« L’une des révélations de la rentrée. La longue et blonde Amy Liptrot raconte, dans un style ardent, une longue chute dans le vide. L’Écart est une œuvre lumineuse, combative, rocailleuse. Elle tend vers l’espérance. » M.-L. D., Le Journal du Dimanche.
« Ce premier roman est un voyage magnifique dans la nuit noire des désirs obsessionnels et compulsifs. » Les Inrockuptibles.
« L’Écart est un premier roman envoûtant et bouleversant. Un voyage splendide au bout des nuits blanches de l’addiction, des désirs insatisfaits. » Y.P., Les Inrockuptibles.
« De sa langue minérale qui célèbre l’enchantement du spectacle de la nature, elle livre une ode au pays natal en même temps qu’un puissant récit de guérison. Une sublime façon de retrouver le rivage. » Amandine Schmitt, L’Obs.
« Le très beau récit autobiographique d’Amy Liptrot conte l’éveil à soi-même. » Macha Séry, Le Monde des Livres.
« L’un des plus beaux de la rentrée, assurément. Au prix de ces interminables nuits, du combat contre le froid, l’angoisse ou l’ennui, il y a des crépuscules radieux, des aurores boréales, et la révélation qu’elle peut être intense aussi, cette "vie normale". L’expérience d’Amy Liptrot n’est sans doute pas faite pour tout le monde. Son livre, en tout cas, est à lire par le plus grand nombre. » Pascaline Potdevin, Grazia.
« Regard magnifique sur la nature excessive, urgent désir de transmettre. » Muriel Steinmetz, L’Humanité.
« L’auteure se garde de tout pathos pour décrire ses errements. Son style est juste sincère et urgent. Une fois refermé, L’Écart laisse un goût de sel marin. Le sel de la vie retrouvée. » Philippe Chevilley, Les Échos.
« La lecture de L’Écart nous emporte dans un élan et un mouvement perpétuels. Ils sont entretenus par les vagues, par les cycles – ceux de la maladie mentale, de l’ivresse ou des saisons. » Virginie Bloch-Lainé, Libération.
« [Amy Liptrot] écrit [L’Écart] avec le calme et l’humilité de la sobriété avec humour aussi envers ces années de déglingue. Dans la lignée des écrivains voyageurs, explorateurs du monde et d’eux-mêmes, il y a désormais cet elfe nordique avec sa paire de jumelles, qui se grise
de vie sauvage sur des îles de plus en plus lointaines de plus en plus petites. Elle ne s’est pas
assagie, elle a changé de folie. » Marguerite Baux, ELLE.
« L’authenticité et la poésie de ce premier roman emportent, tel le ressac, et laissent flotter dans
ces pages un parfum de sel... Le sel de la vie. » O. M., Madame Figaro.
« Le récit terriblement autobiographique d’Amy Liptrot frappe toujours juste. Dans sa vie, elle aura fait beaucoup de petits écarts. Avec ce roman, Amy Liptrot en a réussi un grand. » J.D., L’Express.
« Brut, franc, sans compromis, touchant et fort. » Voici.
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