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Le Vestibule des causes perdues
Date de parution : 20/02/2014
Éditeurs :
Pocket

Le Vestibule des causes perdues

Date de parution : 20/02/2014
C’est l’histoire de Mara, de Robert, de Sept Lieues, d’Henrique, de Bruce, de Clotilde, de cet homme qu’on appelle Le Breton, de Flora et d’Árpád. Un retraité, un joueur de... C’est l’histoire de Mara, de Robert, de Sept Lieues, d’Henrique, de Bruce, de Clotilde, de cet homme qu’on appelle Le Breton, de Flora et d’Árpád. Un retraité, un joueur de guitare, un cow-boy, un exégète de Claude Simon, une brunette maigrichonne, un taiseux, une grande bourgeoise fatiguée, un gars que... C’est l’histoire de Mara, de Robert, de Sept Lieues, d’Henrique, de Bruce, de Clotilde, de cet homme qu’on appelle Le Breton, de Flora et d’Árpád. Un retraité, un joueur de guitare, un cow-boy, un exégète de Claude Simon, une brunette maigrichonne, un taiseux, une grande bourgeoise fatiguée, un gars que la vie un jour a pris pour un punching-ball. L’histoire de gens qui n’avaient aucune chance de se croiser, mais qui tous, un jour, enfilent de grosses chaussures, un sac à dos et mettent le cap vers les confins de l’Espagne, le bout du monde, la fin de l’Europe : Saint-Jacques-de-Compostelle. Sans se douter que ce chemin emporte ceux qui l’arpentent bien plus loin que ce qu’ils pouvaient imaginer…

« Un roman drôle et émouvant qui donne envie de boucler son sac. » Pèlerin Magazine
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EAN : 9782266220286
Code sériel : 14917
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 480
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266220286
Code sériel : 14917
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 480
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Un roman drôle et émouvant qui donne envie de boucler son sac. » Pèlerin Magazine

« Quel plaisir au fil des pages ! » La Nouvelle République

« Jubilatoire, on marche à fond les semelles au rythme lent des pérégrinations, au souffle chaud de ces personnes singulières qui n’avaient aucune chance de se croiser. » Le Huffington Post

