Lisez! icon: Search engine
Nouveauté
Que celui qui n'a jamais tué me jette la première pierre
Date de parution : 08/03/2023
Éditeurs :
Plon
Nouveauté

Que celui qui n'a jamais tué me jette la première pierre

Date de parution : 08/03/2023
Quand, sous l’apparence rassurante d’un médecin chevronné, se cache un tueur en série, aussi efficace que discret...
Une plongée virtuose et bourrée d’humour dans le cerveau d’un médecin psychopathe.
Depuis son enfance, le docteur Bernard Vincent s’est donné une mission : débarrasser l’humanité de « salopards » restés impunis. Car, à ses yeux, rien n’est trop radical pour préserver tout ce à... Depuis son enfance, le docteur Bernard Vincent s’est donné une mission : débarrasser l’humanité de « salopards » restés impunis. Car, à ses yeux, rien n’est trop radical pour préserver tout ce à quoi il tient. Alors, éliminer des promoteurs immobiliers véreux, un dealer, un pédophile… qui, d’après lui, pourrait trouver à y... Depuis son enfance, le docteur Bernard Vincent s’est donné une mission : débarrasser l’humanité de « salopards » restés impunis. Car, à ses yeux, rien n’est trop radical pour préserver tout ce à quoi il tient. Alors, éliminer des promoteurs immobiliers véreux, un dealer, un pédophile… qui, d’après lui, pourrait trouver à y redire ?

Mais il a beau passer à l’action « sérieusement, méticuleusement », combien de temps peut-on assassiner sans attirer les soupçons ? Et jusqu’à quand peut-on dissimuler sa double vie ?

Une plongée virtuose et bourrée d’humour dans le cerveau d’un médecin psychopathe.
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782259310499
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 224
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782259310499
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 224
Format : 140 x 225 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Valmyvoyou_lit 13/03/2023
    « J’avais sept ans quand j’ai décidé de tuer ma mère. » (p. 9) Victor est passé à l’acte et n’a jamais été suspecté. « Par ce geste salvateur, mon existence a basculé. » (p. 10) Il a grandi et est devenu médecin. Il estime que tous ses patients ne méritent pas d’être soignés de la même manière. Certains privilégiés bénéficient de services supplémentaires quand d’autres, les indésirables, d’un coup de pouce du destin. « Abréger les jours de certains patients peut contribuer à soulager tout l’entourage du défunt ». (p. 11) Ses victimes ne sont pas choisies au hasard. Il n’éprouve pas à un besoin de tuer, mais répond à certaines circonstances. Son sacerdoce est de débarrasser la planète des « salopards » qui la peuplent, pour que les autres puissent vivre en paix. Ses cibles sont les maris violents, les dealers meurtriers, les pédophiles, etc. Ce sont des êtres abjects contre qui la justice n’apporte pas de solution satisfaisante. Alors qu’au début du livre, j’étais heurtée par les desseins du docteur Baunard, je me suis surprise à lui en vouloir d’attendre trop longtemps pour passer à l’acte ; à penser qu’en quelques mois, sa cible avait le temps de... « J’avais sept ans quand j’ai décidé de tuer ma mère. » (p. 9) Victor est passé à l’acte et n’a jamais été suspecté. « Par ce geste salvateur, mon existence a basculé. » (p. 10) Il a grandi et est devenu médecin. Il estime que tous ses patients ne méritent pas d’être soignés de la même manière. Certains privilégiés bénéficient de services supplémentaires quand d’autres, les indésirables, d’un coup de pouce du destin. « Abréger les jours de certains patients peut contribuer à soulager tout l’entourage du défunt ». (p. 11) Ses victimes ne sont pas choisies au hasard. Il n’éprouve pas à un besoin de tuer, mais répond à certaines circonstances. Son sacerdoce est de débarrasser la planète des « salopards » qui la peuplent, pour que les autres puissent vivre en paix. Ses cibles sont les maris violents, les dealers meurtriers, les pédophiles, etc. Ce sont des êtres abjects contre qui la justice n’apporte pas de solution satisfaisante. Alors qu’au début du livre, j’étais heurtée par les desseins du docteur Baunard, je me suis surprise à lui en vouloir d’attendre trop longtemps pour passer à l’acte ; à penser qu’en quelques mois, sa cible avait le temps de créer des dégâts irréparables. J’attendais son passage à l’acte. Il me fallait être patiente, car s’il y a bien un élément que l’on peut retenir contre ce tueur en série justicier, c’est la préméditation. Tous ses crimes sont planifiés, dans les moindres détails, ils s’intègrent dans le mode de vie du futur trépassé. De plus, Victor attend le moment idéal pour agir et n’oublie pas de prévoir des assurances d’innocence. Il est insoupçonnable. Son intelligence et son efficacité sont redoutables. Ce « guide » n’est peut-être pas à mettre entre toutes les mains… Pourtant, le docteur Baunard est attachant, car il prône des valeurs fondamentales. Aussi, malgré ses actes irrémédiables, il a attisé ma sympathie et mon empathie. J’ai été bousculée dans mes principes. J’ai aussi, adhéré, à l’humour, parfois caustique, de ce roman. Des situations, des remarques ou des analyses m’ont beaucoup amusée. J’ai beaucoup ri. J’ai adoré Que celui qui n’a jamais tué me jette la première pierre.
