de son équipe qui lui sont totalement dévoués. D’ailleurs, j’ai été heureuse de voir que Teresa et Massimo développaient une relation … plus harmonieuse. Comme cela a été le cas lors de la lecture du roman « Sur le toit de l’enfer », plusieurs passages m’ont touchée. Ce roman de plus de six-cents pages comporte quelques longueurs. Je me suis également un peu égarée dans certains passages où la réalité et le mysticisme s’entrecroisaient. Mais rien pour m’enlever le gout de...
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