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Tueur hors série
Date de parution : 13/04/2023
Éditeurs :
Plon

Tueur hors série

Date de parution : 13/04/2023
« Quand vous lirez cette lettre, je serai mort.
Moi, Paul Balder, je suis le Grêlé.
J’ai commis plusieurs crimes, mais tous uniques.
Rien de vulgaire comme ceux d’un Michel Fourniret,
cet imbécile qui...
« Quand vous lirez cette lettre, je serai mort.
Moi, Paul Balder, je suis le Grêlé.
J’ai commis plusieurs crimes, mais tous uniques.
Rien de vulgaire comme ceux d’un Michel Fourniret,
cet imbécile qui est mort en prison, ou d’abrutis qui mettent
leurs meurtres en ligne, comme Luka Rocco Magnotta.
Ce sont de banals tueurs en...
« Quand vous lirez cette lettre, je serai mort.
Moi, Paul Balder, je suis le Grêlé.
J’ai commis plusieurs crimes, mais tous uniques.
Rien de vulgaire comme ceux d’un Michel Fourniret,
cet imbécile qui est mort en prison, ou d’abrutis qui mettent
leurs meurtres en ligne, comme Luka Rocco Magnotta.
Ce sont de banals tueurs en série.
Moi, je suis… hors série ! »