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • SophieScuto 24/07/2024
    Sur le Chemin de Compostelle, de belles rencontres et de profonds bouleversements font de ce roman un vrai bonheur de lecture. J’ai eu un coup de cœur, sûrement parce que, pour moi, ça me rappelle tant de merveilleux souvenirs et moments à cheminer.
  • cleophas35 03/07/2024
    Depuis quelques années, le chemin de Compostelle est une source d'inspiration pour bon nombre d'écrivains. Le flux est discret mais presque permanent : Ruffin, Alix de Saint-André, Tudoret... Mis à part guides et beaux-livres, deux types d'ouvrages émergent : Les récits personnels, bâtis sur l'expérience personnelle de l'auteur. Ceux-là sont souvent décevants pour les anciens pèlerins, car ils résonnent avec une manière de faire le chemin, alors que chacun ayant la sienne, les expériences sont multiples et peu, finalement, se reconnaissent dans l'introspection des auteurs. Et puis, il y a les romans qui se déroulent sur le chemin et permettent à l'auteur de regarder autrui, ce qui va beaucoup plus loin que le fond de son âme... Le Vestibule des Causes Perdues appartient clairement à cette deuxième catégorie. Peu nous importe de savoir si Manon Moreau ressemble à tel ou tel personnage ou à un peu tous. Le fait est qu'elle dresse une galerie de portraits, avec sa bande de pèlerins qui portent chacun leurs blessures. Il en résulte un portrait assez juste du chemin (même si de nombreux pèlerins ne portent pas nécessairement de profondes blessures…). Voilà les bases d'un sympathique livre, avec de beaux personnages. Si l'ouvrage séduira les anciens pèlerins, où ceux qui se sentent attirés par l'expérience, je crains qu'il ne se limite à ce public. D'un point de vue littéraire et romanesque, j'ai trouvé que le roman manquait un peu de souffle et de relief pour marquer durablement le lecteurDepuis quelques années, le chemin de Compostelle est une source d'inspiration pour bon nombre d'écrivains. Le flux est discret mais presque permanent : Ruffin, Alix de Saint-André, Tudoret... Mis à part guides et beaux-livres, deux types d'ouvrages émergent : Les récits personnels, bâtis sur l'expérience personnelle de l'auteur. Ceux-là sont souvent décevants pour les anciens pèlerins, car ils résonnent avec une manière de faire le chemin, alors que chacun ayant la sienne, les expériences sont multiples et peu, finalement, se reconnaissent dans l'introspection des auteurs. Et puis, il y a les romans qui se déroulent sur le chemin et permettent à l'auteur de regarder autrui, ce qui va beaucoup plus loin que le fond de son âme... Le Vestibule des Causes Perdues appartient clairement à cette deuxième catégorie. Peu nous importe de savoir si Manon Moreau ressemble à tel ou tel personnage ou à un peu tous. Le fait est qu'elle dresse une galerie de portraits, avec sa bande de pèlerins qui portent chacun leurs blessures. Il en résulte un portrait assez juste du chemin (même si de nombreux pèlerins ne portent pas nécessairement de profondes blessures…). Voilà les bases d'un sympathique livre, avec de beaux personnages. Si l'ouvrage séduira les anciens pèlerins,...
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  • Laflechegourmande 27/06/2024
    « Le vestibule des causes perdues » @editions_pocket Mon résumé : Mara, Sept Lieux, Flora , partent sans se connaître marcher sur ce chemin mythique de Compostelle. Avec des chemins différents, des parcours de vie cabossés. Ils et elles vont partager des morceaux de vie, d’histoires en se croisant sur les chemins et les refuges le soir. Mon avis et ce n’est que le mien: Ce livre m’a été prêté par ma sœur. Je l’ai laissé de côté et là, dans une vie personnelle un peu chahutée…. Je me suis plongée dedans, j’ai rit (car il y à beaucoup d’humour) , j’ai pleuré (car il y a beaucoup d’émotions) , et j’ai « entendu » les personnages . Est-ce que cette introspection me donne envie, oui. Est-ce que j’aurais un jour le courage de le faire seule avec mon sac sur le dos? Je ne sais pas J’ai beaucoup apprécié cette lecture, Et vous ? L’avez-vous lu ?
  • Loloduf 14/05/2024
    Un souffle de mystère plane sur les pèlerins rencontrés dans ce livre et c’est cela qui nous tient en haleine au fil des presque 500 pages : qu’est ce qui peut motiver untel ou unetelle à parcourir 1600kms ? surtout sachant que la plupart d’entre eux ne sont pas croyants. Pour certains on le sait très vite, ils fuient l’ennui ou une/des situations intenables sur leur lieu de vie ou d’origine mais pour d’autres la solution de ce qu’ils pensent trouver le long ou au bout du chemin de St Jacques reste plus nébuleuse. Le début du roman m’a semblé un peu brouillon car il y a beaucoup de personnages et que la chronologie n’est pas toujours respectée. Ensuite quand je me suis habituée aux personnages je les ai trouvés tous très attachants. Un voyage agréable en leur compagnie qui me donnerait (presque) envie de chausser mes godillots pour les rejoindre.
  • Ligustre 22/03/2024
    Comme quoi il n'y a pas besoin de se lancer aux antipodes et de maximiser son impact carbone pour retrouver son kilomètre zéro. Il suffit de sortir de la maison et de regarder autour de soi dans toute humilité. Les aventures intérieures et les amis attendent au tournant. Telle est la leçon du chemin de Compostelle et de tous les chemins que nous foulons de nos pieds tous les jours. Quelques longueurs malgré une bonne impression générale et envie qui pousse à lire pour savoir le fin dénouement.
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