Lisez! icon: Search engine
Jeeves
François Rivière (préface de)
Date de parution : 12/06/2008
Éditeurs :
Omnibus

Jeeves

François Rivière (préface de)
Date de parution : 12/06/2008

Bertie Wooster a l'art de se fourrer dans des situations aussi embarrassantes qu'inextricables : heureusement, Jeeves, son génial majordome, est là pour l'en sortir. Un classique de l'humour anglais, indémodable.

L’Inimitables Jeeves
Allez-y, Jeeves
Merci, Jeeves
Ça va, Jeeves ?

 

Dans une Angleterre éternelle peuplée de jeunes filles énergiques et épuisantes, de tantes redoutables, d’oncles débonnaires et passifs, de toute une galerie de personnages...

L’Inimitables Jeeves
Allez-y, Jeeves
Merci, Jeeves
Ça va, Jeeves ?

 

Dans une Angleterre éternelle peuplée de jeunes filles énergiques et épuisantes, de tantes redoutables, d’oncles débonnaires et passifs, de toute une galerie de personnages excentriques, domine la figure de Jeeves, le génial et flegmatique majordome du narrateur Bertie Wooster, jeune célibataire oisif et écervelé...

L’Inimitables Jeeves
Allez-y, Jeeves
Merci, Jeeves
Ça va, Jeeves ?

 

Dans une Angleterre éternelle peuplée de jeunes filles énergiques et épuisantes, de tantes redoutables, d’oncles débonnaires et passifs, de toute une galerie de personnages excentriques, domine la figure de Jeeves, le génial et flegmatique majordome du narrateur Bertie Wooster, jeune célibataire oisif et écervelé qui a l’art de se fourrer dans des situations inextricables.
Ce sommet de l’humour anglais a enthousiasmé des générations de lecteurs, et a inspiré à un critique ce commentaire définitif : « Il n’y a que deux sortes de lecteurs de Wodehouse, ceux qui l’adorent et ceux qui ne l’ont pas lu. »

 

