Se croiser sans se voir : Le livre de Jean-Laurent Caillaud

" Un plaque en souvenir d'un jeune homme tué par les Allemands devient un lieu où se tisse un réseau d'amitiés qui résiste à l'oubli. Sobre, grave et lumineux. " (Impact médecin, 31 mai 2007)

" Emouvant, sincère et nécessaire. " (Matin plus, Cultures, 31 mai 2007)

" Avec ce premier roman sobre, parfois grave, jamais mélo, souvent drôle, Jean-Laurent Caillaud porte loin et juste. Faites passer; " (JM Ulmann, Impact Médecine)

" Cette histoire d'amitié et de fidélité à la mémoire est très émouvante. Derrière une apparente simplicité et légèreté, elle recèle une réelle profondeur. Emma et Louis sont des personnages attachants qui drainent une étonnante chaîne de solidarité. Ce petit chef-d'oeuvre devrait faire le bonheur de tous " (Bertrand Delanoë, maire de Paris)

" Très beau, très émouvant. Une bonne action "(Pierre Messmer, chancelier de l'Ordre de la Libération)

" C'est un tout petit livre qui se lit en une demi-heure. Mais qu'on oubliera pas de sitôt... " (La Voix du Nord, 10 juillet 2007)

" Voilà un joli conte qu'il faut lire comme si c'était une histoire vraie. " (Le Figaro et vous, 9 août 2007)

" Dans les piles de livres qui parviennent chaque semaine sur le bureau des critiques, le choix est souvent vite fait, car l'ennuyeux se dispute avec le prétentieux. Il ne conserve que ce qui excite son intérêt et ceux qu'il pense être de ceux de ses lecteurs. Mieux encore, l'enthousiasme surgit parfois, sans qu'il s'y attende, souvent grâce à un peiti livre qui ne cherche pas à se distinguer parmi les gros, les grandes signatures ou les appels incessants des machines éditoriales. Se croiser sans se voir par Jean-Laurent Caillaud est à ouvrir et à déguster sans peur ni reproche. Ce récit est délicat, intelligent, sensible, émouvant. Il rend fier de l'avoir lu et aimé. (...) Le talent de Laurent Caillaud est d'avoir conduit son récit jusqu'à une fin que nul ne pourrait deviner et qui y ajoute une pincée d'émotion. " (Petites affiches, 30 juillet 2007)

" Ce roman sobre, parfois grave, souvent drôle, porte loin et juste. Le témoignage d'un relais entre générations. " (Notre temps, Août 2007)