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Napoli mon amour
Lise Caillat (traduit par)
Date de parution : 18/08/2022
Éditeurs :
Pocket

Napoli mon amour

Lise Caillat (traduit par)
Date de parution : 18/08/2022
La vie d’un jeune trentenaire napolitain.
Après quelques années à travailler sur des bateaux de croisière, Amoresano retrouve son port d’attache. À 30 ans, ce jeune homme cultivé, diplômé, a perdu le goût de tout –... Après quelques années à travailler sur des bateaux de croisière, Amoresano retrouve son port d’attache. À 30 ans, ce jeune homme cultivé, diplômé, a perdu le goût de tout – de tout, sauf de déambuler dans sa ville. Naples crépusculaire, aux ruelles en dédale… Naples en feu les soirs de... Après quelques années à travailler sur des bateaux de croisière, Amoresano retrouve son port d’attache. À 30 ans, ce jeune homme cultivé, diplômé, a perdu le goût de tout – de tout, sauf de déambuler dans sa ville. Naples crépusculaire, aux ruelles en dédale… Naples en feu les soirs de match… Sur ces places décaties, une bière à la main, le jeune homme savoure, en fumant, la vacuité de l’existence… Du petit pécule amassé les jours fastes, il ne reste rien. De ses espoirs, pas grand-chose non plus. C’est alors qu’il croise cette fille, Nina, au gré de sa dérive. Et la mélancolie, d’un coup, vaut la peine d’être vécue…
 
 
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EAN : 9782266325684
Code sériel : 18662
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 264
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266325684
Code sériel : 18662
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 264
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

" Le romancier le plus prometteur de sa génération."

