Lisez! icon: Search engine
Nouveauté
Mes soeurs n'aimez pas les marins
Date de parution : 14/03/2024
Éditeurs :
Pocket
Nouveauté

Mes soeurs n'aimez pas les marins

Date de parution : 14/03/2024
Un grand roman d'amour et d'aventure, qui rend un hommage bouleversant à ces femmes à qui la mer a tout pris et qui ne renoncent jamais.
D’abord, ça a été François, parti pour les grands bancs ; puis Jean, que lui non plus la mer n’a pas rendu. Son mari et son fils : à Perrine,... D’abord, ça a été François, parti pour les grands bancs ; puis Jean, que lui non plus la mer n’a pas rendu. Son mari et son fils : à Perrine, la mer a tout pris. Ce n’est pas faute d’avoir été prévenue.
Sur les côtes bretonnes, les femmes le savent, qu’il...
D’abord, ça a été François, parti pour les grands bancs ; puis Jean, que lui non plus la mer n’a pas rendu. Son mari et son fils : à Perrine, la mer a tout pris. Ce n’est pas faute d’avoir été prévenue.
Sur les côtes bretonnes, les femmes le savent, qu’il ne faut pas trop aimer les marins. Pour l’avoir compris à ses dépens, Paulette, sa bru, s’en ira le plus loin possible : le petit Pierre, le dernier des Cadoret, grandira à la montagne. Mais l’appel du large est parfois le plus fort…

« Ce roman bouleverse avec pudeur, simplicité. Un récit humain, à la hauteur de ces vies que l’on n’oubliera pas. » Paris Normandie
« Un roman fort et émouvant qui rend la parole aux mères et épouses de marins. » Le Trégor
« Un choc ! Un roman d’une force qui donne le frisson. Un grand moment de littérature ! » La Griffe Noire (Saint-Maur-des-Fossés)

Cet ouvrage a reçu le Prix Albatros du meilleur livre de mer STW
et le Prix Livre & Mer Henri-Queffélec.
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782266338011
Code sériel : 19192
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 384
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266338011
Code sériel : 19192
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 384
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Ce roman bouleverse avec pudeur, simplicité. Un récit humain, à la hauteur de ces vies que l’on n’oubliera pas. »
Paris Normandie

