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Le Mystère Jérôme Bosch
Joël Falcoz (traduit par)
Date de parution : 06/09/2018
Éditeurs :
Pocket

Le Mystère Jérôme Bosch

Joël Falcoz (traduit par)
Date de parution : 06/09/2018
2013, Madrid, le Prado. Un homme se précipite sur Le Jardin des délices de Jérôme Bosch, un des plus remarquables et mystérieux tableaux du monde, et l’asperge de quelques gouttes... 2013, Madrid, le Prado. Un homme se précipite sur Le Jardin des délices de Jérôme Bosch, un des plus remarquables et mystérieux tableaux du monde, et l’asperge de quelques gouttes de vitriol avant d’être maîtrisé par les gardiens du musée. Restaurateur de tableaux, Michael Keie se voit confier la tâche... 2013, Madrid, le Prado. Un homme se précipite sur Le Jardin des délices de Jérôme Bosch, un des plus remarquables et mystérieux tableaux du monde, et l’asperge de quelques gouttes de vitriol avant d’être maîtrisé par les gardiens du musée. Restaurateur de tableaux, Michael Keie se voit confier la tâche délicate de remettre le triptyque en état. Très vite, il fait une découverte stupéfiante : à plusieurs endroits, les couches de peinture altérées laissent transparaître des symboles cachés…
Une révélation confirmée par le vandale, qui justifie son geste par la découverte d’un étrange manuscrit rédigé en 1511.  Les deux hommes replongent dans l’Histoire, sur les traces de Petronius Oris, un des disciples du maître, dans l’enfer de l’Inquisition…

« Un suspense magistral. » Le Point
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EAN : 9782266282871
Code sériel : 17160
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 544
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266282871
Code sériel : 17160
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 544
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Un suspense magistral. » Le Point
« Un thriller érudit et un éclairage épatant sur le travail du grand maître flamand. » Avantages
« Un jeu de piste haletant. » Midi Libre
 

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Ogrimoire 09/01/2024
    L’avis de C J’avais quelques appréhensions avant d’entamer ma lecture. La première est que les romans avec un fond historique me font toujours un peu peur : entre ceux qui prennent trop de liberté et ceux qui sont trop réalistes, la marge est ténue ! Deuxième appréhension, les alternances de temps – ici entre notre époque et le XVIe siècle -, bien souvent ça me casse dans ma lecture. Mais avec Le mystère Jérôme Bosch rien de tout cela ! Quelle bonne surprise ! Je partage l’avis de T, très rapidement, après une dizaine de pages, on est dans l’histoire, on rentre dans le roman sans souci ! Ici, l’alternance des temps est très bien faite, l’auteur nous fait voyager d’une époque à l’autre avec une facilité ahurissante. Coté écriture, c’est très fluide. Même si l’écriture est très descriptive et visuelle, ce n’est pas barbant, au contraire ça nous emporte encore plus facilement au milieu de l’intrigue ! Côté histoire, petit bémol… Le voyage entre les deux époque est très bien fait mais, il y a un mais ! J’ai vraiment aimé l’intrigue de 1510 – qui a la part la plus importante dans le roman – sincèrement, je trouve que les personnages – un coup de cœur pour Petronius – sont très travaillés, les émotions sont là pour le lecteur, l’intrigue est vraiment présente… Mais pour l’histoire se déroulant au Prado en 2013, j’ai beaucoup moins accroché, je trouve que l’intrigue est moins intéressante, les personnages moins creusés – peu attachants selon moi -. Bien sûr, les deux intrigues sont liées mais pour ma part celle de 1510 m’a emballé ! Et puis, il faut souligner le travail réalisé par la maison d’édition au niveau de la cover – qui a son importance et son utilité – c’est brillant comme idée ! Bref, c’est une excellente surprise ! Même si il y a des légers bémols, on passe un bon moment grâce à Peter Dempf, on ne reste pas au bord du chemin ! Une lecture que je conseille aux amateurs d’art et d’histoire et de