 
Il Messaggero

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • CFanny014 14/03/2024
    Un premier roman qui dit l’ennui d’un jeune trentenaire napolitain désœuvré dans sa ville . Notre narrateur rêve de devenir écrivain. A la recherche d’un emploi sous-qualifié, il n’a jamais le bon profil.C’est le récit d’un quotidien fait de football, d’errances, de rencontres éphémères, peut-être s’apparente-t-il par là à des vies d’aujourd’hui. L’intrigue est minimale… Ce n’est pas un coup de cœur.
  • nineentreleslignes 18/10/2023
    Napoli mon amour, d’Alessio Forgione Pocket « Je pensais que j’avais marché, que la ville était finie, qu’il ne m’était rien arrivé, et qu’il n’était pas possible d’aller plus loin, puis je me rappelai qu’en bateau j’aimais regarder la mer, parce que j’aimais imaginer que derrière l’horizon, où que j’étais, il y avait Naples. » Jamais livre n’a mieux porté son nom. Ce roman est une ode à la ville de Naples qui en en devient le sujet principal. A la fois belle et salle, bruyante et solitaire, l’agitation de ses jours et la mélancolie de ses nuits. Amoresana, le narrateur, napolitain trentenaire désabusé nous entraine dans son spleen et dans ses déambulations, accompagné de son ami Russo. Beaucoup d’alcool, plus de travail et bientôt plus d’argent, entretenu par ses parents et par ses rêveries, il espère encore de la vie. Surtout lorsque Nina croise sa route et qu’il en tombe amoureux. A Naples beaucoup de choses se passent dans la rue, rien d’étonnant de tomber sur l’amour au coin d’une rue ! Nina va insuffler une bouffée d’oxygène dans sa vie insipide, il va y croire à nouveau, écrire, oser le dire et rencontrer son maitre, La Capria. Mais il le dit lui-même, la chance est rarement de son côté, un jour Nina s’en va, poursuivre ses études et sa vie ailleurs et lui laisse l’idée que la vie passe et le laisse encore une fois sur le bas-côté. Désillusion, alcool, Amoresano est comme un poisson qui tourne au fond d’un bocal. La fin surprend, poignante, cruelle. Coup de cœur pour ce roman qui prolonge parfaitement le voyage. Un roman qui m’a fait penser au fameux Le dernier été en ville de Calligarich, où cette fois Rome était au centre du roman. Napoli mon amour, d’Alessio Forgione Pocket « Je pensais que j’avais marché, que la ville était finie, qu’il ne m’était rien arrivé, et qu’il n’était pas possible d’aller plus loin, puis je me rappelai qu’en bateau j’aimais regarder la mer, parce que j’aimais imaginer que derrière l’horizon, où que j’étais, il y avait Naples. » Jamais livre n’a mieux porté son nom. Ce roman est une ode à la ville de Naples qui en en devient le sujet principal. A la fois belle et salle, bruyante et solitaire, l’agitation de ses jours et la mélancolie de ses nuits. Amoresana, le narrateur, napolitain trentenaire désabusé nous entraine dans son spleen et dans ses déambulations, accompagné de son ami Russo. Beaucoup d’alcool, plus de travail et bientôt plus d’argent, entretenu par ses parents et par ses rêveries, il espère encore de la vie. Surtout lorsque Nina croise sa route et qu’il en tombe amoureux. A Naples beaucoup de choses se passent dans la rue, rien d’étonnant de tomber sur l’amour au coin d’une rue ! Nina va insuffler une bouffée d’oxygène dans sa vie insipide, il va y croire à nouveau, écrire, oser le dire et rencontrer son maitre, La Capria. Mais il le dit lui-même, la chance est...
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  • hillingrid 17/07/2023
    L'auteur nous narre les errances et déambulations dans Naples d'Amoresano qui va sur ses 30 ans, sans travail et vivant toujours chez ses parents. Il a beau postuler, préparer un concours, il tourne en rond dans sa chambre comme un lion en cage. Il espère quitter Naples. En attendant, il vit sur les maigres économies d'un ancien travail, traîne les bars avec son ami Russo, supporte avec ferveur l'équipe de foot de Naples. Un antihéros qui traîne son spleen tout au long du roman puis l'embellie arrive en la personne de Nina dont il tombe amoureux. C'est alors l'espoir qui renaît. Malgré ce bonheur, Amaresano voit fondre comme neige au soleil ses économies. L'amour doit s'entretenir et les excursions à Rome, Provici, restaurants, ciné et bars ont un coût. Une tristesse profonde se dégage du personnage principal qui nous alerte sur la tragédie à venir quand Nina lui apprend son départ (des idées noires le submergent régulièrement bien avant sa rencontre avec Nina). Pourtant ce roman dégage un charme un peu désuet malgré la mélancolie qui s'en dégage. De plus, Naples est l'âme du récit. Elle est vivante, ensorcelante avec ses ruelles, sa baie, son Vésuve, ses places, ses bars, son club de foot. L'auteur nous délivre une vision lucide sur une jeunesse désœuvrée qui se bat pour survivre et rentrer dans l'âge adulte. Je ne saurais vous dire si j'ai aimé ou non ce roman mais j'ai été ensorcelée par Naples que j'aime depuis le jour où j'ai fait sa connaissance et cela remonte à quelques années déjà. L'auteur nous narre les errances et déambulations dans Naples d'Amoresano qui va sur ses 30 ans, sans travail et vivant toujours chez ses parents. Il a beau postuler, préparer un concours, il tourne en rond dans sa chambre comme un lion en cage. Il espère quitter Naples. En attendant, il vit sur les maigres économies d'un ancien travail, traîne les bars avec son ami Russo, supporte avec ferveur l'équipe de foot de Naples. Un antihéros qui traîne son spleen tout au long du roman puis l'embellie arrive en la personne de Nina dont il tombe amoureux. C'est alors l'espoir qui renaît. Malgré ce bonheur, Amaresano voit fondre comme neige au soleil ses économies. L'amour doit s'entretenir et les excursions à Rome, Provici, restaurants, ciné et bars ont un coût. Une tristesse profonde se dégage du personnage principal qui nous alerte sur la tragédie à venir quand Nina lui apprend son départ (des idées noires le submergent régulièrement bien avant sa rencontre avec Nina). Pourtant ce roman dégage un charme un peu désuet malgré la mélancolie qui s'en dégage. De plus, Naples est l'âme du récit. Elle est vivante, ensorcelante avec ses ruelles, sa baie, son Vésuve, ses places, ses bars, son club de foot. L'auteur nous délivre...
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  • dakota0306 27/11/2022
