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L'inquiétante histoire des vaccins
Date de parution : 07/04/2022
Éditeurs :
Plon

L'inquiétante histoire des vaccins

Date de parution : 07/04/2022
Ce livre nous concerne tous ! Profitant de la crise du Covid-19, la médecine foule au pied le plus grand de nos principes républicains : la liberté !
Marc Menant démonte dans ce livre coup de poing les travers de cette médecine en reprenant son histoire et en dénonçant ses impostures !
Quel bouleversement nous vivons ! Antivax ou pro Vax, ce livre nous concerne tous.
 
La médecine a profité de la crise du Covid-19 pour s’arroger le principe le plus noble, le...
Quel bouleversement nous vivons ! Antivax ou pro Vax, ce livre nous concerne tous.
 
La médecine a profité de la crise du Covid-19 pour s’arroger le principe le plus noble, le plus fragile et le plus emblématique, celui de notre « liberté ». Au nom de la science, elle lui a...
Quel bouleversement nous vivons ! Antivax ou pro Vax, ce livre nous concerne tous.
 
La médecine a profité de la crise du Covid-19 pour s’arroger le principe le plus noble, le plus fragile et le plus emblématique, celui de notre « liberté ». Au nom de la science, elle lui a substitué celui de la « santé publique.»
 
Tous se sont rendus coupables d’un délit d’illusion de bonne santé.
Délit évitable par la vaccination qui – garantissent certains infectiologues – force le système immunitaire à la production de l’indispensable, stock d’anticorps.
 
Vous allez découvrir pourquoi seule l’histoire des vaccins depuis Pasteur peut nous aider sur ce débat au cœur de nos vies.
 
