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L'éthique protestante et l'esprit du capitalisme
Collection : Agora
Date de parution : 01/11/1989
Éditeurs :
Pocket

L'éthique protestante et l'esprit du capitalisme

Collection : Agora
Date de parution : 01/11/1989

Max Weber décrit le grand bouleversement des Temps modernes, la transformation dans les mentalités du rapport à l'argent et à la fortune.

Aux consciences médiévales marquées par la parole évangélique selon...

Max Weber décrit le grand bouleversement des Temps modernes, la transformation dans les mentalités du rapport à l'argent et à la fortune.

Aux consciences médiévales marquées par la parole évangélique selon laquelle « il est plus aisé pour un chameau de passer par le chas d'une aiguille que pour un riche...

Max Weber décrit le grand bouleversement des Temps modernes, la transformation dans les mentalités du rapport à l'argent et à la fortune.

Aux consciences médiévales marquées par la parole évangélique selon laquelle « il est plus aisé pour un chameau de passer par le chas d'une aiguille que pour un riche d'entrer dans le royaume de Dieu » (Marc, X, 25), le protestantisme affirme que l'homme est sur terre pour se livrer à des œuvres terrestres, et que le succès de ses entreprises est le signe de la grâce divine. L'essor du capitalisme se fonde sur cette révolution des esprits, engendrée par la tourmente luthérienne.

Max Weber est le premier à donner une explication spécifique de l'essor du capitalisme. À travers cette magistrale leçon de sociologie, il éclaire d'un jour nouveau notre civilisation.

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EAN : 9782266034029
Code sériel : 6
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 288
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266034029
Code sériel : 6
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 288
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Isabelle690 28/11/2022
    Max Weber est considéré comme l'un des principaux fondateurs de la sociologie. A ce titre dans L'Ethique protestante et l'esprit du capitalisme (1905) il propose une lecture inédite des raisons du développement du capitalisme. Sans s'opposer à la description circonstanciée qu'en a fait Marx, il y juxtapose sa thèse, en postulant que l'état d'esprit de ceux qui l'ont promu, est intimement lié au succès de son expansion. ...Incontournable de la sociologie !
  • pamjij 26/02/2019
    test [masquer] texte [/masquer]
  • anniefrance 09/08/2018
    lu lors de mes études de sociologie, il y a plus de 50 ans...mais j'avais beaucoup apprécié l'analyse de Weber et plus ou moins consciemment, elle continue de m'influencer.
  • Writer 25/11/2016
    Je ne vais pas me livrer à un énième commentaire où le plan fait office de critique mais plutôt me livrer à mon ressenti concernant ma lecture. Cet ouvrage, de mon point de vue pose de nombreux problèmes même si Weber, que je considère énormément au demeurant, est un grand sociologue ; à mes yeux, d'ailleurs, plus économiste... En effet, cet ouvrage n'est pas construit de manière très cohérente dans le sens où certains allers-retours sont complexes voire très complexes à comprendre. De même, les réponses aux critiques de ses détracteurs en plein milieu d'un développement... Assez curieux comme procédé. Enfin, ne vous lancez pas dans cet ouvrage après (comme je l'ai fait) avoir lu un ouvrage comme Les formes élémentaires de la vie religieuse de Durkheim où tout est classé et clair et surtout, sans base sociologique... Je dis bien sociologique car comme le dit Weber, son ouvrage n'a pas une vocation théologique.
  • enkidu_ 05/07/2014
    Max Weber, grand nom de la sociologie qu'on ne doit plus présenter, décortique ici l'influence religieuse du protestantisme (ou, plutôt, du calvinisme et en particulier piétisme) sur la genèse de "l'esprit capitaliste" : il montre comment les idées de "double pré-destination" et "Beruf" (métier ou, mieux encore, "vocation") ont "rationalisé" le fait économique dans la vie de ceux qui professaient le protestantisme calviniste ou piétiste ; ce paradigme de "ascèse active" a transformé le travail en un mode de connaissance du divin, il est donc "valorisé" au point où la stricte morale ne visait plus que le travail comme "fin en soi". Il appuie sa thèse sur des démonstrations empiriques et autres sources documentaires, et termine son travail par ce propos: "L'un des éléments fondamentaux de l'esprit du capitalisme moderne, et non seulement de celui-ci, mais de la civilisation moderne elle-même, à savoir : la conduite rationnelle fondée sur l'idée de Beruf, est né de l'esprit de l'ascétisme chrétien - c'est ce que notre exposé s'est proposé de démontrer."
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