    Lire la suite
    En lire moins
  • Lalitote 10/03/2023
    Quand un livre vient te chercher dès la première phrase, « J'avais 7 ans quand j'ai décidé de tuer ma mère », c'est déjà bon signe. La suite de ma lecture n'a pas démenti ma première impression, j'ai pris un grand plaisir à lire la vie de psychopathe du docteur Victor Baunard. La personnalité de cet homme au dessus de tout soupçons nous est dévoilée au fur et à mesure de ces actions. Il faut dire qu'il s'est fixé un but noble et qu'il ne faudrait pas grand chose pour qu'on y adhère. Celui de dézinguer tous les pourris qui croiseront sont chemin. Deux choses le sauvent à mes yeux, son amour inconditionnel pour sa femme et son fils. Ne passez pas à côté de ce petit bijoux où l'humour et l'intelligence ne sont pas prêt de vous lasser. Suivre l'auteur dans son « délire » d'élimination des salauds ordinaires est réjouissant mais découvrir à chaque fois comment il s'y prend pour tuer sans se faire prendre est jubilatoire. Une plume incisive et euphorisante à la fois que j'aurai plaisir à retrouver. Un seul bémol en ce qui me concerne, je me serai bien passé des extra conjugaux amplement décrits... Quand un livre vient te chercher dès la première phrase, « J'avais 7 ans quand j'ai décidé de tuer ma mère », c'est déjà bon signe. La suite de ma lecture n'a pas démenti ma première impression, j'ai pris un grand plaisir à lire la vie de psychopathe du docteur Victor Baunard. La personnalité de cet homme au dessus de tout soupçons nous est dévoilée au fur et à mesure de ces actions. Il faut dire qu'il s'est fixé un but noble et qu'il ne faudrait pas grand chose pour qu'on y adhère. Celui de dézinguer tous les pourris qui croiseront sont chemin. Deux choses le sauvent à mes yeux, son amour inconditionnel pour sa femme et son fils. Ne passez pas à côté de ce petit bijoux où l'humour et l'intelligence ne sont pas prêt de vous lasser. Suivre l'auteur dans son « délire » d'élimination des salauds ordinaires est réjouissant mais découvrir à chaque fois comment il s'y prend pour tuer sans se faire prendre est jubilatoire. Une plume incisive et euphorisante à la fois que j'aurai plaisir à retrouver. Un seul bémol en ce qui me concerne, je me serai bien passé des extra conjugaux amplement décrits et qui somme toute n'apportent pas grand chose ni au personnage, ni au scénario. Comme il s'agit d'un premier roman, je vais me concentrer sur l'intrigue à laquelle j'ai totalement adhéré et au diable les bons sentiments. Je lui remettrais bien une médaille à ce Rambo citadin pour service rendu à la patrie reconnaissante. Un nettoyeur des temps modernes, non conventionnel mais diablement efficace pour faire place nette et léguer à son enfant un monde plus sûr. Bonne lecture.
