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Les Disparus de Pukatapu
Date de parution : 15/04/2021
Éditeurs :
Pocket

Les Disparus de Pukatapu

Date de parution : 15/04/2021
Lilith, photographe, et Maema, journaliste, sont sur un atoll près de Tahiti pour réaliser un reportage sur la montée des eaux. Mais bientôt le reportage écologique vire à l'enquête policière...
Pukatapu, c’est un paradis de sable blanc, de corail et de cocotiers perdu dans le Pacifique, à des milliers de kilomètres de Tahiti. Le long de ses eaux turquoise, une... Pukatapu, c’est un paradis de sable blanc, de corail et de cocotiers perdu dans le Pacifique, à des milliers de kilomètres de Tahiti. Le long de ses eaux turquoise, une poignée de maisons colorées abritent quinze hommes, neuf femmes et, étrangement, pas un seul enfant.
Lilith, photographe, et Maema, journaliste à...
Pukatapu, c’est un paradis de sable blanc, de corail et de cocotiers perdu dans le Pacifique, à des milliers de kilomètres de Tahiti. Le long de ses eaux turquoise, une poignée de maisons colorées abritent quinze hommes, neuf femmes et, étrangement, pas un seul enfant.
Lilith, photographe, et Maema, journaliste à La Dépêche de Papeete, y effectuent un reportage sur les conséquences du réchauffement climatique. Elles croient avoir trouvé l’éden, jusqu’au jour où, sur la plage, Lilith découvre une petite main coupée.
Mais sur l’îlot, nulle trace d’un cadavre et personne ne manque à l’appel...

 
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EAN : 9782266309493
Code sériel : 17947
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 384
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266309493
Code sériel : 17947
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 384
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

"L'auteur signe ici un roman policier original et dépaysant."
La Voix du Nord
"Dans Les disparus de Pukatapu, Patrice Guirao fouille notre humanité... ça va saigner."
Le Point

