Cavale : Le livre de Cali

Dans son premier roman d’inspiration autobiographique « Seuls les enfants savent aimer » Cali racontait, du haut de ses 6 ans d’alors, la mort de sa mère, la peine sans fond de son père, et son chagrin d’enfant incommensurable et définitif. Dans ce deuxième roman, Cali-Bruno a 15 ans, il entre au lycée et en lui brûle du feu de l’adolescence : la musique The Clash, Patti Smith, U2, les copains, le groupe de punk-rock et l’obsession des filles, l’amour ou pas, le faire ou pas… Cavale … est un roman initiatique, un roman à fleur de peau, secoué par les tempêtes intérieures d’un corps qui demande à s’apprivoiser. Cali raconte l’ado de l’époque dans sa langue des années 80. Bouffées de nostalgie et bouffées d’hormones, en alternance. Le mal-être de l’adolescent, ses coups de cœur, ses mensonges chroniques, ses swings de moral, euphorie et spleen, jubilation et déprime, solitude et amitiés grégaires, Cali parvient à transmettre toute cette palette d’états et d’émotions. Le style est incisif, drôle, heurté et écorché, âpre. Un style singulier qui porte sa propre musique et est étonnamment émouvant. Sans oublier l’apothéose du concert de fin d’année au lycée avec son groupe « Pénétration Anale » sous la couverture des « Lutins Verts », un chaos jubilatoire qui vaut bien une cavale. « Tu sais pourquoi on est heureux ? Parce qu’on sait fabriquer des rêves ... ». C’est si justement dit !

Dans son premier roman d’inspiration autobiographique « Seuls les enfants savent aimer » Cali racontait, du haut de ses 6 ans d’alors, la mort de sa mère, la peine sans fond de son père, et son chagrin d’enfant incommensurable et définitif. Dans ce deuxième roman, Cali-Bruno a 15 ans, il entre au lycée et en lui brûle du feu de l’adolescence : la musique The Clash, Patti Smith, U2, les copains, le groupe de punk-rock et l’obsession des filles, l’amour ou pas, le faire ou pas… Cavale … est un roman initiatique, un roman à fleur de peau, secoué par les tempêtes intérieures d’un corps qui demande à s’apprivoiser. Cali raconte l’ado de l’époque dans sa langue des années 80. Bouffées de nostalgie et bouffées d’hormones, en alternance. Le mal-être de l’adolescent, ses coups de cœur, ses mensonges chroniques, ses swings de moral, euphorie et spleen, jubilation et déprime, solitude et amitiés grégaires, Cali parvient à transmettre toute cette palette d’états et d’émotions. Le style est incisif, drôle, heurté et écorché, âpre. Un style singulier qui porte sa propre musique et est étonnamment émouvant. Sans oublier l’apothéose du concert de fin d’année au lycée avec son groupe « Pénétration Anale » sous la couverture des « Lutins Verts », un chaos jubilatoire qui vaut bien une cavale. « Tu sais pourquoi on est heureux ? Parce qu’on sait fabriquer des rêves ... ». C’est si justement dit !