SINoALICE - T1

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• MyssTik 08/04/2023

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  Fan d'Alice aux pays des merveilles ? Ce titre devrait vous intéresser. Comme le laisse penser le titre, on nous propose une plongée dans l'univers des contes. On y retrouve Alice mais aussi d'autres personnages bien connus comme Blanche Neige ou le Petit Chaperon, mais ici la Happy End semble bien loin et c'est le côté macabre qui va l'emporter. Depuis qu'elle a en sa possession d'étranges petites poupées, Alice notre héroïne fait des rêves étranges. Ils lui paraissent réels même si elle peut toujours constater de petites différences avec la réalité (un frère absent, une meilleure amie...). Lorsqu'elle vit ces moments pourtant rien ne les distingue de la réalité et on ressent que la jeune fille porte en elle une grande solitude et une grande détresse. Malgré cela elle s'efforce de vivre une vie qu'elle considère banale même si moi ça m'a pas paru être la norme... Mais si en réalité elle désirait plus sans oser le dire ? Et si les petites poupées pouvaient l'aider à atteindre ses désirs ? Peut être que c'est déjà le cas et qu'elle ne s'en rend pas encore compte... Progressivement les frontières des rêves et de la realité se brouillent pour ne laisser qu'un champ de ruines... Qui est Alice ? Quel est le rôle des poupées ? Qui sont les autres héroïnes de contes ? Est-on dans la réalité ? Ce premier tome nous laisse avec des dizaines de questions et j'avoue que j'aurais aimé un peu plus comprendre le contexte car on nous plonge immédiatement dans un monde où l'on ne peut plus distinguer le rêve et la réalité... Tout comme Alice on est perdu et j'imagine que c'est une volonté de l'auteur de nous mettre dans cet état ! C'est plutôt efficace puisqu'on a envie de voir la suite des événements ! Pour ne rien gâcher les dessins sont très beaux surtout le chara design ! C'est tiré d'un jeu vidéo que je ne connaissais pas, vous y avez déjà joué vous ?Fan d'Alice aux pays des merveilles ? Ce titre devrait vous intéresser. Comme le laisse penser le titre, on nous propose une plongée dans l'univers des contes. On y retrouve Alice mais aussi d'autres personnages bien connus comme Blanche Neige ou le Petit Chaperon, mais ici la Happy End semble bien loin et c'est le côté macabre qui va l'emporter. Depuis qu'elle a en sa possession d'étranges petites poupées, Alice notre héroïne fait des rêves étranges. Ils lui paraissent réels même si elle peut toujours constater de petites différences avec la réalité (un frère absent, une meilleure amie...). Lorsqu'elle vit ces moments pourtant rien ne les distingue de la réalité et on ressent que la jeune fille porte en elle une grande solitude et une grande détresse. Malgré cela elle s'efforce de vivre une vie qu'elle considère banale même si moi ça m'a pas paru être la norme... Mais si en réalité elle désirait plus sans oser le dire ? Et si les petites poupées pouvaient l'aider à atteindre ses désirs ? Peut être que c'est déjà le cas et qu'elle ne s'en rend pas encore compte... Progressivement les frontières des rêves et de la realité se brouillent pour ne laisser qu'un champ de...

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• lesgeekeries 10/01/2023

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  Si je ne devais vous donner qu'un seul détail marquant concernant le manga je dirais que ce serait clairement les graphismes. Le trait n'est pas juste beau, il regorge surtout d'une myriade de détails qui rendent les planches à la fois complexes et envoûtantes. Comme si en quelques cases on se retrouvait happé par le monde que nous présente l'auteur. Alors oui c'est vrai on prend énormément de plaisir à venir décortiquer et observer chaque dessin, mais cela demande aussi du temps et de la concentration. Le scénario est pour moi le deuxième point fort de ce premier tome, d'abord parce que l'histoire est complexe et que même en quelques cases on sent qu'il y a beaucoup de travail et de réflexion qui se cache derrière le récit. Tout semble entremêlé et lié d'une drôle de manière et en tant que lecteur on essaye de venir démêler tous les nœuds que semblent former l'intrigue. C'est à la fois addictif et puissant. Si l'on combine cela avec les graphismes on obtient un duo explosif et entraînant qui viendra perturber même les plus aguerris du genre. Au fond tout est fait pour mettre mal à l'aise le lecteur mais qu'il en redemande sans trop comprendre pourquoi ! C'est étrange, violent, dérangeant, un peu flou mais complètement addictif. Je dirais que ce premier tome plante les bases d'un univers complexe qui cache encore bien des secrets. Si je ne devais vous donner qu'un seul détail marquant concernant le manga je dirais que ce serait clairement les graphismes. Le trait n'est pas juste beau, il regorge surtout d'une myriade de détails qui rendent les planches à la fois complexes et envoûtantes. Comme si en quelques cases on se retrouvait happé par le monde que nous présente l'auteur. Alors oui c'est vrai on prend énormément de plaisir à venir décortiquer et observer chaque dessin, mais cela demande aussi du temps et de la concentration. Le scénario est pour moi le deuxième point fort de ce premier tome, d'abord parce que l'histoire est complexe et que même en quelques cases on sent qu'il y a beaucoup de travail et de réflexion qui se cache derrière le récit. Tout semble entremêlé et lié d'une drôle de manière et en tant que lecteur on essaye de venir démêler tous les nœuds que semblent former l'intrigue. C'est à la fois addictif et puissant. Si l'on combine cela avec les graphismes on obtient un duo explosif et entraînant qui viendra perturber même les plus aguerris du genre. Au fond tout est fait pour mettre mal à l'aise le lecteur mais qu'il en redemande sans trop...