thriller. L’avis de T Avant de commencer ce livre, j’avais autant d’impatience que d’appréhension. En effet, ce type d’histoire est exactement ce que j’aime, mais… forcément, avec le synopsis, on pense au livre d’Arturo Perez-Reverte, Le tableau du maître flamand, qui est d’ailleurs une référence rappelée sur la quatrième de couverture. Or, quand j’ai lu ce livre, il y a longtemps (et je ne l’ai pas relu, et pour cause), j’avais été profondément déçu. Autant l’histoire était plutôt bien ficelée, autant j’avais eu l’impression d’une fin bâclée : si je ne me souviens plus des détails, j’avais eu le sentiment que l’auteur ne savait pas comment donner des réponses à toutes les questions qu’il avait lui-même soulevé. Et je craignais un peu de voir l’histoire se répéter avec Le mystère Jérôme Bosch. C’est d’ailleurs toujours le risque lorsque, dans l’accroche d’un livre, on fait référence à d’autres ouvrages (pour ma part, je préfère que l’on ne cherche pas à me donner trop de références, qui sont en réalité essentiellement une accroche marketing – petite remarque à destination du cherche midi !). On entre très vite dans le livre : de mémoire, dès la page 12, j’étais dedans. Et la façon d’amener la partie historique de l’histoire m’a semblée très fluide. J’ai très rapidement accroché au personnage de Petronius. Le mystère qui entourent les personnages de Zita, de Jérôme Bosch, de Jacob Von Almaengien accompagne bien la progression de la narration. Même si la fin du livre laisse en suspens un certain nombre de question – l’auteur l’écrit d’ailleurs : page 432, à 10 pages de la fin du livre, il fait dire à Antonio de Nebrija « … mes questions restent sans réponse », des réponses qui ne figurent pas dans les pages qui restent – ce n’est pas, et de loin, aussi frustrant que chez Arturo Perez-Reverte ! En revanche, je me demande s’il s’agit véritablement d’un thriller. Même si on a droit à quelques scènes de torture, même s’il y a plusieurs meurtres, je n’ai pas totalement le sentiment d’avoir lu un thriller. Car l’enjeu du livre n’est pas la résolution de ces meurtres, mais plutôt l’histoire du tableau. C’est donc, de mon point de vue, davantage une énigme historique qu’un thriller. Mais, au total, ce qui compte, c’est de savoir ce qu’il en est de la lecture, non ? La partie historique est parfaitement à mon goût. On apprend des choses sur la façon de voir les choses à l’époque, sur la façon dont l’inquisition fonctionnait, mais aussi sur la vie courante… Mais, surtout, ce que j’ai trouvé particulièrement intéressant, c’est ce que je considère être le message principal du livre, réflexion sur la place de la femme dans nos sociétés. Il s’agit, en plus, d’un sujet d’actualité, et qui bénéficie, dans cet ouvrage, d’une approche plutôt originale. Bref, j’ai passé un excellent moment de lecture ! Je recommande ce livre à tous ceux qui apprécient les énigmes historiques !L’avis de C J’avais quelques appréhensions avant d’entamer ma lecture. La première est que les romans avec un fond historique me font toujours un peu peur : entre ceux qui prennent trop de liberté et ceux qui sont trop réalistes, la marge est ténue ! Deuxième appréhension, les alternances de temps – ici entre notre époque et le XVIe siècle -, bien souvent ça me casse dans ma lecture. Mais avec Le mystère Jérôme Bosch rien de tout cela ! Quelle bonne surprise ! Je partage l’avis de T, très rapidement, après une dizaine de pages, on est dans l’histoire, on rentre dans le roman sans souci ! Ici, l’alternance des temps est très bien faite, l’auteur nous fait voyager d’une époque à l’autre avec une facilité ahurissante. Coté écriture, c’est très fluide. Même si l’écriture est très descriptive et visuelle, ce n’est pas barbant, au contraire ça nous emporte encore plus facilement au milieu de l’intrigue ! Côté histoire, petit bémol… Le voyage entre les deux époque est très bien fait mais, il y a un mais ! J’ai vraiment aimé l’intrigue de 1510 – qui a la part la plus importante dans le roman – sincèrement, je trouve que les personnages –...
