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Diane de Poitiers
Collection : Biographies
Date de parution : 02/02/2017
Éditeurs :
Perrin

Diane de Poitiers

Collection : Biographies
Date de parution : 02/02/2017
Pour sortir de la légende, la première biographie historique de LA maîtresse royale de la Renaissance, par le plus fin connaisseur du XVIe siècle.
Les légendes, noires et dorées, font de Diane de Poitiers (1500-1566) la maîtresse de deux rois de France, François Ier et son fils Henri II, et construisent un portrait d’elle fait de... Les légendes, noires et dorées, font de Diane de Poitiers (1500-1566) la maîtresse de deux rois de France, François Ier et son fils Henri II, et construisent un portrait d’elle fait de poncifs sur le « pouvoir au féminin ». Mécène éclairée, femme libre et émancipée de toute entrave, dotée d'un sens aigu de... Les légendes, noires et dorées, font de Diane de Poitiers (1500-1566) la maîtresse de deux rois de France, François Ier et son fils Henri II, et construisent un portrait d’elle fait de poncifs sur le « pouvoir au féminin ». Mécène éclairée, femme libre et émancipée de toute entrave, dotée d'un sens aigu de ses intérêts financiers, elle aurait exercé par le charme et la chair une grande influence sur les hommes en charge du royaume de France, se hissant ainsi au panthéon des femmes célèbres.
L’histoire est fort séduisante. On pourrait y croire ; pourtant elle est grossièrement fausse. Didier Le Fur, pour qui les constructions historiographiques n'ont plus de secrets, explique simplement, et avec style, que l’image actuelle de Diane de Poitiers est faite d’une accumulation d’erreurs et d’approximations – volontaires ou non – reprises puis amplifiées, en fonction des modes, pendant quatre siècles. Ce faisant, l’auteur rend à cette femme passionnante sa réalité, loin des fantasmes entourant les maîtresses royales, et décrypte comment sa vie, qui reste sur bien des aspects un trou noir, a pu prendre une telle place dans l’imaginaire collectif et le roman national français.
 
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EAN : 9782262063955
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 240
Format : 140 x 210 mm
EAN : 9782262063955
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 240
Format : 140 x 210 mm

Ils en parlent


Que ceux qui cherchent le mythe en Histoire passent leur chemin: Le Fur nous le dégonfle en beauté, revenant au coeur du sujet. Une belle leçon de réalisme.
Le Point

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Denis_76 09/12/2022
    Quel était le caractère de la mystérieuse Diane de Poitiers, duchesse de Valentinois ? Diane de Poitiers ( 1500-1566 ), fut la maîtresse du roi Henri II ( 1519-1559 ). Elle est issue d'une famille noble proche de Louis XII, les Saint-Vallier. « Poitiers » vient de Peytieula, Saint-Vallier, dans le Valentinois, le Dauphiné. Sa mère meurt alors qu'elle est en bas âge, et son père l'éduque comme un garçon : équitation et chasse. Puis il la place à cour d'Anne de Beaujeu, fille très cultivée de Louis XI. Elle y apprend les belles lettres. Puis elle est demoiselle d'honneur de la reine Claude, femme de François Premier. Anne de Beaujeu la marie au sénéchal Louis de Brézé, très en faveur à la Cour. Elle a deux filles. A la Cour d'Eléonor, puis de Catherine de Médicis, elle est préceptrice des enfants de François premier, dont le futur Henri II, puis elle s'occupe des enfants d'Henri II. Elle est là pour les accouchements des reines. En 1531, elle est veuve, et c'est là que cela devient intéressant... Mais je