    Lire la suite
    En lire moins
  • La_biblio_de_lo 09/03/2023
    J’ai été tout de suite aimanté par ce roman, par son titre plus exactement et puis aussi un peu, je dois l’avouer, par sa quatrième de couverture. On suit les aventures d’un médecin parisien qui débarque en Provence. Un médecin un peu particulier qui se fait rapidement un nom et qui attire vraiment beaucoup de patient en peu de temps. Et puis de fil en aiguille, ses vieux penchants ressortent. Je me suis laissée porter par ce roman. Je peux vous dire que j’ai adoré et dévoré la première moitié du roman. On comprend tout à fait les motivations du médecin, on serait presque prêt à l’aider dis donc ! Je trouvais que c’était un excellent premier roman avec un plume fluide, addictive. Bref tout ce que j’aime. Et puis la seconde partie est arrivée. Et la, je me suis demandée si je n’étais pas passé dans une dimension parallèle. Il n’était plus trop question des meurtres de ce très cher Vincent, médecin de son état mais plutôt de sa vie sexuelle. Celle qu’il entretient avec sa femme mais aussi avec d’autres. Puis celle de sa femme qu’elle voudrait plus, comment dire, exotique ? Je suis donc un peu... J’ai été tout de suite aimanté par ce roman, par son titre plus exactement et puis aussi un peu, je dois l’avouer, par sa quatrième de couverture. On suit les aventures d’un médecin parisien qui débarque en Provence. Un médecin un peu particulier qui se fait rapidement un nom et qui attire vraiment beaucoup de patient en peu de temps. Et puis de fil en aiguille, ses vieux penchants ressortent. Je me suis laissée porter par ce roman. Je peux vous dire que j’ai adoré et dévoré la première moitié du roman. On comprend tout à fait les motivations du médecin, on serait presque prêt à l’aider dis donc ! Je trouvais que c’était un excellent premier roman avec un plume fluide, addictive. Bref tout ce que j’aime. Et puis la seconde partie est arrivée. Et la, je me suis demandée si je n’étais pas passé dans une dimension parallèle. Il n’était plus trop question des meurtres de ce très cher Vincent, médecin de son état mais plutôt de sa vie sexuelle. Celle qu’il entretient avec sa femme mais aussi avec d’autres. Puis celle de sa femme qu’elle voudrait plus, comment dire, exotique ? Je suis donc un peu mitigée sur ce roman, j’ai beaucoup aimé le côté je tue pour débarrasser la terre de ces vermines, et laisser une planète propre pour mon fils et puis par contre j’ai pas compris l’intérêt de lui faire baiser des patientes dans son cabinet #x1f937 ( sorry pour le léger spoil #x1f92a.)
    Lire la suite
    En lire moins
  • YvPol 27/02/2023
    Vincent Baguian est chanteur et auteur, il a notamment écrit des chansons pour quelques grands noms de la variété française : Zazie, Florent Pagny (beurk... personne n'est parfait)... Il a le verbe aisé et son roman fait la part belle à la belle langue : Victor Baunard qui a les mêmes initiales que l'auteur et qui est le narrateur, s'exprime avec beaucoup d'élégance dont il use également dans ses rapports aux notables de La Ciotat auxquels très vite sa réputation de bon médecin l'a acoquiné. Il cache bien son secret, évidemment, puisque tout son art est de faire passer les morts pour des accidents ou des morts naturelles. Le roman est plaisant, use avec pas mal de brio d'humour noir, d'ironie. Il nous met dans la tête d'un psychopathe qui se sent une âme de justicier. On a le droit à ses délires de réactionnaire lorsqu'il parle de la jeunesse actuelle, à ses justifications pour ses meurtres qui œuvrent parfois pour le bien commun mais aussi pour son confort personnel. Pas mal donc, mais un peu long, je l'avoue j'ai passé quelques paragraphes mais toujours pour revenir au texte avec l'envie de connaître la fin de l'histoire. Bref, un roman qui fait... Vincent Baguian est chanteur et auteur, il a notamment écrit des chansons pour quelques grands noms de la variété française : Zazie, Florent Pagny (beurk... personne n'est