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Nos âmes au diable
Date de parution : 12/01/2023
Éditeurs :
Pocket
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Nos âmes au diable

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Date de parution : 12/01/2023
Il vaut parfois mieux ignorer la vérité...
Mi-juillet, Sixtine, dix ans, disparaît sur une plage de l’île d’Oléron. Pour Jeanne, sa mère, c’est tout son monde qui s’écroule. Elle s’en veut d’avoir été trop accaparée par son... Mi-juillet, Sixtine, dix ans, disparaît sur une plage de l’île d’Oléron. Pour Jeanne, sa mère, c’est tout son monde qui s’écroule. Elle s’en veut d’avoir été trop accaparée par son métier. Elle en veut à son mari, qui aurait dû surveiller leur petite brune aux yeux bleus, mais qui a... Mi-juillet, Sixtine, dix ans, disparaît sur une plage de l’île d’Oléron. Pour Jeanne, sa mère, c’est tout son monde qui s’écroule. Elle s’en veut d’avoir été trop accaparée par son métier. Elle en veut à son mari, qui aurait dû surveiller leur petite brune aux yeux bleus, mais qui a failli, trop occupé à donner un énième coup de canif dans leur contrat de mariage.
Lorsque les recherches conduisent finalement à un multirécidiviste connu par la justice pour le viol de quatre fillettes, Jeanne comprend que rien ne sera jamais plus comme avant. Et son travail de résilience s’annonce d’autant plus long que le corps de Sixtine n’a jamais été retrouvé.
Une absence qui laisse planer comme une incertitude… Et si la vérité s’avérait plus sordide et glaciale encore que la mort d’un enfant ?
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EAN : 9782266324663
Code sériel : 18633
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 400
Format : 108 x 177 mm
Pocket
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EAN : 9782266324663
Code sériel : 18633
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 400
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • ilmeresteunepage 12/04/2024
    Mon premier CamHug et sûrement pas le dernier ! Il est impossible de parler de l’histoire de « Nos âmes au diable » sans divulgâcher tout l’intrigue. La seule chose que je peux dire avec certitude, c’est qu’une fois plongé dedans, vous n’aurez pas envie de le lâcher et le lirez d’une traite ! Sixtine, dix ans, disparaît sur une plage de l’île d’Oléron. On suit alors le cheminement de Jeanne, sa mère, à travers toutes ses émotions: la colère, l’incertitude, l’abattement, la résignation,… mais pas que. Cette mère sans enfant nous entraîne avec elle dans ses combats intérieurs, extrêmement bien (d)écrits. Ceci n’est pas un énième thriller qui raconte l’enlèvement d’un enfant. C’est bien plus ! Que se passe-t-il quand la mort n’est pas la chose la plus atroce qui puisse arriver ? Cette écriture à 4 mains très originale et efficace m’a convaincue, j’ai d’ailleurs hâte de découvrir leur quadrilogie « Les voies de l’ombre » qu’on m’a fortement conseillé !! Cependant, là où l’originalité du récit avait réussi à me happer, le dénouement n’a pas du tout été à la hauteur des 300 pages haletantes que j’avais dévorées. On reste avec des questionnements, certaines explications n’ont pour moi ni queue ni tête, alors que la presqu’entièreté du roman était restée dans le domaine du « possible ». Une bonne lecture dans son ensemble, où je retiens plus le sentiment positif global éprouvé lors de ma lecture que la déception de la fin.Mon premier CamHug et sûrement pas le dernier ! Il est impossible de parler de l’histoire de « Nos âmes au diable » sans divulgâcher tout l’intrigue. La seule chose que je peux dire avec certitude, c’est qu’une fois plongé dedans, vous n’aurez pas envie de le lâcher et le lirez d’une traite ! Sixtine, dix ans, disparaît sur une plage de l’île d’Oléron. On suit alors le cheminement de Jeanne, sa mère, à travers toutes ses émotions: la colère, l’incertitude, l’abattement, la résignation,… mais pas que. Cette mère sans enfant nous entraîne avec elle dans ses combats intérieurs, extrêmement bien (d)écrits. Ceci n’est pas un énième thriller qui raconte l’enlèvement d’un enfant. C’est bien plus ! Que se passe-t-il quand la mort n’est pas la chose la plus atroce qui puisse arriver ? Cette écriture à 4 mains très originale et efficace m’a convaincue, j’ai d’ailleurs hâte de découvrir leur quadrilogie « Les voies de l’ombre » qu’on m’a fortement conseillé !! Cependant, là où l’originalité du récit avait réussi à me happer, le dénouement n’a pas du tout été à la hauteur des 300 pages haletantes que j’avais dévorées. On reste avec des questionnements, certaines explications n’ont pour moi ni queue ni tête,...
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  • Melodia31 28/01/2024
    Livre sorti de ma PAL, acheté suite aux recommandations de Lorraine L. du Club des mordus de lecture, sur le réseau social FB. Thriller psychologique qui m'a captivée du début jusqu'à la fin. Tout le long de ma lecture j'avais hâte de connaître le dénouement. Les chapitres sont courts, c'est rythmé, on tourne les pages parce qu'on veut savoir ce qui a bien pu se passer. Bon moment de lecture malgré la noirceur de ce livre. Un bémol cependant en lien avec la crédibilité, mais que je ne peux partager au risque de spoiler, raison pour laquelle je n'ai pas noté par 5 étoiles. Je le ecommande.
  • lagrandeval 14/01/2024
    Sixtine passe ses vacances sur l’île d’Oléron avec son père pendant que sa mère travaille à Paris et les rejoindra le week-end. En se rendant à son cours de voile, elle passe par le bois pour voir les bunkers et disparaît. Pour Jeanne, la mère, c’est la descente aux enfers. Un thriller psychologique dans lequel je me suis plongée dans la vie de Jeanne, dans son désespoir, dans sa descente aux enfers après la disparition de son enfant. Est-elle une mauvaise mère ? Comment se reconstruire après une disparition ? Et je m’interroge : où m’emmènent les auteurs, que va-t-il se passer dans les pages suivantes ? Et ……. Je ne peux en dire plus car je dévoilerais la substantifique moelle. Les auteurs nous emmènent dans la noirceur de l’être humain.
  • titita 08/01/2024
    Pour quelqu'un de novice comme moi dans le genre, il était lourd celui là. Lourd en intrigues, en retournement de situation... J'en ressort un peu sonné quand même. Il m'a bien tenue en haleine. Niveau émotions et retournement de cerveau, il a fait le job. Ce n'est pas un coup de cœur mais... Je ne suis pas resté de marbre.
  • lunadark 03/01/2024
    De temps en temps, j’aime me mettre sous la dent un bon thriller, un roman qui va m’empêcher d’éteindre la lumière le soir, qui va me tenir en haleine jusqu’à la dernière page. En commençant « Nos âmes au Diable », j’ai cru que j’allais plonger tête baissée dans un récit palpitant, peuplé de personnages bien trempés avec lesquels j’allais vibrer. Certes, le récit est bien écrit, les actions se succèdent, le rythme est soutenu. Pourtant, au bout de 52 chapitres (sur 122 sans compter l’épilogue), j’ai commencé à m’ennuyer. Je suis allée jusqu’à détester un des personnages principaux au point de vouloir arrêter la lecture du livre ! Finalement, je l’ai lu jusqu’au bout. Mon sentiment n’a pas changé pour autant. Trop est l’ennemi du bien. Ce roman plait à un grand nombre de lecteurs sur le site Babelio. À chacun de se faire son opinion. Il faut de tout pour faire un monde. 😉
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