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Nouveauté
Va où la rivière te porte
Cécile Arnaud (traduit par)
Date de parution : 14/03/2024
Éditeurs :
Robert Laffont
Nouveauté

Va où la rivière te porte

Cécile Arnaud (traduit par)
Date de parution : 14/03/2024
Une héroïne bouleversante au coeur de l'Ouest américain.
Victoria Nash a dix-sept ans, et elle gère d'une main de maître le verger de pêches de son père, à Iola, petite ville du Colorado nichée entre les montagnes de... Victoria Nash a dix-sept ans, et elle gère d'une main de maître le verger de pêches de son père, à Iola, petite ville du Colorado nichée entre les montagnes de la Big Blue Wilderness et la rivière Gunnison. Lorsqu'elle rencontre par hasard Wilson Moon dans les rues d'Iola, la vie... Victoria Nash a dix-sept ans, et elle gère d'une main de maître le verger de pêches de son père, à Iola, petite ville du Colorado nichée entre les montagnes de la Big Blue Wilderness et la rivière Gunnison. Lorsqu'elle rencontre par hasard Wilson Moon dans les rues d'Iola, la vie semble lui sourire. Wil est un jeune vagabond au passé mystérieux, à la peau brune et aux yeux aussi noirs et brillants que des ailes de corbeau. L'étincelle qui s'allume entre eux va déclencher autant de passion que de malheurs.

Au coeur des lacs, des montagnes, des rivières, Victoria doit faire face aux changements de son temps tout en sauvant sa propre vie et celle de son verger.

Va où la rivière te porte est un premier roman lumineux et envoûtant. Ce destin de femme est marqué par une histoire d'amour et façonné par une nature qui fascine autant qu'elle submerge.
 
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Un roman qui a déjà séduit un million de lecteurs dans le monde.
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« Un roman envoûtant. » The Times

« Un roman qui convoque la beauté grandiose des paysages du Colorado. » Sunday Times

« Va où la rivière te porte est une histoire déchirante sur le passage à l'âge adulte, un roman d'une puissance captivante. » The Guardian

« Magnifique, lyrique et vivant ... Pleine de sagesse et de force, cette histoire d'amour puissante est portée par une héroïne inoubliable. » Sunday Express

« Un premier roman magnifique - un hymne aux cycles du monde naturel et un testament à la résilience de l'esprit humain. » Daily Mail