parfait)... Il a le verbe aisé et son roman fait la part belle à la belle langue : Victor Baunard qui a les mêmes initiales que l'auteur et qui est le narrateur, s'exprime avec beaucoup d'élégance dont il use également dans ses rapports aux notables de La Ciotat auxquels très vite sa réputation de bon médecin l'a acoquiné. Il cache bien son secret, évidemment, puisque tout son art est de faire passer les morts pour des accidents ou des morts naturelles. Le roman est plaisant, use avec pas mal de brio d'humour noir, d'ironie. Il nous met dans la tête d'un psychopathe qui se sent une âme de justicier. On a le droit à ses délires de réactionnaire lorsqu'il parle de la jeunesse actuelle, à ses justifications pour ses meurtres qui œuvrent parfois pour le bien commun mais aussi pour son confort personnel. Pas mal donc, mais un peu long, je l'avoue j'ai passé quelques paragraphes mais toujours pour revenir au texte avec l'envie de connaître la fin de l'histoire. Bref, un roman qui fait passer de bons moments -ce qui est un compliment, car ce n'est pas toujours le cas-, un peu comme une chanson qu'il aurait écrite pour Zazie ou autre (pas Florent Pagny, là ce serait une torture) que l'on écouterait volontiers et puis on passerait à une autre sans regrets ni forcément envie ou non-envie de la réécouter.
    Lire la suite
    En lire moins
  • dujardinso 24/02/2023
    « J’avais 7 ans quand j’ai décidé de tuer ma mère. » C’est par cette phrase que commence l’inénarrable Que celui qui n’a jamais tué me jette la première pierre, premier roman de Vincent Baguian. Victor Baunard, devenu adulte, est médecin généraliste à La Ciotat. Mais pas que. Victor Baunard n’a pas changé son fusil d’épaule depuis sa plus « tendre » enfance : tout ce qui le gêne doit disparaitre. Et ce qui le gêne, ce sont souvent les autres : les incultes, les violents, les sournois, les concupiscents, les pédophiles… en un mot comme en cent : les salopards. On peut dire sans se tromper que le Docteur Baunard jette un regard sans aménité sur les turpitudes d’autrui et que son point de vue est très éloigné de la pensée humaniste d’Hugo ou de Badinter. Naturellement, cette « chasse aux nuisibles » emporte l’empathie du lecteur car Victor Baunard dézingue brillamment – et discrètement, toutes celles et ceux qui, d’une manière ou d’une autre, gênent sa moralité ou son bien-être. Les diagnostics du toubib sont clairs et sans appel, pour notre plus grand plaisir. En bon hédoniste, Victor Baunard sait aussi prendre des libertés avec lui-même… Ce court roman, servi par une plume... « J’avais 7 ans quand j’ai décidé de tuer ma mère. » C’est par cette phrase que commence l’inénarrable Que celui qui n’a jamais tué me jette la première pierre, premier roman de Vincent Baguian. Victor Baunard, devenu adulte, est médecin généraliste à La Ciotat. Mais pas que. Victor Baunard n’a pas changé son fusil d’épaule depuis sa plus « tendre » enfance : tout ce qui le gêne doit disparaitre. Et ce qui le gêne, ce sont souvent les autres : les incultes, les violents, les sournois, les concupiscents, les pédophiles… en un mot comme en cent : les salopards. On peut dire sans se tromper que le Docteur Baunard jette un regard sans aménité sur les turpitudes d’autrui et que son point de vue est très éloigné de la pensée humaniste d’Hugo ou de Badinter. Naturellement, cette « chasse aux nuisibles » emporte l’empathie du lecteur car Victor Baunard dézingue brillamment – et discrètement, toutes celles et ceux qui, d’une manière ou d’une autre, gênent sa moralité ou son bien-être. Les diagnostics du toubib sont clairs et sans appel, pour notre plus grand plaisir. En bon hédoniste, Victor Baunard sait aussi prendre des libertés avec lui-même… Ce court roman, servi par une plume caustique et décapante, a été pour moi un très bon moment de lecture.
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous à la newsletter Plon
Recevez toutes nos actualités : sorties littéraires, signatures, salons…