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Les joyaux de la sorcière
Date de parution : 15/09/2005
Éditeurs :
Pocket

Les joyaux de la sorcière

Date de parution : 15/09/2005

En découvrant la toile réalisée par le grand Giovanni Boldini, le prince antiquaire Aldo Morosini n'en croit pas ses yeux : la baronne d'Ostel s'est fait représenter avec des joyaux...

En découvrant la toile réalisée par le grand Giovanni Boldini, le prince antiquaire Aldo Morosini n'en croit pas ses yeux : la baronne d'Ostel s'est fait représenter avec des joyaux inestimables. Alors pourquoi son neveu et héritier naturel, Evrard Dostel, fait-il appel à ses services ? Sa tante lui a...

En découvrant la toile réalisée par le grand Giovanni Boldini, le prince antiquaire Aldo Morosini n'en croit pas ses yeux : la baronne d'Ostel s'est fait représenter avec des joyaux inestimables. Alors pourquoi son neveu et héritier naturel, Evrard Dostel, fait-il appel à ses services ? Sa tante lui a pourtant légué son portrait... et ses bijoux. Mais les ornements du tableau ne figurent pas parmi les pièces remises par le notaire.
Le prince Morosini se lance à la poursuite des insaisissables joyaux et embarque à bord d'un prestigieux paquebot. Destination : l'Amérique...

« Un roman historique haut en couleur et riche en rebondissements ! »
Maxi

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EAN : 9782266148788
Code sériel : 12422
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 448
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266148788
Code sériel : 12422
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 448
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Un roman historique haut en couleurs et riche en rebondissements ! »