Le premier roman noir de Marc Jolivet nous entraîne sur les traces d’un monstre tourmenté par un visage grêlé, pour mieux nous faire entrer dans la tête d’un tueur hors série.
Sans se départir d’un humour digne des frères Coen, l’auteur y transcende brillamment un fait divers réel qui a défrayé la chronique.
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EAN : 9782259315692
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 368
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782259315692
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 368
Format : 140 x 225 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Coetseslivres 29/01/2024
    Un thriller/polar qui me tentait, mais malheureusement je ressors plutôt mitigée de cette lecture. L'auteur s'inspire librement de François Vérove, dit le Grêlé. Tueur actif dans les années 80 et 90, il a été démasqué grâce à l'ADN en 2021. Cet ancien gendarme et policier s'est suicidé en septembre de la même année. Donc un sujet qui a tout pour me plaire. Sauf que… Je ne m'attendais pas à un true crime, je savais que ça allait être romancé cependant je pensais lire quelque chose de plus « concentré ». Ici, il y a trop d'un certain humour, qui d'ailleurs ne m'amuse pas spécialement. Pourtant… D'un autre côté, j'ai apprécié l'idée d'être dans la tête du tueur (ici Paul Balder), de découvrir sa colère, les pulsions qu'il tente d'analyser. Cependant… Je ne suis pas arrivée à prendre vraiment au sérieux ce tueur. Je le voyais « de loin ». Pour moi, ce récit manque de peps et l'humour me le fait plus imaginer comme une caricature. le ton « léger » est trop présent pour faire de ce roman un thriller psychologique intense. Et pas assez présent pour en faire une sorte de « comédie/ parodie ». L'idée de présenter un serial killer sur un ton quelque peu satirique est intéressante et me plait bien. Pourtant, ça n'a pas vraiment matché avec moi. Pas assez profond pour que je sois happée par l'histoire de Paul, pas assez léger pour que ça m'amuse. Ça se lit facilement mais je n'ai pas trouvé ce que je pensais, à savoir une histoire romancée mais « sérieuse ». En fait, j'ai navigué entre deux eaux et je n'ai pas été convaincue par cette lecture. Dommage, parce que l'écriture est agréable à lire. Un thriller/polar qui me tentait, mais malheureusement je ressors plutôt mitigée de cette lecture. L'auteur s'inspire librement de François Vérove, dit le Grêlé. Tueur actif dans les années 80 et 90, il a été démasqué grâce à l'ADN en 2021. Cet ancien gendarme et policier s'est suicidé en septembre de la même année. Donc un sujet qui a tout pour me plaire. Sauf que… Je ne m'attendais pas à un true crime, je savais que ça allait être romancé cependant je pensais lire quelque chose de plus « concentré ». Ici, il y a trop d'un certain humour, qui d'ailleurs ne m'amuse pas spécialement. Pourtant… D'un autre côté, j'ai apprécié l'idée d'être dans la tête du tueur (ici Paul Balder), de découvrir sa colère, les pulsions qu'il tente d'analyser. Cependant… Je ne suis pas arrivée à prendre vraiment au sérieux ce tueur. Je le voyais « de loin ». Pour moi, ce récit manque de peps et l'humour me le fait plus imaginer comme une caricature. le ton « léger » est trop présent pour faire de ce roman un thriller psychologique intense. Et pas assez présent pour en faire une sorte de « comédie/ parodie ». L'idée de présenter un serial killer sur un ton quelque peu...
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  • krisk 25/05/2023
    Tueur hors série, est un livre qui aborde le tueur en série ‘Le grêlé’ qui a sévit en France dans les années 80. La particularité de ce livre est que l’auteur retracera la vie du tueur sous forme de satire. Je ressors de ce livre un peu mitigé, je ne peux pas dire si j’ai réellement aimé lire cette histoire. Bon évidemment le sujet m’intéresse beaucoup et il est vrai que c’est assez original comme livre, mais j’en attendais trop un dérivé du true-crime ou une histoire qui retrace à l’exactitude la vie du tueur, pour en apprendre plus sur celui-ci. Mais non… ici l’auteur mélange fait réels et invention romancée sous forme d’humour. Et malheureusement ce n’est pas trop ma tasse de thé. En conclusion, merci aux éditions Plon de m’avoir fait découvrir cette histoire et même si je n’ai pas été complètement séduite, j’ai quand-même aimé qu’il retrace la vie du grêlé !
  • RChris 02/05/2023
    “L'utopitre”, “Rire ! : 40 ans d'humour”, “Tueur Hors série” : cherchez l’intrus ! Marc Jolivet fait un grand écart avec ce qu’il a écrit jusque-là et s'en explique dans une postface : le sujet était attirant au point d’en faire un roman pour lui et de le lire pour moi. Ce n’est pas une thèse et l’humoriste fait en exergue un clin d'œil à Georges Simenon : “Moins on est intelligent, plus on a de chances de devenir romancier. Sinon on écrit des thèses.” Le roman est très librement inspiré de la vie de François Vérove ; ainsi, la lettre introductive glaçante n’est pas celle qui a été diffusée dans les médias. Et je me suis posé immédiatement la question de la véracité et des libertés apportées à une histoire sachant qu’il existe des biographies transcendées par des romanciers brillants. Fasciné par la personnalité du “tueur au visage grêlé”, Marc Jolivet mène un petit roman, avec des redondances. Il cite ainsi de manière récurrente le gène MAOA “qui commande la production monoamine oxydase, une enzyme intervenant dans l'élimination de neurotransmetteurs tels que la dopamine…” et “le gène CDH13, impliqué dans des troubles du contrôle de l’impulsivité, et qu’on surnommera le gène du crime.” Porteurs de ces caractéristiques innées, Paul, dans le roman, est presque exempté des responsabilités criminelles par l’auteur. De plus, l’auteur édulcore les crimes, car dans la réalité les victimes étaient aussi des enfants, absents dans le roman. Enfin, et c’est l’aspect le plus surprenant, il ne peut s'empêcher d'égrener des histoires drôles tout au long du roman et même de référencer son sketch “Le digicode” ! Que restera-t-il en mémoire à la fin de cette lecture ? Peu de choses, après le tamisage des critiques. Un récit vivement mené mais puisque l’histoire s’éloigne de la vraie, peut-être vaut-il mieux se reporter aux deux ouvrages existants : “La traque du Grêlé” et “Le Grêlé : le tueur était flic”. De l’humour ? qui ne restera pas inscrit dans ma mémoire car je ne retiens pas les blagues ! “L'utopitre”, “Rire ! : 40 ans d'humour”, “Tueur Hors série” : cherchez l’intrus ! Marc Jolivet fait un grand écart avec ce qu’il a écrit jusque-là et s'en explique dans une postface : le sujet était attirant au point d’en faire un roman pour lui et de le lire pour moi. Ce n’est pas une thèse et l’humoriste fait en exergue un clin d'œil à Georges Simenon : “Moins on est intelligent, plus on a de chances de devenir romancier. Sinon on écrit des thèses.” Le roman est très librement inspiré de la vie de François Vérove ; ainsi, la lettre introductive glaçante n’est pas celle qui a été diffusée dans les médias. Et je me suis posé immédiatement la question de la véracité et des libertés apportées à une histoire sachant qu’il existe des biographies transcendées par des romanciers brillants. Fasciné par la personnalité du “tueur au visage grêlé”, Marc Jolivet mène un petit roman, avec des redondances. Il cite ainsi de manière récurrente le gène MAOA “qui commande la production monoamine oxydase, une enzyme intervenant dans l'élimination de neurotransmetteurs tels que la dopamine…” et “le gène CDH13, impliqué dans des troubles du contrôle de l’impulsivité, et qu’on surnommera le gène du crime.”...
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