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L'Art d'aimer
Jean-Louis Laroche (traduit par), Françoise Tcheng (traduit par)
Collection : Évolution
Date de parution : 17/11/2016
Éditeurs :
Pocket

L'Art d'aimer

Jean-Louis Laroche (traduit par), Françoise Tcheng (traduit par)
Collection : Évolution
Date de parution : 17/11/2016
Erich FROMM (1900-1980) est un éminent psychanalyste, membre de l’École de Francfort.

Assoiffés d'amour, nous vivons tous dans l'idée romantique qu’il  va nous tomber dessus sans crier gare. Mais parce que...
Erich FROMM (1900-1980) est un éminent psychanalyste, membre de l’École de Francfort.

Assoiffés d'amour, nous vivons tous dans l'idée romantique qu’il  va nous tomber dessus sans crier gare. Mais parce que nous cherchons l’amour comme une marchandise, parce que nous sommes aussi impatients que consuméristes, nous passons à côté de l’art...
Erich FROMM (1900-1980) est un éminent psychanalyste, membre de l’École de Francfort.

Assoiffés d'amour, nous vivons tous dans l'idée romantique qu’il  va nous tomber dessus sans crier gare. Mais parce que nous cherchons l’amour comme une marchandise, parce que nous sommes aussi impatients que consuméristes, nous passons à côté de l’art même d’aimer. Erich Fromm nous montre que l’amour est un art qui s’apprend. Aimer c’est prendre conscience de sa place dans la société, c'est comprendre qu'en se tournant vers l'autre, on explore ses propres ressources ; c'est aussi, paradoxalement, réaliser que c'est en s'aimant soi-même qu'on se rend libre.
Accessible, profondément humaniste, L'Art d'aimer est un ouvrage majeur, un classique indispensable.

« Pour Erich Fromm, l'amour au sens large (filial, érotique ou encore amical) doit se concevoir comme un art, et nécessite donc un apprentissage tout autant qu'une pratique. Mais au-delà d'une initiation, ce classique, publié en 1956 aux États-Unis, est avant tout une réponse à nos difficultés à vivre ensemble. L'amour, nous dit-il, “est le plus puissant dynamisme de l'homme...”. D'une inaltérable actualité. » Psychologies

 
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EAN : 9782266268905
Code sériel : 16682
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 192
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266268905
Code sériel : 16682
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 192
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« D'une inaltérable actualité. » Psychologies
« Accesible, profondément humaniste, L’Art d’aimer est un ouvrage majeur, un classique indispensable, plus que jamais en résonnance avec notre époque » Eklectic-librairie
« Un livre de référence ! Si nous devions n’avoir qu’un livre qui traite de l’amour, ce serait sans doute L’Art d’aimer d’Erich Fromm » Etats-d-esprit
 

