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Ne dis rien
Claire-Marie Clévy (traduit par)
Date de parution : 09/09/2021
Éditeurs :
Pocket

Ne dis rien

Claire-Marie Clévy (traduit par)
Date de parution : 09/09/2021
« Jean McConville avait trente-huit ans lorsqu’elle disparut, et elle avait passé près de la moitié de sa vie enceinte ou à récupérer d’un accouchement. »
Par ces mots, le journaliste américain Patrick...
« Jean McConville avait trente-huit ans lorsqu’elle disparut, et elle avait passé près de la moitié de sa vie enceinte ou à récupérer d’un accouchement. »
Par ces mots, le journaliste américain Patrick Radden Keefe réveille les démons d’un pays traumatisé. Car l’enlèvement de cette mère de famille, en 1972, sous les yeux...
« Jean McConville avait trente-huit ans lorsqu’elle disparut, et elle avait passé près de la moitié de sa vie enceinte ou à récupérer d’un accouchement. »
Par ces mots, le journaliste américain Patrick Radden Keefe réveille les démons d’un pays traumatisé. Car l’enlèvement de cette mère de famille, en 1972, sous les yeux de ses enfants n’a jamais quitté la mémoire des catholiques de Belfast. La jeune femme avait-elle vraiment trahi l’IRA ? Bravant l’omerta qui règne sur cette affaire, ce récit haletant plonge dans l’histoire des « Troubles » nord-irlandais pour en dévoiler le souvenir sanglant.
Et, sous les pavés, les derniers secrets…
 
 
 
« Ce livre est d’une importance capitale. » Lire
 
« Richement étayé de témoignages, passionnant d’un bout à l’autre, l’ouvrage de Radden Keefe se distingue par son tressage d’intrigues au fil d’un demi-siècle. Un modèle de structure narrative et d’enquête journalistique au long cours. » Le Monde
 
Traduit de l’anglais par Claire-Marie Clavy
 
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EAN : 9782266316217
Code sériel : 18229
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 544
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266316217
Code sériel : 18229
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 544
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Rien ne manque à cette enquête rédigée comme un thriller. » 
 
Le Figaro
« Richement étayé de témoignages, passionnant d’un bout à l’autre, l’ouvrage de Radden Keefe se distingue par son tressage d’intrigues au fil d’un demi-siècle. Un modèle de structure narrative et d’enquête journalistique au long cours. »
Le Monde des livres
« Ce livre est d’une importance capitale. » 
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • JLG13 27/02/2024
    L'Irlande du Nord restait dans mon souvenir les interviews de Gerry Adams à la BBC, sans sa propre voix, censurée, et qui parlait qu'une paix était possible, alors que des bombes explosaient à Londres au début des années 90, là nous habitions à l'époque. Une impression étrange de violence réelle, mais distante et incompréhensible. La France n'avait pas encore connu des attentats terroristes d'un tout autre genre, tel celui du métro Saint-Michel en 95. Nous savions bien que l'histoire de l'Irlande a connu bien des vicissitudes, une famine dévastatrice, une guerre de religion moderne, ayant abouti à la partition de 1921. Nous avions vu le film Bloody Sunday, et encore récemment sur Arte des documentaires fouillés, mettant en lumière des parcours individuels pavés de deuils et de souffrance. Alors so what, que peut apporter un livre de journaliste, qui ne prend pas partie, et n'a pas la hauteur de vue d'un historien? Au final, beaucoup, la modestie de Keefe