vous laisse découvrir ! . Le style de Didier le Fur est celui d'un historien pur et dur : il est très calé en généalogie et en apanages, ou terres acquises, en... Quel était le caractère de la mystérieuse Diane de Poitiers, duchesse de Valentinois ? Diane de Poitiers ( 1500-1566 ), fut la maîtresse du roi Henri II ( 1519-1559 ). Elle est issue d'une famille noble proche de Louis XII, les Saint-Vallier. « Poitiers » vient de Peytieula, Saint-Vallier, dans le Valentinois, le Dauphiné. Sa mère meurt alors qu'elle est en bas âge, et son père l'éduque comme un garçon : équitation et chasse. Puis il la place à cour d'Anne de Beaujeu, fille très cultivée de Louis XI. Elle y apprend les belles lettres. Puis elle est demoiselle d'honneur de la reine Claude, femme de François Premier. Anne de Beaujeu la marie au sénéchal Louis de Brézé, très en faveur à la Cour. Elle a deux filles. A la Cour d'Eléonor, puis de Catherine de Médicis, elle est préceptrice des enfants de François premier, dont le futur Henri II, puis elle s'occupe des enfants d'Henri II. Elle est là pour les accouchements des reines. En 1531, elle est veuve, et c'est là que cela devient intéressant... Mais je vous laisse découvrir ! . Le style de Didier le Fur est celui d'un historien pur et dur : il est très calé en généalogie et en apanages, ou terres acquises, en " faveurs"... Mais il raconte moins bien, à mon avis, le contexte des guerres et conquêtes que JC Petitfils. Cependant, l'auteur rend bien l'ambiance de l'époque : on a, par exemple, l'obstination de François Premier à conquérir le Milanais ( trois fois, trois échecs ). Pourquoi ? On n'est pas bien chez soi ? Ces guerres contre Charles Quint impliquent viols, famines, impôts plus élevés et destructions ! L'intérêt du livre, comme celui de JC Petitfils pour Louis XIII, est de réhabiliter la mémoire de Diane, traitée par les ambassadeurs vénitiens et par des pamphlets anonymes, à l'époque du règne d'Henri II, de vieille lubrique, de cause de la mort du roi, de putain manipulée ou manipulatrice, c'est selon ! Ce traitement a duré plusieurs siècles. Qu'un roi soit amoureux d'une femme de 20 ans plus âgée semble aux pamphlétaires et aux historiens anciens impossible ; ils disent donc que c'est de la magie : elle a ensorcelé Henri ! Enfin, au XXè siècle, des historiens posent l'hypothèse que la jeunesse de sa peau est due à son régime d'hydrothérapie. Loin de se fier aux avis des ambassadeurs, Didier le Fur prend à témoin les rares "premières mains", car Diane est discrète : il y a peu de correspondance entre elle, le roi et Anne de Montmorency, le principal ministre, mais elle est affectueuse ; l'historien convoque aussi sa correspondance avec D Humières, qui est gouverneur des enfants royaux, conjointement à elle. Et l'on s'aperçoit, dans les lettres, qu'elle est humaine, serviable, dévouée, et belle ( poèmes de Clément Marot et Du Bellay ). Dans son testament, on s'aperçoit que son principal soucis est la gestion de ses biens pour les donner à ses deux filles qu'elle a mariées à des ducs. Quand on voit la beauté d'Isabelle Adjani qui a joué ce rôle à 67 ans, on s'émerveille de la façon dont certaines personnes ne sont pas marquées par le temps ! Nota : Dans mon conte « Panurge », il y aura Diane de Poitiers ou bien Agnès Sorel :)
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  • chrisylivres 31/08/2017