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• JonT 25/12/2022

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  N’ayant pas joué au jeu vidéo dont est tiré le manga, j’ai trouvé que ce premier tome était un peu brouillon ; c’est très clairement un tome d’introduction, certes, mais il m’a quand même manqué quelques éléments pour comprendre un peu mieux ce dans quoi je mettais les pieds. Il est clair que parmi les thématiques abordées on trouvera les concepts de rêve, de réalité, de désir ; on comprend aussi malgré tout qu’il s’agira d’un scénario de type « découverte d’un jeu mortel », thématique assez fréquente, mâtiné d’une ambiance « réécriture de contes populaires » - un mélange intéressant qui aurait tout pour me plaire. Néanmoins, et même si je comprends l’objectif (flouter les limites du réel, etc), j’aurais préféré quelque chose d’un peu moins fouillis, avec au moins quelques éléments de clarté pour que le lecteur soit plus intrigué et moins perdu (un équilibre pas forcément facile à trouver, et dépendant des sensibilités de chacun…) Il est fréquent que le premier tome d’un manga soit en-dessous du reste de la série, justement car il sert à introduire les concepts, l’univers, et le scénario. Le prochain tome, si je le lis, sera donc déterminant : si rien ne se clarifie dans l’intrigue, cela marquera sûrement le coup d’arrêt en ce qui me concerne. En ce qui concerne le style, je me trouve également mitigé. Certains éléments esthétiques et de chara-design sont visuellement intéressants et impactants, mais j’ai toujours une légère crispation quand on voit aussi souvent sous les jupes des personnages féminins, et que les petites culottes se multiplient. Quand à la mise en scène de la violence, si elle sert parfois le propos en ajoutant une noirceur à l’œuvre, elle vient aussi parfois inutilement ajouter du fouillis et nuire à la lisibilité des scènes.N’ayant pas joué au jeu vidéo dont est tiré le manga, j’ai trouvé que ce premier tome était un peu brouillon ; c’est très clairement un tome d’introduction, certes, mais il m’a quand même manqué quelques éléments pour comprendre un peu mieux ce dans quoi je mettais les pieds. Il est clair que parmi les thématiques abordées on trouvera les concepts de rêve, de réalité, de désir ; on comprend aussi malgré tout qu’il s’agira d’un scénario de type « découverte d’un jeu mortel », thématique assez fréquente, mâtiné d’une ambiance « réécriture de contes populaires » - un mélange intéressant qui aurait tout pour me plaire. Néanmoins, et même si je comprends l’objectif (flouter les limites du réel, etc), j’aurais préféré quelque chose d’un peu moins fouillis, avec au moins quelques éléments de clarté pour que le lecteur soit plus intrigué et moins perdu (un équilibre pas forcément facile à trouver, et dépendant des sensibilités de chacun…) Il est fréquent que le premier tome d’un manga soit en-dessous du reste de la série, justement car il sert à introduire les concepts, l’univers, et le scénario. Le prochain tome, si je le lis, sera donc déterminant : si rien ne se...

