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Sans mon ombre
Collection : Suspense
Date de parution : 17/04/2019
Éditeurs :
L'Archipel

Sans mon ombre

Collection : Suspense
Date de parution : 17/04/2019
Elles sont deux sœurs jumelles. Mais l'un d'elle décide de tuer l'autre. Croyant se libérer d'un reflet trop encombrant, celle-ci ne fait qu'accélérer sa descente aux enfers... Le nouveau roman d'Edmonde Permingeat, qui a déjà conquis 80 000 lecteurs.
Dans un accès de violence, Alice a tué Célia, sa jumelle. Son reflet, son alter ego inversé, son éternelle rivale.

Célibataire, Alice enseignait la philo et trouvait sa vie étriquée. Tout...
Dans un accès de violence, Alice a tué Célia, sa jumelle. Son reflet, son alter ego inversé, son éternelle rivale.

Célibataire, Alice enseignait la philo et trouvait sa vie étriquée. Tout le contraire de sa sœur, épouse et mère comblée, qui menait une existence de rêve dans une luxueuse demeure du...
Dans un accès de violence, Alice a tué Célia, sa jumelle. Son reflet, son alter ego inversé, son éternelle rivale.

Célibataire, Alice enseignait la philo et trouvait sa vie étriquée. Tout le contraire de sa sœur, épouse et mère comblée, qui menait une existence de rêve dans une luxueuse demeure du bord de mer.

La mort de Célia permet enfin à Alice de prendre sa place. À elle le « pays des merveilles », la vie de rêve qu’elle avait toujours espérée.