    Roman primé en Italie en 2019 "Je voulais son amour, je voulais toutes les bières du monde et d'autres choses qui ne me venaient pas encore à l'esprit et que je ferai en sorte d'obtenir. Je voulais la vie et je décidais de la prendre, conscient qu'elle me tuerait. Je pensais que je vivrai tant que je pouvais et qu'après je me tuerais sans cris et sans pleurs." Après avoir navigué quelques années sur un bateau de croisière, Amoresano, bientôt 30 ans, a retrouvé son port d'attache : Naples. Ce jeune homme pourrait surfer sur ses nombreuses qualités pour avancer dans la vie, mais ayant perdu le goût de tout il se complet dans une dérive, déambulant dans les rues une bière dans une main et une cigarette dans l'autre. Il ne se fait plus d'illusion sur le naufrage prémédité de son avenir, jusqu'au jour où la jolie Nina croise sa route et lui donne un nouveau cap à suivre. J'ai fermé ce livre dubitative sur une fin prévisible. Je m'attendais à un livre à l'image de la ville de Naples qui selon moi est l'image même de la ville italienne par excellence : pleine de gens qui chantent au balcon ou dans les rues, où l'on parle fort aux terrasses de café, avec ses ruelles en pente et le Vésuve qui veille pas loin. Une ville animée, vivante que l'on aime ou déteste au premier regard. Une ville sans demi-mesure qui m'a complètement charmée. Ai-je aimé ce livre ? Je ne saurai le dire et c'est la mon vrai problème. Dans un langage simple, l'auteur nous offre une vision très lucide sur la précarité des liens que l'on tisse et de la vie en général. Peut-être avais je envie de plus de positivité dans cette lecture Certains passages sont magnifiques de poésie, il y a un peu d'humour au hasard de quelques pages, deux magnifiques rencontres pleines d'émotions... Et pourtant je me suis ennuyée, désespérée de voir Amoresano compter l'argent qu'il dépense et qui lui reste sur son compte comme un décompte conscient du naufrage de sa vie...et de sa fin. La ville est la vraie héroïne de l'histoire selon moi. Roman primé en Italie en 2019 "Je voulais son amour, je voulais toutes les bières du monde et d'autres choses qui ne me venaient pas encore à l'esprit et que je ferai en sorte d'obtenir. Je voulais la vie et je décidais de la prendre, conscient qu'elle me tuerait. Je pensais que je vivrai tant que je pouvais et qu'après je me tuerais sans cris et sans pleurs." Après avoir navigué quelques années sur un bateau de croisière, Amoresano, bientôt 30 ans, a retrouvé son port d'attache : Naples. Ce jeune homme pourrait surfer sur ses nombreuses qualités pour avancer dans la vie, mais ayant perdu le goût de tout il se complet dans une dérive, déambulant dans les rues une bière dans une main et une cigarette dans l'autre. Il ne se fait plus d'illusion sur le naufrage prémédité de son avenir, jusqu'au jour où la jolie Nina croise sa route et lui donne un nouveau cap à suivre. J'ai fermé ce livre dubitative sur une fin prévisible. Je m'attendais à un livre à l'image de la ville de Naples qui selon moi est l'image même de la ville italienne par excellence : pleine de gens qui chantent au balcon ou...
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  • Afleurdelivres 08/10/2022
    La véritable héroïne de ce roman aussi beau que crépusculaire au fond c’est Naples. Elle est là à chaque page, elle enserre les personnages de sa présence immuable. Ensorcelante et grouillante de vie elle instille un poison paralysant qui empêche sa jeunesse désillusionnée de fuir. C’est du moins le ressenti du narrateur Amoresano, 29 ans, qui traîne sa mélancolie dans le lacis des Vicoli (ruelles) de cette cité populaire où détritus et graffitis modernes côtoient splendeurs antiques. Il cherche sa place se débattant dans le filet de l’incertitude tout en donnant l’illusion de vivre et de vouloir partir. La mer de la baie de Naples est davantage un barrage à toute velléité d’évasion qu’un horizon de liberté. Engoncé dans son manteau, poings serrés au fond des poches, clope aux lèvres, brouillé par les vapeurs d’alcool, Amoresano arpente en solitaire où avec son ami Russo, les Piazze et rues de Napoli parfois même les îles alentours zonant de bars en pizzerie. Il vivote au rythme des buts ou défaites de la légendaire équipe de foot le Napoli. Entre deux rasades de Vodka ou de vin souvent accompagnées de mets italiens qui font saliver,il recherche vainement un emploi et écrit des nouvelles espérant un jour être publié. En attendant il vit sur ses faibles économies et au fur et à mesure qu’elles décroissent, son angoisse croît. Un décompte financier et vital s’enclenchent. Dans ce livre d’atmosphère au charme particulier les sensations, la perception dominent sur le visuel. Un jour au hasard d’une rue celle qui réveillera sa pulsion de vie lui apparaît. Elle, Nina. Il en tombe furieusement amoureux « Tu es plus belle que le Napoli qui mène 4 à 1 à Bologne ». Ce héros bancal, malmené et sans grande ambition est subitement animé d’un désir brûlant de vivre et partage avec elle des moments torrides et passionnels. Seulement « la journée dans laquelle j’aurais voulu vivre toujours prenait fin » le temps du désenchantement va poindre et la brise de la tragédie se lever transformant le bleu cobalt de la baie de Naples en bleu nuit. Dans une langue simple et dialoguée l’auteur souligne la précarité des liens mais aussi de la vie. Et c’est beau.La véritable héroïne de ce roman aussi beau que crépusculaire au fond c’est Naples. Elle est là à chaque page, elle enserre les personnages de sa présence immuable. Ensorcelante et grouillante de vie elle instille un poison paralysant qui empêche sa jeunesse désillusionnée de fuir. C’est du moins le ressenti du narrateur Amoresano, 29 ans, qui traîne sa mélancolie dans le lacis des Vicoli (ruelles) de cette cité populaire où détritus et graffitis modernes côtoient splendeurs antiques. Il cherche sa place se débattant dans le filet de l’incertitude tout en donnant l’illusion de vivre et de vouloir partir. La mer de la baie de Naples est davantage un barrage à toute velléité d’évasion qu’un horizon de liberté. Engoncé dans son manteau, poings serrés au fond des poches, clope aux lèvres, brouillé par les vapeurs d’alcool, Amoresano arpente en solitaire où avec son ami Russo, les Piazze et rues de Napoli parfois même les îles alentours zonant de bars en pizzerie. Il vivote au rythme des buts ou défaites de la légendaire équipe de foot le Napoli. Entre deux rasades de Vodka ou de vin souvent accompagnées de mets italiens qui font saliver,il recherche vainement un emploi et écrit des nouvelles...
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