qui a beaucoup recherché, mais reconnait qu'il n'a pas pu tout savoir, donne au récit une densité et une puissance qui va crescendo. Créer la haine de l'autre camp est finalement plus aisé que de l'arrêter, une fois que actes criminels, envers des civils et les vengeances qui s'en suivent, ont dépassé le seuil de la seule justification militaire. Le récit ne s'appuie que sur des faits et témoignages de certains des acteurs, et écrit habilement nous parle des femmes disparues et des femmes meurtrières, aussi déterminées que leurs frères d'armes, telles les sœurs Price, impliquées dans une grève de la faim en prison, antérieure à Bobby Sand. Keefe ne juge pas ses protagonistes, il met en évidence combien la rédemption est quasi-impossible, combien le renoncement à des objectifs politiques est dangereux au sein de chacun des deux camps. Il nous trace la formidable ambiguïté de Adams, capable de diriger l'action paramilitaire violente, comme de négocier une paix durable depuis 98. Le paysage nord-irlandais reste gris, ce territoire où tout le monde connaissait tout le monde, ce qui n'a pas empêché les traitres de fleurir. Le reportage devient un grand livre, une leçon d'humanité quand les charniers révèlent peu à peu leurs derniers secrets.L'Irlande du Nord restait dans mon souvenir les interviews de Gerry Adams à la BBC, sans sa propre voix, censurée, et qui parlait qu'une paix était possible, alors que des bombes explosaient à Londres au début des années 90, là nous habitions à l'époque. Une impression étrange de violence réelle, mais distante et incompréhensible. La France n'avait pas encore connu des attentats terroristes d'un tout autre genre, tel celui du métro Saint-Michel en 95. Nous savions bien que l'histoire de l'Irlande a connu bien des vicissitudes, une famine dévastatrice, une guerre de religion moderne, ayant abouti à la partition de 1921. Nous avions vu le film Bloody Sunday, et encore récemment sur Arte des documentaires fouillés, mettant en lumière des parcours individuels pavés de deuils et de souffrance. Alors so what, que peut apporter un livre de journaliste, qui ne prend pas partie, et n'a pas la hauteur de vue d'un historien? Au final, beaucoup, la modestie de Keefe qui a beaucoup recherché, mais reconnait qu'il n'a pas pu tout savoir, donne au récit une densité et une puissance qui va crescendo. Créer la haine de l'autre camp est finalement plus aisé que de l'arrêter, une fois que actes criminels, envers des civils et les vengeances...
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  • Heval 15/02/2023
    Voilà un livre puissant, passionnant. Le sujet est politique éminemment politique. Et j'ai adoré. J'ai découvert le conflit qui opposait l'IRA aux royalistes, à l'Angleterre. J'ai appris sur tout ce que je ne connaissais pas et les parallèles avec un conflit que je connais mieux, celui du mouvement kurde avec la Turquie, n'ont pas tardé, n'ont pas manqué. Ce livre est humainement passionnant. Et pose mille questions auxquelles je n'ai toujours pas trouvé de réponse. Comment faire pour la minorité opprimée ? Comment doit-elle s'y prendre pour accéder à son autonomie, son indépendance, sa liberté ? Quels moyens, quels méthodes employer pour réaliser ses ambitions politiques ? Le conflit armé ? Et quand celui-ci est, comment lui trouver des débouchés? Comment convaincre la majorité politique oppressante qu'elle doit entendre cette minorité qui ne parvient pas à se faire comprendre? Comment? Bref ce livre est passionnant. .