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  • Carolivra 08/12/2023
    Le tableau de Jérôme Bosch « Le jardin des délices » est fascinant. Il est à la fois très moderne et complexe, fourmille de détails. On pourrait passer des heures à l’admirer et à l’interpréter. Avec son roman, Peter Dempf nous propose une plongée au cœur du célèbre triptyque, exposé au musée du Prado. Alors qu’un moine, pris de folie, a jeté sur l’œuvre du vitriol, le restaurateur Michael Keie est appelé en renfort. Il découvre alors un message codé dans le tableau et tente de résoudre le mystère qui plane sur l’œuvre. L’auteur a choisi d’alterner les époques pour mener à bien son polar. De nos jours, Michael Keie va chercher à décoder des signes qui ont été mis au jour après que le tableau a été dégradé. Sa recherche va le plonger à la fin du moyen-âge à Bois-le-Duc, dans les Flandres en 1510. On y fait alors la connaissance d’Oris, un jeune peintre, qui entre au service de Jérôme Bosch et qui va être initié aux mystères qui entoure le Maître. J’ai adoré me plonger dans cette époque car on évolue aux côtés des peintres et on comprend comment et pourquoi ce fameux tableau a été composé. L’époque fait froid dans le dos car la chasse aux sorcières est encore bien d’actualité! Oris va vite le comprendre. Il est facile de se faire taxer d’hérétique et l’inquisition exerce son influence la plus totale sur la population. L’auteur imagine une vie faite de secrets et de mystères autour de ce tableau: une œuvre cryptée, censée cacher des révélations. On en apprend beaucoup sur les techniques de peinture de l’époque et sur la vie dans cette toute petite ville de Bois-le-Duc. Le tout est mené à un train d’enfer. L’intrigue est très rythmée. Je regrette seulement les rebondissements trop nombreux à mon goût vers la fin du roman. Avec « Le mystère Jérôme Bosch », Peter Dempf nous offre un polar ésotérique dynamique et convaincant! Le tableau de Jérôme Bosch « Le jardin des délices » est fascinant. Il est à la fois très moderne et complexe, fourmille de détails. On pourrait passer des heures à l’admirer et à l’interpréter. Avec son roman, Peter Dempf nous propose une plongée au cœur du célèbre triptyque, exposé au musée du Prado. Alors qu’un moine, pris de folie, a jeté sur l’œuvre du vitriol, le restaurateur Michael Keie est appelé en renfort. Il découvre alors un message codé dans le tableau et tente de résoudre le mystère qui plane sur l’œuvre. L’auteur a choisi d’alterner les époques pour mener à bien son polar. De nos jours, Michael Keie va chercher à décoder des signes qui ont été mis au jour après que le tableau a été dégradé. Sa recherche va le plonger à la fin du moyen-âge à Bois-le-Duc, dans les Flandres en 1510. On y fait alors la connaissance d’Oris, un jeune peintre, qui entre au service de Jérôme Bosch et qui va être initié aux mystères qui entoure le Maître. J’ai adoré me plonger dans cette époque car on évolue aux côtés des peintres et on comprend comment et pourquoi ce fameux tableau a été composé. L’époque fait...
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  • nilebeh 10/04/2023
    Deux époques, une même angoisse : qu'a donc voulu décrire Jérôme Bosch dans l'exécution de ce triptyque intitulé Le Jardin des délices ? Nous sommes à Madrid, en 2013, dans les ateliers de restauration du Musée du Prado. Un homme vêtu en moine dominicain a aspergé le tableau d'acide. Mission est confiée à Michael Keie, restaurateur, de réparer les dégâts provoqués par Jean de Baerle, ou supposé nommé ainsi. Il sera assisté par une psychologue chargée d'essayer de comprendre le geste du faux-prêtre. Nous sommes à Bois-le-Duc , en 1510, dans le Brabant septentrional, ville nommée Hertogenbosch en néerlandais, ce qui aura son importance dans l'histoire. Petronius Oris, jeune peintre en formation doit rejoindre son nouveau maître, le célèbre Jérôme Bosch. Et les deux histoires se rejoignent, le passé conté aux personnages actuels par ce coupable de vandalisme Jean de Baerle, qui raconte au restaurateur Keie, mais aussi à la psychologue chargée de le suivre, l'histoire effarante de la vie de Jérôme Bosch et de son triptyque en 1510, en Flandres. Mystères, menaces, tortures, sont au menu ! Un vrai thriller médiévo-moderne ! Le but de ce roman est sans aucun doute d'éveiller la curiosité du lecteur face à cette œuvre terrifiante, onirique, poétique, inspirée, incompréhensible, on suppose, malgré toutes les exégèses qui ont pu en être faîtes. L'auteur met ici en présence des forces puissantes et adverses : une secte, celle des Adamites, mouvement qui connut son apogée vers les XIème et XIIèmes siècles, et l'Inquisition, mieux connue , avec ses poursuites impitoyables de supposés hérétiques qui menaçaient la sainte pensée chrétienne. Il faut dire que la secte citée ci-dessus rêvait d'un Eden que l'homme n'aurait pas