Mais saura-t-elle donner le change ? Et connaît-elle la nature des relations qu’entretenait Célia avec son mari ? De l’autre côté du miroir, la vie d’Alice, devenue Célia, pourrait présenter des dangers... mortels !
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EAN : 9782809826197
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 433
Format : 154 x 240 mm
EAN : 9782809826197
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 433
Format : 154 x 240 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Analire 02/04/2024
    Alice et Célia sont jumelles. Les deux jeunes femmes se ressemblent tellement physiquement qu’elles en deviennent interchangeables. Pourtant, leur vie personnelle et leur caractère ne pourraient être plus à l’opposé : l’une est épouse et mère de famille, femme au foyer grâce à son mari aisé, catholique, bénévole, engagée dans plusieurs associations caritatives. L’autre est célibataire, sans enfant, à la carrière émérite, frivole, elle revendique haut et fort sa liberté d’être, de penser, d’agir. Mais la mort soudaine d’Alice, poussée accidentellement par sa jumelle, va permettre à Célia de prendre sa place. Fini les contraintes professionnelles et la vie solitaire et bonjour l’oisiveté, l’amour et les bonheurs du luxe et de la richesse. Mais la vie dont rêvait Célia va rapidement se transformer en cauchemar. Car derrière les apparences se cachent des vérités qui font mal à admettre. J’ai détesté la quasi totalité des personnages. Célia d’abord, cette jeune femme jalouse, vénale, qui semble avoir que peu de morale et un coeur de pierre. Elle voit sa soeur mourir sous ses yeux, de ses propres mains, mais ne semble rien ressentir. Maxime, le mari de Alice/Célia, cet homme agressif, qui pense que tout lui est dû, qui fustige et rabaisse sa femme à longueur de journée. Loin d’être le mari idéal que Célia s’imaginait, Maxime trompe éhontément sa femme presque sous ses yeux, sans se cacher, il l’a violente souvent, physiquement et verbalement, allant même jusqu’au viol. Des actes et des paroles intolérables, que subissait Alice en silence, pour garder le semblant d’une vie de famille idéale. Maxime est le portrait parfait d’un macho doublé d’un pervers narcissique, loin du mari parfait qu’elle exhibait en société. Enfin, la belle-mère d’Alice/Célia, mère de Maxime, presque aussi insupportable que son « Maxounet » qu’elle adule. Elle a toujours détesté Alice, à qui elle reproche de profiter de son fils, de son argent et de sa notoriété, de ne rien savoir faire de ses dix doigts, d’être totalement oisive et en plus, sans rien dans le cerveau. Autant dire qu’il n’y en a pas un pour rattraper l’autre ! Vraiment, tous les personnages sont imbuvables : je ne sais pas lequel j’ai le plus détesté tant ils frisent des records. Outre les personnages aveuglés par leur orgueil, l’intrigue se veut dynamique et prenante. Edmonde Permingeat aborde des thématiques parfois difficiles : les violences conjugales, l’adultère, le viol, la pédophilie, les abus psychologiques, les jalousies,… Aucune fioritures n’est ajoutée, tout est déballé sans ménager les lecteurs, déjà bien entamés par les scènes qui se déroulent sous leurs yeux. Un roman psychologique sombre et addictif, où l'on est projeté au coeur d'un drame familial, entre apparences et réalités. Les personnages sont haïssables, autant que leurs actes, mais c'est ce qui fait tout le piquant du récit.Alice et Célia sont jumelles. Les deux jeunes femmes se ressemblent tellement physiquement qu’elles en deviennent interchangeables. Pourtant, leur vie personnelle et leur caractère ne pourraient être plus à l’opposé : l’une est épouse et mère de famille, femme au foyer grâce à son mari aisé, catholique, bénévole, engagée dans plusieurs associations caritatives. L’autre est célibataire, sans enfant, à la carrière émérite, frivole, elle revendique haut et fort sa liberté d’être, de penser, d’agir. Mais la mort soudaine d’Alice, poussée accidentellement par sa jumelle, va permettre à Célia de prendre sa place. Fini les contraintes professionnelles et la vie solitaire et bonjour l’oisiveté, l’amour et les bonheurs du luxe et de la richesse. Mais la vie dont rêvait Célia va rapidement se transformer en cauchemar. Car derrière les apparences se cachent des vérités qui font mal à admettre. J’ai détesté la quasi totalité des personnages. Célia d’abord, cette jeune femme jalouse, vénale, qui semble avoir que peu de morale et un coeur de pierre. Elle voit sa soeur mourir sous ses yeux, de ses propres mains, mais ne semble rien ressentir. Maxime, le mari de Alice/Célia, cet homme agressif, qui pense que tout lui est dû, qui fustige et rabaisse sa...
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  • maudisreading 17/10/2020
    Un livre en deux parties ; une première dans laquelle Alice se glisse dans la vie de sa jumelle et une deuxième, plus mélancolique, dans laquelle nous découvrons les pensées de Célia à travers son journal intime. L'entrée se fait dans le vif dès la première phrase avec un écrit rythmé et sans fioritures. L'auteure réussit à créer un suspens qui ne va que crescendo. Alice. Un personnage haut en couleurs. Profondément malsain, maladivement jalouse, psychologiquement atteinte mais tellement jubilatoire. Derrière la prof de philosophie hautaine, aigrie, la libertine assumée, l'éternelle adolescente rebelle, se cachent une fêlure, une souffrance sur laquelle on ne peut pas poser de mots. Elle est aussi brillante que vulgaire, aussi aimante qu'égoïste, aussi fragile que méchante. Avec des personnages dynamiques, antipathiques et souvent même caricaturaux, l’auteure et son style vif nous décrit avec justesse la complexité des relations qu'ils nouent entre eux. L'écriture est appliquée, affirmée. Elle nous capture et nous enferme dans un piège étouffant. C'est un thriller haletant qui nous occasionne des sentiments ambivalents. C'est bien ficelé. Très bien mené. Psychologiquement réussi.
  • dujardinso 18/08/2020
