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La voleuse de livres
Marie-France Girod (traduit par)
Date de parution : 19/01/2017
Éditeurs :
Pocket jeunesse

La voleuse de livres

Marie-France Girod (traduit par)
Date de parution : 19/01/2017

C’est la Mort elle-même qui raconte cette histoire. Dotée d’un humour noir, sarcastique, mais compatissant,  elle est témoin de la folie des hommes. Tout  semble perdu d’avance, sauf quand se distinguent des enfants rebelles et des Allemands qui n’obéissent pas aux règles…

EAN : 9782266248266
Code sériel : 2648
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 640
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266248266
Code sériel : 2648
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 640
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • MarieClaire_Wilhelm 23/02/2024
    La voleuse de livres est une belle histoire sur une jeune fille allemande pendant la 2e guerre mondiale. Il est bien écrit et émouvant. La narratrice est la mort elle-même qui sait déjà tout avant nous et ne peut s'empêcher de nous donner des indices sur les événements à venir... qui sont souvent bien tristes en pleine guerre. Ce livre met également en avant le pouvoir des mots, celui de détruire et celui de permettre de vivre.
  • Douceurplume 08/02/2024
    Chers lecteurs, aujourd'hui je t'écris à toi de ce livre pas comme les autres. Je vais tacher de te raconter cette histoire et de te donner envie comme m'a donné envie ma cousine de le sortir de ma pal alors qu'il y dormait depuis... Une éternité ? Probablement, mais le narrateur connaît, l'éternité, puisqu'il s'agit de la mort. La mort, cette chose curieuse qui semble sinistre. Dis comme ça, en effet, cela peut paraître glauque au premier abord mais en toute franchise, absolument pas et c'est justement ça qui a fait que j'ai adoré cette lecture. La mort raconte l'histoire de cette toute jeune fille Liesel, la voleuse de livre. Et toi, tu découvres, de page en page son histoire, qui n'est vraiment pas toute rose, tu t'attaches donc à elle. Le commencement des vols de livre, son entourage. La mort, cette chose imprévisible va même prendre un malin plaisir à ajouter de l'humour. L'histoire de Liesel ne ressemble pas aux autres que j'ai pu lire sur la 2nd Guerre Mondiale. Car, nous sommes en plein cœur de sa vie à elle, loin des camps, et dans les yeux d'une fillette naïve. J'ai beaucoup aimé ce livre, mais vraiment la narration est pour moi l'élément qui a su me captiver. Alors si tu recherches un roman sur la 2nd Guerre Mondiale, qui change si je puis dire, et qui arrive à te faire sourire par moment et pleurer aussi je te le recommande chaudement. Bien à toi, DouceurPlume. Chers lecteurs, aujourd'hui je t'écris à toi de ce livre pas comme les autres. Je vais tacher de te raconter cette histoire et de te donner envie comme m'a donné envie ma cousine de le sortir de ma pal alors qu'il y dormait depuis... Une éternité ? Probablement, mais le narrateur connaît, l'éternité, puisqu'il s'agit de la mort. La mort, cette chose curieuse qui semble sinistre. Dis comme ça, en effet, cela peut paraître glauque au premier abord mais en toute franchise, absolument pas et c'est justement ça qui a fait que j'ai adoré cette lecture. La mort raconte l'histoire de cette toute jeune fille Liesel, la voleuse de livre. Et toi, tu découvres, de page en page son histoire, qui n'est vraiment pas toute rose, tu t'attaches donc à elle. Le commencement des vols de livre, son entourage. La mort, cette chose imprévisible va même prendre un malin plaisir à ajouter de l'humour. L'histoire de Liesel ne ressemble pas aux autres que j'ai pu lire sur la 2nd Guerre Mondiale. Car, nous sommes en plein cœur de sa vie à elle, loin des camps, et dans les yeux d'une fillette naïve. J'ai beaucoup aimé ce livre, mais vraiment la...
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  • Brigitte91 05/02/2024
    Une de mes lectures préférées . On ne sort pas indemne de ce livre . Une histoire bouleversante . Le nazisme vu du côté allemand par une fillette qui fera tout pour sauver un juif qui l’aidera aussi à exploiter son talent pour l’écriture . La narratrice est originale mais on s’y fait très vite . Le livre est très bien écrit et on a hâte de l’ouvrir pour avancer dans l’histoire.
  • CamillePB38 24/01/2024
    J’ai longtemps hésité à abandonner. Je suis passionnée de cette période de l’histoire de France et d’Allemagne. Mais je n’ai pas été emporté par la lecture et ce fut long… trop long… plus d’un mois pour le lire. Ce n’était peut être pas la bonne période. Et des éléments de l’histoire qui restent flous, pour lesquels je n’ai pas de réponses ou alors est ce moi qui n’est pas assimilé… bref je commence l’année sur une déception
