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Nobelle
Date de parution : 21/01/2021
Éditeurs :
Pocket

Nobelle

Date de parution : 21/01/2021
En ce jour de réception du prix Nobel de littérature, c’est la raconteuse d’histoires que l’Académie a choisi de couronner en Annette Comte. Et celle-ci en a une, en retour,... En ce jour de réception du prix Nobel de littérature, c’est la raconteuse d’histoires que l’Académie a choisi de couronner en Annette Comte. Et celle-ci en a une, en retour, à leur narrer… Une histoire de rien, une histoire de tout. De chagrin d’amour et de littérature.
C’était en 1972, un...
En ce jour de réception du prix Nobel de littérature, c’est la raconteuse d’histoires que l’Académie a choisi de couronner en Annette Comte. Et celle-ci en a une, en retour, à leur narrer… Une histoire de rien, une histoire de tout. De chagrin d’amour et de littérature.
C’était en 1972, un été à Saint-Paul-de-Vence. Annette avait 10 ans et Magnus tout autant : blond comme les blés, la peau caramel, un petit Dieu nordique… Pour lui, autour de la piscine, elle a composé ses premiers poèmes. Par lui, elle a goûté l’amertume des premières trahisons. Et trouvé – ces Messieurs de Stockholm le croiront-ils ? – sa vocation.

« Sophie Fontanel flirte entre insouciance et sublimation, et c’est délicieux. » Madame Figaro

« Tout est parfait dans ce roman. L'écriture est sublime. » Biba
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EAN : 9782266292863
Code sériel : 17587
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 240
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266292863
Code sériel : 17587
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 240
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

Nobelle, c’est le bonbon de la rentrée. Une histoire d’amour (et de littérature) entre deux enfants, Annette et Magnus, qui ont tous les deux 10 ans. Qu’est-ce que la vie ? La mort ? Pourquoi écrit-on ? A quoi ça tient, un destin ? C’est à ces questions, entre autres, que répond Sophie  Fontanel avec une désinvolture buissonnière, le sourire aux lèvres, sur un ton qui n’est pas sans rappeler celui de Marcel Pagnol.
FRANZ-OLIVIER GIESBERT / Le Point

