Lisez! icon: Search engine
Tala yuna
Date de parution : 11/05/2023
Éditeurs :
Pocket

Tala yuna

Date de parution : 11/05/2023
Une chasse à l'homme sur une île sauvage.
Jonas est un auteur à succès mais traverse une crise profonde depuis que sa femme l’a quitté.
Pour redonner à sa vie le sens qu’elle est en train de perdre, il se lance...
Jonas est un auteur à succès mais traverse une crise profonde depuis que sa femme l’a quitté.
Pour redonner à sa vie le sens qu’elle est en train de perdre, il se lance dans une quête qui le taraude depuis des années : partir sur les traces de son père, qu’il n’a jamais connu.
Dans la...
Jonas est un auteur à succès mais traverse une crise profonde depuis que sa femme l’a quitté.
Pour redonner à sa vie le sens qu’elle est en train de perdre, il se lance dans une quête qui le taraude depuis des années : partir sur les traces de son père, qu’il n’a jamais connu.
Dans la baie des mille et une îles, Jonas embarque sur le Tala Yuna. Au rythme du vent qui s’intensifie, une véritable odyssée commence, entre frères ennemis, fantômes insaisissables et rencontres envoûtantes, filant toutes voiles dehors vers une tempête dont personne ne sortira indemne…
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782266332446
Code sériel : 18952
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 384
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266332446
Code sériel : 18952
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 384
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Si vous ne deviez lire qu’un seul roman ce printemps, c’est celui-ci. Quelle aventure, quel roman ! » 20 minutes
 
-
« Entre roman noir et roman d’aventures, Tala Yuna capte notre attention du début à la fin sans fausse note. » Librairie de Port Maria
« Entre nature writing, roman d’aventures, suspense et méditation sur l’essence des choses, Tala Yuna offre une douce parenthèse non dénuée d’humour. » Librairie Le Failler
-

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • KiriHara 25/03/2024
    Charles Aubert est un auteur que j’ai découvert et apprécié avec sa trilogie autour du personnage de Niels Hogan, un ancien cadre qui décide de se retirer un peu du monde en s’installant dans une cabane au bord d’un étang proche de Montpellier et qui ne cesse de tomber sur des meurtres à résoudre… J’avais pu apprécier la plume de Charles Aubert avec ces trois romans, son sens de la narration, sa poésie et la caractérisation de ses personnages. Pour autant, j’ai longtemps hésité à lire « Tala Yuna » ou « Danser encore » deux romans dits « One Shot », d’abord parce que je voulais poursuivre l’aventure en compagnie de Niels Hogan (mais je ne sais pas s’il y aura un nouvel opus de la série) et, surtout, parce que ces deux romans ne s’inscrivent pas dans le seul genre que j’apprécie : le roman policier. Mais, j’ai fini par me laisser tenter par « Tala Yuna » afin de découvrir la plume de Charles Aubert dans un autre genre plus dirigé vers le récit d’aventures… Jonas est un auteur qui écrit des biographies de gens plus ou moins célèbres, mais qui n’a plus la « niaque » et qui, après avoir été quitté par sa femme, espère se retrouver en rencontrant son père qu’il n’a jamais connu, car parti deux jours avant sa naissance… Le seul indice qu’il possède est que son père désirait se retirer dans un groupement de petites îles. Mais celles-ci sont très nombreuses et, pour l’aider, il embauche Sam, un marin possédant son propre bateau et son frère, un peu simplet. Mais l’aventure, après la rencontre d’une étrange Indienne, va vite tourner au cauchemar… Que dire de ce roman ? Bon, déjà, on y retrouve toutes les qualités de la plume de Charles Aubert. L’auteur, effectivement, confirme qu’il a le sens de la narration, qu’il sait raconter des histoires, qu’il est touché par ses personnages, qu’il a le sens de la poésie et qu’il est passionné par le milieu de la mer… Malheureusement, on ne peut pas dire que ni les personnages ni l’intrigue ne soient réellement originaux. Effectivement, autant la quête du père que celle de soi même, la détresse d’un auteur en mal d’inspiration et de reconnaissance, la découverte d’un Nouveau Monde, d’une nouvelle manière de penser, la reconnexion avec la nature, que ce qui fera basculer l’histoire… sont des passages déjà vus, déjà entendus, déjà lus… Mais... le talent d'écrivain