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Oeuvres posthumes - Tome 2
1877 à 1905
Date de parution : 16/10/1990
Éditeurs :
Bouquins

Oeuvres posthumes - Tome 2

1877 à 1905

Date de parution : 16/10/1990

Aussi savoureux que le volume des Œuvres anthumes, ce recueil des Œuvres posthumes réunit les meilleurs contes, fantaisies et chroniques d'Alphonse Allais, parmi les quelque mille trois cents parus dans...

Aussi savoureux que le volume des Œuvres anthumes, ce recueil des Œuvres posthumes réunit les meilleurs contes, fantaisies et chroniques d'Alphonse Allais, parmi les quelque mille trois cents parus dans la presse entre 1875 et 1905.
Allais débute sa carrière de journaliste à vingt ans en publiant ses premières fantaisies dans...

Aussi savoureux que le volume des Œuvres anthumes, ce recueil des Œuvres posthumes réunit les meilleurs contes, fantaisies et chroniques d'Alphonse Allais, parmi les quelque mille trois cents parus dans la presse entre 1875 et 1905.
Allais débute sa carrière de journaliste à vingt ans en publiant ses premières fantaisies dans un journal humoristique, Le Tintamarre. Il écrit ensuite dans de petites feuilles du Quartier latin, L'Hydropathe, Les Ecoles, L'Anti-Concierge, ou La Cravache de Montpellier, avant d'émigrer à Montmartre et de collaborer au Chat Noir dont il est nommé rédacteur en chef.
Devenu journaliste professionnel, il travaille dans de grands journaux parisiens comme Gil Blas, Le Journal et Le Sourire.
Le 20 octobre 1905 paraît sa dernière chronique dans Le Journal, «La faillite des centenaires» ; il meurt le 28 octobre, à 51 ans.
«... Plusieurs fois par semaine, disait Maurice Donnay, Alphonse Allais a distribué de la joie à des milliers de lecteurs. [...] Dans le métro, dans les omnibus, dans la rue, on entendait cette phrase : "Avez-vous lu celui de ce matin ?" Il s'agissait de l'article d'Alphonse Allais et pendant quelques instants, ces humbles gens avaient pu croire, effectivement, que la vie était drôle.»
Guy Schoeller.

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EAN : 9782221067376
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 980
Format : 197 x 132 mm
EAN : 9782221067376
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 980
Format : 197 x 132 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Lamifranz 15/08/2022
    « [Ce volume d’ « Œuvres posthumes » d’Alphonse Allais complète les « Œuvres anthumes » de la collection « Bouquins » ; il rassemble des monologues, contes, nouvelles et fantaisies, publiés dans la presse de 1875 à 1905, à l’exclusion de chroniques d’actualités disproportionné à leur intérêt), et des poésies, du théâtre et de la correspondance d’Allais. (dont le sel nous échappe aujourd’hui et qui demanderaient un appareil de notes Nous y avons joint un roman « L’Affaire Blaireau », qui parut en feuilleton dans « Le Journal »] » (Avertissement de François Caradec) Les « Œuvres anthumes » comprenaient l’intégralité des contes parus en recueil entre 1891 et 1902. Les « Œuvres posthumes » sont une anthologie (conséquente) des très nombreux contes isolés parus dans la presse et non retenus en recueil, complétée par le roman « L’Affaire Blaireau ». Un troisième volume serait souhaitable, qui comprendrait la poésie, le théâtre, les romans et la correspondance (en intégralité ou en anthologie), mais François Caradec nous a quittés en 2008, et il est peu probable que ce troisième tome voit le jour. Pour une collection complète des œuvres d’Alphonse Allais, il faut se retourner vers l’édition exhaustive présentée par François Caradec aux Editions de la Table Ronde en 11 volumes (trois d’œuvres anthumes et huit d’œuvres posthumes) (1964-1970) Un certain nombre d’ouvrages sont également disponibles sur Wikisource. Pour ce qui est de la poésie, on se retournera avec bonheur vers le recueil « Par les bois du Djinn », paru en dans la collection Poésie-Gallimard en 2005, qui comprend l’intégralité de l’œuvre poétique d’Alphonse Allais. Ce recueil des « Œuvres Posthumes », essentiellement composé de contes, ne diffère pas beaucoup des « Œuvres anthumes » : on y retrouve le même Alphonse Allais, fumiste, loufoque, génial inventeur d’improbables découvertes, mais le parcours de ces articles permet de cerner également une inspiration moins sensible (en tous cas à ce degré-là) dans les contes retenus en recueil : une inspiration morbide et macabre qui lui fait multiplier des scènes horribles qu’il traite avec une désinvolture que plus tard des auteurs comme Topor ou Desproges reprendront à leur compte. Autre leitmotiv dans ces articles de presse : le tir à blanc sur ses têtes-de-turc au premier desquelles figure le critique Francisque Sarcey : « Dans le dernier numéro de La Plume, je relève un article signé Sarcey, lequel article, après enquête, me paraît apocryphe. Je ne saurais trop vous engager à ne pas renouveler cette petite plaisanterie littéraire. Deux personnes seulement à Paris ont le droit de signer Sarcey, moi d’abord et ensuite M. Francisque Sarcey lui-même. » Un autre intérêt de ce volume est la publication du plus célèbre de ses romans : « L’Affaire Blaireau » : A Montpaillard, petit village français, la fille du châtelain, Arabella, rêve de se marier à un homme romanesque qui osera tout pour elle. Quand le garde-champêtre Parju se fait rosser, tous les soupçons se tournent vers Blaireau, un braconnier bien connu de tous. Il est arrêté, mais quand il est relâché trois mois plus tard, la vérité éclate, c’est Jules Fléchard, prétendant d’Arabella, qui a commis le crime de lèse-Barju. Il n’en faut pas plus pour dénoncer une énorme erreur judiciaire… Ce roman a donné lieu à l’excellent film de Yves Robert « Ni vu, ni connu » (1958) avec un Louis de Funès irrésistible dans le rôle de Blaireau. Également « L’Affaire Blaireau », un excellent téléfilm de 2010, signé Jacques Santamaria, dans le cadre des « Contes et nouvelles du XIXème siècle », remarquable série qui faisait suite à une autre série de légende « Chez Maupassant » « [Ce volume d’ « Œuvres posthumes » d’Alphonse Allais complète les « Œuvres anthumes » de la collection « Bouquins » ; il rassemble des monologues, contes, nouvelles et fantaisies, publiés dans la presse de 1875 à 1905, à l’exclusion de chroniques d’actualités disproportionné à leur intérêt), et des poésies, du théâtre et de la correspondance d’Allais. (dont le sel nous échappe aujourd’hui et qui demanderaient un appareil de notes Nous y avons joint un roman « L’Affaire Blaireau », qui parut en feuilleton dans « Le Journal »] » (Avertissement de François Caradec) Les « Œuvres anthumes » comprenaient l’intégralité des contes parus en recueil entre 1891 et 1902. Les « Œuvres posthumes » sont une anthologie (conséquente) des très nombreux contes isolés parus dans la presse et non retenus en recueil, complétée par le roman « L’Affaire Blaireau ». Un troisième volume serait souhaitable, qui comprendrait la poésie, le théâtre, les romans et la correspondance (en intégralité ou en anthologie), mais François Caradec nous a quittés en 2008, et il est peu probable que ce troisième tome voit le jour. Pour une collection complète des œuvres d’Alphonse Allais, il faut se retourner vers l’édition exhaustive présentée par François...
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