  • maevedefrance 17/07/2022
    Je continue ma lancée de lectures sur l'Irlande du Nord avec un livre de "journalisme narratif", selon les termes de son auteur, l'Américain Patrick Radden Keefe. Celui-ci a mis 4 ans pour écrire ce petit pavé de plus de 500 pages en édition de poche qu'est Ne dis rien. Décembre 1972. Jean McConville est kidnappée chez elle, sous les yeux de ses 10 enfants, dans le sordide quartier de Divid, où ont été relogés les catholiques expulsés des quartiers où ils vivaient jusque-là avec une majorité protestante. Qu'est devenue Jean, jeune veuve de 38 ans ? 1er janvier 1969, la jeune Dolorous Price rejoint la manif pour les droits civiques, avec sa soeur Marian. Elle est l'une des plus jeunes manifestantes, d'une beauté remarquable, un fort caractère et une tendance marquée pour l'irrévérence et le cynisme. Ce n'est pas un personnage de roman, mais bien une personne ayant réellement existé, dont nous allons suivre la trajectoire de vie hors normes : une vie dédiée à l'IRA Provisoire, pour ne pas dire sacrifiée à la "Cause" . Dolours, qui porte bien son prénom ("Douleur") s'engage toute jeune dans les rangs de la nouvelle Irish Republic Army (la vieille IRA dite "officielle" a du plomb dans l'aile depuis que l'Irlande du Nord a été laissée aux Britanniques ; l'IRA renaît sous une nouvelle forme à la fin des années 1960 quand les catholiques républicains réclament des droits égaux à ceux des Protestants, les activistes de cette nouvelle IRA sont surnommés les "Provos"). Dolours pose la seule bombe qui va exploser à Londres, détruisant seulement la voiture de celui qui deviendra son avocat. Inculpée avec sa soeur cadette Marian, pour terrorisme, elles sont incarcérées dans une prison en Angleterre. Elles vont entamer une grève de la faim pour réclamer leur transfert en Irlande du Nord, ce qui leur sera refusé, du moins au début. Le gouvernement britannique ayant peur du scandale et des conséquences du décès de ces femmes devenues des figures emblématiques de l'IRA, décide de les obliger à manger. Il fait procéder au gavage des détenues !!😤🤬 Les scènes sont bien restituées et difficilement supportables. Cependant, elles ne lâchent rien, finissent par être transférées à Armanagh, en Irlande du Nord. L'auteur brosse un portrait détaillé de Dolours sur près de 50 ans. Sa trajectoire de vie est incroyable. Cependant, elle souffrira tout le temps des actes commis dans sa jeunesse. Sujette à dépression et alcoolisme, renoncement et rancunes, on ne peut pas l'envier, ça c'est clair. Grâce à Patrick Radden Keefe, nous suivons le parcours de figures emblématiques de l'IRA. Les soeurs Price à qui il consacre une grande partie car il a pu les interroger, mais aussi Bendan Hugues, Bobby Sands, et un certain Gerry Adams.... Ah Gerry ! Le genre de mec charismatique qui a le don d'arriver à faire faire le sale boulot aux autres.... Le type très fort pour le blabla, le stratège aux mains propres, et on sait jusqu'où cela a pu aller aujourd'hui. Il fut l'un des instigateurs des Accords de Paix du Vendredi Saint de 1998, puis vice-premier ministre d'Irlande du Nord aux côtés de son pire ennemi du passé, l'effroyable Ian Paisley !! Il a créé le Sinn Féin pour accéder au pouvoir mais a nié tout le reste : son appartenance à l'IRA alors que c'est lui qui donnait les ordres), le rapport entre l'IRA et le Sinn Féin, qui pourtant ne dupe personne. Les disparitions de centaines de personnes, dont celle de Jean McConville, soupçonnée d'être une informatrice des Brits... Le livre révèle en partie la clé de l'énigme McConville. C'est pas franchement glorieux. A un moment donné, je me suis demandée comment Patrick Radden Keefe pouvait encore être en vie avec toutes les