de Charles Aubert, la qualité de sa plume permettent de maintenir l'intérêt d'un lecteur tel que moi qui ne voit qu'à travers le genre policier et à le conduire sans déplaisir aucun jusqu'au point final même si les surprises sont rares car les révélations sont attendues, sauf une, qui résonne un peu comme une grossière coïncidence peu crédible, mais bon, on n'en voudra pas à l'auteur. Au final, un roman d'aventures, de double quête personnelle, de retour à la nature qui, à défaut d'être exaltant et surprenant se révèle prenant et plaisant (ce qui n'est pas, chez moi, un terme péjoratif ou méprisant) grâce au talent de l'auteur.Charles Aubert est un auteur que j’ai découvert et apprécié avec sa trilogie autour du personnage de Niels Hogan, un ancien cadre qui décide de se retirer un peu du monde en s’installant dans une cabane au bord d’un étang proche de Montpellier et qui ne cesse de tomber sur des meurtres à résoudre… J’avais pu apprécier la plume de Charles Aubert avec ces trois romans, son sens de la narration, sa poésie et la caractérisation de ses personnages. Pour autant, j’ai longtemps hésité à lire « Tala Yuna » ou « Danser encore » deux romans dits « One Shot », d’abord parce que je voulais poursuivre l’aventure en compagnie de Niels Hogan (mais je ne sais pas s’il y aura un nouvel opus de la série) et, surtout, parce que ces deux romans ne s’inscrivent pas dans le seul genre que j’apprécie : le roman policier. Mais, j’ai fini par me laisser tenter par « Tala Yuna » afin de découvrir la plume de Charles Aubert dans un autre genre plus dirigé vers le récit d’aventures… Jonas est un auteur qui écrit des biographies de gens plus ou moins célèbres, mais qui n’a plus la « niaque » et qui, après avoir été quitté par sa femme, espère se retrouver en rencontrant son père qu’il...
    Lire la suite
    En lire moins
  • JeremyCabrieres 11/02/2024
    Bonsoir tout le monde , je viens de terminer une petite merveille avec Tala Yuna de Charles Aubert publié chez Slatkine Compagnie . Avec ce roman poétique à souhait Charles Aubert se positionne très clairement entre Jack London et Michel Tournier. Dans ce roman nous rencontrons Jonas Duval écrivain à succès de biographies qui suite à une rupture part à la recherche d'un père qu'il n'a pas connu. Dans le cadre de sa recherche il découvrira la région des milles îles grâce à deux frères Sam et Ringo qui l'emmènent à la découverte d'une région magnifique sur leur bateau. Il va découvrir la nature sauvage et sera confronté à la violence des hommes. C'est sur une des île de la région qu'il rencontrera une belle et mystérieuse indienne. Tous cela va rapidement s'accélérer et tourner à la chasse à l'homme au rythme des différents degrés de l'échelle de Beaufort puisque la structure du roman est un parallèle à cette échelle. Par l'intermédiaire de ses personnages Charles Aubert nous offre une magnifique ode à la nature avec des descriptions de la mer et et des forêts à couper le souffle . Une belle bouffée d'oxygène en des temps troublés qui fait réfléchir sur la nature humaine et le rapport de l'homme avec son environnement. Bonsoir tout le monde , je viens de terminer une petite merveille avec Tala Yuna de Charles Aubert publié chez Slatkine Compagnie . Avec ce roman poétique à souhait Charles Aubert se positionne très clairement entre Jack London et Michel Tournier. Dans ce roman nous rencontrons Jonas Duval écrivain à succès de biographies qui suite à une rupture part à la recherche d'un père qu'il n'a pas connu. Dans le cadre de sa recherche il découvrira la région des milles îles grâce à deux frères Sam et Ringo qui l'emmènent à la découverte d'une région magnifique sur leur bateau. Il va découvrir la nature sauvage et sera confronté à la violence des hommes. C'est sur une des île de la région qu'il rencontrera une belle et mystérieuse indienne. Tous cela va rapidement s'accélérer et tourner à la chasse à l'homme au rythme des différents degrés de l'échelle de Beaufort puisque la structure du roman est un parallèle à cette échelle. Par l'intermédiaire de ses personnages Charles Aubert nous offre une magnifique ode à la nature avec des descriptions de la mer et et des forêts à couper le souffle . Une belle bouffée d'oxygène en des temps troublés qui fait réfléchir sur la...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Ogrimoire 03/01/2024
