Lisez! icon: Search engine
L'invention de Morel
Jorge Luis Borges (préface de), Armand Pierhal (traduit par)
Date de parution : 21/09/2017
Éditeurs :
10/18

L'invention de Morel

Jorge Luis Borges (préface de), Armand Pierhal (traduit par)
Date de parution : 21/09/2017

Un homme en fuite trouve refuge sur une île déserte. Un lieu étrange, dominé par une villa immense et somptueuse dont les sous-sols recèlent une machinerie aux fonctions incompréhensibles. L'île,...

Un homme en fuite trouve refuge sur une île déserte. Un lieu étrange, dominé par une villa immense et somptueuse dont les sous-sols recèlent une machinerie aux fonctions incompréhensibles. L'île, pourtant, n'est pas si déserte qu'elle l'a semblé de prime abord. Des estivants, réunis sur place par un certain Morel,...

Un homme en fuite trouve refuge sur une île déserte. Un lieu étrange, dominé par une villa immense et somptueuse dont les sous-sols recèlent une machinerie aux fonctions incompréhensibles. L'île, pourtant, n'est pas si déserte qu'elle l'a semblé de prime abord. Des estivants, réunis sur place par un certain Morel, s’engagent dans une fête languide dont le rituel paraît se reproduire à l'infini.

Préfacé par Borges, un petit chef-d'oeuvre d'une originalité inaltérable.

Traduit de l'espagnol (Argentine)
par Armand Pierhal

Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782264072252
Code sériel : 953
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 128
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264072252
Code sériel : 953
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 128
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Aeigan 11/01/2024
    Fantastique ? Science-fiction ? Réalisme ? ''L'invention de Morel'' est une œuvre qui mélange les genres si bien que le lecteur est vite emporté dans cette drôle histoire. Ce roman, qui se lit d'une traite, est parfois difficile à suivre, les pensées du narrateurs étant débitées sans pause, continuellement. On y reconnait certaines références à d'autre chefs d’œuvre de la littérature, je pense notamment à l'île du Docteur Moreau et à Robinson Crusoé. Adolpho Bioy Casares arrive à la fois à nous faire voyager, à nous terrifier, à nous attendrir d'une certaine façon. Une petite lecture sympathique, à lire à tête reposé.
  • Ortie27 26/10/2023
    Un fugitif recherché par la police sur une île déserte interagit avec la réalité.  Qui est-il ? Qu'a-t-il fait ? Comment s'est il retrouvé là ? Délire-t-il ? Quand cela se passe t-il ? Cela restera un grand mystère.  D'abord, il y a la description de cette île si mystérieuse, avec son sous-sol, son musée, ses étranges machines, ses bruits, ses marées, ses deux lunes et deux soleils, son bois mort etc… Une île qui semble peuplée, est-ce de fantômes ? Il les voit se déplacer, interagir entre eux, s'éprend éperdument de la femme au foulard mais eux, ils ne le voit pas, est-ce lui le fantôme ? Il ne peut ni interagir avec eux, ni les toucher. Il se fait des réflexions, émet des hypothèses qu'il réfute pour de nouvelles et s'obstine à s'approcher de cette femme dont il est tombé amoureux, et lui invente un jardin, il leur invente un avenir, tout au fond de sa tête.  Et ce Morel qui passe tant de temps avec la femme aimée, qui est-il ? Et cette semaine se répète, les mêmes mots, mêmes gestes, aux mêmes endroits, aux mêmes instants.  Lors d'une intervention de Morel, il avouera aux autres protagonistes son invention qui en outrera plus d'un, le narrateur comprendra et restera malgré tout obsédé du début à la fin par Faustine et la force de ses propres émotions, de son imaginaire, de sa pensée.  Ce roman m'a plu pour ces nombreux thèmes fascinants : La mort, la vie parallèle, la peur, le désir, la promesse d'une vie meilleure dans l'au-delà, l'immortalité, la dégénérescence, les visions étranges, l'île mystérieuse, et cette invention spectaculaire.  Pour l'ambiance oppressante de l'île et les réflexions sur la nature de la réalité… le narrateur est-il en dehors, dessous, dessus ?  Cette semaine revécu sans cesse, qu'il décortique. Et l'invention de Morel bien-sûr.  Ce fût une très bonne lecture déroutante et intrigante !!!  Un fugitif recherché par la police sur une île déserte interagit avec la réalité.  Qui est-il ? Qu'a-t-il fait ? Comment s'est il retrouvé là ? Délire-t-il ? Quand cela se passe t-il ? Cela restera un grand mystère.  D'abord, il y a la description de cette île si mystérieuse, avec son sous-sol, son musée, ses étranges machines, ses bruits, ses marées, ses deux lunes et deux soleils, son bois mort etc… Une île qui semble peuplée, est-ce de fantômes ? Il les voit se déplacer, interagir entre eux, s'éprend éperdument de la femme au foulard mais eux, ils ne le voit pas, est-ce lui le fantôme ? Il ne peut ni interagir avec eux, ni les toucher. Il se fait des réflexions, émet des hypothèses qu'il réfute pour de nouvelles et s'obstine à s'approcher de cette femme dont il est tombé amoureux, et lui invente un jardin, il leur invente un avenir, tout au fond de sa tête.  Et ce Morel qui passe tant de temps avec la femme aimée, qui est-il ? Et cette semaine se répète, les mêmes mots, mêmes gestes, aux mêmes endroits, aux mêmes instants.  Lors d'une intervention de Morel, il avouera aux autres protagonistes son invention qui en outrera plus d'un,...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Kareline33 09/10/2023
    Comment ne pas succomber à l'invention de Morel, celle qui guérit de tout, de la mort, de la maladie et du doute en vous captivant à jamais dans l'illusion de l'Amour. C'est le jour de la marmotte de Bill Murray, c'est Sisyphe, c'est l'amour au temps du ...cinéma.
  • nunux34 13/08/2023
    L'inventivité de l'auteur est indéniable. Comme le risque est grand de divulgacher le récit je ne m'attarderai pas sur le court roman d'Adolfo Bioy Casares. Fantastique, poétique, l'écriture est savoureuse et, si l'intrigue est grande, son dénouement est tout aussi satisfaisant. Je place donc le livre dans la catégorie "à relire".
  • Bibliorium 24/06/2023
    Un livre qui, loin de m'avoir déplu, m'a néanmoins laissée tiède. Voilà un fugitif dont on ne sait rien, si ce n'est qu'il survit sur une île déserte. Du moins déserte jusqu'à ce que Morel et sa bande arrivent: des gens bizarres, pas très liants, peu intéressés à ce qui les entourent... Lu au premier degré, ça passe, ça peut même capter ta curiosité et te pousser à aller au bout de l'histoire. Mais j'ai bien senti qu'il y avait une sous-couche plus profonde, plus intello, plus intéressante, quelque chose touchant à une réflexion sur l'immortalité, la mort, la solitude aussi. Force est de constater que je n'avais pas ma pelle sur moi et que j'ai bien conscience de ne pas avoir réussi à creuser assez profond.
Inscrivez-vous à la newsletter 10/18 pour encore plus d'inspirations !
Voyagez hors des sentiers battus, loin d'une littérature conventionnelle et attendue…