 
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EAN : 9782221267684
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 368
Format : 135 x 215 mm
EAN : 9782221267684
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 368
Format : 135 x 215 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • DOMS 10/04/2024
    Il est rare que je termine la lecture d'un roman en ressentant autant d'émotions. Et c'est le cas pour ce premier roman de Shelly Read Qui nous entraîne dans le village d'Ilola dans le Colorado. Torrie a dix-sept ans lorsqu'elle croise la route d'un jeune homme qui la subjuge et lui plaît au premier regard. C'est une enfant puis une jeune fille solitaire depuis le décès de sa mère, sa tante et son cousin. Depuis qu'elle gère tout à la ferme, malgré un père colérique et exigeant, un oncle lourdement handicapé au Vietnam et devenu aussi acariâtre que méchant, un frère faignant et violent, et pendant que les hommes s'occupent des pêchers qui ont fait la réputation de la famille Nash dans toute la région. Mais la rencontre avec Willson Moon sera décisive pour la suite de son existence. Car si elle est immédiatement attirée par le beau Will, le teint basané de cet indien sorti de nulle part déplaît fortement à la communauté de cette ville de l'ouest américain, les indiens doivent se cantonner aux réserves dans lesquelles la nation les a parqués. C'est donc la jeunesse, les amours et la vie de Torrie, qui s'affirme en devenant la Victoria qu'elle aurait toujours dû être, que l'autrice va nous raconter avec force, douceur, douleur. Devenir femme, mère, avant d'être fille ou sœur n'est pas chose facile lorsque l'on vit sans modèle féminin. C'est pourtant ce que Victoria va tenter de faire, seule face aux difficultés, aux épreuves, à la souffrance et aux joies ténues que l'existence va lui offrir. Un magnifique portrait de femme au cœur des montagnes et la nature parfois exigeantes mais toujours si belles du Colorado. Émotion, tendresse, dégoût, violence, souffrance, résistance, résilience, rien ne sera épargné au lecteur pour son plus grand plaisir. Il est rare que je termine la lecture d'un roman en ressentant autant d'émotions. Et c'est le cas pour ce premier roman de Shelly Read Qui nous entraîne dans le village d'Ilola dans le Colorado. Torrie a dix-sept ans lorsqu'elle croise la route d'un jeune homme qui la subjuge et lui plaît au premier regard. C'est une enfant puis une jeune fille solitaire depuis le décès de sa mère, sa tante et son cousin. Depuis qu'elle gère tout à la ferme, malgré un père colérique et exigeant, un oncle lourdement handicapé au Vietnam et devenu aussi acariâtre que méchant, un frère faignant et violent, et pendant que les hommes s'occupent des pêchers qui ont fait la réputation de la famille Nash dans toute la région. Mais la rencontre avec Willson Moon sera décisive pour la suite de son existence. Car si elle est immédiatement attirée par le beau Will, le teint basané de cet indien sorti de nulle part déplaît fortement à la communauté de cette ville de l'ouest américain, les indiens doivent se cantonner aux réserves dans lesquelles la nation les a parqués. C'est donc la jeunesse, les amours et la vie de Torrie, qui s'affirme en devenant la Victoria qu'elle aurait toujours...
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  • fabienne2909 06/04/2024
    « J’avais été une enfant sage. Obéissante, serviable, respectueuse de mes aînés. J’avais lu la Bible. J’avais déposé des pêches dans les paniers comme si chaque fruit était fait du verre le plus fin. Grâce à moi, la maison était toujours propre, les ventres pleins, le linge plié, la ferme tenue. Je ne posais pas trop de questions, ne laissais personne m’entendre pleurer. J’avais appris par moi-même à grandir sans mère. Puis j’avais croisé par hasard un inconnu crasseux au carrefour de la Grand-Rue et de la rue North Laura et j’étais tombée amoureuse. Tout comme une seule averse suffit à éroder les berges d’une rivière et à en changer le cours, un événement unique dans la vie d’une jeune fille peut effacer ce qu’elle était auparavant ». Un seul événement, et c’est l’effet papillon, la chaîne des conséquences qui s’enclenche pour changer du tout au tout une vie, en l’occurrence celle de Victoria Nash, l’héroïne de ce roman touchant. On le sait dès le début, avec la scène