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Fabrice_lireetlivres 05/01/2022
    Lilith et Maema travaillent à La Dépêche de Papeete. Elles sont arrivées sur l’île de Pukatapu pour y faire un reportage sur les conséquences du réchauffement climatique . Quand Lilith découvre le squelette d’une main sur la plage, Maema et elle décident de mener leur propre enquête. Un habitant de l’île aurait-il disparu ? Pourtant, ils ne sont qu’une trentaine à y habiter. Un policier qui se déroule dans les îles du Pacifique, c’est pas commun. L’intrigue est originale et on sent que l’auteur maîtrise son sujet. La description des atolls comme des mœurs locales. Deux bémols. Le premier concernant le foisonnement des idées. Certaines auraient gagné à être développé, à mon sens. Le second concerne les personnages, un peu trop nombreux. J’ai eu du mal à m’attacher ou à ressentir leurs émotions. Cela reste un bon roman policier agréable à lire.
  • fabiennevariol 03/11/2021
    Découvrez Pukatapu, l'îlot parfait pour disparaître ! Pukatapu, c'est un paradis de sable blanc, de corail et de cocotiers perdu dans le Pacifique, à des milliers de kilomètres de Tahiti. Le long de ses eaux turquoise, une poignée de maisons colorées abritent quinze hommes, neuf femmes et, étrangement, pas un seul enfant. Lilith, photographe, et Maema, journaliste à La Dépêche de Papeete, y effectuent un reportage sur les conséquences du réchauffement climatique. Elles croient avoir trouvé l'Eden, jusqu'au jour où, sur la plage, Lilith découvre une petite main coupée. Mais sur l'îlot, nulle trace d'un cadavre et personne ne manque à l'appel... ************** Le sous-titre aurait pu être « Comment un îlot paradisiaque peut se transformer en enfer ! » Ne connaissant pas cet auteur ni ses personnages (je n’ai pas lu le premier tome) le début de la lecture a été un peu difficile pour moi. L’utilisation de nombreux mots en Tahitien a fait que j’ai eu du mal à entrer dans l’histoire, mais d’un autre côté je trouve, après coup, que cela rend le récit plus réel, l’immersion plus grande. Patrice Guirao nous propose un thriller à huis clos, sur une île paradisiaque, dans un décor sublime. On voit l’azur du lagon, le... Découvrez Pukatapu, l'îlot parfait pour disparaître ! Pukatapu, c'est un paradis de sable blanc, de corail et de cocotiers perdu dans le Pacifique, à des milliers de kilomètres de Tahiti. Le long de ses eaux turquoise, une poignée de maisons colorées abritent quinze hommes, neuf femmes et, étrangement, pas un seul enfant. Lilith, photographe, et Maema, journaliste à La Dépêche de Papeete, y effectuent un reportage sur les conséquences du réchauffement climatique. Elles croient avoir trouvé l'Eden, jusqu'au jour où, sur la plage, Lilith découvre une petite main coupée. Mais sur l'îlot, nulle trace d'un cadavre et personne ne manque à l'appel... ************** Le sous-titre aurait pu être « Comment un îlot paradisiaque peut se transformer en enfer ! » Ne connaissant pas cet auteur ni ses personnages (je n’ai pas lu le premier tome) le début de la lecture a été un peu difficile pour moi. L’utilisation de nombreux mots en Tahitien a fait que j’ai eu du mal à entrer dans l’histoire, mais d’un autre côté je trouve, après coup, que cela rend le récit plus réel, l’immersion plus grande. Patrice Guirao nous propose un thriller à huis clos, sur une île paradisiaque, dans un décor sublime. On voit l’azur du lagon, le corail, les cocotiers, on redécouvre l’odeur du Monoï, on sent la chaleur, le sable doux sous nos pieds, le vent dans nos cheveux. Mais cet endroit magnifique devient vite une prison. L’angoisse monte, l’ambiance se tend, l’inquiétude augmente. Les morts se succèdent, meurtres, accidents, suicides.....… Les habitants ne paraissent plus aussi honnêtes, que cachent-ils ? Que craignent-ils ? Pourquoi n’y a-t-il aucun enfant sur cet îlot ? D’où viennent ces restes humains déformés retrouvés sur la plage ? Le rythme est assez lent. Malgré les décès suspects, il n’y a aucune violence. L’auteur nous fait une description très précise des paysages, mais on apprend également beaucoup de choses sur les coutumes et le mode de vie polynésien, une manière de vivre en harmonie avec la nature, dans un dénuement quasiment total. On partage le quotidien de cette communauté totalement isolée du monde, qui vit en vase clos, n’est ravitaillée par bateau que très rarement. Les habitants de Pukatapu ont instauré une hiérarchie tribale, mais sont dirigés aussi par un prêtre catholique qui peine à faire oublier aux habitants leurs croyances ancestrales et utilise la peur pour se faire entendre et garder son pouvoir. Est-il possible d’accommoder traditions et religion ? En parallèle, on suit une autre histoire sur un atoll peu éloigné de Pukatapu mais encore plus caché. Cet îlot volcanique est une base secrète de recherche scientifique. Je reste un peu sur ma faim quand à cette partie et j’aurais bien aimé que l’auteur s’y attarde car le questionnement philosophique qui en découle est vraiment très intéressant. Je ne vais pas en parler plus pour ne pas divulgâcher Les thèmes abordés dans ce roman sont intéressants : l'isolement sur une île et ses conséquences psychologiques, les essais nucléaires dans le Pacifique, la religion, l’adaptation d’un non natif, la recherche médicale et l’éthique, … et nous poussent à nous poser de nombreuses questions. Une belle découverte que ce roman ! Je n’hésiterai pas à lire le prochain de Patrice Guirao.
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  • moijelisetvous 15/09/2021