    Si l’on se réfère aux documentaires historiques que diffusent nos chaînes de télévision c’était une femme de pouvoir qui avait conservé sa féminité et ses préoccupations maternelles, tout en s’affirmant dans un monde d’hommes : « La première cougar de l’histoire ». Didier Le Fur a divisé son livre en trois parties : 1- Il était une fois : une vieille femme s’était penchée sur son berceau prédisant qu’elle serait plus que reine. Enfant préférée de son père Jean de Poitiers, ce dernier s’occupa lui-même de son éducation et lui apprit à monter à cheval et à chasser. Quelques années plus tard, il la plaça auprès d’Anne de Beaujeu qui avait initié déjà d’autres femmes de pouvoir. D’une beauté et d’un esprit parfait, elle épouse Louis de Brézé. Charmé François Ier la protégea des perfidies de la cour. Quelques années plus tard, elle devint la maîtresse du Dauphin, le future Henri II. Ils ont 19 ans d’écart. Machiavel en jupon, elle oriente la politique d’Henri II qui ne peut pas lui résister…. 2- Ce que l’on peut savoir : dans ce chapitre, l’auteur mentionne les documents de cette époque qui ont toujours été accessibles aux historiens. Dès les premières lignes, il nous avertit... Si l’on se réfère aux documentaires historiques que diffusent nos chaînes de télévision c’était une femme de pouvoir qui avait conservé sa féminité et ses préoccupations maternelles, tout en s’affirmant dans un monde d’hommes : « La première cougar de l’histoire ». Didier Le Fur a divisé son livre en trois parties : 1- Il était une fois : une vieille femme s’était penchée sur son berceau prédisant qu’elle serait plus que reine. Enfant préférée de son père Jean de Poitiers, ce dernier s’occupa lui-même de son éducation et lui apprit à monter à cheval et à chasser. Quelques années plus tard, il la plaça auprès d’Anne de Beaujeu qui avait initié déjà d’autres femmes de pouvoir. D’une beauté et d’un esprit parfait, elle épouse Louis de Brézé. Charmé François Ier la protégea des perfidies de la cour. Quelques années plus tard, elle devint la maîtresse du Dauphin, le future Henri II. Ils ont 19 ans d’écart. Machiavel en jupon, elle oriente la politique d’Henri II qui ne peut pas lui résister…. 2- Ce que l’on peut savoir : dans ce chapitre, l’auteur mentionne les documents de cette époque qui ont toujours été accessibles aux historiens. Dès les premières lignes, il nous avertit de la rareté des sources. Hiératiques, elles ne confirment en rien ce qu’on nous raconte habituellement. Nous n’avons aucun témoignage confirmant une éducation à la garçonne. De toute façon, « les activités physiques étaient malvenue pour les demoiselles… l’équitation était un sport masculin et les filles ne l’apprenaient pas. » Il est impossible de savoir si à plus 50 ans, elle était toujours la maîtresse d’Henri II. « Cet âge était dans l’imaginaire du temps déjà canonique pour une femme, un âge qui pouvait supposer qu’elle était ménopausée. Or, selon la morale de l’époque, ce passage physiologique interdisait à la femme tout rapport sexuel ; n’étant plus destiné à la procréation, il devenait ignoble ». 3- La construction du roman : il va se développer au fil des siècles. Son écriture commence dès l’année 1576, quand les protestants qui ont obtenu l’édit de Beaulieu décident que le temps est à la réconciliation. En voulant innocenter Catherine de Médicis, ils s’attaquent à Diane de Poitiers. Cette biographie est passionnante et facile d’accès même si on n’est pas un historien dans l’âme. Il est toujours fascinant de voir la construction et la déconstruction d’un mythe qui est souvent révélateur de la société qui l’utilise. Ce mythe va certainement perdurer. En effet, les populations des pays occidentaux s’avèrent en partie vieillissantes et ce mythe de l’éternel beauté fait rêver.