inaugurale de cette histoire, que cette vie ne sera pas facile, dramatique, mouvementée comme les rapides de la Gunnison au bord de laquelle celle-ci se déroulera. « J’irai où la rivière me porte », a dit un jour à Victoria Wilson Moon, l’inconnu crasseux de la citation ci-dessus. Au-delà de la poésie que cette phrase comporte, on y lit une philosophie de vie, celle d’une liberté à laquelle Victoria adhèrera dès sa rencontre fortuite avec Wil, dans une rue d’Iola alors qu’elle cherchait son frère Seth, encore une fois en état d’ébriété, pour le ramener à la maison. En un battement de cœur, fini Torie, la fille gentille qui ne se posait aucune question sur le carcan d’une vie domestique qu’elle n’a pas choisie, et qu’elle a endossée automatiquement à la mort de sa mère. Finie Torie la fille serviable qui aidait son père à cueillir puis vendre les pêches Nash, célèbres dans la région pour leur incroyable sucrosité et parfum, et qui s’occupait des hommes de la famille, ingrats et profiteurs, entre l’oncle revenu estropié de la guerre, ayant perdu sa jambe et sa gentillesse, un frère menteur, paresseux et violent depuis toujours, et un père taiseux. Bienvenue à Victoria, cette femme décidée à aimer qui elle le souhaite, en dépit des jugements, et qui en assumera, seule, les conséquences jusqu’au bout, même si cela l’obligera à vivre des événements terribles, déchirants, qu’aucune femme ne devrait avoir à vivre, dans une humilité assez remarquable. J’ai ainsi vu dans « Va où la rivière te porte » le roman de la découverte d’une femme par elle-même, dans l’adversité, bien décidée à suivre le flot de sa vie et à voir où cela la mènera. Le chemin n’a pas été facile ni heureux pour elle, qui dut faire des choix que je n’ai pas compris, et qui m’ont empêchée d’adhérer pleinement au personnage. Ce choix, [masquer] celui d’abandonner son enfant, [/masquer] elle n’aurait pu ne pas le faire, et, même s’il est touchant, il m’a paru artificiel, et je n’ai pu m’empêcher d’y voir le rebondissement permettant à l’histoire de continuer à se développer. À partir de là, je n’ai plus été que spectatrice de ce roman, et, contrairement aux critiques élogieuses que j’ai lues sur le roman, je suis passée largement, et à mon grand regret, à côté. Pourtant, « Va où la rivière te porte » est un beau roman américain, proche, s’il n’en fait partie, du nature writing puisque les nombreuses, et magnifiques, descriptions de la faune et de la flore avoisinant la Gunnison et les monts Elk, sont magnifiques et saisissants, et valent, ne serait-ce que pour eux uniquement, la lecture. J’ai parfois eu la sensation de me balader avec Victoria dans la forêt, à regarder avec elle le jour se coucher, dans le rougeoiement du crépuscule. C’est à se demander comment ça se fait qu’il n’ait pas été publié chez Gallmeister ! En résumé, les sentiments ont été mitigés pour ce roman, j’en suis la première déçue. Merci aux éditions Robert Laffont et à Babelio pour cette masse critique privilégiée à laquelle j’ai été tout de même ravie de participer. « J’avais été une enfant sage. Obéissante, serviable, respectueuse de mes aînés. J’avais lu la Bible. J’avais déposé des pêches dans les paniers comme si chaque fruit était fait du verre le plus fin. Grâce à moi, la maison était toujours propre, les ventres pleins, le linge plié, la ferme tenue. Je ne posais pas trop de questions, ne laissais personne m’entendre pleurer. J’avais appris par moi-même à grandir sans mère. Puis j’avais croisé par hasard un inconnu crasseux au carrefour de la Grand-Rue et de la rue North Laura et j’étais tombée amoureuse. Tout comme une seule averse suffit à éroder les berges d’une rivière et à en changer le cours, un événement unique dans la vie d’une jeune fille peut effacer ce qu’elle était auparavant ». Un seul événement, et c’est l’effet papillon, la chaîne des conséquences qui s’enclenche pour changer du tout au tout une vie, en l’occurrence celle de Victoria Nash, l’héroïne de ce roman touchant. On le sait dès le début, avec la scène inaugurale de cette histoire, que cette vie ne sera pas facile, dramatique, mouvementée comme les rapides de la Gunnison au bord de laquelle celle-ci se déroulera. « J’irai où la rivière...
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  • Kittiwake 05/04/2024