révélations, après 4 ans d'enquête, qu'il fait dans son livre. Il vit aux États-unis, il est américain, mais, bon... Je me suis également posé des questions sur la mort de Dolours Price en 2013. Ne dis rien soulève beaucoup de questions, suggère que la réalité n'est pas ce qui s'affiche au niveau du gouvernement nord-irlandais, que Belfast n'est pas une ville paisible, et qu'aujourd'hui elle est même encore plus ségrégationniste que par le passé. Il y a encore plus de murs séparant les deux communautés, il n'y a quasiment toujours pas d'écoles mixtes. On retrouve, grâce à certaines indications divulguées, des cadavres enterrés il y a 50, 40, 30, ou 10 ans. Même sur une plage qui a l'air la plus tranquille du monde. On sait aujourd'hui ce qu'est devenue Jean McConville. Gerry Adams en prend pour son grade. L'IRA a déposé les armes, officiellement. Mais... Mais croyez-vous que l'IRA a disparu ? (Je ne parle pas des mafiosi de l'IRA dite "véritable " dont on voyait des tags au début des années 2000). Je parle des Provos. Je ne vais même pas parler du Brexit...🤭 Pour ma part, je suis quasi-certaine qu'elle existe toujours. Pas forcément les mêmes personnes que celles des années 70 toujours en vie, (Gerry Adams a 75 ans ), mais... rien n'est si limpide en Irlande du Nord... "A l'automne 2015, Teresa Villiers, la secrétaire d'Etat pour l'Irlande du Nord, publia un rapport sur les organisations paramilitaires établi par la police d'Irlande du Nord et les services secrets britanniques. "Tous les principaux groupes paramilitaires en opération à l'époque des Troubles existent encore", annonçait le document, précisant que cela incluait l'IRA Provisoire. Les Provos demeuraient actifs, bien que dans une capacité très réduite ", et disposaient encore d'un arsenal. Big Storey avait raison : ils étaient toujours là. Gerry Adams qualifia le rapport d'"absurde". Quand on sait que Gerry Adams a tout d'un mythomane, quel crédit peut-on accorder à sa parole ? Un livre qui se lit un peu comme un thriller. On apprend pas mal de choses. J'aurais voulu en savoir davantage sur les groupes paramilitaires du camp adverse. En tout cas, l'auteur ne fait aucun cadeau aux gouvernements britanniques successifs et encore moins au leader du Sinn Féin, qui a cédé aujourd'hui sa place à une femme, mais cela ne veut pas dire grand chose quand on connaît un peu plus le personnage après cette lecture accaparante! Quelques redites alourdissent un peu la lecture et donnent des longueurs inutiles. Cependant, c'est un livre que j'ai beaucoup aimé.Je continue ma lancée de lectures sur l'Irlande du Nord avec un livre de "journalisme narratif", selon les termes de son auteur, l'Américain Patrick Radden Keefe. Celui-ci a mis 4 ans pour écrire ce petit pavé de plus de 500 pages en édition de poche qu'est Ne dis rien. Décembre 1972. Jean McConville est kidnappée chez elle, sous les yeux de ses 10 enfants, dans le sordide quartier de Divid, où ont été relogés les catholiques expulsés des quartiers où ils vivaient jusque-là avec une majorité protestante. Qu'est devenue Jean, jeune veuve de 38 ans ? 1er janvier 1969, la jeune Dolorous Price rejoint la manif pour les droits civiques, avec sa soeur Marian. Elle est l'une des plus jeunes manifestantes, d'une beauté remarquable, un fort caractère et une tendance marquée pour l'irrévérence et le cynisme. Ce n'est pas un personnage de roman, mais bien une personne ayant réellement existé, dont nous allons suivre la trajectoire de vie hors normes : une vie dédiée à l'IRA Provisoire, pour ne pas dire sacrifiée à la "Cause" . Dolours, qui porte bien son prénom ("Douleur") s'engage toute jeune dans les rangs de la nouvelle Irish Republic Army (la vieille IRA dite "officielle" a...