  • Mamyfran 15/01/2024
    « La voleuse de livres » m’a donné un livre. En fait ? Non, elle m’a confié une histoire… son insolite histoire ! Celle d’une petite fille de neuf ans en 1939, Liesel Memminger que sa mère, acculée par la misère, fut contrainte d’abandonner à un vieux couple aux maigres revenus de la cité de Molching, près de Munich : Rosa et Hans Hubermann. Autant la première se distingue par son manque de distinction, autant le second regorge de générosité et de tendresse. Liesel aurait dû être accompagnée de son jeune frère mais celui-ci est décédé dans le train pendant le voyage et a été enterré à la hâte. Lors des funérailles, l’un des fossoyeurs perd malencontreusement un livre. Liesel s’en est emparé subrepticement et, malgré le fait qu’elle ne sache pas lire, elle prend conscience que la valeur des mots dérobés constitue un trésor inestimable. Alors ? Moi qui d’habitude ne me laisse pas emporter par des récits relatifs à la seconde guerre mondiale (le souvenir d’avoir lu « Le journal d’Anne Frank » trop jeune peut-être…), j’ai littéralement été envoutée par ce roman. Pour quels motifs ? Diverses raisons expliquent mon attachement à cette lecture. D’une part, il y a bien sûr le fil conducteur de l’histoire : l’attachante héroïne. Liesel, qui doit apprendre à évoluer dans sa nouvelle vie, en pleine montée du nazisme, vivant sous le toit de parents nourriciers avec qui elle entretient d’étranges rapports. Et puis les liaisons ambigües, amicales, inattendues qu’elle entretient avec le jeune Rudy, un jeune allemand qui rêve de devenir Jesse Owens, puis avec Max, le boxeur juif caché dans leur cave… et tant d’autres rencontres tellement belles. Les thèmes abordés sont classiques : amour filial, nazisme, antisémitisme… mais exploités par l’auteur Marcus Zusak, ils débordent de leur cadre primitif et ouvrent des perspectives bien plus originales : hasard, chance, fatalité, destin… ainsi que le secret, le silence, le pouvoir de l’expression. Une merveille de la littérature ! L’aspect le plus insolite qui déroute dès les premières lignes lues, c’est le narrateur (ou plutôt la narratrice !) car celle qui raconte l’histoire de Liesel, c’est la Mort. Et cette Mort présente plus d’humanité que certains vivants : triste car lucide, elle nous confie ses visions hautes en couleurs et ses états d’âme. Autre bizarrerie drôlement astucieuse pour capter l’intérêt, c’est le découpage du texte en 10 parties présentant les titres des sous-divisions à venir. Notre curiosité est ainsi attisée et ce sentiment d’être happé est encore renforcé par les interventions empreintes d’ironie de la narratrice. « La voleuse de livres » ne trouve pas sa place, à mon avis, dans les romans historiques. J’assimile davantage ce récit à une fable philosophique, tantôt cruelle de vérité, tantôt désarmante de douceur, toujours dans le paradoxe et la poésie. Poésie des mots, des expressions, jeux de métaphores démontrent toute la sensibilité et la sagacité de l’auteur. L’intérêt de l’ouvrage réside donc essentiellement dans le talent de Marcus Zusak qui a construit autour de sa protégée une œuvre que je classe dans le top 10 de mes lectures, tellement c’est original et bien écrit.« La voleuse de livres » m’a donné un livre. En fait ? Non, elle m’a confié une histoire… son insolite histoire ! Celle d’une petite fille de neuf ans en 1939, Liesel Memminger que sa mère, acculée par la misère, fut contrainte d’abandonner à un vieux couple aux maigres revenus de la cité de Molching, près de Munich : Rosa et Hans Hubermann. Autant la première se distingue par son manque de distinction, autant le second regorge de générosité et de tendresse. Liesel aurait dû être accompagnée de son jeune frère mais celui-ci est décédé dans le train pendant le voyage et a été enterré à la hâte. Lors des funérailles, l’un des fossoyeurs perd malencontreusement un livre. Liesel s’en est emparé subrepticement et, malgré le fait qu’elle ne sache pas lire, elle prend conscience que la valeur des mots dérobés constitue un trésor inestimable. Alors ? Moi qui d’habitude ne me laisse pas emporter par des récits relatifs à la seconde guerre mondiale (le souvenir d’avoir lu « Le journal d’Anne Frank » trop jeune peut-être…), j’ai littéralement été envoutée par ce roman. Pour quels motifs ? Diverses raisons expliquent mon attachement à cette lecture. D’une part, il y a bien sûr le fil...
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