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Soul Eater - tome 01
Fabien Vautrin (traduit par)
Collection : Soul Eater
Série : Soul Eater
Date de parution : 12/03/2009
Éditeurs :
Kurokawa

Soul Eater - tome 01

Fabien Vautrin (traduit par)
Collection : Soul Eater
Série : Soul Eater
Date de parution : 12/03/2009

Afin d'accéder au rang suprême de « Death Scythe », une arme démoniaque doit ingérer 99 âmes humaines et 1 âme de sorcière. Cette mission est confiée aux Meisters, des spécialistes du combat qui vont récolter les âmes au péril de leur propre vie. Dans Soul Eater, partez à la chasse aux âmes en compagnie des élèves de l'institut Shibusen, école de formation pour faucheurs d'âmes !

EAN : 9782351420553
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 208
Format : 115 x 177 mm
EAN : 9782351420553
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 208
Format : 115 x 177 mm

Ils en parlent

La grande force de Soul eater est son univers extrêmement riche développé par son créateur Atsushi
Ohkubo.
Damien Canteau / Comixtrip

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Craki 11/07/2023
    - Vague de folie sous une lune glauque #x1f31b -critique de toute la série- Je me replonge dans ce manga que j’avais commencé ado mais malheureusement lâché par flemme de suivre la publication des nouveaux chapitres, et c’est une super redécouverte ! L’histoire est relativement basique pour un shonen, mais efficace et avec tout de même pas mal de rebondissements et d’originalité qui contribuent à donner une atmosphère à la fois dérangeante et rafraîchissante à ce manga. Mais ce qui en fait principalement la qualité, c’est le style graphique et l’écriture des personnages. Le casting assez restreint pour un manga permet de faire réellement briller chacun des différents acteurs. Évidemment, tout le monde n’est pas logé à la même enseigne, et il est évident que les personnages les plus importants bénéficient de plus de développement et d’attention de la part de l’auteur (grosse pensée pour Kid, Maka, Stein et Medusa qui sont vraiment géniaux), il n’en reste pas moins qu’on a jamais l’impression de perdre notre temps lorsque l’histoire se concentre sur ses personnages secondaires. Tous sont attachants, intéressants, charismatiques chacun à leur manière, et leurs relations nuancées et crédibles sont très bien écrites. Seule ombre au tableau qui mérite d’être mentionnée : black star. Membre du quatuor de personnages centraux de l’histoire, il est malheureusement IMBUVABLE les deux premiers tiers de l’histoire… certes, il est censé être agaçant, prétentieux et loufoque, mais ces traits sont si abusivement marqués -et avec trop peu de contrebalance- qu’il en devient vraiment un personnage désagréable et pénible, dont chaque apparition est source d’agacement, ce qui n’est clairement pas la volonté de l’auteur étant donné la relation qu’a Black star avec les autres, la façon dont ils le traitent, et évidemment l’attention et la longueur avec laquelle ses péripéties sont traitées. Bien heureusement, il se rachète plus ou moins après les deux premiers tiers de la saga, et devient tolérable (ouf) Ce qui fait le principal de la puissance de ce manga, c’est sans aucun doute le style graphique, et je ne suis absolument pas d’accord avec ceux qui disent que la qualité visuelle des premiers tomes est à jeter. Évidemment, le trait est plus approximatif et le découpage moins efficace que dans les tomes suivants, mais on découvre dès le début un parti pris très cartoon, anguleux et stylisé, qui permet de donner une atmosphère absolument unique à cet univers et ses personnages. Le monde de soul eater est dynamique, vivant, atmosphérique, avec une ambiance très immersive et vibrante. Le chara-design est impeccable : chaque personnage, du plus important au plus insignifiant est détaillé avec soin. Les scènes d’action sont dynamiques et portées par un style qui permet de réellement valoriser la démesure et l’agilité du ballet martial auquel se prêtent les personnages. La cerise sur le gâteau, c’est la fluidité et la cohérence avec lesquelles le dessin passe du dénuement incisif d’un