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  • Sylviegeo 19/03/2022
    Je ne saurais trop vous dire pourquoi mais la période des Troubles en Irlande m'a toujours interpellée. Cette histoire de religion, de violence, de haine, de vengeance, de pouvoir en Irlande qui perdure depuis des siècles est plus que poignante. Je me souviens encore nettement de mes lectures de "Mon traître" et "Retour à Killybegs" de Sorj Chalandon ou encore des titres de la série Sean Duffy d'Adrian McKiinty sur le conflit. Vous me direz rien à voir avec "Ne dis rien" puisque ce sont des fictions. Bien vrai, mais ça nous donne une idée de l'ambiance et du quotidien des Irlandais durant ces pires moments des Troubles. Patrick Radden Keefe a réussi un titanesque travail journalistique pour nous relater l'histoire de ce conflit, ses tenants et aboutissants à partir d'un sinistre épisode de ce conflit. Une mère de 10 enfants, Jean McConville, est enlevée au vu et su de ses enfants, de ses voisins, de tout le quartier et ne reviendra jamais. Une mère de famille, veuve, déprimée, pauvre, qui tire le diable par la queue pour assurer le minimum à sa famille sera la cible de l'IRA. Et on se demandera pourquoi . Et de là, l'auteur nous ramène aux premières manifestations de 1960 jusqu'à nos jours et avec lui, nous revivons l'histoire de ce conflit sanglant qui terrorise le pays et presque tout le Royaume Uni. Conflit qui nous étonne à l'époque d'une Europe qui vit en paix. On nous rappelle les grèves de la faim, les grèves de l'hygiène des prisonniers "politiques", les attentats à la bombe de Londres et d'ailleurs, les enlèvements, les règlements de comptes pour ceux qui "parlent trop"...Toujours cette loi de l'Omerta. Le travail de Patrick Radden Keefe, en se plongeant dans les archives, en lisant tous les documents, en réécoutant les entrevues des disparus, en interrogeant les protagonistes encore vivants, est inestimable pour la compréhension du fonctionnement de l'IRA, de sa volonté et de ses objectifs. La lumière est mise sur certaines zones d'ombres, des secrets nous sont confiés et on s'aperçoit que le prix à payer est élevé pour qui voudrait se détourner de l'IRA. Une lecture , je dirais parfois consternante, embarrassante, j'ai souvent été outrée, indignée, j'ai parfois suffoqué mais cette lecture reste des plus instructives. Un travail, une enquête journalistique qui se lit comme un roman et qui nous prend aux tripes avec ce titre « Ne dis rien « qui dit tout… Je ne saurais trop vous dire pourquoi mais la période des Troubles en Irlande m'a toujours interpellée. Cette histoire de religion, de violence, de haine, de vengeance, de pouvoir en Irlande qui perdure depuis des siècles est plus que poignante. Je me souviens encore nettement de mes lectures de "Mon traître" et "Retour à Killybegs" de Sorj Chalandon ou encore des titres de la série Sean Duffy d'Adrian McKiinty sur le conflit. Vous me direz rien à voir avec "Ne dis rien" puisque ce sont des fictions. Bien vrai, mais ça nous donne une idée de l'ambiance et du quotidien des Irlandais durant ces pires moments des Troubles. Patrick Radden Keefe a réussi un titanesque travail journalistique pour nous relater l'histoire de ce conflit, ses tenants et aboutissants à partir d'un sinistre épisode de ce conflit. Une mère de 10 enfants, Jean McConville, est enlevée au vu et su de ses enfants, de ses voisins, de tout le quartier et ne reviendra jamais. Une mère de famille, veuve, déprimée, pauvre, qui tire le diable par la queue pour assurer le minimum à sa famille sera la cible de l'IRA. Et on se demandera pourquoi . Et de là, l'auteur nous ramène...
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  • Camille1981 04/03/2022
    J'ai emprunté ce livre qui était sur l'étagère de présentation de la médiathèque en me disant : pourquoi pas, le résumé est intéressant et ma connaissance du conflit en Irlande du Nord est très faible. Et ce fut une immense surprise! Le récit commence en 1972 par l'enlèvement d'une mère de famille de 37 ans en Irlande du Nord sous les yeux de ses 10 enfants. Puis nous poursuivons le récit par les débuts de l'IRA jusqu'à aujourd'hui avec en parallèle une enquête ( tardive) sur ce qui est arrivé à cette mère de famille, Jean Mcconville. Le récit est complet, nous en apprenons énormément sur le conflit Nord Irlandais et aussi sur l'IRA et ses principaux membres. Je recommande vivement.
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