    Charles Aubert n’en fait pas mystère, l’histoire qu’il nous propose ne va pas être un long fleuve tranquille. La « couleur » – filons la métaphore ! – est donnée d’entrée, puisqu’avant même le début du livre, en une sorte de pré-prologue, nous est détaillée la fameuse échelle de Beaufort, dont je n’entends habituellement parler que lorsque, par inadvertance, je tombe sur la météo marine. Avec ses treize degrés, cette échelle va de 0, le calme plat, à 12, correspondant à un ouragan, avec sa violence et ses destructions. Quand on découvre que la première partie est intitulée « 0 Beaufort », quelques minutes suffisent à vérifier que les parties vont nous amener à gravir l’échelle, vers une tempête de plus en plus puissante. Et il n’est guère difficile d’imaginer que la tempête et le vent correspondront à l’intensité du récit et, fatalement, à l’évolution des personnages. Si nous ne savons pas encore où cette quête du père mènera Jonas, nous savons d’emblée qu’elle va connaître un crescendo vers la violence. Habituellement, je n’aime pas faire de comparaison entre un livre que je suis en train de lire et d’autres que j’ai déjà lus. Pourtant, ici, sans que je cherche à établir des parallèles, deux réminiscences ont pris le dessus, phénomène d’autant plus troublant qu’il s’agit de deux références profondément antinomiques. D’un côté, j’ai retrouvé l’ambiance de Délivrance, ce film brutal et sauvage dans lequel quatre citadins, venus passer un week-end en pleine nature, se retrouve confrontés à la violence des hommes ; de l’autre, j’ai eu l’impression de lire une nouvelle version de Tristesse et beauté, de Yasunari Kawabata, un livre dont j’ai déjà eu l’occasion de vous dire qu’il raconte une histoire sordide mais dont le style lumineux et doux enrobe cette réalité sombre. Et, dans ce livre, on retrouve noirceur et lumière, cruauté et espoir, mort et vie… Jonas, bien que les mots soient son métier, ne sait visiblement pas s’en servir dès lors qu’il est lui-même concerné. Il a appris à se défendre en les utilisant comme un paravent, ou un bouclier, mais, du même coup, les dévoie de leur rôle premier. C’est d’ailleurs ce qui le touche directement chez Ringo qui, lui, entretien un rapport bien plus simple avec le monde qui l’entoure. Pas de faux-semblants chez ce personnage, seulement de la poésie et de l’émerveillement. Et lorsque, finalement – sans spoiler -, Jonas se retrouve face à l’homme qui est peut-être son père, l’incommunicabilité devient évidente. Sans la force solaire, l’incroyable énergie vitale, l’humanité sans faille de celle qui est la véritable héroïne de ce livre – et qui lui donne son titre -, Jonas n’avancerait pas, il serait incapable d’accéder seul à la vérité primordiale de ce livre : la vie est trop courte pour ne pas la vivre intensément. C’est d’ailleurs un petit peu ce qu’exprime la citation choisie pour ouvrir cette chronique… Charles Aubert avait imposé son style et ses « polars doux » dont la brutalité n’était pas exclue ; ici, il nous embarque dans une psychanalyse tout aussi douce, mais tout aussi violente… Alors, êtes-vous prêts à embarquer pour les îles Indigo, Garance, Zinzolin ou Sinople ?Charles Aubert n’en fait pas mystère, l’histoire qu’il nous propose ne va pas être un long fleuve tranquille. La « couleur » – filons la métaphore ! – est donnée d’entrée, puisqu’avant même le début du livre, en une sorte de pré-prologue, nous est détaillée la fameuse échelle de Beaufort, dont je n’entends habituellement parler que lorsque, par inadvertance, je tombe sur la météo marine. Avec ses treize degrés, cette échelle va de 0, le calme plat, à 12, correspondant à un ouragan, avec sa violence et ses destructions. Quand on découvre que la première partie est intitulée « 0 Beaufort », quelques minutes suffisent à vérifier que les parties vont nous amener à gravir l’échelle, vers une tempête de plus en plus puissante. Et il n’est guère difficile d’imaginer que la tempête et le vent correspondront à l’intensité du récit et, fatalement, à l’évolution des personnages. Si nous ne savons pas encore où cette quête du père mènera Jonas, nous savons d’emblée qu’elle va connaître un crescendo vers la violence. Habituellement, je n’aime pas faire de comparaison entre un livre que je suis en train de lire et d’autres que j’ai déjà lus. Pourtant, ici, sans que je cherche à établir...
