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Les rats de Montsouris
Date de parution : 11/03/2010
Éditeurs :
Pocket

Les rats de Montsouris

Date de parution : 11/03/2010

L’affaire dépasse de loin la bande des « Rats de Montsouris », cambrioleurs minables qui écument le XIVe arrondissement, du côté de la Tombe Issoire. Par l’un de ses membres,...

L’affaire dépasse de loin la bande des « Rats de Montsouris », cambrioleurs minables qui écument le XIVe arrondissement, du côté de la Tombe Issoire. Par l’un de ses membres, ex-camarade de captivité accusé de chantage par un ancien ténor de la magistrature, Nestor Burma apprend qu’il s’agirait de millions...

L’affaire dépasse de loin la bande des « Rats de Montsouris », cambrioleurs minables qui écument le XIVe arrondissement, du côté de la Tombe Issoire. Par l’un de ses membres, ex-camarade de captivité accusé de chantage par un ancien ténor de la magistrature, Nestor Burma apprend qu’il s’agirait de millions en bijoux cachés depuis la fin de la guerre.

L’enquête conduit le détective chez le détenteur d’une étrange sculpture, sirène incrustée de coquillages, et un interné de Sainte-Anne, énigmatique auteur de poèmes tout aussi surréalistes. Le plan de vengeance machiavélique que découvre Burma pourrait être considéré lui aussi comme un des beaux-arts…

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EAN : 9782266202039
Code sériel : 14319
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 224
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266202039
Code sériel : 14319
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 224
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • LucieG83Clfd 02/08/2023
    Je suis toujours heureuse de retrouver Nestor Burma entre deux lectures. Cet épisode de 1955 en vaut un autre, l'intrigue tient toujours la route. C'est surtout l'atmosphère (du XIVe arrondissement en l'occurrence) qui vaut son pesant de cacahuètes. L'écriture est superbe, et l'argot pas piqué des mites. Avec un poil de surréalisme qui ne gâche rien.
  • lcath 25/06/2023
    Quel régal que la langue de ce roman !!!! Rien à voir avec un manque de vocabulaire , des mots , des mots plein de mots, plus imagés les uns que les autres , un français populaire de haute qualité qui réjouit les oreilles car on le lit mais on l'entend tout autant . J'aime les polars pour ces possibilités de langage qu'ils offrent à qui sait les utiliser et Malet sait. L'enquête est virevoltante, un peu tirée par les cheveux mais quelle importance, l'auteur nous offre une belle et bonne balade, réjouissante et truculente dans un Paris où le Parisien n'était pas encore teinté de vert façon bobo. Né en 1909 , les codes de Mallet n'étaient pas les mêmes, pour autant il n'y a aucune raison de se priver d'un telle verve.
  • lehibook 26/10/2020
    Un volume des Nouveaux Mystères de Paris consacré au 14ème arrondissement .Une intrigue bien tordue , deux rouquines incendiaires, un égorgé sous le charbon, plus de maîtres chanteurs qu’à Nuremberg, plus bas que les bas-fonds une mer sans étoiles et des pêcheurs de perles. On constate que Malet a bien fréquenté les surréalistes . Il en résulte un polar qui se lit avec plaisir.
  • KiriHara 02/12/2017
    Tiens, je l'avais loupé, celui-là, dans ma découverte des nouveaux mystères de Paris de Léo Malet. J'étais passé directement de « La nuit de Saint-Germain des Prés » à « M'as-tu vu en cadavre ? » sans me rendre compte que j'en loupais un. Le manque est désormais comblé. Autant le dire tout de suite, je n'aurais pas énormément loupé en ne revenant pas en arrière pour lire ce court roman de Léo Malet. Non pas que l'ensemble soit mauvais, c'est tout de même Léo Malet à la plume, mais la lecture de cet opus est bien moins agréable que celle du suivant, la faute à un léger manque de style ou d'inspiration et à une histoire un peu trop alambiquée, d'autant que cette confusion est à la fois dûe à des volontés trop étranges, de la part des personnages, pour être digestes et par des coïncidences et des histoires qui se téléscopent de façon peu crédibles. Reste le personnage de Nestor Burma, toujours aussi intéressant, et la plume, même moindre, cette fois-ci, de Léo Malet, pour sauver le tout du désastre qu'il aurait pu être avec un autre écrivain et un autre héros. Du coup, je ne m'étalerais pas beaucoup plus que cela, préférant préserver mon énergie et mon temps pour un épisode de la série qui le méritera bien plus que celui-ci et l'on peut être assuré qu'il y en aura. Au final, un roman qui se lit sans déplaisir du fait de sa concision et grâce au personnage de Nestor Burma et ceux malgré un scénario très moyen et un style en deça.Tiens, je l'avais loupé, celui-là, dans ma découverte des nouveaux mystères de Paris de Léo Malet. J'étais passé directement de « La nuit de Saint-Germain des Prés » à « M'as-tu vu en cadavre ? » sans me rendre compte que j'en loupais un. Le manque est désormais comblé. Autant le dire tout de suite, je n'aurais pas énormément loupé en ne revenant pas en arrière pour lire ce court roman de Léo Malet. Non pas que l'ensemble soit mauvais, c'est tout de même Léo Malet à la plume, mais la lecture de cet opus est bien moins agréable que celle du suivant, la faute à un léger manque de style ou d'inspiration et à une histoire un peu trop alambiquée, d'autant que cette confusion est à la fois dûe à des volontés trop étranges, de la part des personnages, pour être digestes et par des coïncidences et des histoires qui se téléscopent de façon peu crédibles. Reste le personnage de Nestor Burma, toujours aussi intéressant, et la plume, même moindre, cette fois-ci, de Léo Malet, pour sauver le tout du désastre qu'il aurait pu être avec un autre écrivain et un autre héros. Du coup, je ne m'étalerais pas beaucoup plus que cela,...
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  • Polars_urbains 02/08/2017
    Nestor Burma dans le quatorzième arrondissement du milieu des années 50, entre ilots populaires et maisons bourgeoises des « villas » voisines du parc Montsouris et de la Cité universitaire. Pour une enquête en surface et dans le Paris souterrain du réservoir de Montsouris. Au menu, cambrioleurs, arnaqueurs et maîtres-chanteurs, sans compter les nombreux cadavres ! Un Rompol dans lequel Malet (qui détestait le terme trop galvaudé de polar) se souvient des années où il fut proche des surréalistes et qui régale le lecteur de sa vision de Paris par Burma interposé. Au-delà de l’enquête, Les rats de Montsouris, roman policier « classique » pour les uns, un des premiers romans noirs pour Manchette, est une grande promenade dans un arrondissement que Malet connaissait particulièrement bien.
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