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  • Azor 09/04/2017
    Didier le Fur nous présente au travers de cet ouvrage un angle de vue très intéressant sur le personnage de Diane de Poitiers. Après un exposé des documents dont nous disposons réellement et pouvant nous permettre d'établir une biographie de Diane de Poitiers, documents dont on s'aperçoit qu'ils sont en quantité très peu abondante, Didier le Fur, nous raconte dans une deuxième partie, le personnage de Diane de Poitiers, tel qu'il est décrit au fil des époques dans la littérature mais également par les historiens. On constate très vite le fossé qui existe entre ce dont nous disposons et ce qui est raconté avec abondance de détails dans ces différents ouvrages. A partir de bien peu de matière, on en arrive à des histoires très précises, des théories sont échafaudées, on trouve différentes fins à ce personnage selon le regard que l'on porte sur elle. Il est très intéressant de voir également la manière ce personnage historique a pu évoluer selon les époques, d'abord vue comme une vieille et laide catin, Diane devient finalement le symbole de la liberté, une femme belle et cultivée, maîtresse des arts et des lettres. Mais force est de constater que finalement, on connaît bien peu de choses... Didier le Fur nous présente au travers de cet ouvrage un angle de vue très intéressant sur le personnage de Diane de Poitiers. Après un exposé des documents dont nous disposons réellement et pouvant nous permettre d'établir une biographie de Diane de Poitiers, documents dont on s'aperçoit qu'ils sont en quantité très peu abondante, Didier le Fur, nous raconte dans une deuxième partie, le personnage de Diane de Poitiers, tel qu'il est décrit au fil des époques dans la littérature mais également par les historiens. On constate très vite le fossé qui existe entre ce dont nous disposons et ce qui est raconté avec abondance de détails dans ces différents ouvrages. A partir de bien peu de matière, on en arrive à des histoires très précises, des théories sont échafaudées, on trouve différentes fins à ce personnage selon le regard que l'on porte sur elle. Il est très intéressant de voir également la manière ce personnage historique a pu évoluer selon les époques, d'abord vue comme une vieille et laide catin, Diane devient finalement le symbole de la liberté, une femme belle et cultivée, maîtresse des arts et des lettres. Mais force est de constater que finalement, on connaît bien peu de choses de cette femme qui fut peut-être la maîtresse d'Henri II ou peut-être celle de François 1er, a-t-elle eu une influence politique ou était-elle simplement une courtisane. Toujours est-il que cette femme a évolué dans le sillage des rois de France, après quant-à savoir son rôle exact et son influence, cela reste difficile à dire. Cet ouvrage, fruit d'un travail très sérieux et documenté, nous invite à réfléchir sur la part de réel et la part de fiction dans les différentes biographies qui ont été écrites sur Diane de Poitiers et plus largement sur l'histoire en général.
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  • Florel 16/03/2017
    Si je reprends le Secret d’histoire sur cette dame de la Renaissance qu’est Diane de Poitiers, on découvre qu’elle était une belle femme, influente, ambitieuse, manipulatrice, intelligente, etc, etc. Bref, si on écoute cette émission on y découvre un portrait mi-ange mi-démon. Femme amoureuse, femme ambitieuse. Pourtant, tout est presque faux. En effet, à la fin de ce livre écrit par un éminent historien, on découvre surtout que nous ne savons quasiment rien sur cette femme, il existe très peu de source et le peu qu’il y a ne sont pas très parlantes. Bien sûr ces sources parlent tout de même, on sait grâce à elles, que Diane de Poitiers n’a jamais cherché à récupérer les biens des hérétiques que sont les chrétiens dissidents. Elle n’a jamais cherché à amasser toute la fortune au détriment des autres, elle a même plutôt fait beaucoup pour les autres. Bref ! Grâce à ce livre et au travail d’historien de l’auteur qui a pris le temps de décortiquer les sources, de peser le parti-pris des auteurs, etc., on sait que la légende écrite par des hommes (ennemis