coup direct aux méandres psychédéliques des scènes de « folie », qui incarnent violemment cette notion d’incompréhension, d’inhumanité et de puissance malsaine. En bref, une œuvre à ne pas manquer pour les amateurs de shonen, avec un univers, des personnages, et un style graphique pleins de personnalité et vraiment uniques A quand une version « brotherhood » de l’anime ou une éventuelle suite avec nos protagonistes devenus adultes ..? (Svp #x1f97a) - Vague de folie sous une lune glauque #x1f31b -critique de toute la série- Je me replonge dans ce manga que j’avais commencé ado mais malheureusement lâché par flemme de suivre la publication des nouveaux chapitres, et c’est une super redécouverte ! L’histoire est relativement basique pour un shonen, mais efficace et avec tout de même pas mal de rebondissements et d’originalité qui contribuent à donner une atmosphère à la fois dérangeante et rafraîchissante à ce manga. Mais ce qui en fait principalement la qualité, c’est le style graphique et l’écriture des personnages. Le casting assez restreint pour un manga permet de faire réellement briller chacun des différents acteurs. Évidemment, tout le monde n’est pas logé à la même enseigne, et il est évident que les personnages les plus importants bénéficient de plus de développement et d’attention de la part de l’auteur (grosse pensée pour Kid, Maka, Stein et Medusa qui sont vraiment géniaux), il n’en reste pas moins qu’on a jamais l’impression de perdre notre temps lorsque l’histoire se concentre sur ses personnages secondaires. Tous sont attachants, intéressants, charismatiques chacun à leur manière, et leurs relations nuancées et crédibles sont très bien écrites. Seule ombre au tableau qui mérite d’être mentionnée :...
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  • Aetherys 21/04/2022
    Ce n'était pas gagné au début, soyons honnêtes deux minutes. Visuellement, les premiers tomes de Soul Eater offrent une lecture presque forcée, dans l'espoir de voir éventuellement le style évoluer et les personnages gagner en épaisseur. Le fan service est alors légion et les chara-design sont assez laids, et je comprendrai que certains ait lâché dans ces eaux là. Mais une fulgurance approche aux alentours du tome 6, moment où l'intrigue décolle vraiment et où l'enchaînement des tomes se fait alors avec un plaisir total. L'ennemi ultime, le Grand Dévoreur, fait son apparition et les enjeux sont alors clairs et précis. C'est à partir de ce point que le rythme devient soutenu et que l'on observe une véritable guerre entre plusieurs factions pour éviter (ou précipiter) l'avènement du Grand Dévoreur. Et s'il y a bien un tour de force que nous devons reconnaître à Soul Eater, c'est bien celui de faire croire à son public qu'il est un shonen nekketsu basique pour ainsi mieux le surprendre avec des concepts complètement novateurs et originaux. En effet, l'auteur offre à contempler un univers halloweenesque auquel vient se greffer des références au rock et la culture hip hop, dans un melting-pot des plus agréables. À cet univers barré s'ajoute des séquences hallucinantes où le quatrième mur vole complètement en éclat et dont les brisures nous arrivent en pleine face. L'humour qui, dans ses débuts, est assez balbutiant, joue finalement la carte de la réserve en n'étant finalement moins présent et usant de ses personnages drôles (En l'occurrence, Excalibur) avec parcimonie. En plus d'être une lecture agréable, Soul Eater possède une histoire haletante et bien rythmée car échappant aux classiques arcs hors série ou filler pour se concentrer réellement sur l'intrigue principale. Au fur et à mesure que l'histoire évolue, les personnages principaux gagnent en charisme et en développement et s'éloignent de leur stéréotypes pour s'offrir une backstory conséquente et des objectifs concrets. Alors que la conclusion approche, il est intéressant de souligner comme la folie et la démence contamine l'œuvre, saturant l'espace dans certaines cases au point d'emmener nos pauvres protagonistes dans les limbes de leur esprit. Et c'est bien cette descente aux enfers qui nous fait aimer l'univers, autant que ses