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • luparahlam 04/11/2020
    C'est une merveille ! Un petit bijou ! Quel moment savoureux de lecture avec Nobelle ! C'est grâce à la chronique de @oliviadelamberterie que j'ai acheté ce livre. Je me suis donc installée confortablement avec du café et ce livre dès 8h45. Je ne me suis levée de mon canapé qu'une fois la dernière page lu à 11h35. Un régal ! Annette Combe est une petite fille de 10 ans dans les années 70. Elle est poétesse, ce qui l'intéresse ce sont les mots. Et elle a un don, une facilité à écrire contrairement à Magnus. Ah Magnus... il est beau, il est agile, il est sa muse ! Dans le sud de la France où elle passe les vacances d'été avec ses parents et son frère yoyo, Annette va découvrir l'émoi, la trahison, la jalousie mais surtout l'amour, le tout premier, celui que l'on n'oublie jamais même quand plus de 40 ans plus tard on reçoit le prix Nobel de littérature ! C'est exaltant, drôle, sensible. Une merveille vous dis-je !!!
  • unbrindesyboulette 31/03/2020
    « Nobelle » est le récit d’une vocation, la vocation d’écrire. Une vocation très jeune pour le personnage de ce livre, 10 ans. Et cette vocation a mené Annette jusqu’au prix Nobel de littérature. J’ai trouvé ce roman doux, à l’image de ces enfants de 10 ans ayant toujours cette insouciance qui fait défaut aux adultes. Je l’ai trouvé profond aussi car sous ses airs de candide, Annette va poser un regard sur les adultes, un regard qui commence à comprendre beaucoup. Sophie Fontanel est une virtuose pour tout ce qu’elle touche et évidemment, cela est le cas pour ce roman. Elle a su transcrire les mots, les sentiments, les attentes, les rêves, les espoirs et désespoirs d’une enfant de 10 ans et c’est réussi pour moi. J’ai aimé Annette. J’ai aimé sa rencontre avec Magnus. J’ai aimé redécouvrir cette si jolie Provence à travers ses yeux et ses mots. J’ai aimé cette complicité naissante avec un grand écrivain Kléber. J’ai aimé son empathie pour les autres même les plus indifférents. J’ai aimé son amour pour les mots, la poésie, sa façon d’écrire. J’ai aimé sa discrétion, sa pudeur vis-à-vis de ses écrits. J’ai aimé découvrir la naissance d’un écrivain. Dans « Nobelle », Sophie Fontanel a usé de sa plus belle plume pour nous livrer des sentiments doux, intimes, à fleur de peau. Elle nous a aussi livré la découverte du sentiment amoureux, du désarroi d’un enfant face à son père, des sentiments ambigus d’adultes. Elle nous a emmené dans un joli tourbillon de mots au son des cigales provençales. Elle nous a montré la voix d’une vocation, une vocation qui prend naissance tôt. Une vocation qui a pu être accompagnée. Une vocation belle, culturelle, nobelle!! « Nobelle » est un roman sensible qui se lit avec envie. Il est sentimental dans le très bon sens du terme. Il est frais, enfantin et ancré dans la réalité. « Nobelle » est un roman à découvrir surtout pour les écrivains à en devenir!« Nobelle » est le récit d’une vocation, la vocation d’écrire. Une vocation très jeune pour le personnage de ce livre, 10 ans. Et cette vocation a mené Annette jusqu’au prix Nobel de littérature. J’ai trouvé ce roman doux, à l’image de ces enfants de 10 ans ayant toujours cette insouciance qui fait défaut aux adultes. Je l’ai trouvé profond aussi car sous ses airs de candide, Annette va poser un regard sur les adultes, un regard qui commence à comprendre beaucoup. Sophie Fontanel est une virtuose pour tout ce qu’elle touche et évidemment, cela est le cas pour ce roman. Elle a su transcrire les mots, les sentiments, les attentes, les rêves, les espoirs et désespoirs d’une enfant de 10 ans et c’est réussi pour moi. J’ai aimé Annette. J’ai aimé sa rencontre avec Magnus. J’ai aimé redécouvrir cette si jolie Provence à travers ses yeux et ses mots. J’ai aimé cette complicité naissante avec un grand écrivain Kléber. J’ai aimé son empathie pour les autres même les plus indifférents. J’ai aimé son amour pour les mots, la poésie, sa façon d’écrire. J’ai aimé sa discrétion, sa pudeur vis-à-vis de ses écrits. J’ai aimé découvrir la naissance d’un écrivain. Dans...
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  • Matatoune 11/12/2019
    Comment vient le don d'écrire à une petite fille de dix ans que rien ne la prédestine ? Comment ce don peut la conduire jusqu'au soir de la remise de son Nobel de littérature ? Comment pendant ses vacances d'été de sa dizaine année, cette même petite fille découvre l'amour et avec lui, l'art de "d'écrire"? Comment se construit cet art particulier ? Est-ce l'amour qui développe cet art ? En tout cas, c'est l'affirmation de Sophie Fontanelle dans son nouveau roman "Nobelle" paru à la rentrée littéraire 2019. J'ai lu ce livre trop tard. D'autres plaisirs de lecture de cette rentrée littéraire 2019 avaient déjà creusé leur sillon. Pourtant, le texte est facile à lire, plaisant et même enjoué. L'histoire est baignée par la tendresse de Sophie Fontanelle pour cette Annette Comte et ses jours d'été où elle construit sa féminité. Le manque apparaissant, l'envie d'écrire devient impérative et voilà pourquoi la petite fille se retrouve en Suède devant un parterre d'écrivains. Je suis restée au bord de cette histoire sans vraiment y trouvé que le goût acidulé d'un moment de lecture agréable,  vite oublié.
  • Christlbouquine 27/10/2019
