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Bamako climax
Date de parution : 26/08/2010
Éditeurs :
Plon

Bamako climax

Date de parution : 26/08/2010

Personnages en quête d’identité, Eliott le Noir et Elio le Juif partent en Afrique rechercher celle qu’ils aiment. Mais l’Afrique, c’est grand…

Elliott Marie-Rose est Antillais, Elio Della Valle, juif italien. Tous deux sont amoureux de Céleste, la reporter afropéenne mondaine, aventureuse et fantasque. Mais paralysés par leur problème d'identité, ils échouent...

Elliott Marie-Rose est Antillais, Elio Della Valle, juif italien. Tous deux sont amoureux de Céleste, la reporter afropéenne mondaine, aventureuse et fantasque. Mais paralysés par leur problème d'identité, ils échouent à l'aimer vraiment: Elio, son mari, ne peut s'empêcher de la tromper; Eliott, son amant, n'arrive pas à dépasser le...

Elliott Marie-Rose est Antillais, Elio Della Valle, juif italien. Tous deux sont amoureux de Céleste, la reporter afropéenne mondaine, aventureuse et fantasque. Mais paralysés par leur problème d'identité, ils échouent à l'aimer vraiment: Elio, son mari, ne peut s'empêcher de la tromper; Eliott, son amant, n'arrive pas à dépasser le cap du marivaudage.
Un jour, alors que de violents attentats terroristes frappent les intérêts occidentaux des franges du Sahara au golfe de Guinée, Céleste disparaît en Afrique... Aurait-elle fui ses désillusions amoureuses pour se lancer dans une dangereuse aventure au coeur du continent originel?

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EAN : 9782259206143
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 406
Format : 132 x 201 mm
EAN : 9782259206143
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 406
Format : 132 x 201 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Alexmotamots 05/09/2010
    Voilà une narration qui vous emporte, même si la présentation des personnages dure un peu, à la limite du palabre. L'action ne commence vraiment que lorsque Céleste disparaît en Afrique, à la moitié du livre, dommage. Dommage car l'Afrique est si bien vivante dans les mots de l'auteure, les relations inter-africaine également, et la place (ou la non-place du blanc) dans ce continent. Beaucoup plus imagée et intéressante à lire que les descriptions du microcosme parisien des premières pages avec des formules de 3 adjectifs un peu lassantes. J'ai aimé l'Afrique toute en contrastes d'Elisabeth et le dépaysement procuré pour moi, petite blanche, rires.... Quelques bonnes formules, mais qui gâchent un peu le déroulement de la phrase qui serait plus fluide sans. Cela fait un peu "capilotracté" parfois, pour reprendre une expression de l'auteure. Un roman dans la lignée du Goncourt de l'année dernière. Un roman encré dans l'actualité et qui propose une vision "politique" et engagé du monde, ce que j'apprécie beaucoup. Bref, j'ai aimé cette lecture et j'espère encore être dépaysée par cette journaliste. L'image que je retiendrai : Celle d'Elio dans une cérémonie vaudou (très bien rendue au demeurant, même si il nous échapera toujours, à nous occidentaux, la magie de la cérémonie).

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