combats dynamique dont l'impact des coups se fait ressentir à des lieux à la ronde. Voir certains personnages être consumés par la peur, chose à la fois si concrète et si abstraite, nous fait conserver un attachement profond pour eux tout du long. Le style de Okhubo se façonne à mesure que l'histoire progresse, et c'est un vrai régal que de voir tout le travail accompli depuis le commencent. Et même si le manga ne démarre clairement pas avec toutes les cartes en main, il arrive on-ne-sait-comment à les retrouver une par une pour les abattre avec fracas durant son final.Ce n'était pas gagné au début, soyons honnêtes deux minutes. Visuellement, les premiers tomes de Soul Eater offrent une lecture presque forcée, dans l'espoir de voir éventuellement le style évoluer et les personnages gagner en épaisseur. Le fan service est alors légion et les chara-design sont assez laids, et je comprendrai que certains ait lâché dans ces eaux là. Mais une fulgurance approche aux alentours du tome 6, moment où l'intrigue décolle vraiment et où l'enchaînement des tomes se fait alors avec un plaisir total. L'ennemi ultime, le Grand Dévoreur, fait son apparition et les enjeux sont alors clairs et précis. C'est à partir de ce point que le rythme devient soutenu et que l'on observe une véritable guerre entre plusieurs factions pour éviter (ou précipiter) l'avènement du Grand Dévoreur. Et s'il y a bien un tour de force que nous devons reconnaître à Soul Eater, c'est bien celui de faire croire à son public qu'il est un shonen nekketsu basique pour ainsi mieux le surprendre avec des concepts complètement novateurs et originaux. En effet, l'auteur offre à contempler un univers halloweenesque auquel vient se greffer des références au rock et la culture hip hop, dans un melting-pot des plus...
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  • louji 18/06/2020
    (Critique de la série complète) Bon, je pense qu’on connaît au moins SE pour ses personnages. Effectivement, tout fan de manga a déjà entendu le nom d’Excalibur et chanter sa chan… Oui non, mettons de côté l’épée la plus puissante du monde pour parler de Maka et Soul. Il est l’arme et elle est la manieuse. Elle est sérieuse, studieuse, loyale. Il est désinvolte, irritant et blagueur. Pourtant, entre eux, la confiance règne, la synchronisation des âmes résonne. SE se base sur un univers en tout point semblable au nôtre, à la différence que des armes peuvent prendre forme humaine et qu’il existe une école de « chasseurs d’âmes » au milieu du désert, dirigée par… le Dieu de la Mort ?? Une lune qui sourit toute la nuit, un soleil avec un gros pif ?? Bienvenue dans le monde de Soul Eater ! Une fois quelques bizarreries passées, on se fait vite à l’univers loufoque (et assez dark, il faut le dire) de SE et on apprécie les quelques pistes et indices laissés dans les 1e tomes à propos de l’envergure majeure de la fin de série. Le début sert avant tout d’introduction aux personnages et aux grandes forces obscures de Soul Eater. Car ce sont là deux points-clés du manga : ses personnages variés, que ce soit côté protagonistes ou antagonistes, et son indéniable côté sombre et maléfique… Car le plus grand ennemi, le big méchant loup, de SE, c’est la folie. C’est d’ailleurs très intéressant de voir l’évolution de cette dernière au fil des tomes, l’emprise qu’elle a sur le monde et les personnages… C’est au début assez insidieux, profondément ancré en chaque être, comme un serpent tapi au fond de son nid et prêt à jaillir au moment opportun. Question personnage, ce que j’apprécie beaucoup, c’est que les protagonistes (je regroupe globalement les élèves de Shibusen et les professeurs, les éventuels alliés…) comme les antagonistes sont rapidement présentés. On assiste donc à leur évolution progressive au fil des tomes, que ce soit en mieux ou en pire, et parfois à leur chute dans la folie. Même si Maka et Soul sont les deux protagonistes principaux, il est compliqué de mettre de côté Kid, BlackStar, Tsubaki et les sœurs Thompson. Ils ont effectivement complètement leur place aux côtés de Maka et Soul et il me paraît difficile d’envisager SE sans