des femmes), des protestants, des adversaires, des romanciers comme Victor Hugo, est en partie forgée sur des délires... Si je reprends le Secret d’histoire sur cette dame de la Renaissance qu’est Diane de Poitiers, on découvre qu’elle était une belle femme, influente, ambitieuse, manipulatrice, intelligente, etc, etc. Bref, si on écoute cette émission on y découvre un portrait mi-ange mi-démon. Femme amoureuse, femme ambitieuse. Pourtant, tout est presque faux. En effet, à la fin de ce livre écrit par un éminent historien, on découvre surtout que nous ne savons quasiment rien sur cette femme, il existe très peu de source et le peu qu’il y a ne sont pas très parlantes. Bien sûr ces sources parlent tout de même, on sait grâce à elles, que Diane de Poitiers n’a jamais cherché à récupérer les biens des hérétiques que sont les chrétiens dissidents. Elle n’a jamais cherché à amasser toute la fortune au détriment des autres, elle a même plutôt fait beaucoup pour les autres. Bref ! Grâce à ce livre et au travail d’historien de l’auteur qui a pris le temps de décortiquer les sources, de peser le parti-pris des auteurs, etc., on sait que la légende écrite par des hommes (ennemis des femmes), des protestants, des adversaires, des romanciers comme Victor Hugo, est en partie forgée sur des délires politiques et amoureux ; des délires qui ont forgé petit à petit - même en se contredisant - cette légende sans grande rigueur historique qui sert aujourd’hui encore le roman de la vie de Diane de Poitiers. (Je précise quand même qu’il y a eu du nettoyage avant Didier Le Fur, en effet tous n’ont pas tout pris pour argent comptant ce qu’ils ont lu.) Mais si je n’ai rien à dire sur le travail technique de l’auteur, qui a vraiment une démarche d’historien comme je l’ai déjà dit, en présentant par exemple ce que l’on dit, ce qu’on peut affirmer, la construction de la légende et la déconstruction des sources ; j’ai par contre eu beaucoup de mal à lire ce livre et ce pour deux raisons. Déjà il y a beaucoup de noms par moment ce qui m’a noyé dans les informations (c’est surtout vrai pour le dernier chapitre) et enfin c’est parfois un peu fastidieux à lire. Pourtant je suis habituée à lire des livres d’histoire pour mon plaisir personnel ou pour mes études (et dans le dernier cas ils sont souvent chi*** à lire) mais là waouh, à des instants il faut s’accrocher ! C’est par moment vraiment soporifique, surtout quand on a déjà du mal à suivre avec tous les noms. Donc, si j’ai vraiment deux choses à reprocher à ce livre-là, c’est ces deux derniers points, pour le reste vraiment j’ai rien à dire, c’était instructif, étonnant, intéressant sur le fond. En résumé c’est un livre que je conseille, mais un conseil accrochez-vous. Prenez peut-être même des notes en lisant pour vous retrouver plus facilement dans la masse d’information et de nom. (Et je crois que si un jour je lis son livre sur François 1er, que je désire vraiment lire, c'est ce que je ferai.)
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  • Audrey56 07/03/2017
    Oubliez ! Oubliez tout ce que vous pensez savoir sur Diane de Poitiers, car vous ne savez rien, nous ne savons rien… ou si peu ! Adieu, la pionnière des féministes qui chevauchait dès l’aube cheveux au vent ; adieu la sublime femme de 1,70 m qui semblait avoir trente ans du haut de ses soixante-six. Non, Diane de Poitiers n’a pas mené par le bout du nez son royal amant Henri II ; non, elle ne s’occupait pas de politique ; non, elle n’offrait pas son corps pour arriver à ses fins. Quasiment tout ce qui a été dit, en bien ou en mal, relève du roman national, « le portrait que les historiens font de Diane de Poitiers aujourd’hui n’est que le résultat d’une longue construction » qui commença dès le vivant de l’intéressée, quand des ambassadeurs étrangers se devaient de critiquer la maîtresse royale pour justifier les actions du roi de France qui, évidemment, ne convenaient pas à leurs attentes. De fil en aiguille, d’interprétations en tentatives de justifications historiques hasardeuses, nous avons créé de toutes pièces une femme, une nouvelle Diane. La suite sur : www.actualitte.com
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