Le Syndrôme du spaghetti : Le livre de Marie Vareille, Helena Coppejans

#128214; Le syndrome du spaghetti #10002; @marie_vareille #127968; @pocket_jeunesse #128198;8 Octobre 2020 #128241;Audiobook (lu par Helena Coppejans sur @nextory.fr @lizzie_livresaudio) J'ai écouté (enfin !) Le syndrome du spaghetti de Marie Vareille et j'ai beaucoup aimé. Dans ce roman, partons à la rencontre de Léa : 16 ans, sa vie se partage entre ses 20 heures d'entraînements de basket hebdomadaires, et ses meilleurs amis Amel et Nico (dont elle est secrètement amoureuse) ; le tout très entourée par son père, qui est également son coach de basket. Et le monde de Léa va s'écrouler quand son père décède subitement. Léa va alors devoir apprendre à renoncer à certains de ses rêves... J'ai adoré rencontrer Léa et elle m'a beaucoup émue et touchée. Les épreuves qu'elle doit traverser sont tellement dures et malgré quelques mauvaises décisions, ce roman va nous permettre de suivre son évolution, avec l'aide de toutes les personnes qui gravitent dans sa vie. J'ai d'ailleurs beaucoup aimé ces personnages secondaires, que ce soit la mère ou la petite sœur de Léa, ses meilleurs amis ou même Anthony. Ce roman est à la fois très émouvant et rempli d'espoir. C'est une ode aux chemins de vie non rectilignes, aux choix que l'on doit prendre quand la vie bouleverse nos projets de vie. Quant au titre de ce roman "Le syndrome du spaghetti", il prend tout son sens à la lecture de ce roman et il est simplement parfait ! Et que dire des mots de l'autrice qui explique la genèse de ce roman... C'est puissant, c'est beau et cela explique tellement de choses sur cette histoire ! Encore une fois, ce roman de Marie Vareille m'a beaucoup plu et il me tarde de découvrir les derniers romans de cette autrice que je n'ai pas lu : notamment la trilogie Elia : La passeuse d'âmes, Ainsi gêlent les bulles de savon, Là où tu iras, j'irais. Et toi, tu lis les romans de Marie Vareille ? Quel a été ton coup de cœur ? Mots clés : nouveau départ | espoir | syndrome de Marfan

J’ai tout simplement adoré ma lecture. En plus d’avoir un bon rythme de lecture grâce aux courts chapitres, j’ai été touchée par les sujets abordés : la passion d’un sport #127936;, la persévérance, la maladie et surtout les différentes étapes du deuil. Non, je n’ai pas pleuré mais j’ai été bouleversé de lire à la fin que l’autrice a été frappé par cette maladie. Petite mention spéciale pour la maman de Léa que j’ai trouvé extrêmement forte et courageuse face à cette situation. Bravo à Marie d’avoir couché cette histoire sur papier car c’est une grande réussite et une belle leçon de vie !

Léa joue merveilleusement au basket et a un avenir prometteur dans ce sport. Mais tout bascule le jour où son père décède soudainement. Non seulement Léa est plus triste que jamais, mais elle découvre aussi que son père est mort d'une maladie dont elle est aussi atteinte et qui l'empêche de jouer au basket. Qu'importe ce que disent les médecins, Léa est sûre d'elle : elle veut continuer à poursuivre son rêve. Ce roman pourrait aussi bien être publié en collection pour ados que pour adultes. On a ici des personnages adolescents bien incarnés, une trame qui se tient et une écriture fluide. L'histoire est assez convenue mais coche les cases d'une lecture agréable. Et c'est bien ce que l'on attend de ce roman.

Marie Vareille est une autrice qui pratique le talent des émotions. Elle raconte des histoires tragiques avec des mots doux. Le syndrome du spaghetti n'échappe pas à cette règle et l'histoire de Léa m'a touchée et émue. Elle nous raconte ce syndrome, celui de MARFAN, qui touche des centaines de personnes par an et qui reste, pourtant mal détecté. Elle nous parle de rêves brisés, d'amour adolescent et de deuil impossible. Bref, c'est un roman profond qui remue les idées préconçues sur la famille. Je le conseille.