eux. Sans trop m’attarder, je dirais simplement que chacun de ses personnages est développé, travaillé, malmené… Car l’auteur n’est vraiment pas tendre avec ses personnages et leur faire vivre des expériences psychologiques violentes. Question antagoniste, ils ont tous ce côté un peu fou et Asura (le big boss qui incarne la folie) paraît assez manichéen dans son extrémité. Je n’ai néanmoins pas trouvé cela gênant, puisque qu’on a l’aspect inverse du côté de Shinigami : l’Ordre. Les arcs se succèdent sans trop d’accrocs et apportent leur lot de nouveaux personnages (même si on garde la majeure partie des têtes présentées dans les 1e tomes) et d’indices sur Asura (qui reste une entité mystérieuse pendant un bon moment). Je dirais aussi qu’ils prennent en ampleur, ce qui est bien normal, et fait donc paraître les 1e tomes de SE comme gentillets. L’arc final sur la lune est assez fou, au sens propre et figuré du terme, mais n’a pas été mon préféré, car bien tourné shonen nekketsu quand même, avec une bonne dose d’amitié et de dépassement de soi. Il y a heureusement l’aspect de la folie qui reste présent jusqu’au bout et permet de noircir un peu l’intrigue. Pour le graphisme… J’ai pris en photo 3 pages des tomes 1, 13 et 25 (photos disposées le long de l’article) pour faire une petite comparaison. Je trouve que le 1e tome est moche, pour être franche. Le trait est brouillon, peu défini, avec des visages et des corps déformés, des expressions faciales assez figées… bref, on sentait qu’Ohkubo était encore perdu sur ce qu’il voulait faire graphiquement avec SE. Ça s’améliore progressivement sur les 1e tomes, sans qu’Ohkubo ne cesse de faire évoluer son trait. En 25 tomes, le mangaka a eu le temps de développer et maîtriser sa technique pour nous offrir des derniers volumes franchement classes, avec des pages mises en valeur par la folie, des cadrages bizarroïdes mais qui font leur effet, des double-pages entièrement noires si ce n’est un bout de phrase ou une lueur dans les ténèbres… Bref, SE n’est clairement pas homogène en termes de graphisme et c’est bien normal lorsqu’on voit les années qui se sont écoulées entre le T1 et le T25. Pour conclure, SE c’est de la folie en pages, c’est dingue, hilarant et définitivement badass. Mention spéciale à Excalibur, le personnage le plus pète-burnes de l’univers.(Critique de la série complète) Bon, je pense qu’on connaît au moins SE pour ses personnages. Effectivement, tout fan de manga a déjà entendu le nom d’Excalibur et chanter sa chan… Oui non, mettons de côté l’épée la plus puissante du monde pour parler de Maka et Soul. Il est l’arme et elle est la manieuse. Elle est sérieuse, studieuse, loyale. Il est désinvolte, irritant et blagueur. Pourtant, entre eux, la confiance règne, la synchronisation des âmes résonne. SE se base sur un univers en tout point semblable au nôtre, à la différence que des armes peuvent prendre forme humaine et qu’il existe une école de « chasseurs d’âmes » au milieu du désert, dirigée par… le Dieu de la Mort ?? Une lune qui sourit toute la nuit, un soleil avec un gros pif ?? Bienvenue dans le monde de Soul Eater ! Une fois quelques bizarreries passées, on se fait vite à l’univers loufoque (et assez dark, il faut le dire) de SE et on apprécie les quelques pistes et indices laissés dans les 1e tomes à propos de l’envergure majeure de la fin de série. Le début sert avant tout d’introduction aux personnages et aux grandes forces obscures de...
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  • LeslivresdePoppy 27/11/2019
    Un premier tome qui pose le contexte et les personnages principaux que nous allons suivre tout au long de cette saga. Un début de série très prometteur, avec des protagonistes qui paraissent déjà plein de profondeur et d'évolution possible. Un retour à mes années collège avec cette série un peu oubliée au détour d'une bibliothèque
  • RetroRockGirl 28/02/2019
    Soul Eater, mon manga favori ! Un concept fort sympathique, des aventures qui se laissent bien suivre ! A recommander pour ceux qui débutent dans l'univers manga fantastique !
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