Maxi

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Chezaude 11/03/2022
    De rouge joyaux Les joyaux de la sorcière est l’une des quinze aventures du Prince Aldo Morosini, antiquaire vénitien spécialisé dans les joyaux anciens, écrite en 2004 par Juliette Benzoni, journaliste française et auteure de romans historiques. L’histoire se passe au début de l’année 1929, peu de temps avant la construction de l’Empire State Building et le krach boursier d’octobre 2029. Evrard Dostel fait appel aux services du Prince Morosini pour retrouver des bijoux présents sur un portrait de sa tante, la baronne d’Ostel, et dont il n’a pas hérité à son décès : une grande croix de diamants, perles et rubis assortie à de longs pendants d’oreilles. Aiguillonné par la curiosité de retrouver ces bijoux qui auraient appartenu à Bianca Capello, maîtresse puis seconde femme de François Ier de Médicis, il part à leur recherche à Londres puis en Amérique. D’une simple recherche de bijoux, la mort de plusieurs femmes ressemblant à Bianca Capello emmènera notre héros sur la trace d’un odieux personnage Aloysius C. Ricci pour tenter de l’empêcher de commettre plus de crimes. Même s’il apparait difficile de rentrer dans l’histoire dans un premier temps, on finit par avoir l’envie de savoir si notre héros va réussir à éviter un nouveau meurtre. Finalement la recherche initiale de bijoux finit par passer complètement au second plan par rapport à l’aventure, rendant l’histoire plus palpitante. L’auteure a une écriture assez plaisante et une manière d’aborder un sujet historique compréhensible même pour un néophyte. C’est un ouvrage que l’on lit facilement mais sans saveur particulière. De rouge joyaux Les joyaux de la sorcière est l’une des quinze aventures du Prince Aldo Morosini, antiquaire vénitien spécialisé dans les joyaux anciens, écrite en 2004 par Juliette Benzoni, journaliste française et auteure de romans historiques. L’histoire se passe au début de l’année 1929, peu de temps avant la construction de l’Empire State Building et le krach boursier d’octobre 2029. Evrard Dostel fait appel aux services du Prince Morosini pour retrouver des bijoux présents sur un portrait de sa tante, la baronne d’Ostel, et dont il n’a pas hérité à son décès : une grande croix de diamants, perles et rubis assortie à de longs pendants d’oreilles. Aiguillonné par la curiosité de retrouver ces bijoux qui auraient appartenu à Bianca Capello, maîtresse puis seconde femme de François Ier de Médicis, il part à leur recherche à Londres puis en Amérique. D’une simple recherche de bijoux, la mort de plusieurs femmes ressemblant à Bianca Capello emmènera notre héros sur la trace d’un odieux personnage Aloysius C. Ricci pour tenter de l’empêcher de commettre plus de crimes. Même s’il apparait difficile de rentrer dans l’histoire dans un premier temps, on finit par avoir l’envie de savoir si notre héros va réussir à...
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  • Enagrom 09/02/2022
    C’est le premier roman que je lis de Juliette Benzoni, auteure spécialisée dans les récits historiques. Les joyaux de la sorcière fait partie d’une série de 15 romans mettant en scène le prince Aldo Morosini, antiquaire spécialisé dans les joyaux anciens. Le point de départ de l’intrigue est un portrait sur lequel la baronne d’Ostel pose avec une somptueuse parure de rubis dont il ne reste aucune trace dans sa succession. Le prince Morosini est prié par les héritiers d’enquêter. Il semblerait que les joyaux en question font le malheur de leurs propriétaires et soient aussi rouges que le sang qu’ils ont fait couler à plusieurs reprises déjà… L’essentiel de ce livre n’est pas dans l’investigation mais dans la découverte de la société particulièrement aisée à laquelle appartient notre prince. Vénitien et également petit neveu d’une marquise vivant à Paris, les décors sont toujours fastueux que ce soit dans un hôtel particulier ou à bord du transatlantique l’Ile-de-France. Descriptions d’œuvres d’art, d’architecture, ou encore des toilettes de ces dames, l’auteure s’y connait et maitrise son sujet. Les personnages ne sont pas en reste et la tribu entourant le personnage principal est bien sympathique… Madame la marquise prend son quatre-heures au champagne et le meilleur ami d’Aldo est un égyptologue sympathique quelque peu naïf en ce qui concerne la gente féminine. L’ensemble ferait presque oublier la recherche des bijoux. Ce fut mon cas, j’ai eu un petit coup de mou dans la partie du récit qui se passe à Rhode Island mais la lecture reste sympathique. C’est le premier roman que je lis de Juliette Benzoni, auteure spécialisée dans les récits historiques. Les joyaux de la sorcière fait partie d’une série de 15 romans mettant en scène le prince Aldo Morosini, antiquaire spécialisé dans les joyaux anciens. Le point de départ de l’intrigue est un portrait sur lequel la baronne d’Ostel pose avec une somptueuse parure de rubis dont il ne reste aucune trace dans sa succession. Le prince Morosini est prié par les héritiers d’enquêter. Il semblerait que les joyaux en question font le malheur de leurs propriétaires et soient aussi rouges que le sang qu’ils ont fait couler à plusieurs reprises déjà… L’essentiel de ce livre n’est pas dans l’investigation mais dans la découverte de la société particulièrement aisée à laquelle appartient notre prince. Vénitien et également petit neveu d’une marquise vivant à Paris, les décors sont toujours fastueux que ce soit dans un hôtel particulier ou à bord du transatlantique l’Ile-de-France. Descriptions d’œuvres d’art, d’architecture, ou encore des toilettes de ces dames, l’auteure s’y connait et maitrise son sujet. Les personnages ne sont pas en reste et la tribu entourant le personnage principal est bien sympathique… Madame la marquise prend son quatre-heures au champagne et...