perdu, fait d'amour libre, de non-violence, de rejet de la consommation de chair animale, dans une logique dite « anarchiste » (malgré l'anachronisme de cet emploi du terme). Voilà qui ne pouvait que déclencher la fureur du Grand Inquisiteur de Madrid en 1510, nommé Jean de Baerle, dominicain, né dans le Brabant, qui a réellement existé mais qui a exercé ses fonctions à Liège en vérité. L'idée de rapprocher ces deux époques, avec la violence qu'on voit s'exercer contre un triptyque qui perturbe tant les gens dans les deux cas, l'idée est très bonne. Sur fond d'enquête plus ou moins crédible, on découvre le monde médiéval et celui de la peinture de Jérôme Bosch, la vie de l'atelier, les secrets d'élaboration du triptyque, sa possible signification. Elle nous invite à regarder de plus près ces trois peintures foisonnantes, à y chercher de multiples explications. Les symboles foisonnent, la technique est remarquable. Un livre intéressant pour ce qui concerne l'approche de l’œuvre de Bosch, amusant par les déferlements d'imagination de l'auteur, un peu moins pour l'aspect « enquête » de l'histoire. Deux époques, une même angoisse : qu'a donc voulu décrire Jérôme Bosch dans l'exécution de ce triptyque intitulé Le Jardin des délices ? Nous sommes à Madrid, en 2013, dans les ateliers de restauration du Musée du Prado. Un homme vêtu en moine dominicain a aspergé le tableau d'acide. Mission est confiée à Michael Keie, restaurateur, de réparer les dégâts provoqués par Jean de Baerle, ou supposé nommé ainsi. Il sera assisté par une psychologue chargée d'essayer de comprendre le geste du faux-prêtre. Nous sommes à Bois-le-Duc , en 1510, dans le Brabant septentrional, ville nommée Hertogenbosch en néerlandais, ce qui aura son importance dans l'histoire. Petronius Oris, jeune peintre en formation doit rejoindre son nouveau maître, le célèbre Jérôme Bosch. Et les deux histoires se rejoignent, le passé conté aux personnages actuels par ce coupable de vandalisme Jean de Baerle, qui raconte au restaurateur Keie, mais aussi à la psychologue chargée de le suivre, l'histoire effarante de la vie de Jérôme Bosch et de son triptyque en 1510, en Flandres. Mystères, menaces, tortures, sont au menu ! Un vrai thriller médiévo-moderne ! Le but de ce roman est sans aucun doute d'éveiller la curiosité du lecteur face à cette œuvre terrifiante, onirique, poétique, inspirée, incompréhensible, on suppose, malgré...
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  • Bibliorium 15/03/2023
    Exemple typique du mieux qui est l’ennemi du bien. Si seulement l’auteur s’était contenté de faire revivre son lecteur dans les Flandres du XVIe siècle au côté de son protagoniste, apprenti peintre chez un maître de talent, membre d’une confrérie secrète à l’idéologie religieuse controversée, pour ne pas dire hérétique. On aurait eu là un bon roman historique, qui rend parfaitement bien le quotidien des artistes de l’époque et l’atmosphère de terreur et de suspicion causée par l’inquisition, auréolé d’ésotérisme et de féminisme avant l’heure. Pourquoi, mais pourquoi l’auteur s’est-il senti obligé de surfer sur la vague du Da vinci Code en entremêlant une espèce de pseudo-enquête qui traine en longueur et sans intérêt, mettant en scène un restaurateur d’art qui pense avec sa braguette (et qui visiblement n’écoutait pas en classe: depuis quand un restaurateur en sait si peu sur l’Histoire de l’art?) et une psychologue tout seins en avant (le féminisme en prend un coup)?! Si tu viens pour en découvrir plus sur l’œuvre de Jérôme Bosch, tourne-toi vers un livre scientifique. Si tu viens pour passer un bon moment de lecture enrichissant, focalise-toi sur les péripéties de Petronius et zappe la confrontation hormonale de Grit et Michael.
  • ADAMSY 22/10/2022
    Un prêtre vient de jeter un produit chimique sur Le jardin des délices de Jérôme Bosch, dans le but de le détruire. Arrêté, il est suivi en psychiatrie. Sa psy ne tarde pas à se mettre en contact avec les deux restaurateurs du tableau, prétextant que le prêtre ne veut pas parler aux femmes. Pour l'un d'eux, elle a tendance à s'intéresser de trop près au tableau. D'autant plus qu'ils trouvent caché derrière la peinture abîmée, des symboles mettant la femme sur un piédestal, ce qui inquiète le représentant de l'Eglise. Il se met alors à raconter l'histoire du tableau. Plusieurs chapitres sont alors dédiés à Jérôme Bosch et son apprenti. J'ai plongé dans le 16ème siècle avec "délice", au temps de la secte des Adamites et des inquisiteurs. Quant à la période contemporaine, elle comportait souvent quelques longueurs et ce fut parfois difficile de suivre toute l'histoire, étant donné la multitude de personnages, du passé ou actuels. Certaines questions sont restées sans réponses. C'est dommage car le récit est absolument captivant.
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