    Une belle épopée, comme savent si bien les écrire la génération actuelle des écrivains américains ! L'héroïne est une toute jeune fille, orpheline de mère, dans une ferme du Colorado qui tire ses revenus de la culture de pêches, les si réputées pêches Nash, que l'on rêve de savourer à chaque fois qu'elles sont évoquées dans le roman. Mais la vie quotidienne n'a pas la douceur de la peau de ces fruits juteux. Un père taiseux, un frère violent et un oncle ravagé par la guerre, avares de compliments, peu prompts à reconnaître le travail qu'elle assume depuis la disparition de sa mère, entretenir la maison et préparer les repas. Il suffira de quelques pages pour que l'inattendu survienne et que soit bouleversé à jamais le destin de Victoria. Dans la tradition du nature-writing, de superbes descriptions des paysages agrémentent le récit. On y retrouve, sans la violence, l'ambiance de Betty de Tiffany McDaniel. On dévore avec autant d'appétit qu'une pêche juteuse les pages de ce roman qui semblent tourner toute seules. Cela n'empêche pas l'autrice d'aborder des sujets graves, le racisme, l'oubli des drames qui ont fondé les Etats-unis, et le mépris des femmes. Premier roman qui sera, il faut l'espérer suivi d'autres productions aussi réjouissantes. Merci à Babelio et aux éditions Laffont 368 pages Laffont 14 mars 2024 Masse critique Babelio Une belle épopée, comme savent si bien les écrire la génération actuelle des écrivains américains ! L'héroïne est une toute jeune fille, orpheline de mère, dans une ferme du Colorado qui tire ses revenus de la culture de pêches, les si réputées pêches Nash, que l'on rêve de savourer à chaque fois qu'elles sont évoquées dans le roman. Mais la vie quotidienne n'a pas la douceur de la peau de ces fruits juteux. Un père taiseux, un frère violent et un oncle ravagé par la guerre, avares de compliments, peu prompts à reconnaître le travail qu'elle assume depuis la disparition de sa mère, entretenir la maison et préparer les repas. Il suffira de quelques pages pour que l'inattendu survienne et que soit bouleversé à jamais le destin de Victoria. Dans la tradition du nature-writing, de superbes descriptions des paysages agrémentent le récit. On y retrouve, sans la violence, l'ambiance de Betty de Tiffany McDaniel. On dévore avec autant d'appétit qu'une pêche juteuse les pages de ce roman qui semblent tourner toute seules. Cela n'empêche pas l'autrice d'aborder des sujets graves, le racisme, l'oubli des drames qui ont fondé les Etats-unis, et le mépris des femmes. Premier roman qui sera, il faut l'espérer suivi...
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  • MaggyM 27/03/2024
    Fin des années 40, Victoria est devenue adulte trop vite. du haut de ses 17 ans, elle est la seule femme du foyer, entourée de son père qui aime mal, son oncle aigri revenu handicapé de la guerre et son jeune frère violent et porté sur la bouteille. Dans la petite ville d'Iola où sa famille est propriétaire d'une exploitation de pêcher, Victoria, alors Torie, se pose peu de question sur sa vie personnelle, jusqu'à ce qu'elle croise le regard d'un jeune indien qui la touche au plus profond d'elle-même. Ce premier roman est véritablement porté par le personnage de Victoria que nous suivrons de la fin des années 40 jusqu'au début des années 70. En construisant cette femme forte, farouchement indépendante et qu'on a quand même régulièrement envie de prendre dans ses bras, Shelley Read fait une entrée tout en douceur et de façon marquante avec ce premier roman. En plaçant son intrigue dans un Colorado dur, sauvage et en annonçant dès les premières pages que la ville où débute le récit finira engloutie par un barrage, elle happe le lecteur immédiatement. J'ai beaucoup aimé son style, entre le nature writing et le roman social et j'ai énormément apprécié le personnage de Victoria. L'ensemble sonnait très juste excepté une partie qui se déroule pendant quelque mois quelque part dans la montagne et qui m'a moins convaincue. Victoria fait partie de ces héroïnes attachantes qui vont laisser des traces dans ma mémoire de lectrice. Ne tombant jamais dans le glauque ou le misérabilisme, l'autrice est parvenue à poser le cadre et l'intrigue de manière très réaliste. Ce qui donne un premier roman touchant, poignant par moment et en même temps empli d'espoir. Une nouvelle autrice à suivre assurément. Merci à Babelio et aux