Une éclairante et nécessaire histoire d’éminents chercheurs et de leurs impostures dûment établies, dont la première, celle du légendaire, du mythique Pasteur ! Car tout commence avec lui.
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EAN : 9782259311601
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 272
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782259311601
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 272
Format : 140 x 225 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Singlandes 06/06/2022
    „Tout bien portant est un malade qui s‘ignore“. Marc Menant tout comme Jules Romain dans Knock fustige le monde médical et l’accuse d‘être responsable de tous nos maux. Tout d’abord il déboulonne la statue de Pasteur, pourtant référence intouchable de la rigueur scientifique pour tout français Tout en lui concédant quelques avancées médicales, il l‘accuse d‘avoir mis dans la tête de ses contemporains et des générations qui vont suivre la certitude que pour prévenir des maladies il fallait recevoir des vaccins. Or ces vaccins sont non seulement inutiles, d’après lui, mais néfastes pour la santé. D‘autre part la fréquentation régulière des médecins et la prise de médicaments génèrent l‘angoisse, qui elle-même engendre d‘autres maladies. Seule une bonne hygiène de vie nous assure une santé florissante nous dit-il. Les thèses de Marc Menant sont très hardies dans un monde où la médecine est un univers tentaculaire qui régit nos existences et peut même nous priver de liberté… Cependant tout en reconnaissant les abus de l‘autorité des médecins, il est difficile de croire complètement que seule une vie saine a augmenté la longévité des êtres humains d‘aujourd‘hui et que les progrès de la médecine n’y sont pour rien. D‘autre part l‘esprit pétillant et imaginatif de l‘auteur le pousse à des originalités de syntaxe ( en particulier en mettant l’adjectif en tête de phrase) qui rendent parfois la lecture difficile voire acrobatique et discrédite la rigueur scientifique dont il se réclame. Néanmoins, je ne regrette pas d’avoir lu ce livre qui nous alerte sur l’emprise du monde médical sur nos contemporains dont je n’avais pas conscience auparavant „Tout bien portant est un malade qui s‘ignore“. Marc Menant tout comme Jules Romain dans Knock fustige le monde médical et l’accuse d‘être responsable de tous nos maux. Tout d’abord il déboulonne la statue de Pasteur, pourtant référence intouchable de la rigueur scientifique pour tout français Tout en lui concédant quelques avancées médicales, il l‘accuse d‘avoir mis dans la tête de ses contemporains et des générations qui vont suivre la certitude que pour prévenir des maladies il fallait recevoir des vaccins. Or ces vaccins sont non seulement inutiles, d’après lui, mais néfastes pour la santé. D‘autre part la fréquentation régulière des médecins et la prise de médicaments génèrent l‘angoisse, qui elle-même engendre d‘autres maladies. Seule une bonne hygiène de vie nous assure une santé florissante nous dit-il. Les thèses de Marc Menant sont très hardies dans un monde où la médecine est un univers tentaculaire qui régit nos existences et peut même nous priver de liberté… Cependant tout en reconnaissant les abus de l‘autorité des médecins, il est difficile de croire complètement que seule une vie saine a augmenté la longévité des êtres humains d‘aujourd‘hui et que les progrès de la médecine n’y sont pour rien. D‘autre part l‘esprit pétillant et imaginatif de l‘auteur le...
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  • Tancrede50 06/05/2022
    C’est un livre indispensable pour permettre de prendre du recul par rapport au matraquage médiatique mondial sans précédent concernant les vaccins contre le Covid 19. Mais c’est aussi un livre qui se lit avec plaisir, où l’on retrouve la verve du conteur qu’est Marc Menant. Il y aborde, pour commencer, les épidémies et les vaccins. Il dénonce les nombreux mensonges à propos des vaccins, en particulier l’imposture de Pasteur et de son vaccin contre la rage. On apprend que les épidémies surviennent souvent dans les moments de changement climatique, de famine et de guerre. Et qu’elles se répandent par la malnutrition, le manque d’hygiène et la promiscuité. L’épidémie touche donc ainsi plus les classes populaires que les classes aisées. Existe-t-il un seul noble emporté par la peste de 1347? L’auteur n’en a trouvé aucun. Un autre point important mis en évidence, c’est qu’une épidémie s’arrête un jour, sans qu’on en comprenne très bien le mécanisme. Mais le vaccin n’y est pour rien. Souvent on vaccine après la fin de l’épidémie et on crie victoire, attribuant faussement au vaccin l’arrêt de l’épidémie. Ainsi en est-il de la polio dont la vaccination a été rendue obligatoire en 1964, alors que la maladie avait disparu. Maladie par maladie, vaccin par vaccin, Marc Menant va enquêter sur les symptômes, l’organisation de la psychose autour de la maladie et le vaccin qui arrive comme le sauveur! Il va aussi compiler les effets secondaires des vaccins, souvent plus importants que les conséquences de la maladie en elle-même. Ainsi en est-il du vaccin contre l’hépatite B. 1300 personnes développent des effets secondaires graves du vaccin, alors que 152 cas aigus de la maladie avaient été recensés en 2004. L’auteur nous fait voyager au coeur de « la folie vaccinale » et se pose la question: « comment encore ranger la médecine parmi les sciences? ». Puis, l’auteur élargit son étude en considérant les effets indésirables des médicaments, effets qui semblent en constante augmentation au fur et à mesure que de nouveaux médicaments apparaissent. Et leurs conséquences: les retraits de médicaments, très nombreux et toujours trop lents. En 2004 aux USA, il y a eu plus de décès liés aux effets secondaires des médicaments que de morts par maladies cardiaques ou cancers. L’auteur nous emmène alors dans « la folie des traitements ». Il parle des maladies créées ex nihilo par les laboratoires (l’hypertension et l’hypercholestérolémie dans leur définition actuelle, la TDAH…) et des dépistages qui « transforment donc les gens bien portants en malades ». Il conclut qu’une bonne hygiène de vie est primordiale pour rester en bonne santé, et donne d’intéressants conseils en la matière. C’est un livre indispensable pour permettre de prendre du recul par rapport au matraquage médiatique mondial sans précédent concernant les vaccins contre le Covid 19. Mais c’est aussi un livre qui se lit avec plaisir, où l’on retrouve la verve du conteur qu’est Marc Menant. Il y aborde, pour commencer, les épidémies et les vaccins. Il dénonce les nombreux mensonges à propos des vaccins, en particulier l’imposture de Pasteur et de son vaccin contre la rage. On apprend que les épidémies surviennent souvent dans les moments de changement climatique, de famine et de guerre. Et qu’elles se répandent par la malnutrition, le manque d’hygiène et la promiscuité. L’épidémie touche donc ainsi plus les classes populaires que les classes aisées. Existe-t-il un seul noble emporté par la peste de 1347? L’auteur n’en a trouvé aucun. Un autre point important mis en évidence, c’est qu’une épidémie s’arrête un jour, sans qu’on en comprenne très bien le mécanisme. Mais le vaccin n’y est pour rien. Souvent on vaccine après la fin de l’épidémie et on crie victoire, attribuant faussement au vaccin l’arrêt de l’épidémie. Ainsi en est-il de la polio dont la vaccination a été rendue obligatoire en 1964, alors que la maladie...
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