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • DlivresThomas 16/05/2021
    Ce livre est assez multiple. De par son exploration dans les diverses façons d'aimer, mais aussi dans les repères utilisés. L'auteur expose globalement sa théorie de l'amour qui doit se pratiquer comme un art. On y trouve des références de plusieurs philosophes pour accompagner la philosophie de Fromm, même si l'on comprend vite que la religion lui sert de base. Le bémol est qu'il fait du bon fonctionnement d'une métaphore souvent un argument de démonstration. De plus, les parents contemporains devraient tous lire, pour commencer, l'analyse sur l'amour de l'enfant et l'éducation. Il ne semble pas que la bien-pensance fasse aujourd'hui souvent référence à l'auteur... Et magnifique dernière partie où, en bon philosophe, il termine par la mise en pratique... ________________ Ma pensée en terminant le livre : "Un ouvrage philosophique intéressant..." ________________ Bonne lecture... 🌻
  • Sersch 15/08/2020
    M'a été offert il y a quarante ans par une chère amie. Ouvrage qui a changé définitivement ma vie : passage de la rêverie attentiste vers l'âge adulte. Offert à plusieurs reprises, mais la plupart (euphémisme...) n'ont pas su y comprendre la DIFFÉRENCE ENTRE UN ÉTAT ET UNE PRATIQUE ! Pas la peine de le lire donc vous y attendez des réponses toutes faites, alors que la philosophie est un art de vivre.
  • Neshouma 04/01/2020
    une argumentation audacieuse et talentueuse qui s'attaque au consumérisme et au capitalisme sans passer par les cases 'socialisme', 'égalité', 'lutte des classes', 'domination de l'homme par l'homme'.
  • Nayac 07/11/2018
    Un essai sérieux: pas de recettes, une vue large, sans imposer 500 pages. Seul reproche (mais c’est certainement le prix de la concision) : certaines affirmations sont peu étayées. La thèse centrale est que le bonheur se construit, de même qu’une oeuvre artistique n’est pas le résultat d’une illumination soudaine, le fruit du hasard, mais le résultat d’un véritable travail nécessitant implication, persévérance, à l’opposé de l’expression “tomber amoureux(se)”. Incidemment, cela permet à Erich Fromm de ramener le coup de foudre à … quasiment un épiphénomène fugace et qui ne saurait en rien être l’amour… J’ai eu un peu peur au début du livre, quand l’auteur prend une définition de l’amour très large, de part le risque peut être d’éparpiller le raisonnement. Mais en fait malgré cette définition large, et au delà du message principal, cela permet à l’auteur de proposer des points de vue qui méritent de s’y attarder. Notamment, une thèse centrale est le besoin de chaque être humain de découvrir l’autre ou les autres toujours plus en détail afin d’échapper à une solitude insupportable: “si notre expérience de l’autre personne atteignait plus de profondeur, si nous étions capables de nous ouvrir à son infinité, elle ne nous serait jamais aussi familière- et le miracle consistant à surmonter les barrières pourrait chaque jour se renouveler”. Ce postulat et ses conséquences peuvent d'ailleurs amener logiquement que l’amour n’est en fait en rien spécifique, presque de le banaliser: finalement il n’est qu’un des moyens , aux côtés de la création artistique, de la recherche des relations que crée le conformisme, des états “orgiastiques”, à échapper à la solitude (Erich Fromm ne mentionne pas les aspects reconnaissance, étonnamment). Incidemment le raisonnement amène à une séparation très de l’amour nette du désir sexuel (Freud est égratigné à plusieurs reprises!), séparation qu’il tente in extremis de relativiser tant elle paraît trop radicale à l’auteur lui même. Certains passages m’ont paru moins convaincants comme l’amour de Dieu et la foi, ou comme l' incompatibilité entre système économique et amour. Mais ils ne doivent en aucun cas dissuader un(e) babelionaute intéressé par la thématique de lire cet ouvrage. Un essai sérieux: pas de recettes, une vue large, sans imposer 500 pages. Seul reproche (mais c’est certainement le prix de la concision) : certaines affirmations sont peu étayées. La thèse centrale est que le bonheur se construit, de même qu’une oeuvre artistique n’est pas le résultat d’une illumination soudaine, le fruit du hasard, mais le résultat d’un véritable travail nécessitant implication, persévérance, à l’opposé de l’expression “tomber amoureux(se)”. Incidemment, cela permet à Erich Fromm de ramener le coup de foudre à … quasiment un épiphénomène fugace et qui ne saurait en rien être l’amour… J’ai eu un peu peur au début du livre, quand l’auteur prend une définition de l’amour très large, de part le risque peut être d’éparpiller le raisonnement. Mais en fait malgré cette définition large, et au delà du message principal, cela permet à l’auteur de proposer des points de vue qui méritent de s’y attarder. Notamment, une thèse centrale est le besoin de chaque être humain de découvrir l’autre ou les autres toujours plus en détail afin d’échapper à une solitude insupportable: “si notre expérience de l’autre personne atteignait plus de profondeur, si nous étions capables de nous ouvrir à son infinité, elle ne nous serait jamais aussi familière- et...
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  • colimasson 03/04/2017
    Erich Fromm est un psychologue humaniste ou positiviste, je ne sais plus, mais vous voyez le genre. En d'autres termes, il pense que la séparation de l'homme d'avec lui-même et d'avec les autres est la conséquence d'un péché qui s'appelle névrose, tout contingent donc, et que ce péché peut être surmonté avec un peu de bonne volonté tirée d'un manuel et de quelques paroles encourageantes. Ce type d'approche, toute humaniste qu'elle soit, conduit en réalité à se forger une humeur sombre et morose : toute la meilleure volonté du monde ne suffit pas en effet à atteindre l'idéal qu'elle décrit. Nous nous sentons abattu, et nos meilleures convictions ont chu, nous emportant dans leur sillon. Erich Fromm avance quelques thèses sur l'amour qui ne sont pas inintéressantes. L'amour commence selon lui lorsque nous sommes capables d'aimer plutôt que d'être aimé. Il nous enjoint à ne pas croire que le déficit d'amour concerne l'objet mais il nous encourage plutôt à nous interroger sur notre capacité à aimer. Enfin, il estime que l'amour ne devrait pas être un besoin mais ce qui vient de surcroît, confirmant ainsi le fameux dicton : charité bien ordonnée commence par soi-même. Pour aussi juteuses que soient ces injonctions, pleines d'un bon sens que personne ne saurait critiquer, il les fonde sur des arguments qui sont plus moraux que logiques. Nous ne sommes donc pas surpris de le voir s'égarer dans des considérations portant sur la difficulté de concilier amour et capitalisme, vantant au passage un matriarcat fantasmé, ou de faire l'éloge de l'amour porté à l'univers entier alors qu'il s'agit pourtant de la forme d'amour la plus illusoire et imaginaire qui soit, c'est-à-dire la moins réelle. Joli petit ouvrage romantique qui nous parle de ce qui devrait être plutôt que de ce qui est, cet essai constitue un bon remontant pour toutes les périodes que nous traversons d'un cœur sombre, au risque de nous conduire à sombrer plus encore tant son propos échoppe contre le réel de ce qui peut parfois déterminer l'amour. Erich Fromm est un psychologue humaniste ou positiviste, je ne sais plus, mais vous voyez le genre. En d'autres termes, il pense que la séparation de l'homme d'avec lui-même et d'avec les autres est la conséquence d'un péché qui s'appelle névrose, tout contingent donc, et que ce péché peut être surmonté avec un peu de bonne volonté tirée d'un manuel et de quelques paroles encourageantes. Ce type d'approche, toute humaniste qu'elle soit, conduit en réalité à se forger une humeur sombre et morose : toute la meilleure volonté du monde ne suffit pas en effet à atteindre l'idéal qu'elle décrit. Nous nous sentons abattu, et nos meilleures convictions ont chu, nous emportant dans leur sillon. Erich Fromm avance quelques thèses sur l'amour qui ne sont pas inintéressantes. L'amour commence selon lui lorsque nous sommes capables d'aimer plutôt que d'être aimé. Il nous enjoint à ne pas croire que le déficit d'amour concerne l'objet mais il nous encourage plutôt à nous interroger sur notre capacité à aimer. Enfin, il estime que l'amour ne devrait pas être un besoin mais ce qui vient de surcroît, confirmant ainsi le fameux dicton : charité bien ordonnée commence par soi-même. Pour aussi juteuses que soient ces...
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