Préface de François Rivière

Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782258077904
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 912
Format : 130 x 198 mm
EAN : 9782258077904
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 912
Format : 130 x 198 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • LilyroseBialla 08/06/2023
    Humour typiquement British ....Très bon humour quand on aime le style mais moi j'adore... Qui ne rêverait pas d'avoir, d'une part un valet qui vous réveille en vous apportant le petit déjeuner au lit, d'autre part un valet si doué qu'il vous sort de toutes les situations les plus périlleuses (et comiques !); Le style de Wodehouse est en outre très original et contribue à nous faire passer de très bons moments de détente ; Joli recueil, agréable à lire, des premières aventures de Jeeves.
  • collectifpolar 27/03/2023
    Coup de cœur pour humoriste « glacé et sophistiqué » - merci Gottlieb pour la formule ! - D’abord, le nom de l’auteur qui semble à lui seul une invention tout à fait britannique pour ses sortes de roman du début du XXe siècle, les personnages que l’on peut retrouver dans des « romans pour dames » de Somerset Maugham ou même quelquefois d’Agatha Christie lorsqu’on s’enfonce dans la campagne anglaise… Trêve de suspense, il s’appelle Pelham Grenville Wodehouse, P-G - prononcer à l’anglaise, of course–pour les intimes et les couvertures où l’on manque de place pour le titre. S’ensuit toute une série de romans où le personnage principal est le valet, inégalable de perfection, d’intelligence et d’entregent, qui répond au doux prénom de Jeeves ! Autour de lui gravite un tas d’incapables, aristocrates plus ou moins désargentés, parasites, prisonniers d’un conformisme étroit et stupide où une simple veste blanche pour un dîner devient un Hiroshima diplomatique, où la futilité le dispute à la bêtise, mais tout cela avec un humour et un sens du rebondissement tout à fait divertissant. Un regard tendre, ironique et drôle sur la bonne société anglaise. Un couple irrésistible : Bertram Wooster et son valet Jeeves, débrouillard et diplomate, flegmatique et génial, qui aide son jeune et riche maître à se sortir des situations  impossibles dans lesquelles il se met.. Heureusement Jeeves est là et il est maître de toutes les situations, attentif au bien-être de chacun, aux lubies des uns comme aux chagrins d'amour des autres. Évasion garantie pour qui aime le délicat fumet d’un thé de Chine dans une porcelaine anglaise avec quelques délicieux scones, de la whipped cream et de la confiture de framboise.Coup de cœur pour humoriste « glacé et sophistiqué » - merci Gottlieb pour la formule ! - D’abord, le nom de l’auteur qui semble à lui seul une invention tout à fait britannique pour ses sortes de roman du début du XXe siècle, les personnages que l’on peut retrouver dans des « romans pour dames » de Somerset Maugham ou même quelquefois d’Agatha Christie lorsqu’on s’enfonce dans la campagne anglaise… Trêve de suspense, il s’appelle Pelham Grenville Wodehouse, P-G - prononcer à l’anglaise, of course–pour les intimes et les couvertures où l’on manque de place pour le titre. S’ensuit toute une série de romans où le personnage principal est le valet, inégalable de perfection, d’intelligence et d’entregent, qui répond au doux prénom de Jeeves ! Autour de lui gravite un tas d’incapables, aristocrates plus ou moins désargentés, parasites, prisonniers d’un conformisme étroit et stupide où une simple veste blanche pour un dîner devient un Hiroshima diplomatique, où la futilité le dispute à la bêtise, mais tout cela avec un humour et un sens du rebondissement tout à fait divertissant. Un regard tendre, ironique et drôle sur la bonne société anglaise. Un couple irrésistible : Bertram Wooster et son valet Jeeves, débrouillard et...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Maclade 02/05/2021
    J'ai eu un peu de mal à entrer dans tous ces romans à la suite. Trop prévisible, trop de redites, un milieu trop superficiel, etc. Et puis plus on en lit plus on en rit, c'est vraiment le comique de répétition qui prend le dessus, On a envie de retrouver Jeeves comme on retrouve les petites bandes dessinées d'une seule ligne en bas de certains journaux. Pour se délasser après une journée d'hiver, légèreté bienvenue! Merci Jeeves.
  • Nadou38 22/05/2016
    Recommandé par jeeves_wilt, j'ai découvert il y a peu de temps Wodehouse et son humour anglais. Une belle découverte ! J'ai lu pour le moment "L'inimitable Jeeves", premier des 4 opus proposés dans cet ouvrage. La construction des chapitres est répétitive : elle met en scène le narrateur Bertie Wooster, riche jeune homme anglais pas toujours très malin, qui doit venir en aide à son ami Bingo Little, encore moins malin et qui se met toujours dans des situations délicates, en général des affaires de coeur. La situation empire généralement et c'est Jeeves, le majordome de Wooster, discret, intelligent et efficace qui parvient à régler la situation, souvent au dépend de son maître. Ce qui fait tout l'intérêt de cette lecture, c'est la relation entre Jeeves et Wooster (on ne sait plus vraiment qui est le maître...), et la plume de l'auteur pour nous raconter cela. Que c'est drôle ! On ne peut s'empêcher de sourire à chaque page ! Il suffit de lire quelques chapitres et on est souriant et détendu... A lire pour tout ceux qui cherchent un billet de bonne humeur !
  • Folfaerie 20/02/2016
    Un peu de légèreté, en ces temps troublés, c'est une nécessité. La lecture d'un Wodehouse me paraissait être une merveilleuse idée, et, me fiant à l'avis de Keisha, je me suis lancée avec un certain enthousiasme à la suite de l'imperturbable butler qui fit les délices des lecteurs anglais du XXème siècle. Le premier tome que j'ai acheté chez Omnibus comporte 4 titres. : l'inimitable Jeeves, Allez-y Jeeves, Merci Jeeves et ça va, Jeeves ? Admirez la brièveté et l'efficacité des titres ! Avant toute chose, je vous donne un seul et unique conseil : ne lisez pas les romans d'une traite. Le côté répétitif des situations risque fort de vous paraitre longuet et ennuyeux. Je me suis arrêtée au troisième, repue avec comme un mal de coeur tel que celui qu'on ressent quand on s'est gavé de sucreries. Vous voyez ce que je veux dire ? Dégustés à quelques semaines d'intervalle, ces 4 premiers épisodes sont rafraichissants et fort plaisants. Je présente l'un des tandems les plus connus de la littérature britannique : d'abord, le flegmatique Jeeves, dont l'intelligence est largement supérieure à celle de son "maître", le farfelu et stupide Bertie Wooster, jeune célibataire ne faisant rien de ses dix doigts, fortune oblige. Ce dernier à l'art de se fourrer dans des situations inconfortables, parce qu'il a toujours la faiblesse de vouloir aider l'un de ses amis. En général, les amis en question sont encore plus bêtes que lui, surtout si une demoiselle est en jeu. Le seul espoir de cette bande d'écervelés réside en la personne de Jeeves, dont l'humour pince-sans-rire, les nombreuses relations et un sens inné de la débrouillardise permettent à l'incorrigible Bertie d'échapper à n'importe quel désastre domestique ou imbroglio amoureux. Et franchement, beaucoup de chapitres sont réellement réjouissants, et je me suis surprise à sourire bêtement presque tout au long de ma lecture. Entre les excentricités de Bertie (le réveil du matin est toujours un événement mémorable, du même que le choix de ses costumes), sa mauvaise foi, la stupidité de ses amis et ses quelques escarmouches avec jeeves (car le digne butler ne se prive pas d'humilier le pauvre Bertie), impossible de ne pas se sentir joyeux et léger. Et ma foi, c'est bien tout ce que je demande actuellement à mes lectures ! PS : imaginez ma joie lorsque j'ai découvert l'existence d'une série tv des années 90 avec Stephen Fry dans le rôle de Jeeves et Hugh Laurie dans celui de Wooster ! ça doit être quelque chose...Un peu de légèreté, en ces temps troublés, c'est une nécessité. La lecture d'un Wodehouse me paraissait être une merveilleuse idée, et, me fiant à l'avis de Keisha, je me suis lancée avec un certain enthousiasme à la suite de l'imperturbable butler qui fit les délices des lecteurs anglais du XXème siècle. Le premier tome que j'ai acheté chez Omnibus comporte 4 titres. : l'inimitable Jeeves, Allez-y Jeeves, Merci Jeeves et ça va, Jeeves ? Admirez la brièveté et l'efficacité des titres ! Avant toute chose, je vous donne un seul et unique conseil : ne lisez pas les romans d'une traite. Le côté répétitif des situations risque fort de vous paraitre longuet et ennuyeux. Je me suis arrêtée au troisième, repue avec comme un mal de coeur tel que celui qu'on ressent quand on s'est gavé de sucreries. Vous voyez ce que je veux dire ? Dégustés à quelques semaines d'intervalle, ces 4 premiers épisodes sont rafraichissants et fort plaisants. Je présente l'un des tandems les plus connus de la littérature britannique : d'abord, le flegmatique Jeeves, dont l'intelligence est largement supérieure à celle de son "maître", le farfelu et stupide Bertie Wooster, jeune célibataire ne faisant rien de ses dix...
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous et recevez toute l'actualité des éditions OMNIBUS
Revivez chaque mois les chefs-d'œuvre classiques et populaires.