A(ni)mal : Le livre de Cécile Alix

C'est un roman qui évoque le parcours d'un migrant , Miran. Au fil des pages, on mesure les difficultés de son périple et combien il est courageux grâce à l'espoir d'une vie meilleure qui le guide. Le livre est très touchant et je le recommande à ceux qui veulent comprendre et ressentir ce que traversent les nombreuses personnes qui quittent leur pays , vivent la douleur du déracinement mais trouvent l'énergie de s'accrocher et d'avancer… Anto

C'est un roman qui évoque le parcours d'un migrant , Miran. Au fil des pages, on mesure les difficultés de son périple et combien il est courageux grâce à l'espoir d'une vie meilleure qui le guide. Le livre est très touchant et je le recommande à ceux qui veulent comprendre et ressentir ce que traversent les nombreuses personnes qui quittent leur pays , vivent la douleur du déracinement mais trouvent l'énergie de s'accrocher et d'avancer… Anto

Miran est un adolescent de 15 ans qui vit dans un pays en guerre. Sa mère, pour le sauver, prend une décision difficile : elle le fait partir seul, en espérant qu’il trouve une vie meilleure ailleurs. Elle lui rase la tête, lui accroche des tubes remplis d’argent sur le corps, et lui dit de ne plus être un enfant, mais un survivant. À partir de ce moment, Miran devient presque un « animal », obligé d’oublier qui il est pour rester en vie. Son voyage est extrêmement dangereux. Il traverse des frontières, des montagnes, des mers, souvent à pied, dans des camions, ou entassé avec d’autres migrants. Il subit la faim, le froid, la peur, la violence des passeurs, et l’indifférence de beaucoup de gens. Il est parfois traité comme s’il n’était pas humain. Mais malgré tout, Miran ne perd pas l’espoir. Il rencontre aussi des personnes généreuses qui l’aident et lui redonnent un peu de courage. Le roman A(ni)mal de Cécile Alix est un livre très fort, bouleversant et nécessaire. Il raconte l’histoire de Miran, un garçon de 15 ans obligé de fuir son pays en guerre pour survivre. Dès les premières pages, on est plongé dans un récit intense, raconté à la première personne, ce qui rend l’histoire encore plus réaliste et touchante. On vit le voyage avec Miran, on ressent sa peur, sa douleur, mais aussi sa force et son courage. Ce que j’ai beaucoup aimé dans ce livre, c’est la manière dont l’autrice décrit le monde à travers les yeux d’un adolescent. On comprend mieux ce que vivent les personnes qui fuient leur pays, ce qu’elles doivent affronter pour espérer un avenir. Certaines scènes sont dures, mais elles sont importantes pour ouvrir les yeux. Le titre du livre, A(ni)mal, est aussi très bien trouvé : il montre comment Miran doit se comporter comme un animal pour survivre, mais qu’au fond, il reste un être humain. C’est un message fort sur la dignité, le respect et la solidarité.

Miran est un adolescent de 15 ans qui vit dans un pays en guerre. Sa mère, pour le sauver, prend une décision difficile : elle le fait partir seul, en espérant qu’il trouve une vie meilleure ailleurs. Elle lui rase la tête, lui accroche des tubes remplis d’argent sur le corps, et lui dit de ne plus être un enfant, mais un survivant. À partir de ce moment, Miran devient presque un « animal », obligé d’oublier qui il est pour rester en vie. Son voyage est extrêmement dangereux. Il traverse des frontières, des montagnes, des mers, souvent à pied, dans des camions, ou entassé avec d’autres migrants. Il subit la faim, le froid, la peur, la violence des passeurs, et l’indifférence de beaucoup de gens. Il est parfois traité comme s’il n’était pas humain. Mais malgré tout, Miran ne perd pas l’espoir. Il rencontre aussi des personnes généreuses qui l’aident et lui redonnent un peu de courage. Le roman A(ni)mal de Cécile Alix est un livre très fort, bouleversant et nécessaire. Il raconte l’histoire de Miran, un garçon de 15 ans obligé de fuir son pays en guerre pour survivre. Dès les premières pages, on est plongé dans un récit intense, raconté à la première personne, ce qui rend l’histoire encore plus réaliste et touchante. On vit le voyage avec Miran, on ressent sa peur, sa douleur, mais aussi sa force et son courage. Ce que j’ai beaucoup aimé dans ce livre, c’est la manière dont l’autrice décrit le monde à travers les yeux d’un adolescent. On comprend mieux ce que vivent les personnes qui fuient leur pays, ce qu’elles doivent affronter pour espérer un avenir. Certaines scènes sont dures, mais elles sont importantes pour ouvrir les yeux. Le titre du livre, A(ni)mal, est aussi très bien trouvé : il montre comment Miran doit se comporter comme un animal pour survivre, mais qu’au fond, il reste un être humain. C’est un message fort sur la dignité, le respect et la solidarité.