    Gros coup de cœur pour Sans mon ombre, d'Edmonde Permingeat ! Je viens de dévorer ce livre avec une avidité sans pareille : pas de temps mort, l'histoire débute dès les toutes premières pages, un thriller psychologique de premier ordre. Toujours basé sur le thème de la gémellité, un sujet fétiche d'Edmonde Permingeat, il m'a beaucoup fait penser à Tu es moi, un de ses précédents romans. Il lui ressemble, mais il est tout de même bien différent : si vous avez aimé l'un, vous aimerez assurément l'autre ! Fine plume, l'auteure nous glisse des notes d'humour cinglant qui rendent la lecture encore plus agréable. Dommage que cette auteure ne publie que très peu car elle a un talent vraiment incroyable !
  • Julie210 13/08/2020
    L’histoire démarre sur les chapeaux de roue : Alice blesse mortellement Célia, sa jumelle. Depuis toujours, les deux sœurs sont rivales ; une relation bercée aussi bien par l’amour qui les unit par les liens du sang que tourmentée par la haine qui les oppose. Leurs choix de vie sont radicalement différents tout comme leurs personnalités. Alice y voit là une aubaine, et c’est sans scrupules qu’elle n’hésite pas à masquer son meurtre et de prendre la place de sa sœur. Après tout, elle a tout à y gagner : la voilà maintenant mère de famille dans un foyer avec un époux aux revenus aisés. Mais derrière cette opulence, se cache tout autre chose. Entre violences quotidiennes, perversion narcissique, humiliation, relation adultérine, les apparences sont parfois trompeuses et Alice déchante. Elle plonge littéralement en enfer. Au travers de sa volonté de détruire sa sœur, c’est-elle-même qu’elle décide d’anéantir et ce de manière totalement inconsciente. Un bon thriller aux multiples rebondissements et à la structure très bien construite qui nous scotche et qui vous fera passer un bon moment de lecture
  • Root 06/08/2020
    C’était un accident. Un mot de trop, un coup qui part, un autre qui suit, la colère qui submerge, le contrôle qui échappe. Une mauvaise chute, fatale. Alice vient de tuer Célia, sa jumelle. Les deux sœurs étaient parties faire une balade dans la nature, et du haut de la falaise où a eu lieu le drame, Alice ne réfléchit pas longtemps : elle jette le corps de Célia à la mer et décide de prendre sa place. Elle n’a pas fait ce choix sur un coup de tête. Peut-être attendait-elle son tour pour briller. Car depuis l’enfance, Alice nourrissait de la jalousie pour Célia. Célia la plus sage, la plus intelligente, Célia, la fille parfaite aux yeux de leur mère. Alice disparaît et abandonne son poste de prof de philo et le modeste appartement qu’elle louait pour une magnifique villa en bord de mer, avec en prime Maxime, un mari fortuné, et un mignon petit garçon. Mais Maxime s’avère être un abruti prétentieux et infidèle, et la belle-mère livrée avec est une peau de vache qui passe son temps à rabaisser Célia/Alice. Bien loin du tableau idyllique qu’elle s’en était fait, Alice découvre la vraie vie de Célia et sa sujétion. Mais elle n’a pas fait tout ça pour se laisser enquiquiner, et elle a bien l’intention de profiter de tout ce qu’elle possède à présent. Parviendra-t-elle à donner le change, au milieu des proches de Célia qui ne connaissent qu’une femme dépendante et effacée#8201;? J’ai été surprise par l’ambiance de ce roman, que j’imaginais beaucoup plus sombre, mais je me suis rapidement laissé convaincre par la tonalité réaliste qu’a choisie l’auteur. Le scénario a beau avoir été maintes fois exploité — la gémellité, une gentille, une méchante… —, Edmonde Permingeat tire intelligemment son épingle du jeu. Certaines situations dans lesquelles se retrouve Alice, l’usurpatrice, m’ont fait rire. Les amis de sa sœur sont une bande de snobinards hypocrites totalement incompatibles avec le fort caractère de la jeune femme, qui n’a pas envie de leur rendre leurs sourires de façade et de participer à leurs manigances. Ses échanges cinglants avec la belle-mère sont jubilatoires. Alice est intéressante, tant par son attitude que par ce qu’elle représente à différents niveaux, et nous fait osciller entre la sympathie et l’énervement : n’oublions pas qu’elle a tout de même tué sa sœur, comment pourrait-on la laisser impunément profiter d’une vie qui n’est pas la sienne#8201;? On ne peut toutefois s’empêcher d’éprouver une certaine satisfaction de la voir remettre tout ce beau monde à sa place. Entre adultère, violences conjugales et manipulations en tout genre, la classe sociale des privilégiés se fait égratigner sans ménagement. L’aspect thriller met un petit moment à s’installer, mais rien ne manque. Au contraire, la mise en avant de la psychologie des personnages fait monter la pression car on sait que tôt ou tard, les apparences vont s’écrouler. Le style, un peu désuet parfois, ajoute un côté décalé appréciable, l’histoire est relativement bien ficelée et son déroulement inattendu : on se retrouve, à plusieurs reprises, à se mettre une pichenette sous le menton pour refermer la bouche. Sans mon ombre est une surprise, donc, et une bonne.C’était un accident. Un mot de trop, un coup qui part, un autre qui suit, la colère qui submerge, le contrôle qui échappe. Une mauvaise chute, fatale. Alice vient de tuer Célia, sa jumelle. Les deux sœurs étaient parties faire une balade dans la nature, et du haut de la falaise où a eu lieu le drame, Alice ne réfléchit pas longtemps : elle jette le corps de Célia à la mer et décide de prendre sa place. Elle n’a pas fait ce choix sur un coup de tête. Peut-être attendait-elle son tour pour briller. Car depuis l’enfance, Alice nourrissait de la jalousie pour Célia. Célia la plus sage, la plus intelligente, Célia, la fille parfaite aux yeux de leur mère. Alice disparaît et abandonne son poste de prof de philo et le modeste appartement qu’elle louait pour une magnifique villa en bord de mer, avec en prime Maxime, un mari fortuné, et un mignon petit garçon. Mais Maxime s’avère être un abruti prétentieux et infidèle, et la belle-mère livrée avec est une peau de vache qui passe son temps à rabaisser Célia/Alice. Bien loin du tableau idyllique qu’elle s’en était fait, Alice découvre la vraie vie de Célia et sa...
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