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• MassLunar 27/09/2022

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  S'il fallait retenir un nom derrière SinoAlice, c'est surtout celui de Yoko Taro, un concepteur de jeux vidéos connu notamment pour l'univers de Nier avec notamment Nier : automata. Il fait partie de ses personnalités du jeu vidéo qui se font remarquer pour leur style atypique. En l'occurence, Yoko Taro affectionne particulièrement les ambiances sinistres et pessimistes. Pour avoir testé son fameux Nier: Automata par exemple, voici un jeu qui nous immerge dans un certain néant post-apocalyptique dans lequel les machines ont pris possession de la terre depuis belle lurette. Un style tout en rouille de gris aussi envoutant que sinistre... Ce sinistre, nous le retrouvons dans le fantaisiste et cauchemardesque SinoAlice qui est donc à la base une création de Yoko Taro paru sur IOS et Android. C'est d'ailleurs l'année Yoko Taro en France puisque Nier : Automata a également eu droit récemment à une adaptation manga toujours publié chez Kurokawa. Mais parlons d'abord de notre chère "sino"Alice qui risque de vous plonger dans la perplexité dès ce premier tome flirtant entre les limites obscures du cauchemar et de la réalité. SINoAlice démarre comme une tranche-de-vie un peu malsaine. Nous suivons Alice, une lycéenne "banale "qui sort tout juste d'un rêve étrange dans lequel deux poupées extrêmement versatiles lui demande quel est son souhait , son désir. Réveillé, rien ne semble perturber le quotidien d'Alice qui a priori partage une idylle secrète avec son pervers de professeur de littérature. Malgré un quotidien dit banal, on devine que quelque chose ne tourne pas rond, surtout lorsqu'une amie d'Alice, Miki, en pince également pour ce professeur. Un triangle vicieux qui se conclue de manière très morbide...avant qu'Alice ne se réveille à nouveau. Le problème, c'est que son réveil est encore plus horrible que le rêve et la plonge en plein cauchemar face à ce qui semble être une chaperon rouge totalement psychopathe. Ce premier tome enchaine les évènements morbides entre une tranche-de-vie toxique et un jeu de massacre soudain, ce tome 1 est une véritable plongée dans l'horreur. Nous sommes bien loin de la merveilleuse absurdité du Wonderland original. D'ailleurs, en préambule, Yoko Taro souligne l'independance de SinoAlice face à l'oeuvre originale de Lewis Caroll. D'ailleurs, ce manga n'en fait pas des caisses avec les références du conte si ce n'est la présence de certaines héroines ou héros de fameux contes comme Blanche-Neige, Le Chaperon Rouge ou encore Pinnochio que nous découvrons surtout dans un petit extrait romanesque en fin de volume qui fait la jonction avec les dernières chapitres du tome. Mais, ici, le parti pris n'est pas à la rêverie du conte, nous pressentons une bonne grosse ambiance de survival féroce et cruel comme le montre la confrontation Chaperon rouge / Blanche-Neige, un combat assez cruel dans un lieu marqué par la sauvagerie. Ce cauchemar est exprimé avec énergie par le style du duo Himiko/ Jino qui distille par petites touches quelques références à Alice au pays des merveilles au sein d'un style net capable de basculer dans le gore et la cruauté. En somme, ce premier tome vous retourne un peu l'estomac et n'hésite pas à vous noyer dans un univers funèbre sans proposer de réels pistes scénaristiques, la narration est un peu éclatée avec cette mise en abyme labyrinthique façon Inception mais nul doute que nous aurons davantage d'explications quand au comment du pourquoi de ces cauchemars dans le tome 2. Pour l'instant, le scénariste Takuto Aoki et le dessinateur Himiko guidé par la pensée de Yoko Taro propose une entrée en matière vicieuse et cruelle au détriment du tout merveilleux issu du conte. Une entrée en matière radicale mais qui peut aussi rendre perplexe. J'avoue avoir du mal à accrocher à la personnalité d'Alice qui subit les évènements de manière trop passive , du moins jusqu'à un certain point tout en cultivant une certaine absence d'expression. Un personnage un peu lanterne et trop introvertie qui s'exprime surtout par de pesants monologues qui parfois ne vont pas de pair avec la situation mais qui va sans doute se réveiller dans le prochain volume. Dans l'ensemble, ce premier tome appelle forcément des réponses et le mieux serait sans doute d'enchainer la lecture avec le second opus histoire de ne pas se réveiller de ce cauchemar avec une petite gueule de bois.S'il fallait retenir un nom derrière SinoAlice, c'est surtout celui de Yoko Taro, un concepteur de jeux vidéos connu notamment pour l'univers de Nier avec notamment Nier : automata. Il fait partie de ses personnalités du jeu vidéo qui se font remarquer pour leur style atypique. En l'occurence, Yoko Taro affectionne particulièrement les ambiances sinistres et pessimistes. Pour avoir testé son fameux Nier: Automata par exemple, voici un jeu qui nous immerge dans un certain néant post-apocalyptique dans lequel les machines ont pris possession de la terre depuis belle lurette. Un style tout en rouille de gris aussi envoutant que sinistre... Ce sinistre, nous le retrouvons dans le fantaisiste et cauchemardesque SinoAlice qui est donc à la base une création de Yoko Taro paru sur IOS et Android. C'est d'ailleurs l'année Yoko Taro en France puisque Nier : Automata a également eu droit récemment à une adaptation manga toujours publié chez Kurokawa. Mais parlons d'abord de notre chère "sino"Alice qui risque de vous plonger dans la perplexité dès ce premier tome flirtant entre les limites obscures du cauchemar et de la réalité. SINoAlice démarre comme une tranche-de-vie un peu malsaine. Nous suivons Alice, une lycéenne "banale "qui sort tout juste...

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• r554tccxdc_1663100535753 13/09/2022

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  cette découverte a été un pure plaisir! Dans un monde ou des personnages aux noms de personnages de comptes pour enfants qui détruit justement la jeunesse. En effet, il y a énormément d’éléments gores et difficiles à vivre pour Alice. ps: beaucoup de fan service