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • fred36 16/03/2024
    Un très beau roman, une écriture attachante pleine d’humanité. Beaucoup de marques d’amour entre les personnages de cette belle histoire de marins. Au départ c’est Perrine veuve de marin qui avec son fils Jean, nous entraînent dans un océan d’amour simple (les lettres de Jean sont magnifiques). Puis Paulette débarque, un tourbillon de vie et de drôlerie. Paulette et Jean s’aiment. La naissance de Pierre va changer Paulette devenue veuve à son tour. Une autre forme d’amour filiale, plus actuelle, moins exclusive mais tout aussi sincère va nous guider jusqu’au point final. Une bien belle histoire, les transitions sont parfois déroutantes c’est dommage, un voyage sur une mer plus calme m’aurait convenu.
  • NellyH32 11/02/2024
    La mer est fascinante, mais elle sait aussi être cruelle. Perrine, son fils Jean, Paulette et son fils Pierre, tous en font l'amère expérience. Être femme ou mère de marin, c'est passer sa vie à attendre l'être aimé, à craindre pour sa sécurité et, trop souvent, à pleurer sa disparition en mer. Grégory Nicolas raconte l'histoire de cette famille marquée par le sort et de ces femmes au caractère bien trempé. Le roman est très bien écrit, la scène d'ouverture avec Perrine qui jette des cailloux dans la mer comme pour la blesser, est poignante et donne un bon aperçu de la teneur du roman. Beaucoup de très belles descriptions de la vie des marins en mer, et aussi de la pudeur qui empêche de dire les sentiments. Une lecture très agréable et toute en retenue, que je recommande. Merci à Netgalley et aux Escales pour le service presse. #Messœursnaimezpaslesmarins #NetGalleyFrance
  • Natiora 11/12/2023
    La Bretagne et la vie de marins sont intimement liées. La famille de Perrine ne déroge pas à la règle. Son père marin est mort en mer, son époux a disparu en mer, et son fils Jean, on l’apprend dès les premières pages, suivra le chemin des marins perdus. Les malheureux ! Les malheureux ? Non. Les malheureuses. Celles qui restent avec leur détresse, leurs souvenirs, la place à jamais vide de l’absent. Ce roman est dédiée aux femmes. A travers les destins de Perrine, la mère, et de Paulette, la femme de Jean. Paulette la forte tête se l’était pourtant juré, jamais elle n’épouserait un marin. Mais une boutade lancée le sourire aux lèvres, là voilà cueillie. Elle l’aime son Jean, et quand il lui dit que si un jour il lui demande de rester à terre, elle le croit. Lui-même devait le croire aussi, au moins un peu. Mais l’appel de la mer est plus fort. Il est terrible ce roman, parce que Jean est incroyablement attachant. C’est un bon fils, qui n’a de cesse d’écrire des lettres à sa mère qu’il lui remet entre les mains à chaque retour. Il sait qu’il la contraint à vivre dans une crainte incessante et fait de son mieux pour rendre ses jours doux. Elle n’a que lui, après tout. Quand arrive Paulette, c’est un amoureux tendre et prévenant. Mais Jean rêve de voyages au long cours. Il vit, intensément, fidèle à son cœur, sans vouloir peiner personne. Jusqu’au drame. Alors, il reste les femmes. Et elles sont bouleversantes. Chacune fait face à sa manière. L’une en tournant le dos à la mer, l’autre en mettant des kilomètres entre elle et l’océan, pour que son fils ne devienne pas un marin à son tour. Mais le sel de l’océan coulerait-il dans les veines ? J’ai été transportée d’émotion du début à la fin. L’écriture est magnifique, d’une simplicité qui touche en plein cœur. Le récit est empreint d’une tristesse mélancolique, car on sait que nous assistons aux moments heureux d’un homme mort et regretté. Tous les personnages, de ceux qui nous accompagneront longtemps, sont extraordinaires et c’est avec regret que je les ai quittés. C’est un coup de cœur puissant et ce qui le rend encore plus délectable, totalement inattendu. La Bretagne et la vie de marins sont intimement liées. La famille de Perrine ne déroge pas à la règle. Son père marin est mort en mer, son époux a disparu en mer, et son fils Jean, on l’apprend dès les premières pages, suivra le chemin des marins perdus. Les malheureux ! Les malheureux ? Non. Les malheureuses. Celles qui restent avec leur détresse, leurs souvenirs, la place à jamais vide de l’absent. Ce roman est dédiée aux femmes. A travers les destins de Perrine, la mère, et de Paulette, la femme de Jean. Paulette la forte tête se l’était pourtant juré, jamais elle n’épouserait un marin. Mais une boutade lancée le sourire aux lèvres, là voilà cueillie. Elle l’aime son Jean, et quand il lui dit que si un jour il lui demande de rester à terre, elle le croit. Lui-même devait le croire aussi, au moins un peu. Mais l’appel de la mer est plus fort. Il est terrible ce roman, parce que Jean est incroyablement attachant. C’est un bon fils, qui n’a de cesse d’écrire des lettres à sa mère qu’il lui remet entre les mains à chaque retour. Il sait qu’il la contraint à vivre dans une crainte incessante...
    Lire la suite
    En lire moins
  • LaVieenLivresdeFrancoise 01/10/2023
    Lorsque des marins périssent en mer, l'on a coutume de dire "Les malheureux". Ce sont aux côtés des "malheureuses" que nous allons évoluer. Ces filles, soeurs, femmes, mères,... de marins. Qui attendent éperdument le retour de l'être aimé. Vivre dans l'attente. Détester cette mer nourrie par le ventre les femmes Cette mer qui prend tout sur son passage. Les bateaux, les hommes, les rêves, les vies. Vivre avec la peur au ventre. Toujours. Les deuils à surmonter. Les bonheurs terrassés. La vie pétrifiée. Attendre des nouvelles, des lettres. Craindre la météo qui fait chavirer. C'est là le destin des malheureuses, celles qui restent à quai. "Femmes de marins, femmes de chagrins". Le destin des marins est tout autre. Captivés qu'ils sont par l'amour de la mer. Cet amour fou au point qu'elle leur manque une fois à terre. Ce besoin de partir, découvrir, s'évader, la chérir. Cette volonté de ne pas vivre en cage. Dans ce roman captivant, poétique, réaliste, poignant, nous allons voguer au gré des pensées et des vies de Perrine, Jean, Paulette et Pierre. Perrine à qui la mer a tout pris. Jean, son marin de fils, ce poète qui lui écrit des lettres au long cours. Paulette, qui tombe en amour pour Jean, son "petit marin". Pierre, leur fils, petit rêveur, "Pierrot des bois". Tour à tour, leurs pensées, leurs destins nous seront contés. "Dommage qu'il soit marin, je ne voudrais pas abîmer ma plus belle robe si on doit me pendre avec..." s'est dit Paulette lors de sa première rencontre avec Jean. Le ton est donné. Un roman qui nous happe, telle la mer tempêtueuse. Qui nous bouleverse. Nous livres les émotions, pensées, passions, rêves et peurs de chacun. Une histoire puissante, sobre et poignante. Un hommage à ces femmes qui restent à terre. Dans l'attente, la joie, les larmes et le rêve de vies apaisées. Des femmes si fortes et si fragiles à la fois. Un coup de coeur que cette histoire qui m'a emportée avec elle dès les premières pages! Lorsque des marins périssent en mer, l'on a coutume de dire "Les malheureux". Ce sont aux côtés des "malheureuses" que nous allons évoluer. Ces filles, soeurs, femmes, mères,... de marins. Qui attendent éperdument le retour de l'être aimé. Vivre dans l'attente. Détester cette mer nourrie par le ventre les femmes Cette mer qui prend tout sur son passage. Les bateaux, les hommes, les rêves, les vies. Vivre avec la peur au ventre. Toujours. Les deuils à surmonter. Les bonheurs terrassés. La vie pétrifiée. Attendre des nouvelles, des lettres. Craindre la météo qui fait chavirer. C'est là le destin des malheureuses, celles qui restent à quai. "Femmes de marins, femmes de chagrins". Le destin des marins est tout autre. Captivés qu'ils sont par l'amour de la mer. Cet amour fou au point qu'elle leur manque une fois à terre. Ce besoin de partir, découvrir, s'évader, la chérir. Cette volonté de ne pas vivre en cage. Dans ce roman captivant, poétique, réaliste, poignant, nous allons voguer au gré des pensées et des vies de Perrine, Jean, Paulette et Pierre. Perrine à qui la mer a tout pris. Jean, son marin de fils, ce poète qui lui écrit des lettres au long cours. Paulette, qui tombe...
    Lire la suite
    En lire moins
  • jeanmarieplanque 22/09/2023
    Une histoire d'amour authentique, empreinte de douceur, qui transporte le lecteur dans une époque révolue mais toujours présente. Les femmes des communautés côtières continuent d'espérer le retour de leurs hommes à chaque campagne de pêche, tout en redoutant que la mer ne les leur prenne à jamais.
Inscrivez-vous à la Newsletter Pocket pour trouver le livre dont vous rêvez !
Chaque semaine, riez, pleurez et évadez-vous au rythme de vos envies et des pages que nous vous conseillons.