    Pour moi Sophie Fontanel c’est d’abord le personnage de Fonelle, une héroïne de papier qui jette avec humour un œil acéré sur la société et ses contemporains. Pour moi Sophie Fontanel est la journaliste et chroniqueuse du magazine Elle, qui sait mettre de la profondeur dans les sujets qui peuvent sembler les plus futiles. Pour moi Sophie Fontanel est l’auteure de deux livres très personnels que j’ai lus et qui m’ont particulièrement touchée, L’envie et Grandir. Et aujourd’hui, Sophie Fontanel devient pour moi l’auteure de ce roman lumineux comme un été de 1972 à Saint-Paul de Vence. A l’instant de recevoir le prestigieux prix Nobel de littérature, Annette se souvient de ce moment fondateur où tout a pris forme. Annette est une petite fille de dix ans, enjouée, intelligente, aimée par ses parents et son frère. En cet été 1972, elle va faire l’expérience de la mort, de l’amour, de la jalousie, de la trahison, de la déception. Mais elle va surtout comprendre le pouvoir des mots. Grâce à sa rencontre avec Magnus, un petit garçon de son âge et à la bienveillance de Kléber, l’auteur célèbre chez qui les enfants vont jouer, Annette appréhende l’importance de l’écrit et son don « d’écrivaste ». C’est un roman à la fois léger par l’époque qu’il décrit (une époque où deux enfant jouaient dans une piscine sans alarme et sans barrière, marchaient sur des routes sans crainte, une époque qui respirait la liberté) et profond par les sentiments qu’il explore. Je suis assez admirative du fait que Sophie Fontanel soit parvenue à créer un personnage de petite fille intelligente et drôle sans qu’elle soit insupportable. Elle a aussi su rendre avec une grande justesse ce moment charnière où le monde de l’enfance se confronte à un monde plus adulte et où l’enfant se retrouve catapulté dans un monde beaucoup moins naïf qu’il n’était jusque là . Un fort joli roman, plein de tendresse.Pour moi Sophie Fontanel c’est d’abord le personnage de Fonelle, une héroïne de papier qui jette avec humour un œil acéré sur la société et ses contemporains. Pour moi Sophie Fontanel est la journaliste et chroniqueuse du magazine Elle, qui sait mettre de la profondeur dans les sujets qui peuvent sembler les plus futiles. Pour moi Sophie Fontanel est l’auteure de deux livres très personnels que j’ai lus et qui m’ont particulièrement touchée, L’envie et Grandir. Et aujourd’hui, Sophie Fontanel devient pour moi l’auteure de ce roman lumineux comme un été de 1972 à Saint-Paul de Vence. A l’instant de recevoir le prestigieux prix Nobel de littérature, Annette se souvient de ce moment fondateur où tout a pris forme. Annette est une petite fille de dix ans, enjouée, intelligente, aimée par ses parents et son frère. En cet été 1972, elle va faire l’expérience de la mort, de l’amour, de la jalousie, de la trahison, de la déception. Mais elle va surtout comprendre le pouvoir des mots. Grâce à sa rencontre avec Magnus, un petit garçon de son âge et à la bienveillance de Kléber, l’auteur célèbre chez qui les enfants vont jouer, Annette appréhende l’importance de l’écrit et son don « d’écrivaste ». C’est un roman à...
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  • Nadael 22/10/2019
    Aujourd’hui écrivaine – si grande qu’elle reçoit en ce moment-même le prix Nobel -, Annette Comte se souvient ardemment de l’été 72, cette belle saison où l’amour et l’écriture ont afflué en elle pour la première fois. Indéfectibles, inaltérables, définitivement enchevêtrées. Elle évoque alors dans son discours de réception leurs balbutiements. À dix ans cet été-là, en vacances à Saint-Paul de Vence, les poèmes jaillissaient en elle. Sans peine, les jolis mots coulaient merveilleusement, et avec eux des émotions qui, souvent débordaient. Son père imprimeur avait été invité lui et sa famille au village par un ami éditeur. Et ce dernier avait un fils du même âge qu’Annette : Magnus. Sans délai, la fillette tombe sous le charme de ce garçon remuant et pétillant. Le soleil écrasant et le ciel azur, la piscine de Kléber homme de lettres , les jeux d’eau, les promenades, les siestes, les rigolades, les parfums, les chatouilles, les saveurs, les paysages, les peaux. Chaque jour ensemble, recommencer… observer, découvrir, explorer. Ils deviennent inséparables. Et viennent les mots doux et flottants d’Annette, des poèmes beaux et chauds qu’elle écrit sur des petits papiers, comme autant d’empreintes pleines d’amour. Des écrits que Magnus tient d’abord à distance – lui n’a pas ce talent, au grand dam de son éditeur de père – puis finit par les prendre. Mais voilà qu’un jour, arrive Magalie. Un an de plus qu’eux, des cheveux longs de sirène, des vêtements à la mode… L’innocence de l’enfance, sa pureté, sa simplicité, sa sincérité. se trouve d’un coup perturbée, bousculée, trahie. Un roman infiniment touchant sur les premiers émois amoureux et sur la force vive de la création littéraire. Du haut de ses dix ans, Annette promène son regard sur le monde souvent saisie par l’inconstance des émotions, toujours inspirée et aspirée par la littérature.Aujourd’hui écrivaine – si grande qu’elle reçoit en ce moment-même le prix Nobel -, Annette Comte se souvient ardemment de l’été 72, cette belle saison où l’amour et l’écriture ont afflué en elle pour la première fois. Indéfectibles, inaltérables, définitivement enchevêtrées. Elle évoque alors dans son discours de réception leurs balbutiements. À dix ans cet été-là, en vacances à Saint-Paul de Vence, les poèmes jaillissaient en elle. Sans peine, les jolis mots coulaient merveilleusement, et avec eux des émotions qui, souvent débordaient. Son père imprimeur avait été invité lui et sa famille au village par un ami éditeur. Et ce dernier avait un fils du même âge qu’Annette : Magnus. Sans délai, la fillette tombe sous le charme de ce garçon remuant et pétillant. Le soleil écrasant et le ciel azur, la piscine de Kléber homme de lettres , les jeux d’eau, les promenades, les siestes, les rigolades, les parfums, les chatouilles, les saveurs, les paysages, les peaux. Chaque jour ensemble, recommencer… observer, découvrir, explorer. Ils deviennent inséparables. Et viennent les mots doux et flottants d’Annette, des poèmes beaux et chauds qu’elle écrit sur des petits papiers, comme autant d’empreintes pleines d’amour. Des écrits que Magnus tient d’abord à...
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