éditions Robert Laffont pour la découverte.Fin des années 40, Victoria est devenue adulte trop vite. du haut de ses 17 ans, elle est la seule femme du foyer, entourée de son père qui aime mal, son oncle aigri revenu handicapé de la guerre et son jeune frère violent et porté sur la bouteille. Dans la petite ville d'Iola où sa famille est propriétaire d'une exploitation de pêcher, Victoria, alors Torie, se pose peu de question sur sa vie personnelle, jusqu'à ce qu'elle croise le regard d'un jeune indien qui la touche au plus profond d'elle-même. Ce premier roman est véritablement porté par le personnage de Victoria que nous suivrons de la fin des années 40 jusqu'au début des années 70. En construisant cette femme forte, farouchement indépendante et qu'on a quand même régulièrement envie de prendre dans ses bras, Shelley Read fait une entrée tout en douceur et de façon marquante avec ce premier roman. En plaçant son intrigue dans un Colorado dur, sauvage et en annonçant dès les premières pages que la ville où débute le récit finira engloutie par un barrage, elle happe le lecteur immédiatement. J'ai beaucoup aimé son style, entre le nature writing et le roman social et j'ai énormément apprécié le...
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  • Lalitote 26/03/2024
    Il est des rivières dont le parcours est calme et tranquille et d'autres aux eaux tumultueuses mais toujours l'une et l'autre atteignent leur but. L'histoire de Torie commence au Colorado en 1949, elle a dix-sept ans et tombe éperdument amoureuse d'un jeune homme amérindien à la peau sombre et aux cheveux noirs corbeau. Un amour pur et tragique qui montrera la violence et le rejet d'une communauté toute entière. Toute sa vie va se trouver bouleverser lorsqu'elle comprend qu'elle est enceinte, le chemin qu'elle décide d'emprunter est rude et périlleux, son ultime décision aura de lourdes conséquences. Un premier roman qui est un énorme coup de cœur même s'il vous tord les tripes et que la boîte de kleenex est la bienvenue. Le terrible parcours de la jeune Torie est le point de départ d'une vie de femme forte et déterminée. Elle a fait un sacrifice extrême pour le bien de son enfant et maintenant il lui faut vivre avec ça. Un style qui s'apparente au natural writing avec un temps de vie dans les montagnes mais aussi tout un pan de l'histoire sur la disparition d'un village sous les eaux. Une lecture qui vient vous chercher dans vos émotions et vous laisse souvent sur le carreau tout en vous donnant le moyen de vous relever. Le personnage de Torie apporte toute sa force à l'histoire dans sa capacité à décider de son destin et je l'ai aimé tout de suite. Des thèmes puissants sont abordés, celui de la naissance, de la maternité, de la survie, de l'abandon, du racisme. L'auteure a choisi un rythme lent, scindé en plusieurs époques où les années s'écoulent apportant un espoir de ce qui aurait pu être. Avec une fin qui vous donne envie d'un tome 2, j'ai eu beaucoup de mal à refermer mon livre, j'avais besoin de plus. Un livre magnifique que je vous recommande à la fois déchirant et réconfortant. Bonne lecture.Il est des rivières dont le parcours est calme et tranquille et d'autres aux eaux tumultueuses mais toujours l'une et l'autre atteignent leur but. L'histoire de Torie commence au Colorado en 1949, elle a dix-sept ans et tombe éperdument amoureuse d'un jeune homme amérindien à la peau sombre et aux cheveux noirs corbeau. Un amour pur et tragique qui montrera la violence et le rejet d'une communauté toute entière. Toute sa vie va se trouver bouleverser lorsqu'elle comprend qu'elle est enceinte, le chemin qu'elle décide d'emprunter est rude et périlleux, son ultime décision aura de lourdes conséquences. Un premier roman qui est un énorme coup de cœur même s'il vous tord les tripes et que la boîte de kleenex est la bienvenue. Le terrible parcours de la jeune Torie est le point de départ d'une vie de femme forte et déterminée. Elle a fait un sacrifice extrême pour le bien de son enfant et maintenant il lui faut vivre avec ça. Un style qui s'apparente au natural writing avec un temps de vie dans les montagnes mais aussi tout un pan de l'histoire sur la disparition d'un village sous les eaux. Une lecture qui vient vous chercher dans vos émotions et vous...
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