    Lire la suite
    En lire moins
  • CamiSi 08/12/2023
    Couverture magnifique et qui colle parfaitement au roman, titre énigmatique, je me sens immédiatement aimantée, attirée, intriguée par ce roman de Charles Aubert, auteur que je découvre. On embarque avec Jonas, le narrateur, un écrivain spécialisé dans les biographies de personnalités célèbres. Sa femme l'a quitté, il est en plein doute existentiel et à la recherche d'un père qu'il n'a jamais connu. Au premier abord, Jonas n'est ni très sympathique, ni très dégourdi : constamment maladroit dans ses propos comme dans ses gestes, il n'est pas à sa place, toujours dépassé, presque agaçant. Le lieu n'est pas vraiment précisé, la mer, des îles, innombrables qui ont des noms de couleurs, mille et une îles (Ontario?) . Une contrée un peu perdue où la nature est omniprésente, magnifique, aussi belle qu'impitoyable pour l'homme de la ville. On devine que l'auteur a mis beaucoup de lui-même dans ce récit, un récit qui est multiple: quête initiatique et spirituelle, thriller, nature-writing, aventure, tragédie, il y a un peu de tout ça dans Tala Yuna, mais également un hommage à la littérature et même une histoire d'amour. Dès le début, une tempête est annoncée, et le texte monte en puissance, gradué selon l'échelle de Beaufort. Jonas prend la mer avec deux hommes du coin, deux personnages étranges, deux demi-frères : Sam et Ringo. Un sentiment de mystère plane en permanence, on ne sait pas tout de ces deux-là Un homme un peu sauvage a été aperçu. Serait-il ce père tant recherché? Où l'auteur va-t-il nous mener? J'ai embarqué en leur compagnie et me suis laissée portée, transportée par une plume immersive et poétique. Dans cet univers très masculin, une femme, une indienne "farouche, solitaire, inattendue", va entrer dans la danse. Un très beau personnage. Au fur et à mesure que la tempête se rapproche, la tension monte, graduellement, en mer, sur l'île et entre les protagonistes et l'auteur nous offre un final, haletant, digne d'une tragédie grecque impossible à lâcher et dont vous ne sortirez pas indemne. Une histoire qui oscille entre enfer et paradis, douceur et violence, qui interroge sur la place de l'homme dans la nature, un roman qui a du souffle et travers lequel, Charles Aubert vous conduit dans les pas des grands écrivains (Harrison, Hemingway, London...) car il est aussi beaucoup question de littérature. C'est très réussi. Lisez Tala Yuna. Et comme Jonas, il se peut que vous en sortiez plus riche et transformé. Couverture magnifique et qui colle parfaitement au roman, titre énigmatique, je me sens immédiatement aimantée, attirée, intriguée par ce roman de Charles Aubert, auteur que je découvre. On embarque avec Jonas, le narrateur, un écrivain spécialisé dans les biographies de personnalités célèbres. Sa femme l'a quitté, il est en plein doute existentiel et à la recherche d'un père qu'il n'a jamais connu. Au premier abord, Jonas n'est ni très sympathique, ni très dégourdi : constamment maladroit dans ses propos comme dans ses gestes, il n'est pas à sa place, toujours dépassé, presque agaçant. Le lieu n'est pas vraiment précisé, la mer, des îles, innombrables qui ont des noms de couleurs, mille et une îles (Ontario?) . Une contrée un peu perdue où la nature est omniprésente, magnifique, aussi belle qu'impitoyable pour l'homme de la ville. On devine que l'auteur a mis beaucoup de lui-même dans ce récit, un récit qui est multiple: quête initiatique et spirituelle, thriller, nature-writing, aventure, tragédie, il y a un peu de tout ça dans Tala Yuna, mais également un hommage à la littérature et même une histoire d'amour. Dès le début, une tempête est annoncée, et le texte monte en puissance, gradué selon l'échelle de Beaufort. Jonas prend...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Encretplume 29/11/2023