    Et hop on profite d'un énième retard du train, pour parler de ma dernière lecture. Patrice GUIRAO, découvert avec Le bûcher de Moorea et sa splendide couverture et re belote avec ce nouvel opus, la charte graphique est top... Dépaysement assuré avec cet auteur: installé à Tahiti depuis son adolescence, amoureux il vous emmène dans un voyage parsemé de traditions et de meurtres étranges. Un grand plaisir de retrouver Lilith, la photographe et son amie Maema, journaliste à la Dépêche de Papeete, qui partent en direction d'une île aux confins du Pacifique : Pukatapu, pour un reportage sur le réchauffement climatique. Le cadre est paradisiaque, mais la tranquillité de l'île est vite perturbée, avec la découverte d'une main difforme dans les eaux du lagon, Lilith est sous le choc. Avec cette trouvaille, Pukatapu va sombrer lentement dans les eaux profondes des traditions ancestrales, des rites et conjointement la recherche scientifique va impacter la petite communauté. Une suite sans l'être, mais avec nos deux héroïnes, que j'aime, un excellent moment et plusieurs histoires s'entremêlent pour ne faire qu'une à la fin du livre. Et comme le premier, on retrouve à la fin, un glossaire avec tous les mots du cru, et rien qu'avec... Et hop on profite d'un énième retard du train, pour parler de ma dernière lecture. Patrice GUIRAO, découvert avec Le bûcher de Moorea et sa splendide couverture et re belote avec ce nouvel opus, la charte graphique est top... Dépaysement assuré avec cet auteur: installé à Tahiti depuis son adolescence, amoureux il vous emmène dans un voyage parsemé de traditions et de meurtres étranges. Un grand plaisir de retrouver Lilith, la photographe et son amie Maema, journaliste à la Dépêche de Papeete, qui partent en direction d'une île aux confins du Pacifique : Pukatapu, pour un reportage sur le réchauffement climatique. Le cadre est paradisiaque, mais la tranquillité de l'île est vite perturbée, avec la découverte d'une main difforme dans les eaux du lagon, Lilith est sous le choc. Avec cette trouvaille, Pukatapu va sombrer lentement dans les eaux profondes des traditions ancestrales, des rites et conjointement la recherche scientifique va impacter la petite communauté. Une suite sans l'être, mais avec nos deux héroïnes, que j'aime, un excellent moment et plusieurs histoires s'entremêlent pour ne faire qu'une à la fin du livre. Et comme le premier, on retrouve à la fin, un glossaire avec tous les mots du cru, et rien qu'avec ça, on imagine le cadre facilement. Merci à Patrice Guirao et à Pocket
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  • MarionBaratin 26/08/2021
    Merci pour ce polar dépaysant: plages de sable fin, lagons et cocotiers hum ça sent bon les fleurs de tiaré. Mais bon par contre c'est pas ambiance vacances! Meurtres, suicides, corps décomposés et croyances ancestrales un peu flippantes sont au rendez vous. Une enquête bien menée par deux héroïnes attachantes et une résolution sur fond d'essais nucléaires menés par la France dans la région fait froid dans le dos. L'auteur connu dans le monde des" people" pour écrire des textes de chansons est une jolie découverte.
  • Alexmotamots 07/06/2021
    Je retrouve avec plaisir Lilith et Maema, cette fois sur une île à l’est de la Polynésie, où la navette ne passe qu’une fois tous les 4 mois. Si elles y sont au départ pour écrire un article sur les conséquences du réchauffement climatique, une main apparue sur le sable va vite les détourner vers une enquête plus policière, car les morts s’accumulent. Que cache Hotz, le prêtre de la petite communauté ? Que ne veut pas dire Kumi-Kumi, le chef du village ? Hotz est un personnage inquiétant, qui ne cherche pas à comprendre les us et coutumes de ses ouailles mais veut imposer coûte que coûte sa religion, tel un gourou. Et puis Maema va de plus en plus mal. J’ai aimé que l’auteur nous présente dès les premières pages cet atoll comme le paradis sur terre, pour ensuite déconstruire petit à petit cette vision idyllique de l’île de rêve. En parallèle, nous suivons Franck qui, après avoir volé un bateau à l’île de Ré fait naufrage pas loin de l’îlot L69. Il est recueilli par les scientifiques qui lui applique une étrange texture sur ses pieds abîmés par les coupures du corail. J’ai trouvé amusant que l’auteur ne décrive pas de courses-poursuites en voitures... Je retrouve avec plaisir Lilith et Maema, cette fois sur une île à l’est de la Polynésie, où la navette ne passe qu’une fois tous les 4 mois. Si elles y sont au départ pour écrire un article sur les conséquences du réchauffement climatique, une main apparue sur le sable va vite les détourner vers une enquête plus policière, car les morts s’accumulent. Que cache Hotz, le prêtre de la petite communauté ? Que ne veut pas dire Kumi-Kumi, le chef du village ? Hotz est un personnage inquiétant, qui ne cherche pas à comprendre les us et coutumes de ses ouailles mais veut imposer coûte que coûte sa religion, tel un gourou. Et puis Maema va de plus en plus mal. J’ai aimé que l’auteur nous présente dès les premières pages cet atoll comme le paradis sur terre, pour ensuite déconstruire petit à petit cette vision idyllique de l’île de rêve. En parallèle, nous suivons Franck qui, après avoir volé un bateau à l’île de Ré fait naufrage pas loin de l’îlot L69. Il est recueilli par les scientifiques qui lui applique une étrange texture sur ses pieds abîmés par les coupures du corail. J’ai trouvé amusant que l’auteur ne décrive pas de courses-poursuites en voitures comme c’est souvent le cas dans les romans policiers, mais une tempête en pleine mer sur un bateau qui prend l’eau. C’est plus couleur local. Une enquête encore une fois passionnante et qui met au jour les ravages des essais nucléaires français dans le Pacifique. L’image que je retiendrai : Celle de Poerani tenant serré contre elle une poupée toute abîmée.
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