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  • kouette_kouette 05/10/2017
    Je découvre Juliette Benzoni. Il faut que je l’avoue, je ne suis arrivée à elle que par dépit de ne pouvoir me procurer (acheter) le dernier Ken Follett. J’ai donc réclamé un roman historique à ma bibliothécaire. Et comme j’étais vraiment dépitée, j’en ai pris deux. En rentrant chez moi et en prenant enfin le temps de me renseigner, j’ai alors découvert que les deux romans censés me consoler faisaient partie d’une série de 15 livres racontant les pérégrinations d’un prince antiquaire vénitien, Aldo Morosini. J’ai pioché les numéros 7 et 8. Ça aurait pu être pire... style 3 et 10. Encore que… Je dis « encore que » parce que ça raconte une aventure bien distincte à chaque roman. Pour ce numéro 7, on devine que l’aventure se déroule entre 1921 et 1929. Aldo est beau, Aldo est intelligent, Aldo a un grand cœur, Aldo est classe, et Aldo est intègre (sauf quand il s’agit de rester fidèle à sa femme, mais un aventurier italien sans aventures ça ne doit pas être crédible). Là, je me rends compte que vous devez penser à Aldo Maccione… Mais oubliez. Notre prince Aldo, lui, est « principalement » à la poursuite de fabuleux bijoux historique. Il nous fait découvrir, entre autres, le paquebot « l’île-de-france » et le Newport de l’époque. Et surtout il rebondit de découvertes en indices, faisant face à de nombreux dangers. Évidemment, Aldo s’en sort in extremis. Ouf ! En fait, les aventures d’Aldo m’ont fait penser aux aventures de Sydney Fox, version début XXe. J’ai lu ce livre comme j’ai pu regarder les épisodes de Sydney : malgré le fait de n’être ni surprise, ni décontenancée, ni amusée, et je n’ai jamais songé à arrêter en cours de route. Bref, c’était pas la panacée. J’ai maintenant le numéro 8 sur mon bureau et je crois que je vais le lire. Je suis toujours dépitée.Je découvre Juliette Benzoni. Il faut que je l’avoue, je ne suis arrivée à elle que par dépit de ne pouvoir me procurer (acheter) le dernier Ken Follett. J’ai donc réclamé un roman historique à ma bibliothécaire. Et comme j’étais vraiment dépitée, j’en ai pris deux. En rentrant chez moi et en prenant enfin le temps de me renseigner, j’ai alors découvert que les deux romans censés me consoler faisaient partie d’une série de 15 livres racontant les pérégrinations d’un prince antiquaire vénitien, Aldo Morosini. J’ai pioché les numéros 7 et 8. Ça aurait pu être pire... style 3 et 10. Encore que… Je dis « encore que » parce que ça raconte une aventure bien distincte à chaque roman. Pour ce numéro 7, on devine que l’aventure se déroule entre 1921 et 1929. Aldo est beau, Aldo est intelligent, Aldo a un grand cœur, Aldo est classe, et Aldo est intègre (sauf quand il s’agit de rester fidèle à sa femme, mais un aventurier italien sans aventures ça ne doit pas être crédible). Là, je me rends compte que vous devez penser à Aldo Maccione… Mais oubliez. Notre prince Aldo, lui, est « principalement » à la poursuite de fabuleux bijoux historique. Il...
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  • Aurelie3594 08/09/2015
    Une littérature plaisir qui nous emmène sur la piste d'un criminel et de bijoux "rouges" en compagnie du Prince antiquaire Aldo Morosini en ce début de 20è siècle. Une lecture sans prétention, agréable, divertissante et rythmée malgré quelques longueurs dans le texte.
  • frankgth 19/12/2011
    Après "La Perle de l'empereur" que j'avais trouvé un peu décousu, revoici notre Prince Morosini au meilleur de sa forme dans ce 7ème épisode. Fini les Indes, c'est cette fois ci aux USA que sa quête perpétuelle de bijoux historiques fameux (et son penchant à jouer les Don Quichotte) vont l'amener. Après la démesure des maharadjahs, c'est dans celle tout aussi insolente des milliardaires Américains que notre Prince antiquaire va se plonger. Mais sous la fortune de certains se cachent les tentacules de la Mafia qu'il semble bien vain de vouloir affronter tout seul. Et oui seul, car pour la seconde fois une femme a fait tourner la tête de ce pauvre Vidal-Pellicorne et causé une certaine brouille entre les deux "presque frères". Toujours bien intégré à un background historique que Juliette Benzoni nous sert à merveille, ce nouvel épisode, un peu prévisible au niveau de l'intrigue, nous fait encore passer un bon moment, et dès la dernière page refermée, l'envie de s'attaquer à "Les larmes de Marie-Antoinette" m'a taraudé.
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