    Il faut se perdre pour mieux se retrouver. Voilà la phrase qui m’est venue à l’esprit en refermant ce monde obsédant créé par l’auteur. Charles Aubert a réussi avec une aisance surprenante à m’engouffrer dans son univers à la fois sombre et étrangement lumineux. Tala Yuna est un roman qui vous offrira des paysages à couper le souffle, du suspense, des réflexions profondes et nécessaires, parfois une immersion inattendue dans des rituels de sagesse chamanique, le tout vous rapprochant pas à pas de la nature, comme pour faire corps avec, comme pour revenir à l’essentiel… La structuration de l’histoire, et sa fine construction en osmose avec toutes les palettes de l’art (littérature, peinture, musique) fait de ce livre un chef-d’œuvre. Je découvre la plume de Charles Aubert avec ce roman . J’ai appris par la suite qu’il avait signé avant celui-ci, une série de romans aux titres surprenants, « hauts en couleurs », tout comme l’archipel et le nom des îles que sillonnent les personnages dans Tala Yuna. J’ai compris alors que Charles Aubert offre à ses lecteurs (qu’il nomme « famille d’âmes ») une véritable symphonie « colorée » et diversifiée ; entre art, nature et réflexions existentielles : sa plume, et plus particulièrement l’univers de ce roman, est énigmatique, fascinant et addictif. J’ai adoré me perdre au gré des questions que se posait Jonas, que nous nous posons tous. À lire absolument ! Citations choisies : « Je lui ai rendu son sourire en évitant de lui expliquer que dans l’histoire, c’était justement les marins qui l’accompagnaient qui avaient causé sa perte. Ils l’avaient jeté par-dessus bord, un jour de tempête, pour apaiser la colère divine, et parce qu’il fallait bien trouver un responsable au malheur des hommes. » (à propos de Jonas/Yunus) « Il fallait que je trouve un chemin dans cette immensité qui raisonnait en moi, que je choisisse une fois pour toutes qui j’étais, et surtout qui je voulais être. »Il faut se perdre pour mieux se retrouver. Voilà la phrase qui m’est venue à l’esprit en refermant ce monde obsédant créé par l’auteur. Charles Aubert a réussi avec une aisance surprenante à m’engouffrer dans son univers à la fois sombre et étrangement lumineux. Tala Yuna est un roman qui vous offrira des paysages à couper le souffle, du suspense, des réflexions profondes et nécessaires, parfois une immersion inattendue dans des rituels de sagesse chamanique, le tout vous rapprochant pas à pas de la nature, comme pour faire corps avec, comme pour revenir à l’essentiel… La structuration de l’histoire, et sa fine construction en osmose avec toutes les palettes de l’art (littérature, peinture, musique) fait de ce livre un chef-d’œuvre. Je découvre la plume de Charles Aubert avec ce roman . J’ai appris par la suite qu’il avait signé avant celui-ci, une série de romans aux titres surprenants, « hauts en couleurs », tout comme l’archipel et le nom des îles que sillonnent les personnages dans Tala Yuna. J’ai compris alors que Charles Aubert offre à ses lecteurs (qu’il nomme « famille d’âmes ») une véritable symphonie « colorée » et diversifiée ; entre art, nature et réflexions existentielles : sa plume, et plus particulièrement l’univers de ce roman,...
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous à la Newsletter Pocket pour trouver le livre dont vous rêvez !
Chaque semaine, riez, pleurez et évadez-vous au rythme de vos envies et des pages que nous vous conseillons.

Lisez maintenant, tout de suite !