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Les Simples
Date de parution : 10/09/2020
Éditeurs :
Pocket

Les Simples

Date de parution : 10/09/2020
1584, en Provence. L’abbaye Notre-Dame du Loup est un havre de paix pour la petite communauté de bénédictines qui y mène une existence vouée à Dieu. Ces religieuses doivent leur... 1584, en Provence. L’abbaye Notre-Dame du Loup est un havre de paix pour la petite communauté de bénédictines qui y mène une existence vouée à Dieu. Ces religieuses doivent leur indépendance inhabituelle à la faveur d’un roi, et leur autonomie au don de leur doyenne, une herboriste dont certaines préparations... 1584, en Provence. L’abbaye Notre-Dame du Loup est un havre de paix pour la petite communauté de bénédictines qui y mène une existence vouée à Dieu. Ces religieuses doivent leur indépendance inhabituelle à la faveur d’un roi, et leur autonomie au don de leur doyenne, une herboriste dont certaines préparations de simples sont prisées jusqu’à la Cour.
Le nouvel évêque de Vence compte bien s’accaparer cette manne financière. Il dépêche deux vicaires dévoués pour inspecter l’abbaye. À charge pour eux d’y trouver matière à scandale ou, à défaut, d’en provoquer un. Mais l’évêque, vite dépassé par ses propres intrigues, va allumer un brasier dont il est loin d’imaginer l’ampleur. Il aurait dû savoir que, lorsqu’on lui entrouvre la porte, le diable se sent partout chez lui…

« Docte, féroce et jubilatoire, cette épiphanie romanesque est un pugilat féministe chorégraphié comme un évangile ; Ken Follett, Dan Brown et Jean Teulé sous progestérone réunis dans une abbaye entre vêpres et complies. » Marine de Tilly – Le Point
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EAN : 9782266307871
Code sériel : 17937
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 504
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266307871
Code sériel : 17937
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 504
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« La vraie magicienne, l'ensorceleuse en chef, c'est Yannick Grannec. La puissance de son analyse ; la finesse psychologique de ses personnages ; le diabolisme de sa construction. Docte, féroce et jubilatoire, cette épiphanie romanesque est un pugilat féministe chorégraphié comme un évangile ; Ken Follett, Dan Brown et Jean Teulé sous progestérone réunis dans une abbaye entre vêpres et complies. » Marine de Tilly
Le Point

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • iliona83 15/03/2024
    Un coup de cœur ❤ J'ai adoré l'histoire et la plume ! L'autrice est comparée à Ken Follett, Dan Brown et Jean Teulé en 4ème de couverture, et en effet il y a de cela. L'histoire est fluide et addictive. Elle s'intensifie petit à petit. Nous sommes en 1584 en Provence au cœur d'une Abbaye. La communauté vit paisiblement et est prospère grâce à son labeur. Elle peut même ouvrir un hôpital pour les plus nécessiteux. Malheureusement c'est la convoitise extérieure qui va venir tout bouleverser. Le nouvel évêque veut en effet récupérer le bénéfice issue du travail de cette communauté, et prendre le pouvoir sur ces femmes... Le roman est très religieux et nous fait découvrir la vie en communauté, avec ses règles, sa hiérarchie... On découvre également le pouvoir des simples (ces dons de la nature qui nous permettent de soulager de nombreux maux). Je recommande !
  • DanR 09/02/2024
    Je sors de la lecture enthousiaste de ce roman historique de première classe qui restera dans ma mémoire contrairement à beaucoup d’autres. Je n’irai pas jusqu’à la blasphématoire comparaison d’avec le Nom de la Rose mais je n’en suis pas loin. Tout y est : sacerdoce, diableries, magouilles, lâchetés, horreurs et bonheurs, bons et méchants, imbécilités et intelligences. N’hésitez pas , plongez à votre tour.
  • latina 13/05/2023
    16e siècle, une abbaye, la Provence, des moniales recueillies : décor idyllique, n’est-ce pas ? D’ailleurs, vu le titre, on se sent tout prêt à y passer un séjour rempli de paix… Eh bien détrompez-vous ! C’est qu’il s’en passe des vertes et des pas mûres, dans ce lieu où les herbes médicinales – les simples - sont recueillies avec soin par sœur Clémence pour soulager bien des maux. Quand les riches et les prélats se mêlent de diriger, ce n’est vraiment pas simple, et cela n’amène que jalousie et férocité. Entre interventions du Malin et amours interdites, nous saurons tout de cette époque dans cette belle région. Le statut de la femme y est bien expliqué, et mon dieu, quelle condition horrible ! Des filles d’aristocrates menées de force au couvent, rappelées de force pour se marier, des moniales toutes dévouées à leur prélat, des chasses aux « sorcières », simples guérisseuses par des remèdes de bonne femme… Et puis des chirurgiens-barbiers s’acharnant sur des abcès et provoquant la gangrène, des femmes qui meurent en couches par dizaines, des enfants souffreteux qui meurent également très vite (« c’est normal, elles en auront d’autres ! »), la sainte Inquisition obsédée par le Diable et torturant même une sœur très âgée … Bref, des intrigues en veux-tu en voilà, tout le contraire de ce qu’on s’imagine quand on pense à une abbaye provençale vouée à Dieu et aux soins des plus démunis. Allez, ouvrez ce roman, concoctez-vous une petite infusion de simples, vous allez vous régaler. 16e siècle, une abbaye, la Provence, des moniales recueillies : décor idyllique, n’est-ce pas ? D’ailleurs, vu le titre, on se sent tout prêt à y passer un séjour rempli de paix… Eh bien détrompez-vous ! C’est qu’il s’en passe des vertes et des pas mûres, dans ce lieu où les herbes médicinales – les simples - sont recueillies avec soin par sœur Clémence pour soulager bien des maux. Quand les riches et les prélats se mêlent de diriger, ce n’est vraiment pas simple, et cela n’amène que jalousie et férocité. Entre interventions du Malin et amours interdites, nous saurons tout de cette époque dans cette belle région. Le statut de la femme y est bien expliqué, et mon dieu, quelle condition horrible ! Des filles d’aristocrates menées de force au couvent, rappelées de force pour se marier, des moniales toutes dévouées à leur prélat, des chasses aux « sorcières », simples guérisseuses par des remèdes de bonne femme… Et puis des chirurgiens-barbiers s’acharnant sur des abcès et provoquant la gangrène, des femmes qui meurent en couches par dizaines, des enfants souffreteux qui meurent également très vite (« c’est normal, elles en auront d’autres ! »), la sainte Inquisition obsédée...
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  • fleurs24 25/09/2022
    La nature nous offre, sachons prendre, sans détruire. Les simples, ces plantes qui ont la vertu de soigner, mais qui aux yeux du clergé étaient utilisées par des sorcières. De nonne soigneuse, à sorcière, la frontière était proche. Belle lecture; Mais j'ai cru à l'existence de cette abbaye, de cette histoire, du coup, j'étais un peu déçue.
  • SteffieSweetBooks 05/08/2022
    Un roman historique extrêmement bien documenté, accompagné d'une plume magnifique pleine de poésie. J'ai beaucoup aimé le découpage : chaque chapitre porte le nom du protagoniste par les yeux duquel on suit l'intrigue, qui se déroule par ordre chronologique clairement indiqué. Les personnages sont uniques, parfois détestables, parfois attachants, toujours surprenants. J'ai trouvé quelques longueurs à ce roman ce qui fait que je lui enlève une étoile. Je lirai d'autres livres de Yannick Grannec avec grand plaisir, pour le bonheur de me plonger dans sa manière d'écrire si belle !
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